Effectivement, je trouve très intéressant (de ma petite fenêtre) de demander au spectateur de dessiner quelque chose.
Un, on peut vite détendre l'atmosphère, et de deux, tout reste implicite.
En prenant comme levier le dessin (ou le mot dans l'exemple du dessus) pour "improviser" une histoire en rapport avec le tour, il n'est plus utile d'insister sur le fait qu'il n'y a qu'une seule carte, mais le spectateur ne pourra que le constater.
Après, c'est sûr que tout le monde a tellement l'habitude de voir une carte signée durant les tours, que c'est plus devenu un critère de professionnalisme dans la culture magique du spectateur, qu'une réelle interrogation sur la possibilité qu'il existe un doublon ou pas.
Mais ce plus singulier me plait bien.
Bravo pour tous ces messages qui éclairent un peu plus mon entendement...