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 Ce qui suit est une critique du trés grand et mythique magicien anglais reconnu par ses pairs dans le monde entier...

Hé bien... Aprés avoir vu sa perf dans la vidéo ci-dessus, je suis assez partagé... En même temps, c'est plein d'enseignement.

Mais cela me permet d'avoir un peu de recul sur la théorie enseignée par les grands de ce monde et la pratique qu'ils en font (et dont je ne partage pas l'ensemble du contenu).

 

Dans l'ordre :

Needle trick

Comme tour d'entrée, pour un spectacle grand public, j'aurais clairement choisi autre chose.

Je peux comprendre qu'on veuille en mettre plein la vue au public dés le départ mais quand même.

Par ailleurs, je trouve que la relation avec la spectatrice créé le malaise...

Et ça dure plus de 5 min (ce qui semble trés long). 

 

Bref... J'ai pas aimé.

 

Ring and rope 

Routine classique.

Ca passe plutôt bien. C'est interactif. Pas vraiment innovant ni avec une véritable histoire à raconter.

Mais ça passe. Je me pose la question de savoir si avec un magicien lambda on trouverai ça classique, bof, pas innovant, etc... mais que là, parce que c'est Williamson, on trouverai ça génial.

Moi, je trouve pas ça folichon.

 

Torn and restored card 

Le tour est super.

Mais je ne comprends pas qu'on fasse une routine pareille sur scène. C'est certainement une vraie tuerie pour le close-up.

Cela m'a d'ailleurs motivé pour relire les "Merveilles de Williamson" où le tour est décrit (comme quelques uns des autres tours du show).

Mais perso, jamais je ne présenterai ça en scène. Je passe sur la blague graveleuse avec le cellophane.

Aucun intérêt. 

 

Card in mouth

On peut discuter de la routine en elle même. Peut-on ou pas présenter un tour où une carte sort de sa bouche, avec la salive qui s'en dégage et toutes les images que cela peut inspirer.

Perso, je pense que selon les circonstances, un tour comme celui-ci peut se présenter.

Mais alors la présentation de DW, là, vraiment je ne comprends pas. Gros moment de malaise avec la spectatrice... Trés bizarre !

C'est pas du tout le genre de magie que je pratique, pas du tout le genre d'humour que je ferai sur scène (à la limite, avec mes amis les PLUS proches lors d'une soirée arrosée pourquoi pas mais alors dans les circonstances d'un show sur scène !🙄 Je ne partage pas du tout l'approche. 

 

 

Rocky Raccoon

Routine sympa (malgré une blague graveleuse sans intérêt pour un spectacle comme celui-ci).

La peluche fait toujours son effet. Et il faut préciser qu'il la maitrise à merveille.

 

Funner Color Stunner

Trés bonne routine de cartes. Qui n'a, selon moi, rien à faire sur scène.

Aprés, y'a un écran géant qui retransmet. Alors pourquoi pas. J'ai bien aimé  lorsque "Magicien(s) tout est écrit" l'a fait. J'ai bien aimé lorsque Kamel l'a fait... Y'a pas de raison pour que je dise non à Williamson.

Et encore une fois, la routine est trés sympa, un bon climax à la fin. Pas de lourdeur dans le discours. Une belle histoire qui parle de Dai Vernon. Williamson parle un peu de lui également (implication personnelle dans le boniment chère à Eugène Burger).

Bref... C'est trés bien.

 

Cups and balls 

Routine de Williamson décrite dans "les Merveilles".

C'est trés bon. Pas grand chose à redire. Techniquement parfait.

 

Conclusion

La maitrise technique est parfaite. Mais le choix des routines n'est à mon sens pas toujours justifié. Mais ce qui me marque le plus, c'est la relation spectateur que je ne partage pas du tout !!

C'est de l'humour pas fin, la relation n'est pas vraiment là pour mettre le spectateur à l'aise.

On y sent même par fois le malaise. Je suis trés surpris de cela de la part d'un grand magicien comme Williamson. Ca ne décrédibilise pas l'immense magicien qu'il est.

Mais ça permet de prendre un peu de recul par rapport à la renommée mondiale qu'il s'est forgée (à juste titre).

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Je suis d'accord avec Mathieu. J'ai été et suis encore un fan de David Williamson et de sa folie, mais ce show issu de Ridiculous ne passe pas. Je trouve qu'il finit par se caricaturer, c'est too much, et effectivement il y a un sentiment de malaise à de nombreux moments. Choix des tours aussi discutable. Quant au raccoon, il vaut bien mieux voir ses vidéos du passé (Raccoon and other effects par exemple) qui étaient plus déjantées, la version light de cette vidéo n'est qu'un pale aperçu de ce qu'il pouvait faire avec.

