Attention Teddy, tu ne souhaites pas que l'on généralise sur les IS, fais gaffe à ne pas généraliser sur les chomeurs, il n'y a pas que des fainéants non plus...
De plus, il y a certes des contraintes, certes des engagements personnels forts, mais tu ne le "subis" pas, tu as "choisis" en connaissance de cause, tu as pesé le pour et le contre entre ton taff posé, et celui-ci...
C'est donc que les avantages (car il y en a) et et ta passion l'ont emporté. Tu es venu dans uns système existant.
Si ensuite ton listing fait penser que c'est plus des s que des avantages, "on" (on est un con, je sais) aura tendance à penser "Ben si c'est si pénible, arrête, et reviens à autre chose".
Je n'ai rien ni pour ni contre les IS, j'en connais qques uns qui sont soit des génies talentueux, soit des flemmards qui font les contrats minimums, soit entre les deux. Des gens normaux quoi.
Je ne prends pas partie, je suis bienveillant envers l'avis que tu exposes et je souhaite que tu réussisses dans une carrière épanouie.
En revanche, d'un point de vue macro économique, quand quelque chose ne fonctionne pas, il faut le changer.
Le statut d'IS me semble particulier, non pas à cause de l'état, mais des privés qui s'appuient sur ce système depuis le départ.
L'exception culturelle française a fait qu'on montre du doigt l'Etat, alors que ce sont les privés qui devraient être hués de payer si peu cher et de tout reporter ainsi sur nos impôts.
De beaux métiers devraient être payés plus chers en temps de travail (car uniques), mais moins indemnisés par les caisses déjà déficitaires.
Bon combat, mais surtout "have fun"