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Showing content with the highest reputation on 06/28/24 dans Messages

  1. La gestion du bourin (mâle ou femelle d'ailleurs, j'ai connu les deux... ) est un vrai problème. Le demi chapelet est une solution, si c'est ponctuel et que cela ne gêne pas le spectacle. Si le bourin la ramène à chaque fois qu'on fait quelque chose, qu'il veux mélanger le jeu alors qu'on a même pas commencé, vérifier ce qu'on posé, limite fouiller dans nos poches, il va gêner le spectacle pour les autres spectateurs, qui vont d'ailleurs s'en rendre compte. Dans ce cas là, il faut neutraliser le bourin. On peut lui donner le jeu à mélanger, lui dire de le garder entre ses mains fermées, de ne jamais le quitter des yeux pour que tout le monde sache qu'il surveille le jeu. Puis on sort son jeu de secours de l'autre poche, et on fait son tour normalement.. Tout en rappelant à l'ordre le bourin dès qu'il veut faire autre chose que surveiller le jeu, "c'est TRÈS important..." A la fin de la prestation, on lui demande si quelqu'un a touché au jeu, et on le remercie de sa vigilance : "j'ai toujours peur que quelqu'un me l'abime..." Et on rempoche le jeu, remercie la table et on s'en va... Gilbus
    6 points
  2. A défaut de pouvoir consulter le dictionnaire encyclopédique universel de la magie de Gilbus, qui traite naturellement de ce point, je te renvoie vers "strong magic" de Ortiz, qui me semble avoir une approche précise et intéressante. Penser que le personnage va venir avec le temps n'est pas une bonne solution : le personnage va évoluer avec le temps, c'est normal, mais vers quoi ? Si on pose dès le départ le type de personnage, son vocabulaire, son costume, ses accessoires, ses traits, son style, on va avoir une vraie création de personnage. Compter sur une construction "non réfléchie" va certes donner un personnage, mais est ce que ce sera le mieux que tu puisses faire ? C'est comme si on disait : le saut de coupe, c'est bon, j'ai vu la vidéo, donc je l'améliorerais avec le temps, lors des prestations... Le personnage est la partie la plus visible de notre prestation, pourquoi ne pas s'y pencher sérieusement... Ensuite, il y a bien sûr la question de la priorité : Êtes vous la vedette de la prestation ? C'est en générale le cas pour tous les pros, qui veulent marquer leur public pour qu'on se souvienne d'eux. (et c'est ce que défend Ortiz...) Ou est-ce la magie la vedette, l'interprète étant à son service ? Les deux réponses sont honorables, mais débouchent sur des traitement très différents. Par exemple, il me semble que xavier mortimer, dans l'ombre orchestre, est au service de sa magie. A l'opposé, Éric antoine me semble totalement centré sur son personnage, et sa magie est là pour le mettre en valeur... Mon dieu, tant de questions à se poser... C'est dur, le spectacle Gilbus
    5 points
  3. Pour que le spectateur soit satisfait, il suffit qu'il n'ai pas envie de mélanger les cartes. Pour cela, c'est bien de lui faire toucher les cartes : On fait un faro sans l'imbriquer complètement, un ruban sur table irrégulier, pour qu'on ne vois pas que les cartes sont exactement une sur deux, et on demande au spectateur (en mimant pour qu'il ne fasse pas n'importe quoi) de finir d'imbriquer les cartes. Puis on remet le ruban en paquet égalisé. Cela implique d'avoir anticipé, et donc d'avoir son chap avec un antifaro au début. Une autre façon de le faire avec le chap directement est le roseta shuffle de green, ou le spectateur imbrique les deux tas. Gilbus
    3 points
  4. J’y suis également allé. C’est très sympa. (Bien sûr on enchaîne avec l’expo bien réelle en cours au musée.) Petite expérience amusante à tenter : n’hésitez pas à laisser passer les personnages virtuels à travers vous, c’est un peu comme si des fantômes vous pénétraient (pas d’allusions salaces svp) et le cerveau génère une sorte de sensation bizarre. Par ailleurs si vous enfoncez votre tête dans celle d’un personnage virtuel vous verrez un peu de son intérieur, sa mâchoire, sa denture, et surtout ses globes oculaires en mouvement dans la boîte crânienne. Je ne m’attendais pas à ça. Je vous recommande également la visite virtuelle de Notre-Dame de Paris (entrée sur le parvis en face de la cathédrale) c’est encore mieux (selon moi).
    3 points
  5. Bonjour, je sors de l'exposition en réalité augmentée des impressionnistes au musée d'Orsay. Ca vaut vraiment le coup et intéressant de rencontrer les œuvres et les artistes presque en chair et en os. Sans compter une balade dans les rues de Paris d'époque. Pourquoi pas à présent les soirées de monsieur Robert-Houdin en réalité augmentée. Philippe
    2 points
  6. Moins immersif, mais beaucoup plus éducatif car respectant le même ordre de construction et de restauration que la cathédrale Notre-Dame elle-même. Le set vous permet de reproduire les détails authentiques du monument, tels que les clochers, les rosaces et la flèche centrale entourée de statues. Vous pouvez même retirer le toit et les tours pour admirer les colonnes et les arches de l’intérieur. ...mais de nombreuses sensations de vertige pendant toute la visite !
