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Bonjour,

Je n’alimenterais pas le débat mais je tiens juste à vous faire partager mon impression à la découverte de cette mallette,

Tout d’abord, la mallette de Sylvain est intelligemment conçu et fait preuve d’un très grand professionnalisme.

Je l’ai offerte au fils d’une amie, mais avant de l’offrir je me suis autorisé à y jeter plus qu’un coup d’oeil et ce que je peux vous dire c’est que j’ai été merveilleusement et agréablement surpris et l’on se dit que si certains objets n’étaient pas en simple PVC (coûts de fabrication oblige) ils pourraient sans aucun complexe être présentés lors de prestation professionnelles et de toutes façon peuvent l'être quand même.

Bien entendu, ces propos n’engagent que moi et d’ailleurs je les partages et suis entièrement d’accord avec.

Bref, je vais aussi m’offrir aussi cette mallette !

PS : Aller, ni tenant plus, j’alimente quand même le débat.

Je me demande, si quelques uns des détracteurs de cette boite ne seraient pas des magiciens un peu faiblard qui verraient leur domaine de compétences menacé par de jeunes magiciens en herbe ?

Plouf fait le pavé dans la marre !!

J'ajouterais que ces mêmes détracteurs doivent avoir la mémoire courte et ont oublié comment ils sont venus à la magie.

Bonne magie à toutes et à tous aux petits comme aux grands.

Frédéric FERRER

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Publié le

Sapristi, je m’absente une semaine et c’est à nouveau le bazar.

Toujours le même belge qui persiste à écrire pour ne rien dire. Je sens que je vais annuler ma venue aux 52 de Liège si ça continu mdr Je vais donc répondre, ne serait-ce que par respect et remerciement pour ceux qui sont intervenus sur ce post mais surtout dans un but didactique.

« Le business avant l’artistique… Dommage » dites vous. Comment peut on dire autant de bêtises en aussi peu de mots.

Faire l’artiste, c’est un business lorsque l’on est pro. On appelle cela le show business et les deux ne sont pas incompatibles. C’est parce que je fais l’artiste que je peux en faire un business et non l’inverse. Mais c’est parce que je fais aussi du business avec respect que je peux m’offrir le luxe de choisir.

Choisir d’aller faire des conférences et des galas de magiciens pour des cachets au rabais, préserver mon plaisir de venir vous voir et d’avoir un sourire Franc là où d’autres conférenciers ont parfois un sourire en Euros. Cela me donne du temps pour chercher de nouveaux effets, présenter des galas pour des associations d’enfants malades, cela me permet de nourrir ma famille, et ils bouffent les cochons ! Cela permet d’éduquer le public. Cela permet enfin à des parents de dirent : » j’ai acheté une boîte de magie qui a du contenu » contrairement à certaines daubes qui polluent le marché. Mais ce dont je suis le plus fier, c’est de savoir qu’un jour, un magicien portera les couleurs de la magie après avoir peut-être eut, gamin, ma boîte de jouet. Je dis ma boîte à tort car dès lors qu’elle est en sa possession, elle ne m’appartient plus.

Je suis le premier critique de mon travail. Cette boîte n’échappe pas à la règle et comme toute chose, elle est critiquable. Comme aurait dit un de mes maîtres, OPTA ( On Peut Toujours Améliorer). C’est d’ailleurs l’éternel problème entre l’artistique et le financier. Il faut apprendre à faire des concessions pour trouver un équilibre acceptable. J ‘en profite pour remercier Magic Mick pour sa judicieuse remarque que je vais m’empresser de transmettre à l’éditeur.

Comme votre première réflexion n’a pas trouvée d’écho Monsieur Valentin, vous changez votre fusil d’épaule pour à présent taper sur Romano entre autre qui augmenterait le nombre de produits grand public. Alors là plus de doute. Ce que je prenais pour de la maladresse ou de la critique partisane stérile devient une réflexion profonde dans le sens du creux. Comment est-il encore possible à ce point de n’avoir rien compris au système.

Alors à quoi cela sert-il de faire des produits commerciaux ? Et bien cela permet de générer une économie de marché. En faisant cela, cela provoque une considération de l’activité. Une considération de la part du public en général et des « décideurs » en particulier. Si la magie a connu une telle croissance aux états unis, c’est justement parce qu’ils ont compris que sans économie de marché, une activité est vouée à disparaître. C’est cette même économie de marché qui accroit le public de vos spectacles mon cher Karl. Celle là même qui accroit la fréquentation des clubs et des magasins spécialisés. Celle là même qui incite un employeur à se dire : » Et si j’engageais le grand Karl Valentin et son splendide spectacle ».

Alors oui mon image fait vendre et tout le monde en profite. Et pardon pour cette immodestie mais à ce jour, c’est encore celle qui a fait vendre le plus de tous les magiciens français médiatisés. Je n’ai donc qu’une seule question à soumettre à votre sagacité : Pourquoi ?

