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En attendant :

haut1.jpg

L'image se retourne à 90° et à 180° : vous pourrez lire "bas" à la verticale et "haut" à l'horizontal (retournement à 90°), "fragile" dans les deux sens (rotation à 180°) ainsi que "up" dans un sens et "dn" (diminutif de "down") dans l'autre sens par rotation à 180°

Modifié par Julien DAVID

Julien

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Très drôle Gérard, merci. Peux-tu nous donner la source de cette image stp ? Il semble que le chat soit fixé sur un axe, y a-t-il un moteur pour mettre le tout en rotation ?

Oups, j'ai trouvé, le site de Julien Berthier, il y a même une vidéo. C'est une oeuvre d'artiste, le chat est mort :( :

http://www.julienberthier.org/article/le-mouvement-perpetuel.html

Pour info, la phrase d'origine (sauf source antérieure ?) de Légaré, qui est juste une note d’humour (noir, comme le beurre) sans référence au mouvement perpétuel :

« Si un chat retombe toujours sur ses pattes, et une tartine beurrée retombe toujours du côté du beurre, que se passe-t-il quand on attache une tartine beurrée sur le dos d'un chat et qu'on les jette par la fenêtre ? »

Voir par exemple La Citation du jour selon Pierre Légaré:

http://www.facebook.com/apps/application.php?id=346842787480

Un thread en rapport avec Les Questions existentielles de Légaré, ici :

http://www.virtualmagie.com/ubbthreads/ubbthreads.php/topics/236226/2

C.G.

Modifié par Christian Girard
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Publié le (modifié)

Une idée amusante qui me vient, comme une sorte de suite logique à la proposition de Berthier et pas plus réaliste que cette dernière :

– Relier deux boomerangs par un long fil très solide

– Se mettre face à face avec un second lanceur en tendant le fil

–Lancer simultanément les deux boomerangs

– Regarder la ronde perpétuelle des boomerangs s’exécuter sous les yeux d’un public ébahi.

Explication : arrivé en bout de course, chaque boomerang communique la moitié de son énergie (cinétique notamment) à l’autre, mais comme il y a deux boomerangs, toute l’énergie du système est conservée, le premier boomerang récupérant la moitié de l’énergie du second.

(Mais non mais non il n’y a pas de perte d’énergie, pas de chaleur dissipée, pas de frottement avec l’air ni de gravité ou de problème d’usure, puisque c’est I-MAGI-NAIRE ! Je ne répondrai ni à ceux qui me disent que le système s’arrête dès que chaque boomerang est revenu à son point de départ, ni à ceux qui auront la mauvaise foi patente de me faire remarquer que, sans force de frottement, un boomerang ne revient pas ! Na ! Pour parodier Henri Broch en retournant l’une de ses propositions-phares, j’ajoute :

« Le devoir de vigilance a pour pendant le droit au rêve. » (©Christian Girard, 15 novembre 2010)

Une variante pour lanceur seul :

– Relier deux boomerangs par un long fil très solide

– Lancer le premier boomerang

– Dès que le fil est tendu et que le premier boomerang a atteint son point le plus lointain du lanceur, lancer le second boomerang

– Regarder une fois de plus la ronde perpétuelle s’exécuter sous les yeux d'une assistance ébaubie.

(« Ébaubie ? » me direz-vous. Il va très bien merci.)

Dans ce cas de figure, on me rétorquera que le premier boomerang, lorsqu’il revient, s’arrête. Oui, dans le monde réel, mais dans le cas présent, puisque le second boomerang arrive en bout de course au loin, il communique la moitié de sa force au premier qui bien qu'à l’arrêt est propulsé à nouveau. Dans ce cas de figure le rayon diminue peu à peu (allez, disons de moitié à chaque rotation) mais comme la division par deux est mathématiquement possible à l’infini, on obtient un cas de figure qui n’est pas sans rappeler le paradoxe d’Achille et la tortue ou celui de la flèche de Zénon. Il n’est pas impossible que les deux boomerangs finissent par disparaître dans un trou noir.

C.G.

Modifié par Christian Girard
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Pour les amateurs, cette très très bonne BD:

Jack B. Quick Enfant prodige de Alan Moore et Kevin Nowlan..

On y trouve des chats beurrés, une vache coincée dans un trou noir, un photon arrêté pour excès de vitesse, une araignée géante.

