Passer par la philosophie et les penseurs est une chose forcement louable pour traiter ce genre de sujet quand elle ne sarrete pas a une 4eme de couv.
Il a ete dit des choses qui meritent bien des lectures, et je ne voudrais ni gacher votre plaisir des lire, ni les schematiser malement, je vous propose de regarder ce aue dit Hegel sur l'art comme imitation de la nature.
Je vous donne un extrait de texte concernant les inventions scientifiques, qui resume assez bien la pensee de rodolphe et en meme temps demontre comment elle se detruit elle meme:
Lorsque Newton « découvre » la loi de la chute des corps, il peut avoir l'impression d'effectuer une découverte véritable, c'est-à-dire de révéler l'existence d'une réalité (la loi organisant un aspect du monde physique)jusqu'alors méconnue. Mais lorsque l'histoire de la physique évolue, ainsi que le montre Bachelard dans sa Philosophie du non, et passe de la mécanique « classique » à la mécanique relativiste, on s'aperçoit rétrospectivement que la loi de Newton, loin d'accéder à une vérité « absolue » ou totale, était relative à un certain état historique de l'observation possible des phénomènes et des élaborations conceptuelles de la science.En établissant l'existence d'une relation constante entre des phénomènes, aucune loi scientifique ne peut aller au-delà de la définition qui lui est contemporaine des phénomènes eux-mêmes : elle est liée à un contexte technique, au développement des instruments de mesure, et à l'état global du savoir de son époque. De ce point de vue, elle est en elle-même à interpréter davantage comme une invention que comme une découverte.
(Bachelard cest pas pour les "debutants")
Il y a tellement d auteurs et je suis tellement loin de ma bibliotheque que je suis maigre en sources.
La philosophie ce sont des theses et des antitheses, c est un peu comme enm politique on choisi son camp quand on a bien etudier la question, et que l on a ces propres convictions.
Aristote:
» Imiter est naturel aux hommes et se manifeste dès leur enfance (l’homme diffère des autres animaux en ce qu’il est très apte à l’imitation et c’est au moyen de celle-ci qu’il acquiert ses premières connaissances) et, en second lieu, tous les hommes prennent plaisir aux imitations. Un indice est ce qui se passe dans la réalité : des êtres dont l’original fait peine à la vue, nous aimons à en contempler l’image exécutée avec la plus grande exactitude ; par exemple, les formes des animaux les plus vils et des cadavres. Une raison en est encore qu’apprendre est très agréable non seulement aux philosophes, mais pareillement aussi aux autres hommes ; seulement ceux-ci n’y ont qu’une faible part. On se plaît à la vue des images parce qu’on apprend en les regardant, et on déduit ce que représente chaque chose, par exemple que cette figure c’est un tel. Si on n’a pas vu auparavant l’objet représenté, ce n’est plus comme imitation que l’oeuvre pourra plaire, mais à raison de l’exécution, de la couleur ou d’une autre cause de ce genre. «
Aristote, Poétique, 1448 b 6-19.