Je vais vous simplifier la tache. C’est parce que j’ai fait aimer la magie à des personnes qui y étaient réfractaires. Je l’ai fait en faisant l’artiste malgré mon jeune âge, ma naïveté et mon inexpérience. J’ai rendu la magie sympathique là où d’autres en avait fait un puzzle ou bien encore l’expression de leur vanité. En vingt ans de métier, c’est mon seul mérite. Je vous souhaite de pouvoir en faire autant malgré le niveau de vos analyses.

Enfin, je sais à quel point la réussite et l’exposition médiatique génèrent des jalousies malsaines, des attitudes médiocres et des ragots de village. L’interprétation est le sport national dans notre milieu, particulièrement chez ceux qui raisonnent avec leur cœur plutôt qu’avec leur tête. Je n’ai pas le temps d’être l’ami de tout le monde Monsieur Valentin. D’ailleurs ne vous y trompez pas, un tel individu ne serait en réalité l’ami de personne. Mais je fuis comme la peste les manipulateurs pervers, les gens malhonnêtes, les borgnes qui se font passer pour des rois et les malheureux qui structurent leur pensée sur des impressions plutôt que sur des faits. Cela vous aidera peut être à comprendre mon positionnement à l’égard de certains de vos « amis ».

Je n’ai rien contre vous mon cher Karl mais de grâce lorsque vous critiquez, essayez d’argumenter avec bonne foi à défaut d’intelligence.

Publié le (modifié)

« Le business avant l’artistique… Dommage » dites vous. Comment peut on dire autant de bêtises en aussi peu de mots.

"Eve Angeli"....? mdr

Plus sérieusement, je fais partie des personnes qui attendaient les passages télévisés de Sylvain Mirouf chaque soir, qui a grandi "magiquement" avec eux. C'était très divertissant et ludique et je le voyais avec l'oeil du spectateur mais aussi du magicos... Je prenais mon pied et j'apprenais.

C'était à l'époque déjà une forme de "boite de magie" pour le grand nenfant que j'étais qui m'a appris énormément. Je tenais à le dire, sans flagornerie aucune, puisque Msieur Mirouf en parle ci-dessus.

Encore Merci, sincèrement...

De plus, je ne vois pas en quoi cette boite peut desservir notre passion...la plupart d'entre nous ont en madeleine de Proust notre première boite de magie...

Pour terminer, si vous me le permettez, quelques mots prononcés en présence de Mc Solar si je ne me trompe, lors d'une carte à la corde:

"Si un jour comme ici vous perdiez votre coeur,

Laissez le pic à Caro à toute heure,

Pensez très fort à l'objet de votre passion

et si cet objet est digne en toute saison

Alors vous aimerez sans vous en apercevoir,

car seul le coeur perçoit ce que l'oeil ne peut voir"

Modifié par Monsieur M
Publié le

Boaaahh... Il est sympa comme tout Carl. Ceci n'empêche pas qu'il peut avoir tort certes mais de là à être aussi dur avec lui, quand même... Non, il n'y pas à tortiller, je pense que l'on ne peut pas être d'accord avec quelqu'un sans pour autant remettre en cause sa "sagacité", son parcours ou son intelligence. Cela étant dit je suis certain que lorsque vous vous rencontrerez aux 52 de Lièges, Sylvain et Carl, vous deviendrez les meilleurs amis du monde ;) .

Amicalement

:cool:

Woody

Publié le (modifié)
Boaaahh...Cela étant dit je suis certain que lorsque vous vous rencontrerez aux 52 de Lièges, Sylvain et Carl, vous deviendrez les meilleurs amis du monde ;) .

Amicalement

:cool:

Woody

Bonjour !

26673138.jpg

Petitbonhomme qui remarque le professionnalisme

de l'homme de télévision qui sait d'instinct

se tourner vers la bonne caméra !

PS : Sylvain Mirouf (le vrai, pas le faux Majax),

si tu me lis, c'est une blagounette !

Modifié par petitbonhomme

Jean-Yves Loes (Petitbonhomme)

http://www.lamagiedupetitzebulon.com/

Publié le

La verve de Sylvain n'a d'égal que sa reflexion personnelle.

Aussi les avis peuvent diverger, le tout étant de les argumenter.

Sylvain, j'ai eu le produit entre les mains et c'est effectivement du matériel de qualité. Je te félicite de t'être investi dans ce projet plutôt que vendre ton image sur un produit sans regarder ce qu'il valait.

Bref ils sont taquins mais on est fier de toi, ça c'est sur !