Disons qu'avant Williamson était drôle (enfin si on aime ce genre d'humour), là on a l'impression qu'il se force à être drôle. Dommage.

Les autres vidéos de Ridiculous sont, à mon avis, plus intéressantes.

  • J'aime 2
Publié le
Il y a 14 heures, Mathieu a dit :

 Ce qui suit est une critique du trés grand et mythique magicien anglais reconnu par ses pairs dans le monde entier...

Il n'est pas anglais, mais américain. Dans Magic Farm, il présente d'ailleurs la propriété familiale où il a grandi, dans l'Ohio.

Et pour le reste, certes, il y a une ou deux vannes graveleuses qui pourraient sauter, mais si tous les mauvais spectacles pouvaient être ne serait-ce qu'un quart aussi bon que celui-ci, ce serait le rêve. Il ne faut peut-être pas oublier non plus qu'il est face à un public portugais qui, certes, parle anglais, mais peut-être pas au niveau des gens dont c'est la langue maternelle (ça s'entend à leur façon de parler). Ça joue peut-être aussi dans les "malaises" que tu perçois (c'est juste une supposition) et que je ne ressens pas du tout, personnellement.

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Publié le
Il y a 13 heures, Yann (Menteur) a dit :

Il n'est pas anglais, mais américain

My mistake... 😆

Il y a 13 heures, Yann (Menteur) a dit :

Il ne faut peut-être pas oublier non plus qu'il est face à un public portugais qui, certes, parle anglais, mais peut-être pas au niveau des gens dont c'est la langue maternelle (ça s'entend à leur façon de parler)

Ce n'est pas totalement excusable. D'autant que les reproches que je lui fais sont certes dans les blagues mais pas que... La démonstration de la bouche vide à 2 cm du visage, y'a pas besoin d'être anglophone natif pour trouver ça grotesque (en tout cas, moi, je trouve ça aussi Ridiculous que le titre du DVD). Se faire toucher les dents par la spectatrice, désolé, mais c'est clairement pas MON kiff. Se mettre le cellophane du paquet dans le c.ul... Hou lala... Dro-le !!!!

Alors si j'en crois l'entièreté de son spectacle + ce qu'il précise sur son site, en l’occurrence il se fait appeler the Ridiculist... Ok, il veut jouer sur ça. Un magicien de cet age là doit-il jouer ce type de personnage ? Je ne partage pas cette opinion.

Je ne dis pas qu'il a tort (et compte tenu de sa carrière et de la mienne, il a certainement raison). Je dis que je ne partage pas son point de vue.

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Publié le (modifié)

Normalement je serais plutot d'accord avec Mathieu : le magicien qui met mal à l'aise les spectateurs pour faire le show, pas terrible… Cependant, je trouve que Williamson ne fait pas cela.  Si les spectateurs participants peuvent être choqués, ils ne sont pas -à mon sens - mal à l'aise d'être moqués. C'est Williamson qui est too much (dans le bon sens du terme) et chacun  comprend qu'il voit un artiste d'exception. je dirais même que dans cet exercice, Williamson est plutôt délicat. Des petits gestes, signes, attentifs et précis envers ses "victimes" témoignent d'un grand tac, d'une maîtrise du métier et d'une grande connaissance et respect du public

