Tableau d'honneur
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Je comprends ton point de vue. De ma façon de faire, j'aborde Akronym sur un thème spirituel déjà instauré par le tour "Haunted Key" et Haunted Doll" précédemment. Ensuite, j'enchaîne de cette manière (le dé a déjà été lancé et laissé sur la table) : "Continuez à penser à une personne. Vous pouvez me prêter votre téléphone ? Je vais juste sur Wikipedia. Vous allez dans un instant rechercher quelque chose que cette personne aime : une personnalité, morte ou vivante, un objet, un animal ... Ce qui vous vient en rapport avec elle. Allez-y. (Admettons que la personne choisisse une ville) Bien, maintenant regardez : quand vous défilez sur l'article, il y a des liens bleus. Ces liens vous redirige sur d'autres articles. Allez-y choisissez-en un pour atterrir sur un autre article (Elle en choisis un). Très bien, Ce qu'il va se passer maintenant, c'est que vous allez choisir consécutivement des liens en bleu. Une fois que vous cliquerez sur un lien, vous me le direz pour que je le note. Nous allons faire ça plusieurs fois jusqu'à ce qu'on se perde un peu dans Wikipédia. Bien entendu on ne sait pas sur quoi on va tomber, ce qui est d'autant plus intéressant. Prête ? Allez-y cliquez sur le lien de votre choix" (et à chaque fois qu'elle clique, je lui demande de répéter en écrivant devant elle, histoire qu'elle ai son regard qui jongle entre le pad et son téléphone). Et la fin, je révèle le nom de la personne (connu grâce à un peek bien évidemment). Tout ce qu'il faut, c'est juste conditionner le spectateur à lui dire qu'on ne sait pas sur quoi on va tomber et qu'on va se perdre dans Wikipédia à force de choisir les liens. Du coup au fur et à mesure de ses choix, ça fera sens même s'il dit "-wesh ça passe du coq à l'âne ! -Ah je vous avais dis qu'on allait se perdre, mais c'est justement encore plus intéressant. Allez-y continuez à choisir un lien" Et la justification est clean3 points
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Paul et Mickael ont fait une MAGNIFIQUE synthèse des messages précédents très complète et détaillée brossant le tableau parfait d'un magicien professionnel. Comme le dit Mickael, à toi de savoir si tu veux en vivre ou non, sans oublier aussi la remarque de Paul : "la concurrence est féroce" d'autant plus que "certains" s'arrondissant les fins de mois, oublient qu'il y a des charges sociales à payer et de ce fait sont souvent moins chers que toi même si cela est illégal ! On ne veut pas te décourager, loin de là d'ailleurs, car ce métier est un véritable plaisir.3 points
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Toute la puissance de la boîte de Dean Dill, c'est sa joliesse et sa préciosité. Elles participent totalement du caractère mystérieux du numéro.2 points
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@Teddy REX me coupe l'herbe sous le pied. C'est en effet le lot de tous les business qui démarrent. Dans une de mes précédentes vies, j'étais entrepreneur et le démarchage commercial (qu'on appelle aussi prospection) représentait jusqu'à 90% de mon temps hebdomadaire pour une moyenne autour de 60%. Et ceci avec les frais de déplacement et autres que cela engendraient. En jours prestés purs, c'était peanut devant le temps passé en prospection et développement métier (ici l'entrainement du magicien mais construction de fours et développements de proto pour moi à l'époque). Il convient d'être très rigoureux pour le suivi du prospect. Des outils existent qui facilitent la vie mais un tableau OpenOffice, de l'organisation et de la rigueur suffisent. @Mickaël MCD a dressé un tableau quasi parfait de ce que tu as à faire. Quand on devient son propre patron, il faut vite abandonner l'image romantique qu'on s'en faisait du type : "je suis libre", "je fais ce que je veux", etc ... Rien du tout ! il faut manger et payer les factures, donc côté liberté on repassera. C'est un travail dur et quand on est, au départ, un amoureux de la technique qui veut faire de la technique, alors ce travail commercial devient parfois une barrière infranchissable. Mais quand on est magicien, je suppose qu'on aime le contact humain et donc que, quelque part, on est doué de nature pour faire du commercial de soi-même. Ce qu'il faut, c'est savoir doser entre faire rêver son prospect sans pour autant trop se la raconter. Il faut lui donner confiance en montrant qu'on maîtrise le sujet et qu'on est la bonne personne plutôt qu'une autre pour répondre à son besoin (ce que je faisais dans mon activité mais qui est forcément vrai aussi pour un magicien qui fait son auto-promotion). Pour cela, identifier à l'avance la cible et ce qu'elle cherche est primordial ! Mais là on rentre dans des notions de techniques de commerce et il peut-être bon que tu te formes sur ces sujets-là. Autre chose à ne pas oublier, la concurrence. Et elle peut être redoutable et est souvent carnassière. Dans le business (même artistique), il n'y a pas d'amitié qui tiennent hélas. C'est chacun pour soi et moi d'abord ! (je l'ai appris à mes dépens et c'est pour ça que je suis reparti dans le salariat). C'est triste, regrettable, etc... mais c'est comme ça et il faut faire avec car il y a une forme d'instinct de survie à ça : il faut les contrats pour pouvoir bouffer et se loger. Donc c'est difficile de juger si c'est mal ou si c'est bien. C'est comme ça, et il faut faire avec. @Matthieu KNORSTCela ne doit pas te décourager mais te préparer à ce qui t'attend. Si tu surmontes cela, alors tu auras la vie que tu voulais et c'est le meilleur que l'on puisse te souhaiter. Bon courage !2 points
