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Invité Aurélien
Publié le

Salut Chapalex !

j'ai déjà eu ce sentiment de stagner aussi !

A ce moment là le mieux est de rencontrer un magicien qui connait des choses différentes de toi, et de partager entre vous vos compétences.

Aussi, me mettre à apprendre l'anglais sérieusement m'a beaucoup aidé car cela m'a donné accès à de nombreuses ressources (vidéos, livres...) que je n'avait pas en français !

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Publié le

Merci à tous pour ces échanges et ces bons conseils .

Je penses dans un premier temps essayer de trouver un magicien confirmé /pro qui accepterait de me coacher.

Je pense que ça me permettra de faire un bon en avant .

Ensuite rejoindre un club de ma région me parait une bonne idée pour me permettre d'échanger et de rencontrer d'autres magiciens .

Avis aux magiciens de la région, si cela peut vous intéresser , je recherche un coach :D

 

  • J'aime 1
  • 2 weeks plus tard...
Publié le

Moi aussi je suis dans le même cas que toi. J'hésite à prendre un ou deux cours de magie ne serait-ce pour qu'il puisse me dire ce qu'il faut que je corrige.

Never Ignorant Getting Goals Accomplished

Publié le
il y a 25 minutes, Fredy a dit :

Moi aussi je suis dans le même cas que toi. J'hésite à prendre un ou deux cours de magie ne serait-ce pour qu'il puisse me dire ce qu'il faut que je corrige.

C'est une très bonne chose d'avoir quelqu'un de plus expérimenter avec toi. Une autre chose à ne pas oublier, à mon sens, c'est le contact avec le public.

Pour ma part, j'ai mis longtemps à oser me lancer et à être serein. Je voulais être sûr que tout soit parfait pour me rassurer. A force de vouloir être trop perfectionniste, je ne présentais pas grand chose, pour ne pas me mettre en difficulté.

Un bon coup de pied aux fesses, et je me rappelle maintenant que c'est qui me plait c'est être avec les gens, j'ai eu tendance à l'oublier un peu. Et au final, beaucoup de petites erreurs passent devant le public, beaucoup plus que je le pensais. Attention ! je parle bien de "petites erreurs", pas de gros loupé. Le travail reste nécessaire quoi qu'il arrive. Et devant les gens, on a beaucoup plus de marge de manœuvre pour se rattraper. Alors que tout seul devant son miroir à travailler toujours la même routine il manquera l'expérience du public pour vraiment la maîtriser.

  • J'aime 4
Publié le

Pour l'instant j'en suis à présenté mes routines à mes proches (amis, famille). J'ai encore du mal à gérer le petit malin qui croit tout savoir et qui n'hésite pas à te choper la main pour "découvrir" le truc. On m'a dit que la mandale dans la gueule n'était pas recommandé :D

Mais effectivement des cours me feraient pas mal de bien.

Never Ignorant Getting Goals Accomplished

Publié le
il y a 2 minutes, Fredy a dit :

On m'a dit que la mandale dans la gueule n'était pas recommandé :D

On t'a menti.

  • J'aime 1
  • Haha 2

L'important, c'est que ça valide !

Publié le
Le 01/05/2018 à 18:46, Niels PoP's a dit :

Pour ma part, j'ai mis longtemps à oser me lancer et à être serein. Je voulais être sûr que tout soit parfait pour me rassurer. A force de vouloir être trop perfectionniste, je ne présentais pas grand chose, pour ne pas me mettre en difficulté.

Un bon coup de pied aux fesses, et je me rappelle maintenant que c'est qui me plait c'est être avec les gens, j'ai eu tendance à l'oublier un peu. Et au final, beaucoup de petites erreurs passent devant le public, beaucoup plus que je le pensais. Attention ! je parle bien de "petites erreurs", pas de gros loupé. Le travail reste nécessaire quoi qu'il arrive. Et devant les gens, on a beaucoup plus de marge de manœuvre pour se rattraper. Alors que tout seul devant son miroir à travailler toujours la même routine il manquera l'expérience du public pour vraiment la maîtriser.

Ce message, c'est de l'or en barre.

J'ai un bon copain, un très bon copain (qui est sur ce forum mais chut, et je ne dirai pas qui), qui a un touché de fou, une sensibilité de malade.
Eh bien il bosse tous les tours jusqu'à ce que ce soit parfait. T'as l'impression que le spectateur pourrait être à 4 pattes sous le jeu qu'il verrait pas la technique. 
Et pourtant, à toujours trouver des défauts et à pas oser, ben il pratique pas en conditions réelles...

... alors qu'il pourrait faire rêver des gens...

