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Hello ! 
 

Sans rien révéler du fonctionnement bien sûr, j’aurais aimé avoir vos avis sur la meilleure façon de faire mon impromptu préféré, le fameux Out of sight out of mind de Vernon. 
 

Particulièrement sur la partie choix de la carte pensée au début. 
 

Perso je le fait dans l’ordre suivant:

je fais défiler des cartes au début en expliquant qu’il faudra en retenir une, pour habituer le spectateur direct au mouvement, à la fin de mon explication je remet en dessous, et je fais défiler lentement les 6 premieres, et je fais mine d’aller en prendre une 7 eme au moment où je demande si il en a une en tête. Puis après je remet les 6 au milieux, contrôle et suite du tour classique. 
 

80%/90% du temps les gens en prennent une des les 6 premières donc pas de soucis. 
Mais le tours perd pas mal d’impact si le spectateur dis non et que je dois poser les cartes et recommencer avec 6 autres, c’est moins clean. 
 

Quel est votre handling pour éviter cette situation ou limiter l’effet négatif si elle se produit ? 
Faites vous faire le choix à 6 ou 8 cartes ? 
En clair avez vous des astuces pour que cette partie du tour semble naturel et le choix le plus libre possible ? 
 

Merci 🙂 

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"Mundi placet et spiritus minima", ça n'a aucun sens mais on pourrait très bien imaginer une traduction du type : "Le roseau plie, mais ne cède... qu'en cas de pépin" ce qui ne veut rien dire non plus.

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Bonjour Florent,

Il me semble que ta méthode est bonne.

Si le spectateur n'a pas mémorisé une des six premières cartes, tu continues et tu lui en montres 6 autres en gardant ton index sur les six premières. Tu lui demandes alors après ces six cartes si il en a une en tête. Si ce n'est toujours pas le cas tu lui en montres encore six autres en gardant toujours ton index sur les douzes premières. Tu lui demandes alors si maintenant il en a mémorisé une. Si il te confirme que c'est le cas, tu coupes les douze premières sous le jeu et tu commences le tour en partant de là. 

Perso, je ne remets pas les 6 cartes dans le jeu, je démarre un mélange à la française avec les 6 cartes sur le dessus du jeu.

Je ne sais pas si je suis clair. 🙂

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La magie au bout des doigts

http://illusionniste.be/

  • Thomas changed the title to Out of Sight Out of Mind de Dai VERNON | vos méthodes
Publié le

pareil que Philippe, je continue le défilement. Mais je fais out of sight out of mind avec 9 cartes comme ds la version originale il me semble, et cela ne m'est quasiment jamais arrivé qu on dépasse les 9 cartes

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Publié le
il y a une heure, Philippe NOËL a dit :

Bonjour Florent,

Il me semble que ta méthode est bonne.

Si le spectateur n'a pas mémorisé une des six premières cartes, tu continues et tu lui en montres 6 autres en gardant ton index sur les six premières. Tu lui demandes alors après ces six cartes si il en a une en tête. Si ce n'est toujours pas le cas tu lui en montres encore six autres en gardant toujours ton index sur les douzes premières. Tu lui demandes alors si maintenant il en a mémorisé une. Si il te confirme que c'est le cas, tu coupes les douze premières sous le jeu et tu commences le tour en partant de là. 

Perso, je ne remets pas les 6 cartes dans le jeu, je démarre un mélange à la française avec les 6 cartes sur le dessus du jeu.

Je ne sais pas si je suis clair. 🙂

Tout à fait clair ! 
C’est effectivement à peu près ce que je fais, et c’est un handling presque parfait en effet.
Merci !  
 

il y a 22 minutes, Pierre BVT a dit :

pareil que Philippe, je continue le défilement. Mais je fais out of sight out of mind avec 9 cartes comme ds la version originale il me semble, et cela ne m'est quasiment jamais arrivé qu on dépasse les 9 cartes

J’ai déjà vu cette version à 9 cartes, c’est encore plus convaincant en effet. 
Dans ce cas là comment ce passe la partie « répartition » et « révélation » ? 
On split 4 au dessus 4 au dessous, puis on garde une LT pour révéler ? mais comment on fait pour cette 9 eme carte. 
il me semble que Amar fait cette version je me suis toujours ou passe cette 9 carte. 

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"Mundi placet et spiritus minima", ça n'a aucun sens mais on pourrait très bien imaginer une traduction du type : "Le roseau plie, mais ne cède... qu'en cas de pépin" ce qui ne veut rien dire non plus.