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    • Pourquoi prendre le risque de concourir en ne respectant pas les règles ? 🤔
    • C'est du ChaKPT, non ? (La neutralité du ton y ressemble et il y a des infos qui m'interpellent - il a vraiment été ovationné des son ENTRÉE sur scène ?)
    • Article prévu pour la Presse Française :  Double champion du monde ? Pourquoi Dani Lary a été privé d’une reconnaissance historique à la FISM    Chapeau : Ovationné pendant plus de deux minutes par 2 000 spectateurs à Turin, Dani Lary a livré un numéro d’une pureté rare lors du Championnat du monde de magie 2025. Pourtant, l’illusionniste français n’a pas été primé : la rigidité du règlement et des contraintes administratives l’ont privé d’une reconnaissance officielle, posant la question du rôle de la FISM et de son équilibre entre exigence et souplesse.   1. La FISM, vitrine mondiale de la magie La Fédération Internationale des Sociétés Magiques (FISM) est depuis plus de soixante-dix ans le rendez-vous incontournable des magiciens du monde entier. Véritables "Jeux Olympiques de la magie", ses championnats visent à célébrer l’excellence et la diversité artistique dans toutes les disciplines : close-up, manipulation, grandes illusions… L’édition 2025, organisée à Turin, a une fois de plus rassemblé des centaines d’artistes venus des quatre coins du monde, confirmant le prestige de l’événement.   2. L’exemple Dani Lary : quand la règle prime sur l’art Cette édition restera toutefois marquée par la controverse autour de la participation de Dani Lary, figure emblématique de la magie française. Dès son arrivée sur scène, l’artiste a déclenché une vague d’applaudissements et d’engouement de la part des 2 000 spectateurs présents dans la salle. Son numéro, Gloop, centré autour d’un aquarium, a été couronné d’une standing ovation de plus de deux minutes, au point que l’animateur a dû réclamer le silence avec difficulté pour introduire le passage suivant. La volonté de Dani Lary était de rester dans la pureté du numéro, débarrassé de tout artifice superflu, en assumant un minimalisme rare dans les grandes illusions. Ce choix, salué par le public, a pourtant été pénalisé par le règlement, qui considère qu’un seul "effet" ne suffit pas à concourir. « Ce numéro d’escapologie que j’ai présenté en hommage au célèbre magicien Harry Houdini, le Gloop, est à ce jour toujours incompris de tous les magiciens. C’est unique au monde. Jamais personne ne l’avait fait : c’est du 100 % invention, du 100 % créatif et novateur. Rien que pour ça, ils auraient dû se dire : “ce numéro fait avancer la magie à un haut niveau” », confie Dani Lary. Malgré l’innovation reconnue de son numéro, le règlement a prévalu : Dani Lary a été considéré comme n’ayant présenté qu’un seul effet et a perdu de précieux points.   3. Une rigidité qui interroge La FISM doit-elle rester intransigeante pour préserver l’équité ? Si la rigueur administrative garantit des conditions standardisées, elle peut aussi étouffer la créativité. Le cas Dani Lary illustre un déséquilibre potentiel entre prestige institutionnel et ouverture artistique. Gloop n’a jamais été expliqué ni reproduit ; il reposait sur un procédé totalement inédit. « J’ai gardé ce numéro pour le jour d’un congrès mondial parce que je savais que c’était une pépite », explique l’artiste, qui refuse encore de le vendre à d’autres magiciens tant il le juge unique. Dani Lary estime que ces inventions véritablement nouvelles devraient être davantage valorisées. « Ce sont ces numéros-là qui font avancer la magie », insiste-t-il.   📣 Encadré : “Un moment suspendu dans la salle” « Dès qu’il est apparu, on a senti une énergie incroyable. Les spectateurs se sont levés presque instinctivement et ont applaudi sans discontinuer pendant plus de deux minutes. L’animateur a eu toutes les peines du monde à calmer la salle pour enchaîner », raconte un membre de la communauté magique sur le forum Virtualmagie. Ce témoignage reflète l’intensité de l’émotion vécue dans la salle : un numéro salué par un public conquis.   4. Peu de précédents documentés À ce jour, aucun autre cas comparable — où un artiste majeur aurait été pénalisé pour quelques heures de retard ou pour un numéro jugé "trop minimaliste" — n’a été largement documenté. Ce cas reste donc isolé, mais soulève une question essentielle : certaines règles ne limitent-elles pas inutilement l’innovation et l’émotion scénique ?   5. Vers un équilibre à trouver Pour rester fidèle à sa mission, la FISM gagnerait à : Introduire une marge de tolérance sur les délais administratifs ; Valoriser la diversité expressive, y compris les styles minimalistes et novateurs ; Renforcer le soutien logistique auprès des artistes, quelle que soit leur renommée.   6. Conclusion Le prestige de la FISM repose sur un juste équilibre entre excellence artistique et rigueur organisationnelle. L’affaire Dani Lary rappelle que la magie est d’abord un art de l’émotion et de l’innovation. Le Gloop, salué par 2 000 spectateurs debout à Turin, a démontré qu’un seul numéro peut marquer durablement les esprits. Pour préserver sa crédibilité, la FISM doit évoluer vers davantage de tolérance et accompagner pleinement les artistes, au lieu de les freiner.
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