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A propos de sponsoring donc de pub, l'autre jour, je ne sais plus comment, je tombe sur un site d'un grand magazine feminin, je ne sais plus lequel et quel a été ma surprise de me rendre compte qu'il était illisible, des fenêtres de pub qui s'affichaient dans tous les sens sur l'article que je voulais lire, et dès que je l'enlevais un autre, j'ai vite quitté le site.

Je me demandais, comment de gros magazines comme celui-ci pouvaient-ils compter attirer leurs lectrices sur leur site web s'il devient illisible ? Là aussi j'ai pas compris le concept d'un site web tellement noyé par la pub qu'il en devient inutilisable.

Cela arrive souvent et c'est insupportable !!!

Du coup on se taille du site sans avoir pus avoir accès à l'article,

Mais au final le site lui est garanti car il touche du pognon garde à ces pubs intempestives,

Qu'on lise ou pas l'article le site s'en fou complet de nos jours !!!!

Et au final les cons c'est nous !

Sauf qu'au bout d'un moment si plus personne ne va sur le site car il est merd.ique, il n'y aura plus de pub... et donc plus de site à la fin.

Donc le site n'a pas à s'en foutre s'il veut perdurer et donc je me demande justement pourquoi de tels site se lance dans une formule illisible qui a long terme ne sera pas viable.

Ou alors le site est lisible uniquement pour les abonnés...?

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Si un mec pirate mon soft c'est du manque à gagner pour moi

Pas tout à fait : ce n'est un manque à gagner que si tu aurais gagné plus sans ce piratage, donc que si le mec est prêt à l'acheter s'il ne peut pas le pirater.

Or, comme beaucoup de gens piratent des choses qu'ils n'auraient de toute manière pas achetées, il est totalement faux de penser qu'un piratage est une vente perdue.

C'est d'ailleurs exactement pour ça qu'Adobe et Microsoft, pour reprendre les exemples cités précédemment, n'en ont rien a faire des petits particuliers qui les piratent : ces gens là font de la pub à leur logiciels mais n'auraient jamais été clients.

Par contre, il est vrai que statistiquement, plus il y a de pirates et plus il y a de chance que parmi eux certains auraient été prêt à payer s'ils n'avaient pas eu de solution gratuite.

Et c'est la même chose dans tous les autres domaines : musique, ciné, littérature ou magie !

Il en va de même pour les nombreux magasins de livres d'occasions sans parler des brocantes et même les ventes d'occasions sur VM.

Pourquoi deux poids deux mesures.

Il est légal de revendre un produit en occasion puisqu'il s'agit d'un original.

Il me semble que le coeur du débat n'est pas tant la légalité que ce qui lèse les auteurs.

Une action peut être légale mais lèser quelqu'un alors qu'une autre action peut ne pas être légale mais ne pas véritablement faire de victime.

Dans le cas du marché de l'occasion, en particulier de la magie, on a la situation suivante :

Un premier client achète quelque chose à son créateur.

Une fois qu'il en a retiré ce qu'il en a pu (idées), il revend son original.

Un deuxième client, qui était prêt à payer quelque chose, rembourse en partie (voire même parfois en totalité. Si, si) le premier client.

Donc sur 2 personnes prêtes à débourser de l'argent, l'auteur n'a touché que l'équivalent d'une seule vente.

Dans le cas d'un gimmick, on peut se dire que comme le premier client ne peut plus s'en servir après l'avoir vendu, il n'y a pas de manque à gagner : un seul client l'a payé, un seul s'en sert. Le fait que ce ne soit pas la même personne ne change finalement pas grand chose.

Dans le cas d'un livre ou d'un DVD, par contre, les idées découvertes par le 1er acheteur ne seront pas oubliées lors de la revente. Et donc une vente pour l'auteur aura bénéficié à plusieurs clients (en fonction du nombre de reventes successives)

Au final, au delà de l'aspect légal, on peut se poser la question de ce qui lèse le plus l'auteur : un piratage par quelqu'un qui n'était pas prêt à faire d'achat, ou un achat d'occasion sur lequel il ne touche rien alors qu'un client était effectivement prêt à dépenser quelque chose ?