Publié le (modifié)

Quelle version édulcorée avez vous? Car la version originale de Dai Vernon utilise 9 cartes comme précédemment dit, et le process est identique pour chacun des 3 paquets contenant les 3 cartes. Pourquoi êtes vous embêté pour la 9 ème carte?

Modifié par Frédéric HÔ
Publié le

Je ne connaissais pas ce florilège de variantes existant Frédéric, merci à toi. Néanmoins dans le modus operandi original, ça n'a pas de sens d'avoir une difficulté avec la 9ème carte. Ça aurait pû être là 1ere, 5ème ou tartempion ième, que l'idée n'avait pas de sens non plus  Donc la version originale n'est pas ou très peu connue manifestement.

Publié le
il y a une heure, Florent MICHEL a dit :


 

J’ai déjà vu cette version à 9 cartes, c’est encore plus convaincant en effet. 
Dans ce cas là comment ce passe la partie « répartition » et « révélation » ? 
On split 4 au dessus 4 au dessous, puis on garde une LT pour révéler ? mais comment on fait pour cette 9 eme carte. 
il me semble que Amar fait cette version je me suis toujours ou passe cette 9 carte. 

tu finis la répartition avec 3 au dessus, 3 au milieu et 3 en dessous. Comment y arriver ? il y a plusieurs façons, il faut juste que tu y réfléchisses en fonction des outils techniques que tu maitrises (y compris carte clée....)

  • J'aime 1
Publié le
il y a 51 minutes, Frédéric HÔ a dit :

Quelle version édulcorée avez vous? Car la version originale de Dai Vernon utilise 9 cartes comme précédemment dit, et le process est identique pour chacun des 3 paquets contenant les 3 cartes. Pourquoi êtes vous embêté pour la 9 ème carte?

Ah oui en effet j'ai du apprendre une version édulcorée ! Je l'ai appris y'a quelques années déjà je sais plus où. Mais les quelques fois ou j'ai eu l'occasion de la voir réaliser par quelqu'un d'autre en live il faisait la version 6 cartes aussi. La seule fois ou j’ai vu cette version à 9 cartes c'est sur la vidéo de Amar que j'ai partagé au dessus.

Je pensé ducoup qu'on faisait la version à 9 cartes en utilisant une levée triple, mais je viens de comprendre que non du coup. D’où mon interrogation pour la 9 eme carte. 

il y a 8 minutes, Pierre BVT a dit :

tu finis la répartition avec 3 au dessus, 3 au milieu et 3 en dessous. Comment y arriver ? il y a plusieurs façons, il faut juste que tu y réfléchisses en fonction des outils techniques que tu maitrises (y compris carte clé....)

D'accord c'est bien ce que je m'imaginais. Ducoup il faut poser 2 fois la question lorsque que l'on fais défiler les cartes au spectateur ? Une fois après les 3 premières et une seconde fois après les trois suivantes ?

Pour répartir les cartes de la façon suivante pas de soucis, cependant pour retrouver les cartes du milieu pour pouvoir breaker en dessous j'ai du mal. C'est pour cette partie que tu parles d'une carte clé ?

 

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"Mundi placet et spiritus minima", ça n'a aucun sens mais on pourrait très bien imaginer une traduction du type : "Le roseau plie, mais ne cède... qu'en cas de pépin" ce qui ne veut rien dire non plus.

Publié le (modifié)
il y a 49 minutes, Florent MICHEL a dit :

 

D'accord c'est bien ce que je m'imaginais. Ducoup il faut poser 2 fois la question lorsque que l'on fais défiler les cartes au spectateur ? Une fois après les 3 premières et une seconde fois après les trois suivantes ?

Pour répartir les cartes de la façon suivante pas de soucis, cependant pour retrouver les cartes du milieu pour pouvoir breaker en dessous j'ai du mal. C'est pour cette partie que tu parles d'une carte clé ?

 

Je fais la version d'Harvey Berg Intercept que j'ai préféré à la méthode de Vernon, la différence essentielle vient, de mémoire, dans la révélation de la carte, que tu fais en faisant défiler le jeu face en haut; Je ne pose pas la question  directement ("est ce que tu as vu ta carte ?), je fais des affirmations "j'ai senti quelque chose..." , juste avant d'arriver à la carte clée qui est positionnée avant les 3 cartes du milieu et la 2eme fois, "là tu as du voir ta carte" (avant d'arriver sur les dernières cartes).  Sinon je ne vais pas plus loin je fais 1 fishing sur les 3 dernières 

 