    2 points
  7. J'ai bien créé 2 chapelet perso oui. J'avais une forte estime pour le mnemonica. Isidore m'a apporté un second prisme sur le chapelet qui m'a intimidé. Je ne pouvais pas développer ma créativité tellement je me sentais écrasé par tant de génie avec ce que je lisais. En prenant du recul sur ces premières émotions, j'ai remarqué que des effets ou arrangements que j'utilisais pouvaient être "figés" dans une philosophie Chapelet. Le temps m'a montré que la première bouture était ce dont j'avais besoin sur le papier. Mais pas fluide en public. J'ai donc corrigé pour développer le potentiel magique souhaité avec un ordre de carte corrigé par l'expérimentation.
    2 points
  8. Bonjour Michael, La réponse va dépendre du type de mélange que va ou veut réaliser le spectateur et du temps dont tu disposes ensuite pour dérouler ton set. - Si le spectateur ne réalise qu'un ou deux mélanges au riffle, tu dois pouvoir t'en sortir pour remonter ton stack au travers d'une routine dont on a parlé dans un autre sujet (Earl/Hartling). - Si le spectateur ne réalise qu'un ou deux mélanges à la Française, idem avec d'autres routines. - Si le spectateur veut bien se laisser guider dans les mélanges, le Zarrow Rosetta est excellent dans l'image de mélange qu'il va laisser sur le spectateur. - Si le spectateur mélange comme un bourrin, 2 possibilités. ---------- Tu disposes de peu de temps : tu passes à tes meilleures routines à partir d'un jeu non ordonné ou tu n'utilises que le principe des groupes pour avoir la satisfaction de faire un peu de chapelet. ---------- Tu disposes d'un peu de temps : tu réalises une, deux ou trois routines pour monter un demi stack ou un stack complet et tu enchaines sur tes meilleures routines avec jeu ordonné, sans oublier d'utiliser une stratégie de construction d'enchainement et de manutention des cartes qui laissent l'impression d'autres mélanges dans l'esprit du spectateur (un chapitre du PDF que j'ai laissé quelque part sur le site parle de cela).
    2 points
  9. J'insiste, la meilleure réponse c'est de lui faire mélanger la moitié et de mélanger aussi de son côté l'autre moitié, Je préfère faire un faux-mélange au pelage, en expliquant carte en main au spectateur ce qu'il doit faire. ensuite on "échange" les paquets (on fait un change au croisement) et on recommence les mélanges. (Pour ceux qui sont long à la détente, en fait on garde le même paquet et on lui redonne le sien). Donc notre moitié est toujours en ordre, on réunit le tout et le spectateur est sur du mélange. et l'on fait des tours avec le demi-chapelet. Tout est dans le prétexte, oui je veux bien que vous mélangiez les cartes mais faîtes comme moi, elles sont fragiles, donc doucement, tenez vous pouvez aussi mélanger l'autre moitié.
    2 points
  10. En fait vu la problématique présenté il n'y a pas beaucoup de solutions : soit on fait un change, soit on donne l'impression que le spectateur a mélangé lui même... alors que non. "Or not" répond parfaitement à cette problématique, à la fin le jeux est toujours en chapelet mais les spectateurs sont persuadé que l'assistant à mélangé. si non il y a d'autres stratégies comme faire effectuer un mélange en queue d'aronde par le spectateur et re séparer les deux moitiés de jeux en suite soit par une action secrète de type Hofsinzer cull ou GAS, soit devant les spectateurs parce-que la structure du tour le permet (comme dans totale coïncidence de Tamariz). A part ça ce qui ressemble le plus à un faux mélange fait par un spectateur lui même c'est le unshufled shufle de Tamariz. Bien sur aucune de ces stratégies est totalement sans contrainte, et il ne s'agit pas de trouver une solution au cas ou le spectateur veut mélanger lui même le jeu parce-qu'il vient de le décider, mais plutôt de faire en sorte que la question ne se pose même pas parce-qu'il est persuadé que c'est déjà fait. Quoi qu'il en soit l'un des objectifs du travail avec un jeux mémorisé devrait être de trouver des stratégies qui donnent au spectateurs une sensation de réel chaos et d'une absence de contrôle de la part du magicien. Et pour ça aller faire un tour du côté de Daortiz est forcément une bonne idée.
    2 points
  11. Merci pour ça @César CHALRET (16 art). Cabmevtente bien aussi mais je n'en suis pas encore là...un newbie je vous dis!....un court apparté: telement de gens chouette sur VM...ca mebdonne envie den rencontrer dans la vraie vie. Cesar en ferait certainement parti.
    1 point
  12. Ces tours, très bons par ailleurs, ne répondent pas à la problématique présentée au début de ce sujet. Certes, dans "shuffle bored" par exemple, le spectateur fait toute une série de mélanges, mais ce sont des mélanges dictées par le magicien. Dans le cas décrit par Michel Vessereau, on est en présence d'un spectateur qui veut prendre le jeu en main et le mélanger comme il veut.
    1 point
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