Bref, je ne suis pas certain que les questions de moralité, de légalité et de manque a gagner soient toujours aussi tranchées que certains on l'air de le penser.

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Si un mec pirate mon soft c'est du manque à gagner pour moi

Pas tout à fait : ce n'est un manque à gagner que si tu aurais gagné plus sans ce piratage, donc que si le mec est prêt à l'acheter s'il ne peut pas le pirater.

Or, comme beaucoup de gens piratent des choses qu'ils n'auraient de toute manière pas achetées, il est totalement faux de penser qu'un piratage est une vente perdue.

C'est d'ailleurs exactement pour ça qu'Adobe et Microsoft, pour reprendre les exemples cités précédemment, n'en ont rien a faire des petits particuliers qui les piratent : ces gens là font de la pub à leur logiciels mais n'auraient jamais été clients.

Par contre, il est vrai que statistiquement, plus il y a de pirates et plus il y a de chance que parmi eux certains auraient été prêt à payer s'ils n'avaient pas eu de solution gratuite.

Et c'est la même chose dans tous les autres domaines : musique, ciné, littérature ou magie !

Ce n'est pas vrai (dans mon cas), car je m'adresse à une niche. Le mec qui me pirate c'est parce que le logiciel l'intéresse (ce n'est pas du grand public) ou qu'il le pirate pour revendre des copies et c'est donc bien un manque à gagner.

Et c'est du vécu, puisque à un moment donné, je mettais à dispo une version de démo et qu'un jour un mec m'a appelé (parce que ses données étaient corrompues) en me faisant croire qu'il avait acheté le logiciel et quand je lui ai demandé son numéro de licence, il m'a sorti un numéro qui avait du être fait par un key générator (probleme pour lui ma protection est basé sur un autre principe). Ce n'est pas un manque à gagner ?

Je le répète pour les petites boites, se faire copier est dommageable.

Thierry Périchon
http://www.moonlightanimations.fr
 

Publié le

Le mec qui te pirate, c'est que ton logiciel l'intéresse, en effet. Mais ça ne veut pas dire qu'il sera automatiquement prêt à payer pour l'avoir. C'est ça que j'essaie de te faire comprendre.

Donc ce n'est pas automatiquement du manque à gagner (ce qui ne veut pas dire non plus que ça n'en est jamais. Ce qui n'est pas tout noir n'est pas forcément tout blanc non plus)

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Si un mec pirate mon soft c'est du manque à gagner pour moi

Pas tout à fait : ce n'est un manque à gagner que si tu aurais gagné plus sans ce piratage, donc que si le mec est prêt à l'acheter s'il ne peut pas le pirater.

Or, comme beaucoup de gens piratent des choses qu'ils n'auraient de toute manière pas achetées, il est totalement faux de penser qu'un piratage est une vente perdue.

C'est d'ailleurs exactement pour ça qu'Adobe et Microsoft, pour reprendre les exemples cités précédemment, n'en ont rien a faire des petits particuliers qui les piratent : ces gens là font de la pub à leur logiciels mais n'auraient jamais été clients.

Par contre, il est vrai que statistiquement, plus il y a de pirates et plus il y a de chance que parmi eux certains auraient été prêt à payer s'ils n'avaient pas eu de solution gratuite.

Et c'est la même chose dans tous les autres domaines : musique, ciné, littérature ou magie !

Il en va de même pour les nombreux magasins de livres d'occasions sans parler des brocantes et même les ventes d'occasions sur VM.

Pourquoi deux poids deux mesures.

Il est légal de revendre un produit en occasion puisqu'il s'agit d'un original.

Il me semble que le coeur du débat n'est pas tant la légalité que ce qui lèse les auteurs.

Une action peut être légale mais lèser quelqu'un alors qu'une autre action peut ne pas être légale mais ne pas véritablement faire de victime.

Dans le cas du marché de l'occasion, en particulier de la magie, on a la situation suivante :

Un premier client achète quelque chose à son créateur.

