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Christian DELAMORINIERE

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Tout ce qui a été publié par Christian DELAMORINIERE

  1. Pour prouver qu'on n'a pas traficoté la réponse, on peut maintenant envoyer le lien du chat : https://chat.openai.com/share/607969e2-5337-4810-81ea-07838d621e97
  2. La question de ce qui existait avant le Big Bang est complexe et fondamentalement théorique, car nous ne disposons pas de preuves empiriques pour soutenir une théorie ou une autre. Voici quelques idées généralement discutées dans la communauté scientifique : Rien : Certaines théories suggèrent qu'il n'y avait rien avant le Big Bang. Le temps et l'espace ont commencé avec le Big Bang, il n'y a donc pas de "avant". Cette idée est soutenue par la théorie de la relativité générale d'Einstein, selon laquelle le temps et l'espace sont liés et ne peuvent exister indépendamment. Un autre univers : Certaines théories proposent que notre univers pourrait être cyclique, se contractant en un "Big Crunch" puis se dilatant à nouveau dans un nouveau Big Bang. Cela suggérerait que notre univers actuel est simplement la dernière itération d'une série d'univers. Multivers : D'autres théories, comme celle de l'inflation éternelle, suggèrent qu'il pourrait exister un multivers où de nombreux univers différents coexistent simultanément. Notre Big Bang pourrait n'être qu'un parmi une infinité d'autres. Univers de tachyon : Selon certaines hypothèses, un univers de tachyons (particules hypothétiques plus rapides que la lumière) aurait pu exister avant le Big Bang. État de fluctuation quantique : Selon cette théorie, l'Univers aurait émergé d'une fluctuation quantique dans le vide. Il est important de noter que ces théories sont hautement spéculatives et que nous ne savons tout simplement pas avec certitude ce qui existait, s'il y avait quelque chose, avant le Big Bang. De plus, le concept même de "avant" peut ne pas avoir de sens si le temps lui-même a commencé avec le Big Bang. GPT4
  3. Perspective scientifique : Jusqu'à maintenant, il n'y a aucune preuve scientifique qui soutient l'idée que l'univers a une conscience ou un organisateur conscient. Les scientifiques se basent sur le principe du naturalisme méthodologique, qui stipule que tous les phénomènes peuvent et doivent être expliqués par des lois naturelles et des processus physiques. Perspective théiste : De nombreux croyants soutiennent que l'univers a un créateur conscient, généralement identifié comme Dieu. Selon cette vue, Dieu a créé et continue d'organiser l'univers. Perspective panpsychiste : Le panpsychisme est une perspective philosophique qui suggère que toute matière dans l'univers possède une certaine forme de conscience ou de subjectivité. Cela pourrait être interprété comme signifiant que l'univers dans son ensemble a une certaine forme de conscience organisatrice, mais ce n'est pas nécessairement l'idée d'une conscience de type humain ou d'un organisateur centralisé. Perspective du panthéisme : Le panthéisme est la croyance que l'univers lui-même est divin et que toute existence est une manifestation de ce divin. Selon cette perspective, on pourrait dire que l'univers a une conscience organisatrice, mais pas dans le sens d'un créateur externe ou distinct. GPT4 La conscience au sens faible est le mental !?!
  4. TROP D’INFORMATION Des milliers de chaînes TV. Des millions de pages web. Des milliards d’heures de contenu disponible en ligne. Il y a trop d’informations, nous n’avons pas d’autre choix que d’en filtrer la majorité. Voilà comment notre cerveau fait le tri : On remarque ce qui est mis en valeur dans notre mémoire ou répété régulièrement. Tout ce qui est bizarre, marrant, visuellement choquant ou anthropomorphique est plus facile à retenir. On remarque quand quelque chose a changé. On privilégie les détails confirmant nos propres croyances. On remarque plus facilement les défauts chez les autres que chez soi. MANQUE DE SENS Une fois que nous avons filtré l’information et réduit le flot à un volume acceptable, il faut en définir le sens. Nous relions les points, comblons les vides avec ce que nous pensons déjà savoir. Pour le meilleur ou pour le pire : On voit des histoires et des schémas même dans des données aléatoires. On utilise des stéréotypes, des généralités et des histoires à chaque fois qu’on tombe sur un nouvel élément ou qu’il existe des trous dans les informations. On imagine que les choses et les gens que nous aimons ou qui nous sont familiers sont meilleurs que les choses et gens que nous n’aimons pas ou qui nous sont étrangers. On simplifie les nombres et les probabilités pour les appréhender plus facilement. On pense savoir ce que les autres pensent. On projette notre état d’esprit et nos croyances actuels sur le passé et le futur. LE BESOIN D’AGIR VITE Contraints par le temps et l’information, on ne peut pas se permettre de rester paralysé. Sans sa capacité à agir rapidement face à l’inconnu, l’être humain aurait disparu il y a bien longtemps. On doit avoir confiance dans notre capacité à réagir à chaque nouvelle information, et dans notre capacité d’adaptation : En vrai, cette confiance est exagérée, mais sans elle, on aurait du mal à faire quoi que ce soit. On favorise ce qui est immédiat au détriment de ce qui est plus loin, moins flagrant. On est plus motivé pour finir les choses dans lesquelles nous avons déjà investi du temps et de l’énergie. Pour minimiser nos erreurs, on a tendance à préserver notre autonomie au sein du groupe et à refuser les décisions irréversibles. On favorise les actions simples ou connues par rapport aux actions complexes ou ambiguës. On modifie et renforce nos souvenirs après les faits. On écarte les spécificités et on préfère les généralités. On réduit les événements et les listes à leurs points-clés. On stocke les souvenirs différemment selon la façon dont on a vécu l’expérience.
