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Il y a 9 heures, thementalist13 a dit :

tu prend un aimant tu le mets sur un pansement couleur chère et tu auras au final le même effet (tu colles ton pansement pas autour du doigt mais dans sa longueur comme le gimmick) 😁😁😁

Voilà, ça c'est fait.

  • J'aime 1

Le Diable me suit de jour et de nuit car il a peur d'être seul.

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Si certains pensent que c'est si simple, pourquoi ne pas enregistrer une vidéo ou piste audio sur le bruit assourdissant que ça va générer lors de l'effet ?

Pour ceux qui ont pris la peine de regarder la description, ils auraient vu que le bruit n'est pas un problème pour SA. Parmi tous les accessoires de ce genre que j'ai acheté, le bruit a toujours été un énorme problème. Si SA parvient à allier puissance et silence, alors c'est juste incroyable.

  • J'aime 1
Publié le

Je serais curieux de voir ce que donne ce fameux silence. Ça peut être très intéressant.
C'est vrai que le bruit a souvent été compliqué à camoufler avant, et c'est bien ce que SansMinds cherche à nous vendre.

Pour ma part en attendant des retours, je continuerai à utiliser mon barillet aimanté car j'arrive à m'en sortir pour le bruit, c'est moins cher, et les mains sont vides après l'effet :D

 

Publié le (modifié)

Je crois savoir de quoi tu parles, j'ai aussi un barillet et je peux montrer mes mains vides, mais malheureusement, tu ne peux pas bouger aussi librement que tu le souhaites, et les angles sont un poil plus limités.

Il faut surtout comprendre que ce gimmick n'a surtout pas vocation à montrer tes mains vides, c'est comme Event Horizon de Dannicus. C'est plus disposé à être utilisé durant des routines où tu enchaînes plusieurs effets à la suite (disparition et reproduction de pièces). La pire utilisation de ce genre de gimmick c'est de simplement faire disparaître une pièce comme on le ferait avec un Raven, car tout le monde voudra voir tes deux mains vides de toute façon.

Modifié par mh1001
  • J'aime 2
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Bonjour a tous 

Je vous fait un rapide CR je l'ai reçu hier ;

Vous recevez une petite boite dans laquelle le gimmick est bien calé et 3 petits aimants ronds et plats (à installer dans coquilles ou autres ...). Le gimmick est de très bonne facture, il est en matière caoutchouteuse avec une texture qui ressemble vraiment a une phalange, un aimant incurvé y est fixé a l'interieur et épouse parfaitement la forme du gimmick. Le gimmick à une forme comparable à un "fer à cheval" qui va servir de pince et tenir parfaitement sur votre phalange lorsque votre main sera à plat pour œuvrer ! La matière du gimmick rend les aimantations de façon inaudible pour le public (essaies effectués avec une coquille barber, une piece de 5cts, une pièce gimmick émanant de la stc) c'est vraiment terrible et bluffant !!!

Les explications via un lien video sont très bien faites, c'est bien filmé avec de bonne applications et idées. A savoir qu'une certaine "grosse" boutique de magie (là ou j'ai acheté ) prévoit d'ici une dizaine de jours, un bonus exclusifs avec explication et idées en français lors de l'achat, je salue cette superbe initiative !

Petit bemol ; je trouve que c'est vendu un peu chère et aurait pu être vendu une bonne dizaine ou quinzaine d'euros en moins ou alors inclure des accessoires suplementaires comme d'autres aimants de differentes tailles par exemple car dans certaines routines il vous faudra trouver par vous même d'autres aimants pour la fabrication de celles ci et qui ne sont pas fournis. 

En conclusion a part le prix élevé a mon gout c'est un vrai bonheur et on s'éclate à utiliser ce gimmick,il remplacera certes votre pk ring mais vous ouvrira surtout bien d'autres horizons 😊

Amical'

 

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  • Merci 3

Ici c'est le chaudron !!!

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Citation

La pire utilisation de ce genre de gimmick c'est de simplement faire disparaître une pièce comme on le ferait avec un Raven, car tout le monde voudra voir tes deux mains vides de toute façon.

Pas certain Marc, c'est un avis perso mais montrer les mains vide avant à une grande importance car déjà à ce moment, tu ferme les portes ! En effet tu montres au gens que tu commence sans rien dans les mains donc il n'y a aucune ambiguïté pour eux et c'est donc un grand avantage. Les gens n'ont pas idée que tu puisses "enlever" quelque chose mais plutôt "ajouter" quelque chose d'où l'importance de montrer ses mains vide au début. Ensuite il y a l'effet , bim ! Ils sont surpris tu as tout le temps de décharger. Les peu de personnes à qui j'ai montrer rapidement un effet ne m'ont pas demandé à voir mes mains à la fin.

  • J'aime 3

Ici c'est le chaudron !!!

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En effet, j'ai failli acquérir ce gimmick. Je le trouve un peu cher, également.
Surtout que l'on peut se le fabriquer soi-même (je l'avais déjà fait avant sa parution), avec de petits aimants et du sparadrap.