Dans la réalité, on se rend compte qu'il y a tellement de moments de décontraction (pour peu qu'on sache la vivre nous mêmes pour qu'elle soit contagieuse) où on peut faire tout et n'importe quoi, qu'on se dit après "ah mais en fait ça passe nickel cette énormité !"
Il faut oser. Oser réussir, mais aussi oser rater pour apprendre.

Je sais qu'il va me lire et se reconnaître, alors je passe un message personnel : je te kiff mon poto, et mets-toi les piles !

  • J'aime 5

David

mnemonaute_tn.jpg

Publié le

Je te rejoins @Chakkan ! Mais je pense que tu seras d'accord avec moi pour dire qu'il ne faut pas tomber non plus dans le travers inverse et se dire "boh les gens font pas gaffe, mm si je fais ma technique grossièrement ça passera !".

Mais le public c'est tellement autre chose que notre salon ou notre chambre ! Quel beau moment que celui où l'on voit naitre les petites etoiles au fond des yeux des gens quand on leur presente nos expériences/miracles. 

  • J'aime 1

Il ne faut jamais oublier que la lumière vient des gens de l'ombre !

Publié le
Il y a 3 heures, Chakkan a dit :

C'est exact, et pour s'en rendre compte il faut s'y confronter.
Mais public ne veut pas dire conditions pro ou payantes, on peut avoir un super public chez soi ou chez des amis.

Oui oui bien sur quand je disais "autre chose que notre chambre ou notre salon". Je voulais juste dire en dehors de notre zone de confort ! Bien sur que quand on est jeune dans la magie, on ne fait pas du pro/payant. Mais on a du public : à l'école, au lycée, à la pause du midi au travail, à une fête de cercle d'amis, dans la rue..... Il est même très intéressant de varier je trouve les types de public pour pouvoir faire évoluer ses textes et où ses compétences en gestion des spectateurs

 

  • J'aime 1

Il ne faut jamais oublier que la lumière vient des gens de l'ombre !

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Invité
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    • non il a fait une refonte de l'interface pour la rendre encore plus simple ainsi que toutes les nouveautés.
    • Je viens de terminer "Le magicien d'Auschwitz" et je suis assez partagé. Ce livre est bien écrit, certains passages sont un peu longs (mais ils sont rares) et au final, je ne me suis pas ennuyé mais je ne sais toujours pas quoi en penser. L'une des rares choses que j'ai apprises à propos de cette période ignoble (le mot est encore trop faible) n'a pas été écrite dans le roman mais dans la postface, par l'auteur lui-même, et concerne les sonderkommandos, notamment la façon dont ils ont vécu l'après-guerre (pour les rares survivants de ces "forces spéciales"). Par ailleurs, je connaissais l'intérêt irrationnel des nazis pour les sciences occultes et s'il n'aborde finalement que très peu cet aspect (juste pour établir un lien entre l'occultisme complètement hors sol des nazis et l'illusionnisme du Grand Nivelli), l'auteur remet néanmoins au centre - même ponctuellement - cet aspect du nazisme considéré, jusqu'il y a peu, comme un pan anecdotique de la doctrine nationale-socialiste (et aujourd'hui, évoqué, à juste titre semble-t-il, comme un élément essentiel de cette idéologie). Pour le reste, le côté romanesque de cet ouvrage n'est pas fou mais l'on finit assez rapidement par s'attacher aux personnages et s'intéresser à leur effroyable parcours (s'il n'avait pas mis en scène un illusionniste, il y a fort à parier que l'on n'en aurait jamais parlé ici). Mais la vraie force de ce livre réside, selon moi, dans la description minutieuse du déroulement du processus de persécution des Juifs jusqu'à la mise en oeuvre de la "solution finale" et cela revêt une véritable valeur documentaire. Il y aurait encore beaucoup à dire et je dois avouer qu'en débutant la rédaction de ce commentaire, j'avais pratiquement décidé de ne pas poursuivre avec "Le manuscrit de Birkenau" mais je pense que ce serait une erreur car si l'on "sait" l'horreur qu'ont vécu les victimes du régime nazi à Auschwitz-Birkenau (mais aussi à Treblinka, Sobibor ou encore Dachau), il est nécessaire d'en entretenir le souvenir et à ce titre, ce roman est exemplaire. Et pour ceux qui veulent approfondir cet important - mais éprouvant -  devoir mémoriel envers les victimes du 3e Reich, je conseille "la mémoire meurtrie", film documentaire consacré à la libération du camp de Bergen-Belsen (attention cependant, certaines séquences sont particulièrement difficiles), le livre de Primo Lévi, "Si c'est un homme" (témoignage essentiel et bouleversant) et, peut-être plus accessible, "Adieu Birkenau" (BD réalisée à partir du témoignage de Ginette Kolinka, rescapée d'Auschwitz-Birkenau). My2Cents W.
    • On est d'accord sur le fait qu'il n'y a pas grand chose disponible sur la toile à ce sujet 😅
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