  5. Ce monde générique n'existe pas puisqu'il n'y a personne pour l'observer, c'est une construction mentale.
  6. Ce serait dommage de ne pas remettre la citation qui suit dans l'intervention citée :
  7. Encore un sujet dont la fréquence et la similitude des témoignages interpellent : Le sujet a déjà été aboyé ici :
  8. Voilà qui est rassurant : on ne peut donc pas demander à ChatGPT de défendre n'importe quoi !
  9. Beaucoup plus incorruptible et ne nécessitant pas une vie de saint :
  10. Pas terrible les réponses de ChatGPT aux critiques de la psychanalyse ! Manque de preuves empiriques : Il est vrai que la psychanalyse a moins de preuves empiriques à l'appui de son efficacité par rapport à d'autres thérapies, comme les TCC. Cependant, cela ne signifie pas nécessairement que la psychanalyse est inefficace. Certains patients trouvent un réel bénéfice dans cette approche, en particulier pour les problèmes complexes et profondément enracinés. De plus, la recherche sur la psychanalyse s'est développée au fil des années, et de nombreuses études ont montré son efficacité pour certains troubles, notamment les troubles de la personnalité et la dépression chronique. Durée et coût du traitement : La psychanalyse est généralement un processus à long terme, ce qui peut être coûteux en temps et en argent. Toutefois, pour certains patients, cette approche approfondie peut être nécessaire pour aborder les problèmes sous-jacents et les conflits internes. Il est important de considérer que certaines personnes peuvent préférer une approche thérapeutique plus longue et plus introspective pour traiter leurs problèmes, et que ce qui fonctionne pour un individu peut ne pas fonctionner pour un autre. Subjectivité des interprétations : Les critiques soulignent souvent que la psychanalyse repose sur l'interprétation subjective du thérapeute concernant les rêves, les associations libres et les actes manqués. Cependant, il convient de noter que la relation thérapeutique et la compréhension mutuelle entre le patient et le thérapeute jouent un rôle clé dans l'efficacité de la thérapie. De plus, la subjectivité n'est pas unique à la psychanalyse; toutes les formes de psychothérapie impliquent un certain degré d'interprétation et de jugement de la part du thérapeute. Non-réfutabilité de la théorie : La critique de la non-réfutabilité fait référence à l'idée que certaines des théories de la psychanalyse ne peuvent pas être testées ou réfutées de manière empirique. Cela peut être considéré comme une faiblesse, car cela limite la capacité à évaluer et à améliorer ces théories. Cependant, il convient de noter que la psychanalyse a évolué au fil du temps et que de nombreux praticiens et chercheurs ont intégré des méthodes empiriques pour étudier et évaluer les concepts psychanalytiques.De plus, la non-réfutabilité n'est pas unique à la psychanalyse ; d'autres domaines de la psychologie et de la philosophie abordent également des concepts difficiles à tester empiriquement. Fondation théorique basée sur des exemples historiques mensongers : Certaines critiques soulignent que Freud a basé certaines de ses théories sur des cas individuels, qui ont parfois été remis en question en termes de véracité et de généralisabilité. Il est important de reconnaître ces limites et de comprendre que les théories psychanalytiques ont évolué depuis l'époque de Freud. Les praticiens et les chercheurs modernes en psychanalyse ont travaillé à étendre et à affiner les concepts freudiens, en tenant compte des critiques et des développements dans d'autres domaines de la psychologie. Caractère sectaire du mouvement : Les critiques ont parfois décrit la psychanalyse comme un mouvement sectaire en raison de la loyauté et de l'adhésion stricte à certaines idées parmi certains groupes de praticiens. Il est important de se rappeler que la psychanalyse est un domaine diversifié avec de nombreuses écoles de pensée et que tous les praticiens ne suivent pas aveuglément les idées de Freud ou d'autres théoriciens. De plus, la psychanalyse a évolué pour intégrer et dialoguer avec d'autres approches thérapeutiques, y compris les TCC et la thérapie centrée sur le client. Cette évolution témoigne de la capacité du domaine à s'adapter et à apprendre des autres disciplines. Idées misogynes et homophobes : Il est vrai que certaines des idées de Freud et d'autres théoriciens psychanalytiques ont été critiquées pour leur misogynie et leur homophobie. Cependant, il est crucial de se rappeler que ces idées ont été développées dans un contexte historique et culturel spécifique, qui était très différent de notre époque actuelle. La psychanalyse moderne a évolué et s'est éloignée de nombreuses idées problématiques de ses débuts. Les praticiens et les chercheurs actuels en psychanalyse reconnaissent et critiquent ces idées et travaillent à développer des approches plus inclusives et éclairées. Culpabilisation