Une fois qu'il en a retiré ce qu'il en a pu (idées), il revend son original.

Un deuxième client, qui était prêt à payer quelque chose, rembourse en partie (voire même parfois en totalité. Si, si) le premier client.

Donc sur 2 personnes prêtes à débourser de l'argent, l'auteur n'a touché que l'équivalent d'une seule vente.

Dans le cas d'un gimmick, on peut se dire que comme le premier client ne peut plus s'en servir après l'avoir vendu, il n'y a pas de manque à gagner : un seul client l'a payé, un seul s'en sert. Le fait que ce ne soit pas la même personne ne change finalement pas grand chose.

Dans le cas d'un livre ou d'un DVD, par contre, les idées découvertes par le 1er acheteur ne seront pas oubliées lors de la revente. Et donc une vente pour l'auteur aura bénéficié à plusieurs clients (en fonction du nombre de reventes successives)

Au final, au delà de l'aspect légal, on peut se poser la question de ce qui lèse le plus l'auteur : un piratage par quelqu'un qui n'était pas prêt à faire d'achat, ou un achat d'occasion sur lequel il ne touche rien alors qu'un client était effectivement prêt à dépenser quelque chose ?

Bref, je ne suis pas certain que les questions de moralité, de légalité et de manque a gagner soient toujours aussi tranchées que certains on l'air de le penser.

Syllan, ton message figure sous l'onglet [Réflexion], je crois qu'un onglet [humour] serait plus adapté. (Ben non, ça ne peut pas être sérieux... :( )

Publié le
Dans le cas du marché de l'occasion, en particulier de la magie, on a la situation suivante :

Un premier client achète quelque chose à son créateur.

Une fois qu'il en a retiré ce qu'il en a pu (idées), il revend son original.

Un deuxième client, qui était prêt à payer quelque chose, rembourse en partie (voire même parfois en totalité. Si, si) le premier client.

Donc sur 2 personnes prêtes à débourser de l'argent, l'auteur n'a touché que l'équivalent d'une seule vente.

Même cas de conscience dans le cadre d'un achat d'un livre ou de DVD pour le compte d'une collectivité, association, dans notre cas un cercle de magiciens dont une partie des recettes et adhésions est utilisée à acquérir un fonds commun d'ouvrages et DVD. Un seul achat pour plusieurs lecteurs...

