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Le 01/07/2023 à 09:56, Raphaël CZAJA a dit :

Indiana Jones et le cadran de la destinée.

Un personnage fait une démonstration d'influence en utilisant un jeu à forcer Bicycle rouge. 

Je crois qu'il s'agit plutôt d'un forçage classique avec un jeu Bicycle normal 😉

On regrettera un peu le débinage de cette technique (qui n'est pas expliquée, mais quand même, le simple fait de dire au grand public qu'on peut leur forcer une carte...), même si on comprend bien que c'est un ressort scénaristique nécessaire (?) pour que tout le monde comprenne la fin (que je ne dévoilerai pas ici pour ne pas divulgâcher, comme disait l'autre 😉)

  • J'aime 1

L'important, c'est que ça valide !

Publié le (modifié)

Je confirme, ce n'était pas un jeu à forcer mais une référence au forçage classique (avec un jeu normal). Aucune technique n'est révélée et honnêtement, ce détail du film ne marquera pas les spectateurs donc pas de quoi crier au débinage.

Dominique DUVIVIER a plusieurs routines où il dit qu'il va influencer le spectateur sur le choix d'une carte, qu'il va la forcer à sélectionner une carte. C'est un autre effet que la révélation d'une carte apparemment choisie au hasard : l'accent est mis sur la capacité du magicien à influencer la personne.

Ceci devrait amener certains à s'intéresser aux familles d'effets.

Après, si vous trouvez cela inutile ou non constructif, ne perdez pas votre temps à débattre de l'intérêt de ce genre de recherche, ce n'est pas un soucis, passez votre chemin. Mais je fais partie de ceux qui ne s'interdisent pas de voir le problème à l'envers, même si c'est parfois contre intuitif. Le résultat n'est pas toujours bon mais ça vaut le coup de tenter la chose.

On arrête toujours de penser trop tôt (je ne sais plus quel magicien a rendu populaire cette phrase dans notre milieu). Parfois, il faut savoir ne pas vouloir trop en faire, vouloir trop prouver, etc... mais la recherche réalisée, même si elle n'apporte rien à la routine à laquelle vous vous êtes intéressée, peu servir dans le cadre d'une autre. Toute recherche n'est jamais inutile. Elle peut ne pas répondre à tel ou tel problème mais être la solution d'un autre.

Je ne sais pas si je m'exprime clairement mais les mots me viennent aisément (ça aussi ça me fait penser à...).

Modifié par Marc Page

L'illusionnisme est l'art de donner une réalité à des choses impossibles ou très peu probables.

  • 1 month plus tard...
  • Thomas changed the title to La Magie au Cinéma & à la Télévision | références
Publié le
Le 19/01/2022 à 10:15, Christian DELAMORINIERE a dit :

Le mentalisme est à l'honneur avec Nightmare Alley qui sort en salle aujourd'hui :

 

Bonjour

A voir et à revoir 

Vendredi 25 août à 20:50

sur Ciné+ Premier

Philippe Saccomano

 

 

"Pour la première fois, il n’y a pas de fantastique dans un film de Guillermo del Toro. Mais les monstres très humains qu’il dépeint dans son onzième long métrage sont peut-être les plus terribles de toute sa filmographie. Dans ce remake du Charlatan, d’Edmund Goulding (1947), tout commence dans un cirque itinérant au cœur de l’Amérique profonde, à la fin des années 1930. C’est dans cet univers qu’échoue Stanton « Stan » Carlisle, un vagabond en fuite. Le beau parleur (Bradley Cooper, remarquable dans la séduction comme dans la violence) découvre les astuces du mentalisme. Devenu le roi des bonimenteurs, Stan quitte le monde des forains pour la bonne société de Buffalo. Où il persuade les plus crédules qu’il est capable de communiquer avec leurs proches disparus. Avec l’aide d’une psy des beaux quartiers, il échafaude un plan machiavélique afin d’escroquer un millionnaire aussi puissant que dangereux…

Après l’hommage à Freaks, place au film noir sophistiqué auquel Guillermo del Toro réserve le même traitement qu’il appliquait au film de fantômes dans Crimson Peak (2015) : il respecte le genre et ses codes, multiplie les citations-références aux classiques, mais le considère aussi comme un terrain de jeu où tout est permis. Avec ses couleurs profondes, ses décors luxueux et ses explosions de violence gore, Nightmare Alley ne joue pas la carte du polar rétro mais du thriller contemporain.