J'obtenais aussi de bons résultats avec un petit aimant inséré sous l'alliance. Et question prix, imbattable.

Comment tient-il ? De façon satisfaisante ? Car avec Tarantula II, par exemple, aucune certitude. D'où l'intérêt du sparadrap.

Citation
Quand on veut on peut.
Publié le

Comme je le précisait dans le CR le gimmick fait office de "pince" et tiendra sans problème main à plat. A la différence du tarenrula ou le doigt doit être recourbé en permanence pour tenir le gimmick.

  • Merci 2

Ici c'est le chaudron !!!

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    • A défaut, il te suffit de présenter n'importe quelle routine de ton répertoire à tes spectateurs pour que ceux-ci puissent expliquer par la suite qu'ils ont vu un tour de Pierre (et à une lettre près, on n'est pas si loin de la demande initiale. Sans que cela ne te coûte un centime. Merci qui 😜 ?)
    • Derniers souvenirs partagés ici de cette FISM 2025 avec le 1er prix de micro-magie et Grand Prix FISM de Close-Up. *** Et puis le mercredi 16 IBUKI paru en scène, plia son foulard et avec lui la compétition de micro-magie. Ce n’était que la première session sur les trois de la compétition mais il n’y avait guère de doute qu’IBUKI serait au palmarès. La rumeur se répand rapidement comme souvent dans ce type d’événement. Le soir même coincé dans un bus avec la délégation russe qui avait loupé le passage du japonais les voilà qui m’assaillent de questions sur son numéro, car leur propre candidat, Vova, va devoir en découdre avec le magicien japonais. *** Description pour qui veut : IBUKI apparaît debout derrière sa table : sur celle-ci un tapis de close-up relevé à 45° vers le public et où se déroulera l’essentiel de la routine. Mais pas son introduction. Le magicien japonais sanglé dans une large veste de costume (couleur entre pêche et crème, mais pas noir, surtout pas noir), fermée sur le devant par quatre gros boutons, commence par poser alternativement ses mains sur des paires de boutons qui se téléportent magiquement jusqu’à se regrouper tous les quatre dans le coin supérieur gauche (vue du public) de son pan de veste.   Cousus là, tous les quatre.   Restés jusque-là bouche cousue, les premiers glapissements de surprise des spectateurs se font entendre dans la salle. Ce n’est que le début. *** Sur cette introduction : Les trois premiers effets de téléportation se produisent dans un plan vertical, sur la veste même d’IBUKI : il s’assure ainsi de l’excellente visibilité de cet effet de Matrix, effet redoublé d’une impossibilité matérielle : non seulement les boutons voyagent magiquement, mais avec eux leurs coutures aussi (sur cette impossibilité matérielle qui redouble le seul effet de téléportation, on pense par exemple à la Matrix avec des clous plantés dans une planche de Michael WEBER). Le contraste entre la couleur très claire du tissu et les boutons sombres participe de cette parfaite visibilité de l’effet - en plus d’éliminer certaines explications potentielles au tour. Et comme le montrera le reste de sa routine la visibilité des effets a été clairement un des problèmes qu’a eu à résoudre IBUKI.    IBUKI aurait pu faire le choix inverse : démarrer par les boutons regroupés puis les remettre magiquement à leur bonne place ; cela aurait fait sens si la routine avait été contextualisée : IBUKI aurait alors « réparé » magiquement la malfaçon initiale de sa veste. Mais ici pas de contexte, IBUKI préfère nous laisser sur l’image incongrue de cette veste aux boutons drôlement regroupés (d’ailleurs on a pu croiser dans les allées de la FISM IBUKI tout au long de ces six jours avec sa veste et ses drôles de boutons, conscient de cette image emblématique, cette image signature). En plus, en terminant avec les boutons regroupés là où ils ne servent plus à rien, quoi de plus naturel que de les découdre avec un petit ciseau de couturière.   La spectatrice (sans introduction formelle) assise à droite de la table se voit tendre les ciseaux et découd elle-même le 4e et dernier bouton (cette spectatrice jouera un rôle clef dans la suite de la mise en scène).    Enfin cette introduction instaure aussi l’émotion magique du reste de la routine : à savoir la surprise. « Les boutons ont voyagé...mais attendez un peu, surprise, ils sont bel et bien cousus ». D’ailleurs la première surprise de la suite du numéro sera que le « pouvoir » d’IBUKI ne va pas être tant la téléportation que de coudre entre eux magiquement et à volonté toutes sortes d’objets. *** Fin de l’introduction. Un foulard quadrillé est déplié sur le tapis incliné, les quatre boutons tout juste défaits de la veste sont chacun posés à un des quatre angles et à partir de là, et bien disons que plus rien ne va se passer comme prévu. Plutôt que de déflorer la suite de la routine deux remarques.  