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Christian GIRARD

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Tout ce qui a été publié par Christian GIRARD

  1. On attend la paramécie de DUB avec la même impatience non feinte que celle du mois dernier. Si c’est trop difficile, on se contentera d’une cellule procaryote, c’est toi qui vois, mais il ne te reste que trois semaines pour nous peaufiner la bête, ça ira ?
  2. À qui fut adressée cette invective : « Oh, cessez de brandir votre baguette de sorcier dérisoire ! ».
  3. "Une toile vidée de son manque"... Joli, Benoît ! (comme d'ailleurs le reste de ton intervention !)
  4. Et tu te renseignes pour savoir s’il y a déjà eu des procès intentés contre ces boutiques ou leurs dirigeants notamment sur des questions relatives à l’abus de confiance, la dissimulation d’activité, la dissimulation d’emploi salarié, etc. Pour reprendre les termes de Frantz, « je crois que je connais déjà la réponse ».
  5. D'ailleurs, de nos jours, la poule aux œufs d'or s'est reconvertie dans l'albuminium.
  6. Restons dans la référence culinaire : tu t'es bien poêlée !
  7. Et immaculé, c'est ce qu'il y a de plus propre, c'est ta conception ?
  8. C'est plutôt co-errant, Emma.
  9. Le cardinal de Richelieu (d'où le rouge cardinal...), le roi Soleil, ... Couteau de table : 1610 13 mai Le cardinal de Richelieu, agacé par les gens qui se curent les dents avec la pointe du couteau à table, fait arrondir les lames. Il invente ainsi le couteau de table, car jusque là, on se servait de son poignard pour couper la viande. Au siècle précédent, François Ier a lancé la mode de l'assiette et Henri III celle de la fourchette. Peu à peu apparaît sur les tables raffinées le couvert individuel. Ce n'est qu'au XIXème siècle que sera ajouté le verre. Source : http://www.linternaute.com/histoire/categorie/evenement/103/1/a/51249/richelieu_invente_le_couteau_de_table.shtml Une énigme si lamentable qu’elle en est belle comme un couteau sans lame auquel il manque le manche*. (* Lichtenberg)
  10. Le couteau à bout arrondi. Louis XIII
  11. Bravo Iris ! Du coup, ce que j’ai trouvé est assez étrange puisque ça colle avec l’énigme : Donc on va partir de ce qui suit le mot « soir », c'est-à-dire la seconde ligne de l’énoncé. Alterner, qu’on peut interpréter par « prendre une ligne sur deux », c'est-à-dire (puisqu’on commence par la seconde ligne d’après la déduction précédente) les lignes 2, 4 et 6. Et là, il faut compter les lettres de chacune de ces lignes, miracle ! La ligne 2 : « Alternant les signes d'espoir et désespoir. » 36 lettres ! La ligne 4 : « Quand quarante-quatre ans, pour Jacques*, sont passés. » 43 lettres ! (ce qui est cohérent avec l’énoncé qui dit que 44 « sont passés », ce qui précède 44 est bien 43) La ligne 6 : 37 lettres, d’où ma proposition.
  12. mdr En tout cas, les calculs règnent haut.
  13. « Elle parle d'amour, mais c'est un viol, il faut qu'elle comprenne ce qu'est la propriété intellectuelle d'un artiste, selon le commissaire de l'exposition, Éric Mézil. » (Cf. Wikipédia) Le tableau « blanc immaculé » (Cf. AFP) est, selon le lien donné par petitbonhomme, estimé à deux millions d’euros, somme réclamée par le galeriste Yvon Lambert. Quand on y réfléchit bien, Rindy Sam s’en sort bien avec ces 18 400 euros de frais de restauration de la toile… D'autres infos : http://www.lemonde.fr/cgi-bin/ACHATS/acheter.cgi?offre=ARCHIVES&type_item=ART_ARCH_30J&objet_id=1000105 " Le baiser qui dégrade Article publié le 05 Août 2007 Par Eric Mézil Source : LE MONDE Taille de l'article : 939 mots Extrait : Rindy Sam en déposant une marque de rouge à lèvres sur un tableau de Cy Twombly a commis un acte de vandalisme. En publiant un point de vue intitulé Faut-il condamner un baiser sur une toile ? ( Le Monde du 28 juillet), ce quotidien a provoqué une vive émotion chez les artistes et dans les musées où l'on n'imaginait pas que le geste de Rindy Sam, qui a déposé le 19 juillet une marque de rouge à lèvres sur un tableau de Cy Twombly exposé à la Collection Lambert à Avignon, méritait un débat. Car l'acte de vandalisme est devenu un scoop relayé par la presse internationale, ce qui a de quoi laisser songeur. " http://fr.wikipedia.org/wiki/Cy_Twombly#cite_ref-1 « En 2007, une exposition intitulée Blooming, a scattering of Blossoms and other Things, est consacrée à Cy Twombly à l'hôtel de Caumont qui abrite la Collection Lambert à Avignon. Lors de cette exposition, une artiste cambodgienne, Rindy Sam, a mis une empreinte de ses lèvres enduites de rouge à lèvres sur une toile toute blanche du Triptyque consacré au Phèdre de Platon dégradant fortement cet ensemble estimé à 2 millions d'euros. La jeune personne a comparu le 9 octobre 2007 devant le tribunal d'Avignon. Le jugement sera rendu en novembre. Une amende de 4 500 euros a été requise1,2,3. http://le-beau-vice.blogspot.com/2007/07/rouge-baiser-twombly.html . Jugement le 16 novembre : Rindy Sam a été condamnée à 1 500 € de dommages-intérêts (1 000 € pour Yvon Lambert, propriétaire du triptyque ; 500 € pour la Fondation) et un euro de dommages-intérêts a été attribué à Cy Twombly conformément à ce que l'artiste avait demandé. Une peine de 100 heures de travaux d'intérêt général lui a en outre été infligée. La décision sur les frais entraînés par la restauration de l'œuvre a été renvoyée au 28 février 2008 par le tribunal. Voir : http://www.liberation.fr/actualite/societe/291844.FR.php ou bien : http://www.20minutes.fr/article/194886/France-1-500-euros-pour-un-baiser.php . Le 2 juin 2009, la Cour d'appel de Nîmes l'a condamnée à payer 18.840 euros à la collection Lambert, au titre des frais de restauration de la toile. La décision est conforme à celle prononcée en première instance par le tribunal correctionnel d'Avignon, en août 2008. Elle devra en outre s'acquitter d'une somme de 500 euros en faveur du peintre, mais aussi d'Yvon Lambert, propriétaire de la toile, et de la collection qui l'abritait, au titre des dépenses liées à leur défense. Une œuvre récente de Twombly, (1998-1999) Trois études pour le Téméraire, a été achetée en 2004 par la Art Gallery de Nouvelle Galles du Sud 4,5 millions de dollars australiens. » La valeur d’un Twombly est donc estimable entre 0 (pour ceux qui pensent que ça ne vaut pas même le prix des matériaux) et 4,5 millions de dollars australiens… Il n’est pas seulement question de propriété intellectuelle mais de valeur marchande, tout simplement.