De la science VRAIMENT amusante, ou alors vraiment AMUSANTE.

Publié le

Tiens c'est marrant, en allant sur le lien proposé par Popnorges, j'y apprends que l'idée de la tartine et du chat est d'Oscar Wilde (Oscar Wilde's Cat-Toast Device).

Ce qui nous ramène au spectacle de Laurent Beretta vu hier au Trévise.

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Publié le

Et pour le mouvement perpétuel interrompu :

Le chat retombe sur ses pattes, puis c'est au tour de la tartine de tomber du côté du beurre, puis de nouveau le chat ... qui se vautre par terre en glissant sur le beurre resté collé au sol.

Ahh la physique !

;)

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    • Je crois surtout qu’une telle accumulation d’affirmations toutes plus invraisemblables les unes que les autres les feraient ricaner, s’ils en avaient cure.    J’ai déjà évoqué cela. Un exemple ici :  Par ailleurs Christian Delamorinière habituellement si « prompt » (c’est le cas de le dire) à dégainer une IA pour répondre à sa place lorsque ça l’arrange, ne fait pas ici cet « effort » dès lors que ça pourrait ne pas abonder dans son sens, exemple avec ce que peut relever ChatGPT du point de vue des éléments scientifiques sur cette affaire (qui pour moi je le précise n’en est pas une, à part l’analyse sociologique intéressante qu’on peut faire sur les croyances et la crédulité humaine) : ChatGPT : « Je vais te donner, de façon structurée et rigoureuse, les éléments scientifiques (tests, observations, preuves historiques et limites méthodologiques) qu’on peut invoquer pour soutenir l’hypothèse non-miraculeuse concernant l’image de Notre-Dame de Guadalupe. Je cite les travaux et rapports clés pour chaque point (les cinq affirmations les plus importantes sont sourcées). Résumé rapide (une phrase) : Les enquêtes historiques et techniques existantes montrent des indices compatibles avec une fabrication ou des retouches humaines (présence de pigments et retouches, témoignages d’experts-restaurateurs, preuves documentées d’altérations et d’interventions), et aucun test non-contredit et irréfutable n’a démontré une origine « surnaturelle ». 1) Matière du support et conservation — pourquoi la “longévité inexplicable” n’est pas une preuve suffisante Analyses historiques identifient le support comme une tilmatli / tissu composé (traditionnellement ixtle = fibre d’agave) mais certaines études postérieures ont trouvé des fibres plus stables (lin/coton) ou mélange. Les fibres d’agave « pures » se dégradent normalement en quelques décennies dans le climat de Mexico — l’existence d’un tissu intact depuis ~1531 exige donc une explication (restaurations, protection, remplacements partiels, conditions favorables), pas automatiquement un miracle. Faits documentés qui expliquent partiellement la conservation : image protégée derrière verre blindé, changements d’éclairage et de contrôle climatique au XXᵉ siècle, interventions de restauration historiques (nettoyages, ajout de cadre, etc.). Ces mesures réduisent l’argument « ça n’aurait pas dû survivre ». 2) Preuves de retouches, additions et interventions historiques Documents et enquêtes (rapports de peintres en 1751, note d’un restaurateur en 1946, rapport de José Sol Rosales en 1982) signalent retouches visibles (ajout/suppression de la couronne, placages d’or/argent sur certains éléments, retouches locales). Ces interventions humaines montrent que l’image a subi modifications — ce qui affaiblit l’argument que l’ensemble de l’image est « intacte et miraculeuse ». Incidents historiques (taches d’acide en 1791, explosion d’une bombe en 1921, déplacements/encadrements multiples) sont attestés et documentés ; l’existence de copies et de manipulations rend plausible qu’au fil du temps on ait effectué réparations/restaurations. 