Aller au contenu
Pas de pub non magique pour les membres du Cercle VM. Clique ici pour en savoir plus !

Recommended Posts

Publié le

Pour moi c'est pareil : sans réfléchir au sens exact, "entre 1 et 10" suppose que je peux dire et 1 et 10.

Ceci dit, ce sont là des petits détails. Si qqun choisi 52 on peut lui en demander "un moins evident".... demander un autre nombre à un autre spectateur pour faire une soustraction.......

Melvin

Pas de pub non magique pour les membres du Cercle VM. Clique ici pour en savoir plus !
Publié le

mais ils ne disent pas clairement si pour 25€ c'est 108 cartes en tout, ou 2 fois 108 cartes.

Pour 25 €, tu as un Double Decker dont tu choisis la composition. Exemple : deux jeux normaux, un jeu normal + un jeu à f****r, etc. Tu as donc toujours 108 cartes fournies. Après, si tu as le matériel nécessaire, tu peux effectivement te faire un jeu Photographic memory pour 25 € + le coût du matériel supplémentaire. Je suppose que certains magiciens préfèrent acquérir le jeu tout fait à 45 € plutôt que de s'embêter à faire le petit traitement spécial.

Publié le

Merci Francis.

Et un double decker permet aussi de se faire Trilogy.

Mais c'est vrai que je trouve ca très cher pour ce que c'est.

25 € pour 108 cartes, pas plus de carton qu'un paquet de bicycles à moins de 3 €. Soit 9 fois plus cher au kilo. Ou 4.5 fois plus cher par carte, simplement parce qu'elles sont plus fines, et de pas très bonne qualité. Je suppose qu'ils en profitent tant qu'ils ont le monopole des cartes aussi fines, mais si un autre fabricant se met à faire les mêmes, il pourrait sûrement casser les prix. Pour ma part, je m'en passerai pour l'instant.

Publié le

Oui, ce qui justifie la différence de prix entre le DD à 25€ et le Photographic Memory à 45€.

Mais le prix du DD tout seul n'est pas justifié par un secret (d'ailleurs il y a un bon nombre de routines gratuites, téléchargeables librement en pdf sur le site de card shark), c'est un jeu normal, juste plus fin, donc pas de raison d'être tellement plus cher qu'un jeu standard. Ce qui peut justifier un prix élevé, c'est le faible volume de fabrication, mais de là à être 5 fois plus cher...

Publié le

En attendant mon CR sur le livre de Woody Aragon, je vous livre dans un premier temps les conditions de son ACAAN à lui "Never tell them what's going to happen" :

1 - Jeu présent sur la table avant l'exécution de la routine

2 - Carte nommée librement : oui, mais on impose au départ le choix d'une couleur (pique, coeur, trèfle ou carreau), puis on demande un nombre (ou plusieurs), puis on demande une carte. Sachant que dans aucun cas il n'y a forçage. Les choix sont libres.

3 - Nombres nommés librement sur une plage restreinte de 1 à 13, mais non forcés.

4 - Jeu normal préparé

5 - Pas de calcul mental effectué par le magicien, mais il y a des additions totalement explicites faites par le magicien et le spectateur des nombres nommés librement par le spectateur

6 - Manipulation éventuelle du jeu (une coupe, voire 2) par le magicien après les 2 nominations, mais pas forcément ;

7 - Jeu non mélangé par le spectateur avant la distribution ;

8 - Le spectateur distribue les cartes jusqu'au nombre choisi

9 - Distribution des cartes sans rupture entre la 1° et la dernière carte comptée (face en bas la distribution !)

10 - La carte est à la position du nombre choisi

11 - Le spectateur retourne la carte au nombre immédiatement après l'avoir distribuée

12 - Autres conditions d'exécution :

Tour non impromptu

Tour de close-up / salon / scène

Accessoires nécessaires : Jeu seul

Pas de compère

Stylo et papier

Forces : c'est simple et explicite / pas de manips, ni de calculs barbares

Faiblesses : jeu non examinable (quoique... je me demande si en le voyant, ça ne serait pas encore plus perturbant pour le spectateur !) / ce n'est pas l'ACAAN de l'année / il n'est pas impromptu (est-ce vraiment une faiblesse ?)