La visibilité : IBUKI a donc un problème : il va magiquement coudre entre eux des objets préalablement montrés « libres » les uns des autres…mais voilà : des coutures c’est bien peu visible de loin. La mise en scène de la routine pallie cette difficulté majeure de plusieurs façons : o   Quand il le peut IBUKI profite du contraste bien visible de loin du fil de couture blanc magiquement apparu sur certains objets noirs en montrant bien ceux-ci...sous toutes les coutures, avant et arrière. o   IBUKI va à plusieurs reprises basculer ses accessoires du plan incliné du tapis de close-up vers le plan vertical du début. Cela rend palpable les coutures même aux spectateurs les plus éloignés qui font physiquement l’expérience qu’en dépit de la gravité des objets restent désormais inexplicablement fixés, car cousus entre eux. o   À l’appui du mot « cousu » qu’il vient de prononcer, IBUKI mime (et ce mime a une autre raison d’être - voir ci-dessous, les mots) par de larges gestes de sa main droite, en vagues montantes et descendantes, l’acte même de l’aiguille qui coud, communiquant là encore pratiquement physiquement à tous les spectateurs l’expérience du fil qui transperce les objets pour les unir – ce qui renforce encore au passage la totale impossibilité de son effet magique. o   La spectatrice est elle aussi mise à contribution comme témoin-relais de l’ensemble du public : invitée à toucher les coutures, à découdre, à manipuler les boutons libres l’instant d’avant puis soudainement cousus sous sa propre paume ; jusqu’au tout dernier geste d’IBUKI envers cette spectatrice, geste qu’on ne révélera pas ici, mais qui a fait fondre les derniers neurones des spectateurs et du jury.            Obtenir une standing ovation de quelque 2200 spectateurs dans une salle dont il a été suffisamment dit qu’avec son sol plat elle offrait une piètre visibilité, et ce avec quatre boutons et un foulard, prouve combien cette mise en scène est efficace.  Les mots. Pas de dramatisation de l’effet via un contexte, pas de personnage autre d’IBUKI lui-même, un côté gendre idéal un rien timide engoncé dans son costume, posé au début, puis qui s’anime de plus en plus au gré du crescendo des effets. Le texte : réduit au possible ; en fait il va tout entier tourner autour d’un calembour assez sot (si j’ose dire) : les différentes acceptions en anglais du son [soʊ], de « tellement » (so), à « coudre » (saw), en passant par « vu » (saw). Mais ce jeu de mots à première vue bêta contribue à la montée en émotion de toute la routine. Et on l’a dit l’émotion visée est la surprise, aussi chaque séquence se déroule selon : o   Exposition de la situation initiale : les objets sont clairement séparés. o   La magie se produit en douce, sans incantation, ni geste magique. o   IBUKI prononce le son [soʊ] et on découvre stupéfait que l’effet n’est pas nécessairement celui attendu (une téléportation), mais qu’une nouvelle couture est apparue, et jamais là où on l’aurait imaginée. Le son [soʊ] n’a pas la valeur d’un abracadabra (car quand il est prononcé la magie est déjà advenue), mais il en conserve la valeur rythmique de leitmotiv en marquant le début de la phase de révélation de l’état final : dès qu’IBUKI se montre ravi que quelque chose de « so impossible » s’est produit (mime à l’appui de la couture pour souligner le piètre calembour so/saw) on frémit : on n’a rien vu et pourtant une nouvelle couture a surgi là où on ne l’attendait pas. La tension entre la naïveté assumée du jeu de mot qui nous nargue d’une part, et notre totale incompréhension du « truc » d’autre part, décuple alors l’émotion magique ressentie. *** Un dernier détail. Deux fois j’ai vu IBUKI (en compétition et dans le gala des gagnants) et deux fois à un certain moment de la routine alors qu’il se saisit du bouton le plus près de lui à sa gauche, le foulard amidonné reste malencontreusement (?) dressé à la verticale. Notre « taureau de la raison » (TAMARIZ) se rue sur ce pli accidentel : IBUKI ne profite-t-il pas d’un pli pas si fortuit pour y dissimuler un bouton resté en place et dont il n’a que simulé la prise ? L’instant suivant remarquant le désordre de son foulard IBUKI le saisit par deux coins, le claque pour le redéposer bien à plat sur le tapis…et anéantir au passage notre hypothèse : aucun bouton où nous le soupçonnions. L’art de la fausse piste, du red herring, est un art du tact : trop subtil, le leurre n’est même pas remarqué ; grossier, le spectateur flaire l’intention délibérée du magicien de l’égarer et se rebiffe. J’ignore si ce pli, bien vertical, bien visible était ou non une maladresse par deux fois réellement malencontreuse (improbable à ce niveau de compétition, d’autant que la chorégraphie d’IBUKI est impeccable partout ailleurs), j’ignore si ce minuscule « incident » du pi de trop a donc quoi que ce soit de réfléchi, d’intentionnel (voir même de nécessaire à la méthode), mais si tel est le cas, comme je le soupçonne, faire d’un faux pli un vrai contrôle de notre attention aura suffi à me ravir.    
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