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Attendons les conclusions de la justice californienne pour démêler le faux du vrai ...  😉
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(à moins que le jugement final ne soit classé confidentiel , comme dans l'affaire Mesika vs Murphy en 2022...)
 

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Je n'ai pas du tout suivi cette confrontation mais je signale juste que Vanishing Inc. a envoyé ce jour un email intéressant où Andi Gladwin & Joshua Jay donnent leur avis sur les brevets en magie, et cet envoi semblerait donc peut-être être lié à cette affaire (??). Je ne trouve pas le texte sur leur site, ça semble simplement un envoi par email (The Vanishing Inc. Edition, issue 10).

En 2 mots: ils ne citent aucun nom, ils disent juste que les brevets en magie ne leur semble pas une bonne chose du tout car ça freine la création magique, une création qui se fait perpétuellement sur ce qui a été créé auparavant et que les brevets vont à l'encontre de ça.  Sauf exception si vraiment un nouveau principe ou vision etc. Que ça freine également une convivialité magique d'échanges variés et humains, et que le mieux est la publication des idées, les sources mentionnées etc... Ils disent également que s'il y a un abus, de toute façon ça se sait et ça circule dans le milieu magique sur internet ou autre et que ça joue sur la réputation, ce qui a plus de poids que quoique ce soit dans un tribunal ou dans un rendu de travail d'avocat. Ils donnent également l'exemple de l'ITR où si un nouveau voit le jour, seules les nouveautés-améliorations liées pourraient mériter brevet et non ce nouvel ITR en lui-même.

Si ça intéresse qqun, si on a le droit sur VM (?) je peux copier coller le texte de leur mail.

  • Merci 2
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Il y a 13 heures, Xavier ROUZAUD a dit :

Attendons les conclusions de la justice californienne pour démêler le faux du vrai ...  😉
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(à moins que le jugement final ne soit classé confidentiel , comme dans l'affaire Mesika vs Murphy en 2022...)
 

Je regrette une chose que Yigal ne déploie pas la même énergie pour combattre les copies chinoises, car je suis certain que ses produits ne sont pas épargnés mais j'imagine que la tâche est plus complexe, plus coûteuses et certainement moins profitables. Décidément je crois que je vais aimer ce sujet.

  • J'aime 1
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Il y a 12 heures, Sébastien FOSSAT a dit :

Difficile de se faire une idée autrement que par les décisions de justice qui ont été ou seront prises... Tous sont très convaincants...

Difficile de se faire une idée ? Non non, l'idée à se faire est ultra facile : ces gars sont ultra toxiques. Je pense que n'importe quel psy qui prendrait le temps de regarder leurs vidéos, interactions, etc. pourrait confirmer.

De l'égo, du pognon, et des attitudes toxiques...

  • J'aime 11
  • Merci 2

Choose your battles wisely.

  • Thomas changed the title to La controverse Yigal MESIKA selon Craig PETTY & Penguin
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Yigal MESIKA de nous exposer les comportements plus que limites de certains acteurs de la magie commerciale.

Cette fois-ci c'est la boutique Penguin Magic qui en prend pour son grade.

J'ai donc renommé le sujet 😉

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C'est mieux que Dallas toutes ces histoires.

Plus sérieusement, il y a deux semaines, j'étais dans une boutique avec deux autres personnes et nous parlions de la dernière conférence de Michael Ammar qui était une réussite.

Puis, nous avons parlé des différentes conférences et un magicien allemand me disait que la pire qu'il avait vu était celle d'un gars de Penguin, ne me demandez pas qui car perso je ne les connais pas et je m'en fiche. Il me disait que le problème ne venait pas de la conférence ou bien des secrets partagés mais du comportement du ou des gens de chez Penguin.
Sur le moment je n'y ai pas prêté beaucoup d'attention car je n'irai même pas les voir. Mais maintenant que je vois cette vidéo, le témoignage de Yigal (Thomas, je l'ai bien écrit cette fois) et surtout le témoignage des deux employés, le commentaire de ce magicien concernant leur arrogance prend tout de suite beaucoup plus de sens.

C'est un peu triste qu'un grand acteur du monde magique ait ce genre de pratiques.