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Ça je comprends Mais il y a des limites... Tu fous la même boite à 13.000 euros, certains passionnés te diront toujours que c'est justifié par ça joliesse et ça préciosité également. Alors 100 euros ? 300 euros ? 600 euros ? 13.000 euros ? Y a un moment où on peut tenter d'avoir les pieds sur Terre. Autant je reconnais la beauté de la Dean Dill Box, je serais fier et heureux de la posséder ! Autant, ça ne vaut clairement pas du tout 600 euros. Oh ! Toi aussi tu joues du kalimba ???1 point
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Faut voir aussi quelle est l'ambition visée Est-ce que le but c'est d'en faire un métier et d'en vivre ? Est-ce que le but c'est d'arrondir ses fins de mois ? Ou est-ce que le but c'est d'en faire une activité pour le plaisir et que c'est en plus d'un métier principal ? Comme c'est probablement le cas pour la plupart des magiciens. Si c'est pour vraiment vivre à 100% de cette activité, alors oui, dans l'idéal c'est presque du 8 heures par jour à prospecter, travailler la créa, s'entrainer, démarcher et cætera.1 point
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Le pyro est une catastrophe ! Il fonctionne avec une résistance ! Il vaut mieux un système à plasma dans un FP .1 point
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"Si vis paces, para bellum" ou encore "entrainement difficile, guerre facile". C'est vrai que c'est un peu brut de décoffrage. --> L'idée c'est vraiment de te préparer au pire mais il n'arrivera pas forcément. Et surtout, laisser le temps au temps. Tu n'as malheureusement pas la maîtrise du tempo car c'est le client qui dicte son planning. Le secret : fais du commercial, du commercial, du commercial. Ah et j'oubliais, du commercial aussi Des centaines l'ont fait et des centaines le feront encore. Accroche toi. Bonne soirée.1 point
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Je ne pense pas que ce soit parce que je fais de la magie moi-même. Je pense être bon public. Mais c'est vrai que quel que soit le domaine, je suis très sensible aux détails, et dans mon expérience de ce tour, il y avait une telle dissonance entre le mot en bleu que j'avais sélectionné et la définition où j'étais, que cela a tout de suite fait "tilt" dans mon esprit. Après, on peut se dire qu'il n'y a que le spectateur qui est sur le smartphone qui est susceptible de s'apercevoir de quelque chose, mais personnellement, cela me gênerait quand même.1 point
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Bonjour Merci pour la présentation du livre de Jon Tremaine dans le VM Live #17 disponible ici. Je voudrais apporter mon témoignage sur ce livre aussi. Il m'a beaucoup servi au début du collège quand je l'ai eu en cadeau (1998 ou qqchose comme ça). Avant cela, je lisais des livres encore plus pour les enfants (Les Petits Magiciens font des tours ou encore 1 2 3 je crée mes tours de magie). Les concepts développés dans chacun de ces bouquins étaient étonnement puissants et pertinents, voire carrément utilisés en conditions professionnelles. En tant qu'enfant débutant la magie, on ne se sentait pas pris pour un demeuré en le lisant, et c'est un vrai atout. Grâce à ces trois livres, j'avais construit mon tout premier spectacle de magie à l'occasion d'une boom d'Halloween. Pour revenir sur John Tremaine, les tours / techniques sont très biens et c'est vrai que la construction du livre est assez formidable. Les explications et les photos très claires. La pièce empapillotée à travers le carton de bière est forte. La routine "escamotage audacieux" m'a par contre toujours résisté, je n'ai jamais réussi à faire quelque chose qui me convainque. Les cordes sont biens. J'y ai appris la seule routine de gobelets que je sais faire encore aujourd'hui Tout est très bien et permet de faire passer un bon moment de façon plutôt impromptue. Ce livre m'avait permis de faire un bond intermédiaire dans ma pratique avant d'attaquer quelques années plus tard les ouvrages de Jean Hugard et Rémi Ceilier à 14-15 ans (fallait s'accrocher) puis plus tard les cassettes de Billis (cartes of course) et Jean Faré (balles mousses) Je n'ai pas fait de biblio sur la littérature magique jeunesse, mais je dirais que John Tremaine est une référence oui. Il y avait aussi un livre sur les cartes de lui, et que j'ai acheté en occasion il y a une 15aine d'années (introuvable en librairie au début des années 2000) mais que je n'ai jamais vraiment étudié. PS : voici les jaquettes des livres dont je parle plus haut (aujourd'hui, c'est ma fille de 8 ans qui y prend son inspiration)1 point
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@Mehdi Illusion est magicien, et il utilise son art pour aborder un sujet important : le harcèlement scolaire. Lui-même victime de harcèlement dans son enfance, il partage son expérience et sensibilise les plus jeunes à cette problématique. Son show-conférence, conçu spécialement pour des jeunes publics, mêle divertissement, prévention et bienveillance.1 point
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Bonjour, merci beaucoup Thomas pour la mise en avant de ce reportage. Ce spectacle a 4 ans, c’est un spectacle qui dure 1h15 et qui est suivi juste après d’un débat de 45 minutes à 1h dans le but de libérer la parole et de sensibiliser au harcèlement scolaire de manière efficace. Au plaisir d'échanger !1 point
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