Il est passionnant de découvrir comment Guillermo del Toro, en exposant les trucs derrière les numéros de télépathie de Stan, démythifie les phénomènes paranormaux et la croyance en l’imaginaire qui ont fait sa gloire en tant que cinéaste. Dans Nightmare Alley, la magie ne sert plus à combattre le mal, elle est désormais son instrument…"

Samuel Douhaire pour Télérama

Philippe 

Publié le
Le 22/08/2023 à 07:13, Christian DELAMORINIERE a dit :

 

Bonjour 

Dommage que la magie ne serve trop souvent que des séries cul cul la praline. 

Bon même si le jeu des acteurs n'est pas extraordinaire et l'histoire à l'eau de rose, les effets sont sympas et c'est un moyen de faire connaître la magie au plus grand nombre. 

Bonne journée 

Philippe 

  • Haha 1

Philippe 

Publié le (modifié)

Bonjour à tous,

j'ai découvert un film il y a peu 'En toute bonne foi"... Il n'est pourtant pas récent... C'est l'histoire d'un évangéliste et sa troupe qui sillonne les USA. Le show qui est monté pour "faire des miracles" utilise beaucoup de pratiques liées à la magie et digne d'un tel spectacle... plein de petits trucs sont expliqués tout au long du film (faire apparaitre des croix sur les visages, lecture des pensées, récupérations des données... donc si vous voulez monter un spectacle et prendre des idées, qui sait devenir évangéliste... 😆 Je n'ai pas remonté toutes les pages, trop de films, donc il a peut être déjà été cité...

Synopsis

L'évangéliste Jonas Nightengale, et son associée, Jane, sillonnent les routes des Etats-Unis, ne manquant pas une occasion de soutirer de l'argent aux âmes crédules à coups de sermons fantaisistes. Aussi lorsqu'une panne de voiture les contraint à séjourner quelque temps dans une petite ville du Kansas, le couple ne peut-il s'empêcher d'escroquer la population locale...

LE FILM REPASSE SUR PARAMOUNT CHANNEL LE 29/08/2023 A 22H30

 

 

Modifié par Sébastien GOYAUD
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  • 4 weeks plus tard...
Publié le

Extrait des séries de Key & Peele (ce dernier étant par la suite devenu réalisateur à succès de notamment Get Out, Us & Nope). 