Modifié par Pierre BVT
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    • Voici un extrait de la FISM : Le règlement est très vague et de ce fait, on peut arguer que la simple disparition d'un FP dans un foulard aurait compté. Maintenant comme on peut voir plus haut, Dani n'a pas été éliminé. A moins, de discuter avec les juges, il est donc difficile de savoir ce qu'il lui aurait permis d'avoir plus de points.
    • Bonjour, Plus frappant peut-être était surtout l'hommage final à René LAVAND, et ses trois boulettes de mie de pain dans la tasse, exécuté ici à quatre mains...ou plutôt à deux mains sur quatre - Rubi FEREZ étant la main droite et Fernando NADAL la gauche ; et sans récitation de poème non plus mais en musique. Le duo FEREZ-NADAL fonctionne ceci dit à l'opposé de celui de Pepe CARROLL et Juan TAMARIZ - si je m'en réfère à leurs apparitions dans la série Magia Potagia. *** Pour Pepe CARROLL et Juan TAMARIZ la dramaturgie du numéro se nouait généralement sur une mise en compétition entre eux, se lançant des défis mutuellement, essayant de surpasser l'autre ; ou, parfois, le fantasque et farceur Juan TAMARIZ tendant un "piège" dans le dos de l'élégant et suave  Pepe CARROLL -modifiant par exemple avec un clin d’œil au public l'ordre de certaines cartes, ou mélangeant carrément le paquet à son insu. Mais immanquablement Pepe CARROL retombait sur ses pieds, comme si de rien n'était, l'embuche tendue par J.TAMARIZ effacée par magie... Dans ce dispositif-ci,  l'intérêt est que ce conflit narratif "extérieur" entre les deux magiciens agit à la manière d'une couverture pour leur collusion secrète bien réelle : le mélange de l'un destiné à compliquer la tâche de l'autre - récit apparent- a en réalité bien l'objectif par exemple d’amener secrètement l'arrangement voulu sur le dessus du paquet, arrangement qui permettra justement au second magicien de "briller" en dépit de l’apparente traitrise du mélange du paquet par le premier ( voir l'introduction du classique  "Magic and Showmanship" de H.NELMS pour un autre exemple de  conflit narratif apparent  comme couverture du modus operandi réel de l'effet, par complicité secrète entre les deux adversaires déclarés du récit). *** Le duo FEREZ-NADAL, lui, est soudé pour produire l'effet magique, soudé littéralement bien souvent, épaule contre épaule. La séquence intermédiaire du numéro à une main chacun sur la guitare, et à une main chacun sur la table pour y produire l'effet magique, illustre cette complète coopération. S'il y a bien une dynamique de (léger) conflit entre les deux personnages elle n'est pas sur la table mais sur leurs visages avec deux leitmotiv : les lunettes de Fernando ne cesse de lui glisser sur le bout du nez et c'est Rubi qui les lui remonte en place. Ce simple geste pose les deux personnages : Fernando est le "sérieux" du duo, soucieux des apparences, et Rubi est l’affectueux, le bienveillant. Fernando, par souci des convenances, ne cesse d'arracher un cure-dent d’entre les dents de Rubi, et le cure-dent malicieusement fait perpétuellement sa réapparition dans la bouche de Rubi. Mais aucune provocation de l'un par rapport à l'autre ici, non, c’est juste que Rubi est l'enfantin des deux -et son cure-dent, et bien, il ne peut juste pas s'en empêcher c'est tout. Avec son visage ovale illuminé de son franc sourire, ou même lorsqu'il fait fait son mystérieux - tel un petit enfant qui aurait caché un objet dans sa main et nous lancerait "Devine !"-, Rubi FEREZ a un charisme tel qu'il désamorce instantanément tout bras de fer magicien-public quant au secret : la magie advient, tout simplement. *** À noter qu'il y avait un autre duo en compétition de micro-magie, les suisses Omini et Nico qui ont vendredi matin fait l'ouverture de la 3e et dernière session de la compétition close-up/magie de salon, avec un numéro extrêmement soigné, bien construit, où des balles éponges vertes sont des virus qui se multiplient et infectent un des magiciens : bâtonnets de test dans la narine, thermomètre, masque sanitaire, tous les accessoires employés sont parfaitement justifiés, la progression dramatique comme la maladie passe de l'un à l'autre très claire. Le thème choisi qui ne rappelle  guère de bons souvenirs à quiconque les a-t-il desservi ? Sans doute, mais plus globalement il parait assez net que ce jury était sur une ligne "la magie avant tout", et s'est montré globalement très peu sensible à toute mise en contexte narrative de la magie* du moins c'est comme cela que je le perçois (seul au palmarès