Je suis pressé de le tester !

Jeannot57

Publié le

A mon avis, c'est très mauvais de faire choisir un nombre entre 1 et 13 par autant de spectateurs qu'il faut pour se rapprocher le plus possible de la position de la carte nommée dans son jeu !!!

Je pense que, pour un bon ACAAN, il faut IMPERATIVEMENT que le choix du nombre soit libre et unique !

Soit tu fais couper le jeu par le spectateur (il n'a aucune restriction dans son esprit, il coupe où il veut)

Soit il nomme un nombre sans aucune restriction (le top quoi !!!)

Dieu est une invention de l'homme pour donner un sens à ce qu'il ne comprend pas.

Publié le

Non non, c'est au contraire une excellente idée, car ce n'est pas le total de ces nombres choisis qui donnera la position de la carte. L'un d'entre eux est choisit par les spectateurs après que le magicien ait fini -le cas échéant- de toucher au jeu, et la somme des autres donnera la position de la carte !

Donc non seulement on fait intervenir plusieurs spectateurs qui choisissent un nombre de 1 à 13 chacun, mais ensuite, le jeu hors des mains du magicien, ce sont eux qui déterminent la valeur de la carte, et donc la somme du reste sa position.

Pour les spectateurs la sensation de liberté est énorme. De plus, si on utilise une méthode pour déterminer la famille choisie par un autre spectateur dès le début, on peut faire la coupe discrètement au sortir du jeu de l'étui, et révéler la famille seulement tout à la fin avant le décompte.

Personnellement c'est actuellement ma version préférée, peut-être par pour les magiciens mais à présenter pour un groupe.

Rejoins la conversation !

Tu peux publier maintenant et t'enregistrer plus tard. Si tu as un compte, connecte-toi maintenant pour publier avec ton identité.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Vous avez collé du contenu avec mise en forme.   Restaurer la mise en forme

  Only 75 emoji are allowed.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédemment saisis, a été restauré..   Effacer le contenu

×   You cannot paste images directly. Upload or insert images from URL.



  • Pas de pub non magique pour les membres du Cercle VM. Clique ici pour en savoir plus !
  • Messages