des mères : La psychanalyse a parfois été critiquée pour sa tendance à blâmer les mères pour les problèmes psychologiques de leurs enfants. Cependant, il est important de noter que la psychanalyse moderne a évolué et ne se concentre plus exclusivement sur la relation mère-enfant. Les praticiens contemporains reconnaissent l'importance de considérer le contexte familial et social plus large dans lequel les problèmes psychologiques se développent et cherchent à éviter de blâmer les parents de manière simpliste. Pratiques maltraitantes, telles que le packing : Le packing, qui consiste à envelopper une personne, généralement un enfant, dans des draps humides et froids, est une pratique controversée qui a été critiquée pour ses effets potentiellement traumatisants. Il est important de noter que cette pratique n'est pas représentative de la psychanalyse dans son ensemble et n'est pas utilisée par la majorité des praticiens psychanalytiques. La psychanalyse moderne est guidée par des principes éthiques et des normes professionnelles, et les praticiens sont tenus de respecter ces normes pour assurer le bien-être de leurs patients. Les pratiques abusives ou maltraitantes ne sont pas acceptables et ne devraient pas être tolérées.
  11. Les jeunes sont écoanxieux, mais tout aussi éco-irresponsables que leurs parents :
  12. Approche critique: La zététique met l'accent sur l'esprit critique, l'évaluation des preuves et le raisonnement pour examiner les affirmations et les croyances. Le constructionnisme, quant à lui, reconnaît que les individus construisent activement leur compréhension du monde en interagissant avec leur environnement et en adaptant leurs connaissances à partir de ces interactions. Importance de la méthode: La zététique se concentre sur la méthode scientifique et l'examen rigoureux des preuves pour évaluer les affirmations. Le constructionnisme est bien plus axé sur les processus individuels de construction de la connaissance et reconnaît que les méthodes et les outils utilisés par les individus influencent la manière dont ils interprètent et comprennent le monde. Pluralité des connaissances: La zététique, bien qu'elle mette l'accent sur la recherche de la vérité et la vérification des affirmations, reconnaît également que différentes méthodes et approches peuvent être nécessaires pour évaluer différentes affirmations et que les connaissances sont en constante évolution. Le constructionnisme soutient que la connaissance est construite à travers une variété de processus et d'interactions, et donc qu'il peut y avoir une pluralité de connaissances et de perspectives. Similitudes avec un autre concept: Feyerabend critique l'idée d'une méthode scientifique unique et infaillible, tandis que le constructionnisme met en avant la diversité des processus de construction de connaissances. Cependant, le constructionnisme se concentre davantage sur la manière dont les individus acquièrent et construisent leur compréhension du monde, tandis que Feyerabend s'attache principalement à remettre en question les normes et les méthodes scientifiques. GPT4
  13. « Toute vérité franchit trois étapes. D'abord, elle est ridiculisée. Ensuite, elle subit une forte opposition. Puis, elle est considérée comme ayant toujours été une évidence. »
  14. Il y a un débat en cours sur le statut de la psychanalyse en tant que science ou pseudo-science. Certains critiques soutiennent que la psychanalyse, développée par Sigmund Freud, est une pseudo-science, car elle repose sur des théories qui sont difficiles à réfuter ou à vérifier empiriquement. En outre, certaines hypothèses de la psychanalyse sont basées sur l'introspection et les récits personnels, ce qui peut être subjectif et difficile à généraliser. Cependant, d'autres soutiennent que la psychanalyse a apporté des contributions significatives à la compréhension de l'esprit humain et a influencé d'autres domaines de la psychologie. Bien que certaines idées freudiennes soient controversées ou dépassées, d'autres concepts, tels que les mécanismes de défense et l'importance du développement psychologique précoce, sont toujours largement acceptés et étudiés. Il est important de noter que la psychanalyse a évolué au fil du temps, et de nombreuses branches contemporaines de la psychanalyse cherchent à intégrer des méthodes et des théories empiriques plus rigoureuses. Il peut donc être plus judicieux de considérer la psychanalyse comme un ensemble diversifié de théories et de pratiques, certaines étant plus scientifiques et d'autres plus spéculatives. En fin de compte, la question de savoir si la psychanalyse est une pseudo-science dépend de l'approche spécifique et des critères utilisés pour déterminer ce qui constitue une science. GPT4
  15. Il y a eu récemment un Live MagicDream sur les meilleurs cubes avec, en12:50, le Tetracube.
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