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    • Je suis allé 14 fois au congrès AFAP puis FFAP (FFM à présent). La première fois, souvenir mémorable pour moi, étant le congrès d'Angers en 2007. Je peux vous dire que je l'ai attendu le jour où allait commencer ce congrès. J'avais hâte d'y être et ce fut vraiment fabuleux. Un coût pas excessif...aujourd'hui ça l'est presque devenu car même si il est vrai que le prix de départ (avant augmentation) n'a pas augmenté tant que ça en 17 ans (j'avais dû payer dans les 160€ en 2007 contre 195€ pour le congrès de cette année il me semble, soit une augmentation d'environ 20% en 17 ans), les plateaux, à quelques exceptions près comme à Besançon (mais je sais quelle a été la particularité financière de cette année), sont plus au rabais et surtout annoncés trop tardivement ce qui fait que pour bénéficier d'un prix qui n'est pas trop excessif, il faut miser sur l'inconnu. Conséquence : très peu de nouveaux "clients" et des personnes qui y allait chaque année comme moi qui n'y vont plus qu'une fois sur deux et encore, quand ce n'est pas trop loin. Car le coût, c'est aussi l'hôtel et le transport (l'autoroute en particulier) qui ont bien augmentés. Autant on pouvait trouver facilement une chambre pour 50-60€ dans un 1ère classe, un Ibis ou un B&B (pas AirB&B mais B&B, la chaîne d'hôtels) jusqu'à 2019 (avant covid) et on se mettait à 2-3 magiciens (pour le transport aussi), autant aujourd'hui, on trouve rarement quelque chose de correct en dessous de 80-90€ pour ces hôtels alors on se rabat sur un AirB&B dans les 60-70€ avec un peu de chance (et si on s'y prend assez tôt) mais à titre personnel, mes amis magiciens sont plus loins à présent (nous ne sommes plus étudiants, on a nos vies) ou plus âgés. Alors je sais que le plus gros coût pour un congrès n'est pas le plateau mais le palais des congrès dont le coût a considérablement augmenté et réserve souvent bien des surprises sur ce qui est compris dans le prix ou non (encore une fois, j'ai aussi vu les choses de l'intérieur en 2021). Aujourd'hui, la sélection de la ville d'accueil du congrès se fait d'ailleurs essentiellement sur la base du coût du palais des congrès. Bref, je comprends qu'il faille faire des économies pour compenser le coût du palais des congrès et le choix a été de les faire sur le plateau plutôt que d'augmenter de manière trop importante le prix d'entrée (qui a a été un peu augmenté quand même mais de manière raisonnable). Et puis il y a eu ce système d'augmentation progressive du prix allant de paire avec la révélation progressive mais très tardive des artistes du plateaux qui selon moi a été un très mauvais choix. Certains ne veulent pas l'admettre et persistent à croire que c'est bien alors que c'est ce qui a principalement fait chuter le nombre de congressistes depuis des années. A la limité, que le tarif augmente progressivement (plus on s'inscrit tôt moins c'est cher) d'accord mais quand on s'inscrit au moins la moitié du plateau doit déjà être révélé. C'est ça le point noir sur lequel j'essaie depuis bien longtemps de faire bouger les lignes, que ce soit ici, au sein des clubs que je fréquente, sur ce forum ou par rapport à mes amis magiciens extérieurs aux clubs. Par rapport aux économies sur les plateaux, ils ont été faits au niveau des galas d'ouverture et de clôture qui sont à présent constitués d'un seul artiste qui fait tout son spectacle et de primés aux championnats de France qui présentent de nouveau leur numéro pour ceux qui ne l'auraient pas vu. C'est une bonne idée. Avoir un spectacle complet à un moment dans le congrès est parfois une meilleure leçon qu'une conférence et faire repasser les numéros primés à la fin permet à ceux qui auraient raté une partie des championnats de France de voir au moins certains numéros primés. Trop de conférences ? Je ne pense pas. Il y a du choix. A Troyes nous avions opté pour 9 conférences, la plupart doublées voire triplées (et ça n'a pas été évident de caser tout dans le programme mais c'est faisable). On ne peut pas tout voir, c'est sûr, mais entre 4-5 conférences qu'on peut toutes voir et 9 conférences qu'on ne peut pas toutes voir mais où on a le choix de voir un artiste plutôt qu'un autre selon nos préférences, je trouve cela mieux. Et puis cela réparti les spectateurs beaucoup mieux. Nous avions des salles avec 30-50 spectateurs parfois et on s'était dit que les conférenciers n'apprécieraient peut-être pas mais au final, après avoir posé la question à la plupart d'entre eux, ils étaient content car ils avaient fait plus de vente. Pourquoi ? Les spectateurs voyaient mieux. Car il est difficile de faire installer des petites scènes et/ou des écrans partout (c'est un coût énorme et avec les caméras, tous n'acceptent pas d'être filmés et ça peut se comprendre). Le nombre de conférences n'est pas un problème. Cependant : 1) Il faut aussi s'assurer de laisser au moins 30min de battement entre deux conférences car certains l'ignorent peut-être encore mais même 50 personnes, ça ne rentre pas dans une salle instantanément, il faut déjà laisser sortir le public précédent et il faut penser à laisser un peu de temps au conférencier pour faire ses ventes. 