  14. J'ai alterné (hé hé), j'ai compté (hé hé), je tiens compte de ce que "quarante-quatre ans, pour Jacques*, sont passés" (d'où 43), je trouve 37. (Je ne sais pas si c'est la bonne réponse mais normalement mon raisonnement se tient, même si c'est plus tordu qu'Iris elle-même Si c'est bon, j'expliquerai..)
  15. Nicholas souffle... 55 bougies ?
  16. Second indice : Si 44 ans sont passés, il en a 45, or 45 = 1+2+3+4+5+6+7+8+9
  17. Une alternance de + et de - ? (Mince, je dois filer, dommage...)
  18. Nouvel indice : S É G O L È N E , huit lettres 1+2+3+4+5+6+7+8 = 36
  19. Pas si tordue que ça: la dendrochronologie permet de donner l’âge exact de Jacques Dutronc. Emi, Emi, Emi Tout est Emi dans notre vie Emini-moke et Emini-jupe Emini-moche et lilliput Il Emini Docteur Schweitzer Emi mini ça manque d'air Emini-jupe et Emini-moque Eminiature de quoi j'me moque Eministère et terminus Eminimum et Eminibus [...]
  20. Ethan : Monsieur M : Dub : Dub : Indépendamment de ce qu’un seul point d’exclamation aurait été suffisant (mais précédé d’une espace indispensable qui en l’occurrence fait défaut), vous avez oublié une dernière erreur les gars, et une belle ! Il faut écrire : Allez, tous en chœur ! (Par ailleurs et par seul soucis de précision, dans la phrase « Car à part réssuciter Day Vernon nous ne voyons pas ce qu'il pourrat faire » le verbe « réssuciter » est également inexact, on écrit « ressusciter »…) Ethan, il ne s’agit que du vieux gag de l’arroseur arrosé, pas de quoi « se prendre la tête »… "Peace and love" aussi.
  21. La corde à nœud est là pour prouver que le nounours n’est pas passé par le bec verseur ? Je me perds en conjectures…
  22. Merci Emi, 302 clips audio à parcourir! Pour le topinambour de Monsieur M, oui, ça relevait de l’exploit !
  23. Je suis justement en train d’écrire un article sur la thématique du RIEN, y sont traitées en partie certaines questions relatives aux peintures monochromes, je n’en dis pas plus… Je trouve que Francis s’est un peu emporté sur ce coup là… L’absence, le silence, le vide sont des sujets au moins aussi profonds (si ce n’est plus) que ceux que la simple illusion visuelle qui est affaire de perception puis d’interprétation mentale ; par delà les illusions tridimensionnelles, il n’est pas inconcevable qu’un tableau blanc puisse contenir, lui, une dimension plus spirituelle. Je n’ai pas d’affinité particulière avec toutes les œuvres de Twombly mais je dois certains de mes plus grands chocs artistiques à des peintures monochromes comme celles d’Yves Klein par exemple, et il m’est même arrivé de tomber à genoux devant une grande toile de Barnett Newman qui frôle souvent la représentation monochrome. Pour ce qui est du « foutage de gueule » qu’évoque Francis, on peut le trouver tout autant dans le domaine de l’abstraction la plus complète que dans celui de la figuration la plus hyperréaliste. Par ailleurs, je n’aurais pas utilisé l’expression « blanc immaculé » qui me semble une tournure pléonastique, mais c’est un détail. Maintenant, si on raisonne du point de vue du respect de l’artiste, personne ne peut admettre que qui que soit puisse dégrader une œuvre même par un baiser. Si chaque individu se fait juge de ce qu’il a le droit de faire au regard d’une œuvre d’art, on ouvre la porte à toutes les dégradations iconoclastes. S’il advenait qu’un jour un visiteur devant une œuvre de Tabary s’exclame et que ladite personne s’apprête à abîmer de quelque manière que ce soit la sculpture de Tabary, faudra-t-il que je reste sans réagir ? La critique oui, la destruction d’une œuvre, non ! Christian Girard (J’ai beaucoup aimé la réaction de Plick.)
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