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    • A défaut, il te suffit de présenter n'importe quelle routine de ton répertoire à tes spectateurs pour que ceux-ci puissent expliquer par la suite qu'ils ont vu un tour de Pierre (et à une lettre près, on n'est pas si loin de la demande initiale. Sans que cela ne te coûte un centime. Merci qui 😜 ?)
    • Derniers souvenirs partagés ici de cette FISM 2025 avec le 1er prix de micro-magie et Grand Prix FISM de Close-Up. *** Et puis le mercredi 16 IBUKI paru en scène, plia son foulard et avec lui la compétition de micro-magie. Ce n’était que la première session sur les trois de la compétition mais il n’y avait guère de doute qu’IBUKI serait au palmarès. La rumeur se répand rapidement comme souvent dans ce type d’événement. Le soir même coincé dans un bus avec la délégation russe qui avait loupé le passage du japonais les voilà qui m’assaillent de questions sur son numéro, car leur propre candidat, Vova, va devoir en découdre avec le magicien japonais. *** Description pour qui veut : IBUKI apparaît debout derrière sa table : sur celle-ci un tapis de close-up relevé à 45° vers le public et où se déroulera l’essentiel de la routine. Mais pas son introduction. Le magicien japonais sanglé dans une large veste de costume (couleur entre pêche et crème, mais pas noir, surtout pas noir), fermée sur le devant par quatre gros boutons, commence par poser alternativement ses mains sur des paires de boutons qui se téléportent magiquement jusqu’à se regrouper tous les quatre dans le coin supérieur gauche (vue du public) de son pan de veste.   Cousus là, tous les quatre.   Restés jusque-là bouche cousue, les premiers glapissements de surprise des spectateurs se font entendre dans la salle. Ce n’est que le début. *** Sur cette introduction : Les trois premiers effets de téléportation se produisent dans un plan vertical, sur la veste même d’IBUKI : il s’assure ainsi de l’excellente visibilité de cet effet de Matrix, effet redoublé d’une impossibilité matérielle : non seulement les boutons voyagent magiquement, mais avec eux leurs coutures aussi (sur cette impossibilité matérielle qui redouble le seul effet de téléportation, on pense par exemple à la Matrix avec des clous plantés dans une planche de Michael WEBER). Le contraste entre la couleur très claire du tissu et les boutons sombres participe de cette parfaite visibilité de l’effet - en plus d’éliminer certaines explications potentielles au tour. Et comme le montrera le reste de sa routine la visibilité des effets a été clairement un des problèmes qu’a eu à résoudre IBUKI.    IBUKI aurait pu faire le choix inverse : démarrer par les boutons regroupés puis les remettre magiquement à leur bonne place ; cela aurait fait sens si la routine avait été contextualisée : IBUKI aurait alors « réparé » magiquement la malfaçon initiale de sa veste. Mais ici pas de contexte, IBUKI préfère nous laisser sur l’image incongrue de cette veste aux boutons drôlement regroupés (d’ailleurs on a pu croiser dans les allées de la FISM IBUKI tout au long de ces six jours avec sa veste et ses drôles de boutons, conscient de cette image emblématique, cette image signature). En plus, en terminant avec les boutons regroupés là où ils ne servent plus à rien, quoi de plus naturel que de les découdre avec un petit ciseau de couturière.   La spectatrice (sans introduction formelle) assise à droite de la table se voit tendre les ciseaux et découd elle-même le 4e et dernier bouton (cette spectatrice jouera un rôle clef dans la suite de la mise en scène).    Enfin cette introduction instaure aussi l’émotion magique du reste de la routine : à savoir la surprise. « Les boutons ont voyagé...mais attendez un peu, surprise, ils sont bel et bien cousus ». D’ailleurs la première surprise de la suite du numéro sera que le « pouvoir » d’IBUKI ne va pas être tant la téléportation que de coudre entre eux magiquement et à volonté toutes sortes d’objets. *** Fin de l’introduction. Un foulard quadrillé est déplié sur le tapis incliné, les quatre boutons tout juste défaits de la veste sont chacun posés à un des quatre angles et à partir de là, et bien disons que plus rien ne va se passer comme prévu. Plutôt que de déflorer la suite de la routine deux remarques.  