2) Un minimum de conférences en parallèle des championnats de France. Pour m'être chargé en grande partie du programme du congrès (plus de 20 versions avant d'en arriver à la version qui convenait au plus grand nombre), c'est un défi. Un beau défi mais un défi. Cela étant dit, d'une année sur l'autre cela devrait être de moins en moins complexe. Je suis heureux de voir que certains de mes choix ont été repris. Le talk show inutile ? Ce fût très difficile de le caser dans le programme également mais je pense qu'il a sa place aussi. La mise en valeur d'un artiste, de sa carrière est un évènement qui diffère d'une conférence, d'un gala et d'une foire aux trucs (pardon...le village marchand; parait que ça fait venir plus de monde selon certains. Personnellement je ne vois rien de péjoratif dans "foire aux trucs" et peu importe son nom, j'irai y faire un tour pour acheter quelques beaux trucs). La technique ? Les équipes actuelles font le job pour un tarif raisonnable pour celui ou celle qui s'y connais un peu. Nous avions juste été un peu déçu par celui qui gérait la partie vidéotransmission qui a laissé son équipe bosser à sa place avec pas mal de contraintes tout en profitant bien du congrès et en se permettant de critiquer (je vais encore me faire un ami...) mais il parait que c'est le moins cher (le chiffre était quand même bien rondelet; j'espère au moins que son équipe en a reçu une bonne partie). L'hôtelerie ? Là on est sur un  coût qui a bien augmenté. Et comparé aux congrès italiens où une somme globale est proposée aux artistes (cachet+frais d'hébergement-transport-repas), tout est géré à part (en tout cas c'était encore le cas en 2021) et cela coûte beaucoup plus cher (je dirais même que cela coûte le double). Alors faut-il faire comme les italiens ? De ce côté je ne pense pas car il s'agit du confort des artistes. Par contre, on pourrait proposer un cachet augmenté pour ceux qui préfèreraient se débrouiller (réserver leur propre chambre, se débrouiller pour les repas, etc...). Luc Apers préfère parfois faire ainsi par exemple. Juste proposer, pas imposer. Le gala public : je pense que c'est une bonne idée à condition d'assurer côté communication dans la ville. On devrait en avoir un à chaque congrès. Demander aux artistes de faire un deuxième gala est un coût, pour la salle aussi et il faut avoir deux salles sinon c'est presque impossible car au cours d'un congrès il faut caser les répétitions de tous (candidats aux championnats de France, artistes des galas), on y pense pas mais ce sont des heures de disponibilité de l'amphithéâtre du palais des congrès à trouver pendant les conférences, la foire aux trucs et bien sûr en dehors des galas et championnats. Réserver un jour de plus le palais des congrès est impensable financièrement. Donc il faut forcément louer une grande salle (un théâtre) en plus et qu'il ne soit pas trop loin à pied du palais des congrès. Mais même si il y a cette location en plus et les cachets plus importants pour les artistes qui vont présenter deux fois leur numéro, le gala public n'est à mon sens pas un gros risque financier et en général, même un peu bénéficiaire. Et puis faire profiter du congrès national au public profane est une excellente chose pour la magie et pour la FFM. Côté ambiance par contre, on peut prendre exemple sur les italiens (par pour le retard aux conférences matinales) : aménagement des hall avec des petits canapés, mange-debouts, chaises ou fauteuils de jardin couverts de houses pas trop cher, soirées à thèmes type "spaghettis parties" que l'on pourrait reprendre ou détourner en "Apéro magique" (petits gâteaux salés puis sucrés et bar proposant des bières et des softs) sans faire un vrai repas avec un traiteur (coût trop important). Tous les congressistes n'iraient pas et seules les boissons seraient à régler. L'organisation prendrait en charge les petits gâteaux salés / sucrés, ce qui n'est pas un très gros