Quelques anagrammes d’asile : ailes, salie, laies, ...
AILES : elles évoquent la possibilité de fuir l’enfermement, ou la réalité…
SALIE : notion de souillure, de dégradation, de perte de la pureté…
LAIES : une laie est un « marteau de pierre tendre ». Dans un asile, pas mal de personnes sont marteaux. Trop premier degré. Mais c’est aussi un « chemin de pierre percé dans une forêt », sorte de chemin de traverse (ou au contraire un détour) plus porteur d’histoires et de mystère.
Dernière remarque, la plus intéressante peut-être : une lecture d’asile à l’envers donne Élisa, ce qui offre de belles possibilités, non ?
Élisa aux ailes salie(s)… se lia… à Élis (une citée grecque, pas loin de Pouzioux-la-Jarrie).
C.G.