3) Analyses pigmentaires et techniques (ce qu’on sait / ce qu’il faudrait) Tests publiés (examens visuels, microscopiques, photos infrarouges) ont montré des zones retouchées et, selon certains experts, des pigments et une préparation compatibles avec des techniques humaines (tempera/tüchlein). L’étude infrarouge de Philip Serna Callahan (1979–1981) n’a pas trouvé d’explication miraculeuse pour la conservation des zones « originales », mais a identifié des retouches visibles et des différences de matière. Méthodes scientifiques rigoureuses à appliquer (ou dont l’absence est critique) : cartographie non destructive (XRF, hyperspectral imaging), micro-spectroscopies (Raman, FTIR), SEM-EDS pour composition élémentaire, analyses de couches (micro-stratigraphie) et datation AMS (radiocarbone) sur fibres non-essentielles. Si ces tests montrent pigments, liants et stratigraphies compatibles avec peinture humaine du XVIᵉ siècle et/ou matériaux introduits plus tard, cela supporte fortement l’origine humaine. À ce jour, il n’existe pas de publication largement acceptée présentant un jeu complet, moderne et indépendant de ces analyses sur l’ensemble de l’objet (ou du moins ces données ne sont pas toutes publiques). 4) Études sur les « reflets » dans les yeux et pareidolie Certaines études ont affirmé trouver des « images » miniatures dans les yeux (figures des témoins). Les critiques scientifiques montrent que ces images sont très faibles, sujettes à pareidolie (reconnaissance d’images dans des taches) et que l’interprétation n’est pas reproductible ni robuste : ce type d’« evidence » n’a pas de valeur probante forte en l’absence d’une méthodologie statistique stricte. 5) Approche historique et iconographique L’enquête historique (relevés, témoignages du XVIᵉ–XVIIIᵉ siècle, débats entre religieux) montre que depuis le début il y a eu des accusations que l’image était peinte par des humains (témoignages citant un peintre « Marcos/Marcial » au XVIᵉ siècle). Les rapports d’experts en peinture (1751) et les analyses iconographiques modernes fournissent des alternatives historiques plausibles à l’explication miraculeuse. Ce qu’il faudrait pour “prouver” de façon scientifique qu’il n’y a pas de miracle (critères de rigueur) : Pour renverser définitivement l’attribution miraculeuse (dans une logique scientifique), il faudrait un jeu complet et public d’analyses reproductibles, indépendantes et multi-modalités : Datation directe (AMS radiocarbone) d’un fragment de la fibre (ou d’un fil marginal non essentiel) — établir l’âge du support. Cartographie chimique non destructive (XRF, hyperspectral, FTIR, Raman) couvrant l’ensemble pour lier pigments/éléments à matériaux connus. Analyses micro-stratigraphiques (coupe en section microscopique) montrant couches de préparation, liant, pigments et retouches datables. Contrôle de l’altération (analyses de dégradation) pour comprendre pourquoi certaines zones sont conservées. Publication complète et revue par pairs permettant reproduction et critique. Absence d’un de ces éléments (surtout l’absence d’AMS daté ou d’un jeu public et indépendant d’analyses) signifie que l’argument « inexplicable scientifiquement = miracle » est méthodologiquement faible. Limites et mise en garde méthodologique Accès et échantillonnage : la basilique contrôle très strictement l’accès — procédures invasives (prélèvement pour AMS, micro-coupe) sont politiquement et religieusement sensibles; l’absence de tels prélèvements limite les conclusions définitives. Preuves négatives : montrer que l’on ne voit pas d’explication naturelle complète n’est pas la même chose que prouver un miracle. La charge de la preuve scientifique pèse sur celui qui affirme l’exceptionnel. Interprétations contradictoires : plusieurs études (et auteurs) arrivent à conclusions différentes selon méthodes, expertise et déclarations. Il faut privilégier analyses reproductibles et données ouvertes. Conclusion synthétique (ce que la science rigoureuse peut raisonnablement soutenir aujourd’hui) Il existe des preuves historiques et techniques d’interventions humaines (retouches, ajouts, nettoyage, modifications documentées). Des études techniques (photos IR, examens microscopiques, analyses conservatoires) ont identifié des pigments et des signes compatibles avec un travail humain sur au moins une partie de l’image. L’argument « la tilma aurait dû se décomposer » perd de sa force quand on tient compte des matériaux identifiés, des interventions historiques et des mesures de conservation. Il n’y a pas (à ma connaissance, dans la littérature publique et peer-critique) de série complète et indépendante d’analyses modernes et invasives qui établissent irrécusablement une origine miraculeuse ; inversement, il existe des analyses et arguments plausibles en faveur d’une fabrication ou de retouches humaines. »   Lequel ? La Bulgarie ? 
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