La visibilité : IBUKI a donc un problème : il va magiquement coudre entre eux des objets préalablement montrés « libres » les uns des autres…mais voilà : des coutures c’est bien peu visible de loin. La mise en scène de la routine pallie cette difficulté majeure de plusieurs façons : o   Quand il le peut IBUKI profite du contraste bien visible de loin du fil de couture blanc magiquement apparu sur certains objets noirs en montrant bien ceux-ci...sous toutes les coutures, avant et arrière. o   IBUKI va à plusieurs reprises basculer ses accessoires du plan incliné du tapis de close-up vers le plan vertical du début. Cela rend palpable les coutures même aux spectateurs les plus éloignés qui font physiquement l’expérience qu’en dépit de la gravité des objets restent désormais inexplicablement fixés, car cousus entre eux. o   À l’appui du mot « cousu » qu’il vient de prononcer, IBUKI mime (et ce mime a une autre raison d’être - voir ci-dessous, les mots) par de larges gestes de sa main droite, en vagues montantes et descendantes, l’acte même de l’aiguille qui coud, communiquant là encore pratiquement physiquement à tous les spectateurs l’expérience du fil qui transperce les objets pour les unir – ce qui renforce encore au passage la totale impossibilité de son effet magique. o   La spectatrice est elle aussi mise à contribution comme témoin-relais de l’ensemble du public : invitée à toucher les coutures, à découdre, à manipuler les boutons libres l’instant d’avant puis soudainement cousus sous sa propre paume ; jusqu’au tout dernier geste d’IBUKI envers cette spectatrice, geste qu’on ne révélera pas ici, mais qui a fait fondre les derniers neurones des spectateurs et du jury.            Obtenir une standing ovation de quelque 2200 spectateurs dans une salle dont il a été suffisamment dit qu’avec son sol plat elle offrait une piètre visibilité, et ce avec quatre boutons et un foulard, prouve combien cette mise en scène est efficace.  Les mots. Pas de dramatisation de l’effet via un contexte, pas de personnage autre d’IBUKI lui-même, un côté gendre idéal un rien timide engoncé dans son costume, posé au début, puis qui s’anime de plus en plus au gré du crescendo des effets. Le texte : réduit au possible ; en fait il va tout entier tourner autour d’un calembour assez sot (si j’ose dire) : les différentes acceptions en anglais du son [soʊ], de « tellement » (so), à « coudre » (saw), en passant par « vu » (saw). Mais ce jeu de mots à première vue bêta contribue à la montée en émotion de toute la routine. Et on l’a dit l’émotion visée est la surprise, aussi chaque séquence se déroule selon : o   Exposition de la situation initiale : les objets sont clairement séparés. o   La magie se produit en douce, sans incantation, ni geste magique. o   IBUKI prononce le son [soʊ] et on découvre stupéfait que l’effet n’est pas nécessairement celui attendu (une téléportation), mais qu’une nouvelle couture est apparue, et jamais là où on l’aurait imaginée. Le son [soʊ] n’a pas la valeur d’un abracadabra (car quand il est prononcé la magie est déjà advenue), mais il en conserve la valeur rythmique de leitmotiv en marquant le début de la phase de révélation de l’état final : dès qu’IBUKI se montre ravi que quelque chose de « so impossible » s’est produit (mime à l’appui de la couture pour souligner le piètre calembour so/saw) on frémit : on n’a rien vu et pourtant une nouvelle couture a surgi là où on ne l’attendait pas. La tension entre la naïveté assumée du jeu de mot qui nous nargue d’une part, et notre totale incompréhension du « truc » d’autre part, décuple alors l’émotion magique ressentie. *** Un dernier détail. Deux fois j’ai vu IBUKI (en compétition et dans le gala des gagnants) et deux fois à un certain moment de la routine alors qu’il se saisit du bouton le plus près de lui à sa gauche, le foulard amidonné reste malencontreusement (?) dressé à la verticale. Notre « taureau de la raison » (TAMARIZ) se rue sur ce pli accidentel : IBUKI ne profite-t-il pas d’un pli pas si fortuit pour y dissimuler un bouton resté en place et dont il n’a que simulé la prise ? L’instant suivant remarquant le désordre de son foulard IBUKI le saisit par deux coins, le claque pour le redéposer bien à plat sur le tapis…et anéantir au passage notre hypothèse : aucun bouton où nous le soupçonnions. L’art de la fausse piste, du red herring, est un art du tact : trop subtil, le leurre n’est même pas remarqué ; grossier, le spectateur flaire l’intention délibérée du magicien de l’égarer et se rebiffe. J’ignore si ce pli, bien vertical, bien visible était ou non une maladresse par deux fois réellement malencontreuse (improbable à ce niveau de compétition, d’autant que la chorégraphie d’IBUKI est impeccable partout ailleurs), j’ignore si ce minuscule « incident » du pi de trop a donc quoi que ce soit de réfléchi, d’intentionnel (voir même de nécessaire à la méthode), mais si tel est le cas, comme je le soupçonne, faire d’un faux pli un vrai contrôle de notre attention aura suffi à me ravir.    
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