coût mais offrirai une dimension plus festive sur nos congrès FFM. Après se pose aussi le problème de la fermeture plus tardive du palais des congrès. Ce ne serait pas possible partout (pas à Troyes par exemple) donc il faut trouver un lieu comme un grand bar partenaire qui pourrait proposer des choses à grignoter dans un cadre un peu privatisé en échange d'une centaine de clients pour les boissons ou des réductions sur sa restauration / ses boissons. Ce qui compte c'est d'avoir un ou deux afters biens identifiés côté lieu, horaires, indiqués dans le programme et avec un thème : tout le monde en pyjama, tout le monde avec une casquette ou un chapeau jaune, peu importe, un truc qui permet de s'identifier entre nous et qui permet aux profanes de voir qu'il y a quelque chose qui se passe, de permettre une interaction entre les congressistes et les habitants. Tous les congressistes ne joueront pas forcément le jeu, forcément mais beaucoup le feront et ça suffira pour créer l'évènement. Je me souviens par exemple avoir fait une bataille de polochons avec Rudy Coby, un concours de dégustation de piments avec des italiens qui ont dû souffrir le lendemain aux toilettes, une soirée fluo avec Daryl qui dansait en chemise à fleurs. Ce sont des "bêtises" vous me direz, mais ça fait des souvenirs. Et puis le lendemain vous vous posez dans un canapé et Paul Harris s'assoit en fasse de vous pour manger ses chips et vous entamez une discussion sur les étoiles et les planètes (pourquoi on s'est mis à parler de ça, je ne sais plus, sans doute parce qu'à un moment il m'avait demandé ce que je faisais et que je lui avait dit que j'étais prof de Physique). Je pense au témoignage d'Otto qui a improvisé des apéros sur le parking du congrès FISM italien avec Voronin (preuve qu'il y a une demande pour ce genre de petits choses facilitant les échanges, sans tomber non plus dans les soirées trop arrosées). Peu importe les thèmes et le mobilier choisi dans le hall du congrès, toutes les petites choses qui facilitent les échanges pour un moindre coût sont à tenter. C'est ce qui manque un peu aux congrès FFM. Donc pour résumer les idées : 1) Annoncer au moins la moitié du plateau avant la première augmentation du prix. 2) Annoncer tout le plateau au moins 6 mois avant. 3) Proposer aux artistes une alternative pour l'hébergement et les repas : soit une chambre dans tel hôtel avec les autres artistes et des tickets repas, soit une augmentation de tel montant du cachet et il se débrouille. 4) Faciliter les échanges entre les congressistes et le public profanes en indiquant clairement sur le programme un lieu et un horaire à partir duquel se tiendra une soirée à thème ou deux. Installer un peu de mobilier dans le hall du congrès pour faciliter les échanges (il en manque un peu souvent). 5) Organiser un gala public. Des démarches en plus, un coût supplémentaire mais ça en vaut la peine et cela s'équilibre facilement si la communication est bonne (assez tôt !!! Et dans la programmation officielle de la salle réservée, celle que les habitués de cette salle ont l'habitude de consulter !) 6) D'une manière générale : reprendre ce qui a marché lors de congrès précédents. Ne pas insister avec ce qui ne fonctionne pas (mais encore faut-il en prendre conscience). Petite remarque : comme le congrès va de nouveau se faire à Troyes cette année et sans doute l'année prochaine, cela devrait faciliter grandement l'organisation donc ce sera l'occasion de passer de temps pour faire des démarches pour tester de nouvelles choses. Et à ceux qui se posent la question : non, je ne suis pas dans l'équipe d'organisation du congrès de cette année (repos) mais j'y suis inscrit en congressiste avec ma compagne et je vous y retrouverai avec plaisir. Après, je n'ai rien contre l'idée de participer de nouveau à l'organisation d'un congrès. C'était difficile, épuisant mais je suis content de l'avoir fait et si c'était à refaire, je le referai.        
    • Oui.. mais par le réalisateur et animateur. On peut dire qu'il est aussi le co réalisateur puisque ce sont aussi ses idées et intentions qui font le résultat que l'on connait. Idem pour le Pinocchio que Guillermo DEL TORO a co-réalisé aussi en stop-motion de https://fr.wikipedia.org/wiki/Pinocchio_(film_d'animation,_2022) ... dont le producteur s'appelle Gary KURTZ 😉 https://fr.wikipedia.org/wiki/Gary_Kurtz_(producteur)
    • A quel minute et seconde ? 🙂 Par contre, j'ai le sentiment que l'on reconnait aussi @Georges PROUST et Philippe SOCRATE.
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