Suite au prochain numéro.

Publié le

C'est triste que la justice doivent s'intéresser à la magie, mais quand l'art et le spectacle laissent place au commerce malheureusement c'est inéluctable surtout dans un milieu d'égos démesurés...

  • J'aime 1

www.dedales-hypnose.fr

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    • Je crois surtout qu’une telle accumulation d’affirmations toutes plus invraisemblables les unes que les autres les feraient ricaner, s’ils en avaient cure.    J’ai déjà évoqué cela. Un exemple ici :  Par ailleurs Christian Delamorinière habituellement si « prompt » (c’est le cas de le dire) à dégainer une IA pour répondre à sa place lorsque ça l’arrange, ne fait pas ici cet « effort » dès lors que ça pourrait ne pas abonder dans son sens, exemple avec ce que peut relever ChatGPT du point de vue des éléments scientifiques sur cette affaire (qui pour moi je le précise n’en est pas une, à part l’analyse sociologique intéressante qu’on peut faire sur les croyances et la crédulité humaine) : ChatGPT : « Je vais te donner, de façon structurée et rigoureuse, les éléments scientifiques (tests, observations, preuves historiques et limites méthodologiques) qu’on peut invoquer pour soutenir l’hypothèse non-miraculeuse concernant l’image de Notre-Dame de Guadalupe. Je cite les travaux et rapports clés pour chaque point (les cinq affirmations les plus importantes sont sourcées). Résumé rapide (une phrase) : Les enquêtes historiques et techniques existantes montrent des indices compatibles avec une fabrication ou des retouches humaines (présence de pigments et retouches, témoignages d’experts-restaurateurs, preuves documentées d’altérations et d’interventions), et aucun test non-contredit et irréfutable n’a démontré une origine « surnaturelle ». 1) Matière du support et conservation — pourquoi la “longévité inexplicable” n’est pas une preuve suffisante Analyses historiques identifient le support comme une tilmatli / tissu composé (traditionnellement ixtle = fibre d’agave) mais certaines études postérieures ont trouvé des fibres plus stables (lin/coton) ou mélange. Les fibres d’agave « pures » se dégradent normalement en quelques décennies dans le climat de Mexico — l’existence d’un tissu intact depuis ~1531 exige donc une explication (restaurations, protection, remplacements partiels, conditions favorables), pas automatiquement un miracle. Faits documentés qui expliquent partiellement la conservation : image protégée derrière verre blindé, changements d’éclairage et de contrôle climatique au XXᵉ siècle, interventions de restauration historiques (nettoyages, ajout de cadre, etc.). Ces mesures réduisent l’argument « ça n’aurait pas dû survivre ». 2) Preuves de retouches, additions et interventions historiques Documents et enquêtes (rapports de peintres en 1751, note d’un restaurateur en 1946, rapport de José Sol Rosales en 1982) signalent retouches visibles (ajout/suppression de la couronne, placages d’or/argent sur certains éléments, retouches locales). Ces interventions humaines montrent que l’image a subi modifications — ce qui affaiblit l’argument que l’ensemble de l’image est « intacte et miraculeuse ». Incidents historiques (taches d’acide en 1791, explosion d’une bombe en 1921, déplacements/encadrements multiples) sont attestés et documentés ; l’existence de copies et de manipulations rend plausible qu’au fil du temps on ait effectué réparations/restaurations. 3) Analyses pigmentaires et techniques (ce qu’on sait / ce qu’il faudrait) Tests publiés (examens visuels, microscopiques, photos infrarouges) ont montré des zones retouchées et, selon certains experts, des pigments et une préparation compatibles avec des techniques humaines (tempera/tüchlein). L’étude infrarouge de Philip Serna Callahan (1979–1981) n’a pas trouvé d’explication miraculeuse pour la conservation des zones « originales », mais a identifié des retouches visibles et des différences de matière. Méthodes scientifiques rigoureuses à appliquer (ou dont l’absence est critique) : cartographie non destructive (XRF, hyperspectral imaging), micro-spectroscopies (Raman, FTIR), SEM-EDS pour composition élémentaire, analyses de couches (micro-stratigraphie) et datation AMS (radiocarbone) sur fibres non-essentielles. Si ces tests montrent pigments, liants et stratigraphies compatibles avec peinture humaine du XVIᵉ siècle et/ou matériaux introduits plus tard, cela supporte fortement l’origine humaine. À ce jour, il n’existe pas de publication largement acceptée présentant un jeu complet, moderne et indépendant de ces analyses sur l’ensemble de l’objet (ou du moins ces données ne sont pas toutes publiques). 