    • Bonjour, Plus frappant peut-être était surtout l'hommage final à René LAVAND, et ses trois boulettes de mie de pain dans la tasse, exécuté ici à quatre mains...ou plutôt à deux mains sur quatre - Rubi FEREZ étant la main droite et Fernando NADAL la gauche ; et sans récitation de poème non plus mais en musique. Le duo FEREZ-NADAL fonctionne ceci dit à l'opposé de celui de Pepe CARROLL et Juan TAMARIZ - si je m'en réfère à leurs apparitions dans la série Magia Potagia. *** Pour Pepe CARROLL et Juan TAMARIZ la dramaturgie du numéro se nouait généralement sur une mise en compétition entre eux, se lançant des défis mutuellement, essayant de surpasser l'autre ; ou, parfois, le fantasque et farceur Juan TAMARIZ tendant un "piège" dans le dos de l'élégant et suave  Pepe CARROLL -modifiant par exemple avec un clin d’œil au public l'ordre de certaines cartes, ou mélangeant carrément le paquet à son insu. Mais immanquablement Pepe CARROL retombait sur ses pieds, comme si de rien n'était, l'embuche tendue par J.TAMARIZ effacée par magie... Dans ce dispositif-ci,  l'intérêt est que ce conflit narratif "extérieur" entre les deux magiciens agit à la manière d'une couverture pour leur collusion secrète bien réelle : le mélange de l'un destiné à compliquer la tâche de l'autre - récit apparent- a en réalité bien l'objectif par exemple d’amener secrètement l'arrangement voulu sur le dessus du paquet, arrangement qui permettra justement au second magicien de "briller" en dépit de l’apparente traitrise du mélange du paquet par le premier ( voir l'introduction du classique  "Magic and Showmanship" de H.NELMS pour un autre exemple de  conflit narratif apparent  comme couverture du modus operandi réel de l'effet, par complicité secrète entre les deux adversaires déclarés du récit). *** Le duo FEREZ-NADAL, lui, est soudé pour produire l'effet magique, soudé littéralement bien souvent, épaule contre épaule. La séquence intermédiaire du numéro à une main chacun sur la guitare, et à une main chacun sur la table pour y produire l'effet magique, illustre cette complète coopération. S'il y a bien une dynamique de (léger) conflit entre les deux personnages elle n'est pas sur la table mais sur leurs visages avec deux leitmotiv : les lunettes de Fernando ne cesse de lui glisser sur le bout du nez et c'est Rubi qui les lui remonte en place. Ce simple geste pose les deux personnages : Fernando est le "sérieux" du duo, soucieux des apparences, et Rubi est l’affectueux, le bienveillant. Fernando, par souci des convenances, ne cesse d'arracher un cure-dent d’entre les dents de Rubi, et le cure-dent malicieusement fait perpétuellement sa réapparition dans la bouche de Rubi. Mais aucune provocation de l'un par rapport à l'autre ici, non, c’est juste que Rubi est l'enfantin des deux -et son cure-dent, et bien, il ne peut juste pas s'en empêcher c'est tout. Avec son visage ovale illuminé de son franc sourire, ou même lorsqu'il fait fait son mystérieux - tel un petit enfant qui aurait caché un objet dans sa main et nous lancerait "Devine !"-, Rubi FEREZ a un charisme tel qu'il désamorce instantanément tout bras de fer magicien-public quant au secret : la magie advient, tout simplement. *** À noter qu'il y avait un autre duo en compétition de micro-magie, les suisses Omini et Nico qui ont vendredi matin fait l'ouverture de la 3e et dernière session de la compétition close-up/magie de salon, avec un numéro extrêmement soigné, bien construit, où des balles éponges vertes sont des virus qui se multiplient et infectent un des magiciens : bâtonnets de test dans la narine, thermomètre, masque sanitaire, tous les accessoires employés sont parfaitement justifiés, la progression dramatique comme la maladie passe de l'un à l'autre très claire. Le thème choisi qui ne rappelle  guère de bons souvenirs à quiconque les a-t-il desservi ? Sans doute, mais plus globalement il parait assez net que ce jury était sur une ligne "la magie avant tout", et s'est montré globalement très peu sensible à toute mise en contexte narrative de la magie* du moins c'est comme cela que je le perçois (seul au palmarès Starman et son numéro de dépressif après une rupture amoureuse peut être vu comme une légère exception)  (je m'en vais relire à ce sujet la section de L'Arc en Ciel Magique où J.TAMARIZ analyse longuement le mélange magie et narration). *C'est cette même ligne très arrêtée du jury qui a sans doute, comme pour Omini et Nico, compliqué la tâche aux numéros de Air One, Bertrand MORA et Robin DEVILLE puisque chacun à leur manière