Modifié par Jac
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    • Et si l'on parle de "bouffée de l'humanité" : quelques portraits de la Fism à Rimini, là où l'humanité était encore plus palpable.... Qui me cite les noms ? 1er prix : Mon corps pendant 10 mn. Deuxième pris : une nuit d'amour avec moi; Troisième pris : Une vie avec moi !  
    • Bonjour, Heureux si j'ai pu partager avec certains quelques unes des émotions ressenties pendant les six jours de cette FISM. À propos d'émotions, le numéro du 1er prix en magie de salon en débordait. (précision : lors de son second passage sur "Fool Us" le tout début de ce numéro a déjà été montré : si vous ne l'avez pas déjà vu...alors tant mieux, gardez-vous de le regarder, vous vous gâcheriez une partie du plaisir de la version intégrale) *** Asi WIND dans « Incredibly Human » ou Derren BROWN dans son dernier livre se posent la même question : pour que dans un spectacle vivant et interactif une émotion sincère puisse naître, il faut que surgisse une connexion authentique entre l’artiste et son public. Dès lors, comment concilier en magie cette authenticité de la relation humaine avec un art qui est, lui, tout entier tourné vers l’artifice ? Ce jeudi 17 juillet à TURIN au matin, lors de la compétition de magie de salon, Mortenn CHRISTIANSEN a à sa manière si particulière fait surgir cette bouffée d’humanité dans un auditorium comble. *** Dès le départ tout est allé de travers pour le candidat danois Mortenn CHRISTIANSEN, appelé sur scène alors qu’il n’était absolument pas prêt. Mais alors pas prêt du tout, du tout, du tout. Le jeune homme bien portant boulottait des chips en douce dans les coulisses au moment d’entrer en scène, mais dans la précipitation, c’est la cata : sa main droite s’est coincée dans son tube de chips. Son désarroi est palpable. Pour tenter de sauver la mise de demander malgré tout une carte à un spectateur (Shawn FARQUHAR s’y colle, va pour le 4 de cœur) avant de s’apercevoir que son paquet de cartes est coincé dans la poche arrière droite de son pantalon -pas de bol, pile du côté de sa main bloquée dans le paquet de chips : au prix de moult contorsions Mortenn parvient à faire remonter peu à peu le paquet de cartes qui émerge de sa poche et finit par chuter sur scène. Il le ramasse de sa seule main libre -la gauche- sort les cartes et enchaine une série de piètres manipulations d’une main. Les maladresses succèdent aux maladresses, Mortenn peste, marmonne combien il n’était pas prêt, laisse lamentablement choir toujours plus de cartes, bref sa prestation tourne à l’embarras complet. Mais attendez, voilà que Mortenn ne tient plus qu’une seule carte, dos au public…se pourrait-il ? *** À cet instant la routine bascule : Mortenn fanfaronne : « Eh eh…vous avez cru que je n’étais pas prêt…et bien c’était pour de faux, j’étais prêt, archi-prêt… ». Qu’on se le tienne pour dit, on va voir ce qu’on va voir. Non pas bien sûr que quiconque dans la salle ait réellement cru à la farce de Mortenn pas prêt – même si cette séquence du pauvre garçon en prise aux pires coups du sort aura quand même suffit à susciter notre empathie immédiate envers lui-, mais nous voilà, nous dans la salle, passés en un clin d’œil de spectateurs à spect-acteurs, projetés dans le rôle qui nous est assigné : celui d’adultes face à un petit enfant trop content d’avoir roulé son monde dans la farine ; et nous allons, pour lui faire plaisir, faire comme si nous avions effectivement gobé la bonne blague de sa déroute feinte. Par sa personnalité scénique et sa mise en scène, ayé, le (vrai) tour est joué : le bras de fer potentiel public-magicien est illico désamorcé, nous consentons à entrer dans le monde de Mortenn, nous jouons à faire comme si nous avions vraiment cru qu’il était pris de court, et ainsi nous nous livrons pieds et poings liés au garnement. Mortenn est un enfant mais pas à la manière mettons d’un Rubi FEREZ- enfant lunaire, rayonnant et malicieux, qui s’émerveille de tout. Non, pour Mortenn le monde est vaste et compliqué ; puéril et hypersensible (donc hyper-attachant) il est en butte aux gens et aux choses qui le rendent bien, bien, malheureux. Et la magie est son salut. Et la vraie magie est que tout le reste de la routine va puiser sa justification précisément dans le personnage même de Mortenn CHRISTIANSEN, dans sa « revanche » face aux grandes personnes. *** Car à cet instant la routine bascule aussi en termes de nature d’effet magique : on va passer d’une démonstration burlesque d’habilité à retrouver une carte par des manipulations faussement maladroites, à un tout autre effet : une prédiction. Ou plutôt des prédictions. Les magiciens ont sans doute tendance à surestimer l’impact réel des effets de prédiction sur leur public, et, pour donner un semblant de construction dramatique à leur numéro, à multiplier les révélations sur le mode : « vous avez librement choisi le 4 de cœur…observez miracle ! C’est la seule carte à dos rouge dans ce paquet bleu… non seulement cela, mais j’ai aussi un 4 de cœur tatoué