Starman et son numéro de dépressif après une rupture amoureuse peut être vu comme une légère exception)  (je m'en vais relire à ce sujet la section de L'Arc en Ciel Magique où J.TAMARIZ analyse longuement le mélange magie et narration). *C'est cette même ligne très arrêtée du jury qui a sans doute, comme pour Omini et Nico, compliqué la tâche aux numéros de Air One, Bertrand MORA et Robin DEVILLE puisque chacun à leur manière assumait des partis pris narratifs justement très marqués, assortis d'un travail sur les personnages et sur le conflit dramatique qui en découle. Je repense à l'excellent "Conspirations" spectacle de mentalisme donné la saison dernière au LUCERNAIRE et qui proposait par sa mise en scène astucieuse, levant et rabaissant virtuellement l'invisible 4e mur au gré des effets, comment une magie fortement théâtralisée est possible. Chauvinisme en passant : au contraire des délégations italienne, allemande, bulgare ou autrichienne (olalala l'Autriche pitié) qui nous ont toutes infligés au moins un numéro irregardable, tous les candidats français en magie de salon et close-up qu'on en ait apprécié ou pas le  résultat final, leur parti-pris artistique, leurs effets magiques, témoignaient d'un travail de mise en scène, sans doute perfectible, mais avec au moins à chaque fois une recherche de quelque chose. On ne pouvait vraiment pas en dire autant donc de bien d'autres pays. *** Ces six jours furent intenses, passionants, et totalement épuisants : épuisants par ces montagnes russes émotionnelles quand on passe d'un numéro où du fond de son siège on se sent en total empathie avec l'artiste, on croiserait presque les doigts pour que le numéro tienne jusqu'au bout, on vibre et on craint, puis l'instant d’après on aimerait se terrer sous son siège tant le numéro proposé tourne à la débandade complète, le numéro s'étire, la confusion embrume les esprits, les applaudissements s'étiolent, la gêne s'installe. Épuisants aussi car intellectuellement c'est une sollicitation constante, chaque choix thématique, choix de mise en scène, de musique, d’accessoires, de chorégraphie, de texte suscitent une foule d'interrogation, d'idées, on imagine des alternatives, on reconnait un principe plus ou moins bien employé, on s'interroge sur un texte,  peu importe qu'on adhère ou pas, c'est un bouillonnement de créativité qui vous lessive, qui parfois frise l’excellence, parfois sombre dans des approximations difficilement recevable côté public, mais qui toujours exige une concentration soutenue s'il on veut analyser à fond chaque numéro- et par analyser j'entends aller au-delà du "oulalala il a flashé" ou des conjectures quant à la méthode employée (après, le 3e jour des session de close-up et magie de scène, vendredi donc 5e jour de la FISM, on ne cachera pas que c'était visiblement et surtout bruyamment 😉 difficile pour beaucoup de suivre encore la compétition tant la fatigue était grande) . Admiration aussi pour ceux, tous ceux, qui s'y collent :  que de mains qui tremblent, que de voix qui déraillent sous le coup de l'émotion, que de gestes techniques qui dérapent sous la pression, mais ils y sont allés quand même, dans l'espoir de créer un moment magique.  Chapeau. L'aspect compétition, délégation des pays, avait été ici même discuté avant la FISM : très franchement ces questions une fois qu'on est dedans s’envolent instantanément, l'ambiance fabuleuse qui se crée autour de la compétition, le plaisir de voir les équipes soutenir avec un chauvinisme bon enfant leurs différents candidats vous emporte-on a souvent la standing ovation facile, mais qu'importe c'est le jeu. Au contraire même l'idée d'avoir des équipes qui soutiennent les artistes dans tous les domaines, créatifs, techniques, et pourquoi pas psychologique - la pression est telle- paraît assez évidemment la voie à poursuivre et amplifier. *** Et zut ... ce matin -après un retour dans la nuit homérique de quelque sept heures depuis TURIN pour PARIS- je me suis surpris à fredonner "Abracadabra"... arghhhhhh Lady GAGA sort de ce corps...  
    • Merci pour cette précision. Je pensais que Dani concourrait uniquement en invention. Il reste dommage que dans la catégorie GI, on exige deux illusions différentes. Pas certain que des effets additionnels de magie générale suffisent avec une seule grande illusion. C’est du moins ce que l’on m’a expliqué à plusieurs reprises, mais peut-être les choses ont-elles changé ( ou mériteraient d’évoluer dans le cas contraire). 
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