assumait des partis pris narratifs justement très marqués, assortis d'un travail sur les personnages et sur le conflit dramatique qui en découle. Je repense à l'excellent "Conspirations" spectacle de mentalisme donné la saison dernière au LUCERNAIRE et qui proposait par sa mise en scène astucieuse, levant et rabaissant virtuellement l'invisible 4e mur au gré des effets, comment une magie fortement théâtralisée est possible. Chauvinisme en passant : au contraire des délégations italienne, allemande, bulgare ou autrichienne (olalala l'Autriche pitié) qui nous ont toutes infligés au moins un numéro irregardable, tous les candidats français en magie de salon et close-up qu'on en ait apprécié ou pas le  résultat final, leur parti-pris artistique, leurs effets magiques, témoignaient d'un travail de mise en scène, sans doute perfectible, mais avec au moins à chaque fois une recherche de quelque chose. On ne pouvait vraiment pas en dire autant donc de bien d'autres pays. *** Ces six jours furent intenses, passionants, et totalement épuisants : épuisants par ces montagnes russes émotionnelles quand on passe d'un numéro où du fond de son siège on se sent en total empathie avec l'artiste, on croiserait presque les doigts pour que le numéro tienne jusqu'au bout, on vibre et on craint, puis l'instant d’après on aimerait se terrer sous son siège tant le numéro proposé tourne à la débandade complète, le numéro s'étire, la confusion embrume les esprits, les applaudissements s'étiolent, la gêne s'installe. Épuisants aussi car intellectuellement c'est une sollicitation constante, chaque choix thématique, choix de mise en scène, de musique, d’accessoires, de chorégraphie, de texte suscitent une foule d'interrogation, d'idées, on imagine des alternatives, on reconnait un principe plus ou moins bien employé, on s'interroge sur un texte,  peu importe qu'on adhère ou pas, c'est un bouillonnement de créativité qui vous lessive, qui parfois frise l’excellence, parfois sombre dans des approximations difficilement recevable côté public, mais qui toujours exige une concentration soutenue s'il on veut analyser à fond chaque numéro- et par analyser j'entends aller au-delà du "oulalala il a flashé" ou des conjectures quant à la méthode employée (après, le 3e jour des session de close-up et magie de scène, vendredi donc 5e jour de la FISM, on ne cachera pas que c'était visiblement et surtout bruyamment 😉 difficile pour beaucoup de suivre encore la compétition tant la fatigue était grande) . Admiration aussi pour ceux, tous ceux, qui s'y collent :  que de mains qui tremblent, que de voix qui déraillent sous le coup de l'émotion, que de gestes techniques qui dérapent sous la pression, mais ils y sont allés quand même, dans l'espoir de créer un moment magique.  Chapeau. L'aspect compétition, délégation des pays, avait été ici même discuté avant la FISM : très franchement ces questions une fois qu'on est dedans s’envolent instantanément, l'ambiance fabuleuse qui se crée autour de la compétition, le plaisir de voir les équipes soutenir avec un chauvinisme bon enfant leurs différents candidats vous emporte-on a souvent la standing ovation facile, mais qu'importe c'est le jeu. Au contraire même l'idée d'avoir des équipes qui soutiennent les artistes dans tous les domaines, créatifs, techniques, et pourquoi pas psychologique - la pression est telle- paraît assez évidemment la voie à poursuivre et amplifier. *** Et zut ... ce matin -après un retour dans la nuit homérique de quelque sept heures depuis TURIN pour PARIS- je me suis surpris à fredonner "Abracadabra"... arghhhhhh Lady GAGA sort de ce corps...  
    • Merci pour cette précision. Je pensais que Dani concourrait uniquement en invention. Il reste dommage que dans la catégorie GI, on exige deux illusions différentes. Pas certain que des effets additionnels de magie générale suffisent avec une seule grande illusion. C’est du moins ce que l’on m’a expliqué à plusieurs reprises, mais peut-être les choses ont-elles changé ( ou mériteraient d’évoluer dans le cas contraire). 
    • Entre temps, j'ai eu un retour de @Pathy BADD qui a demandé à Peter DIN le vice président de la FISM et en charge des notations.  Sa réponse  Cela répond donc à ta question sur les 120 points 😜
  • Statistiques des membres

    • Total des membres
      8217
    • Maximum en ligne
      4524

    Membre le plus récent
    Hippolyte ADENOT
    Inscription
  • Statistiques des forums

    • Total des sujets
      83.9k
    • Total des messages
      678.8k

×
×
  • Créer...