sur mon bras…et attendez un peu…une carte et une seule dans mon portefeuille le 4 de cœur… ». Le kicker jusqu’à plus soif. La surenchère de prédictions au lieu de décupler l’effet bien souvent l’amoindrit. On avait saisi le message dès la première prédiction révélée : ok le magicien a prévu l’avenir, quel besoin a-t-il donc de nous le « prouver » encore et encore ? L’insistance superflue éveille la suspicion : lors d’un spectacle vu il y a quelques temps j’entendis ainsi soupirer un spectateur au moment de la « trop parfaite » énième révélation : « Bon ok donc c’est le 4 de cœur tous les soirs... » (sic) (pages 46-47 de « Notes from a Fellow Traveler » D.BROWN explique la réécriture du final de son show « Enigma » suite à un exemple semblable d’accumulations d’effets redondants qui s’affaiblissaient mutuellement au lieu de créer la montée dramatique escomptée). Mortenn CHRISTIANSEN va réemployer cette structure « discutable » et lui aussi multiplier les prédictions de la carte choisie -au moins 5 de mémoire : alors pourquoi ici cela fonctionne-t-il si bien, jusqu’à déclencher une standing ovation ? Premièrement le choix initial est on ne peut plus convaincant, transparent : le spectateur nomme librement la première carte qui lui passe par la tête -le jeu n’est même pas encore sorti, et puis quelles manipulations possibles avec une main fourrée dans un paquet de chips ? Comme notre esprit rationnel est tranquillisé de ce côté-ci par une procédure rapide et limpide, il va se faire d’autant plus facilement submerger ensuite par notre esprit émotionnel. Car, deuxièmement, l’accumulation de révélations de prédictions de cette carte est motivée dramatiquement (et donc notre esprit rationnel le cède d’autant plus aisément à notre esprit émotionnel) : c’est juste le personnage immature de Mortenn qui piaffe ; il nous a bien eu, et vlan, vlan, vlan, prédiction après prédiction, le petit enfant jubile d’avoir joué un si bon tour à ces grands bêtas d’adultes. Et nous qui avions si volontiers consenti à entrer dans son jeu nous voilà refaits, désarçonnés face à une avalanche d’impossibilités grandissantes. Ici c’est donc du personnage que part la construction dramatique de la routine et sa multiplication des effets de prédictions. Et non pas d’un personnage de magicien surplombant qui pour accroitre son prestige, prédictions après prédictions, essaierait (vainement) d’étoffer le mystère ; mais bien d’un personnage enfantin qui a gagné notre sympathie et que l’on regarde tendrement trépigner d’avoir enfin le dessus sur les « grandes » personnes que nous sommes. Le martèlement des effets reflète la psychologie de Mortenn. D’un point de vue magique, la rafale de révélations sature notre esprit rationnel : à peine est-il parti en chasse d’un début d’explication potentielle d’une des prédictions qu’une autre surgit encore plus mystérieuse (on n’est pas ici face à un même effet strictement répété avec des méthodes différentes qui se protègent mutuellement - voir la carte ambitieuse dans "Le Chemin Maqique" de J.TAMARIZ- mais bien face à une même carte prédite de manières très variées). Le crescendo est assuré par l’animation puérile croissante du personnage trop content de nous avoir bien eus, par des prédictions de plus en plus incompréhensibles donc (variées aussi en échelle et supports), et enfin par une série d’effets annexes qui rythment l’emballement final du numéro et brisent l’enchainement de prédictions seules : production de deux verres de jus d’orange, une carte transformée en chips, une autre en écouteurs, et même un quick change mi-foiré - l’enfant Mortenn a mis sa chemise à l’envers. Et tout cela en harmonie avec le personnage :  on se souvient comment il avait au début joué sans ambages de sa morphologie pour péniblement extraire les cartes de son pantalon (d’ailleurs comme un callback il se dandinera une seconde fois au cours de la routine pour extraire une seule carte de son autre poche arrière), c’est cette sincérité-là vis-à-vis de ce qu’il est, physiquement et mentalement, qui fait qu’on se figure assez Mortenn se couper d’un monde compliqué pour lui avec ses écouteurs, en mangeant ses chips, parfois même peut-être essaye-t-il de socialiser en offrant des verres de jus d’orange sans voir qu’on rigole dans son dos de ce qu’il est mal fagoté. Tout un petit monde, toute une humanité simple, dans les pas dix minutes d’un « bête » tour de cartes. *** Plus tard ce même jour alors que j’évoque avec Shawn FARQUHAR son documentaire « Lost in the Shuffle » il soupire, soulagé : enfin quelqu’un qui lui parle d’autre chose que de ce satané 4 de cœur de la compétition du matin avec Mortenn CHRISTIANSEN. Il a visiblement été assailli toute la journée par des spectateurs persuadés de sa complicité avec le magicien danois – une complicité pourtant clairement interdite par le règlement du concours. Le 4 de cœur ?, me dit-il, c’est tout simplement la carte qui avait été choisie lors de sa propre victoire à la FISM en 2009.
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