4) Études sur les « reflets » dans les yeux et pareidolie Certaines études ont affirmé trouver des « images » miniatures dans les yeux (figures des témoins). Les critiques scientifiques montrent que ces images sont très faibles, sujettes à pareidolie (reconnaissance d’images dans des taches) et que l’interprétation n’est pas reproductible ni robuste : ce type d’« evidence » n’a pas de valeur probante forte en l’absence d’une méthodologie statistique stricte. 5) Approche historique et iconographique L’enquête historique (relevés, témoignages du XVIᵉ–XVIIIᵉ siècle, débats entre religieux) montre que depuis le début il y a eu des accusations que l’image était peinte par des humains (témoignages citant un peintre « Marcos/Marcial » au XVIᵉ siècle). Les rapports d’experts en peinture (1751) et les analyses iconographiques modernes fournissent des alternatives historiques plausibles à l’explication miraculeuse. Ce qu’il faudrait pour “prouver” de façon scientifique qu’il n’y a pas de miracle (critères de rigueur) : Pour renverser définitivement l’attribution miraculeuse (dans une logique scientifique), il faudrait un jeu complet et public d’analyses reproductibles, indépendantes et multi-modalités : Datation directe (AMS radiocarbone) d’un fragment de la fibre (ou d’un fil marginal non essentiel) — établir l’âge du support. Cartographie chimique non destructive (XRF, hyperspectral, FTIR, Raman) couvrant l’ensemble pour lier pigments/éléments à matériaux connus. Analyses micro-stratigraphiques (coupe en section microscopique) montrant couches de préparation, liant, pigments et retouches datables. Contrôle de l’altération (analyses de dégradation) pour comprendre pourquoi certaines zones sont conservées. Publication complète et revue par pairs permettant reproduction et critique. Absence d’un de ces éléments (surtout l’absence d’AMS daté ou d’un jeu public et indépendant d’analyses) signifie que l’argument « inexplicable scientifiquement = miracle » est méthodologiquement faible. Limites et mise en garde méthodologique Accès et échantillonnage : la basilique contrôle très strictement l’accès — procédures invasives (prélèvement pour AMS, micro-coupe) sont politiquement et religieusement sensibles; l’absence de tels prélèvements limite les conclusions définitives. Preuves négatives : montrer que l’on ne voit pas d’explication naturelle complète n’est pas la même chose que prouver un miracle. La charge de la preuve scientifique pèse sur celui qui affirme l’exceptionnel. Interprétations contradictoires : plusieurs études (et auteurs) arrivent à conclusions différentes selon méthodes, expertise et déclarations. Il faut privilégier analyses reproductibles et données ouvertes. Conclusion synthétique (ce que la science rigoureuse peut raisonnablement soutenir aujourd’hui) Il existe des preuves historiques et techniques d’interventions humaines (retouches, ajouts, nettoyage, modifications documentées). Des études techniques (photos IR, examens microscopiques, analyses conservatoires) ont identifié des pigments et des signes compatibles avec un travail humain sur au moins une partie de l’image. L’argument « la tilma aurait dû se décomposer » perd de sa force quand on tient compte des matériaux identifiés, des interventions historiques et des mesures de conservation. Il n’y a pas (à ma connaissance, dans la littérature publique et peer-critique) de série complète et indépendante d’analyses modernes et invasives qui établissent irrécusablement une origine miraculeuse ; inversement, il existe des analyses et arguments plausibles en faveur d’une fabrication ou de retouches humaines. »   Lequel ? La Bulgarie ? 
    • Merci beaucoup @Sébastien MACAK (Splitter). 🙏
    • Apparitions de Guadalupe : des preuves matérielles qui désarment la science :  
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