Aller au contenu
Pas de pub non magique pour les membres du Cercle VM. Clique ici pour en savoir plus !

Recommended Posts

Publié le
A propos de sponsoring donc de pub, l'autre jour, je ne sais plus comment, je tombe sur un site d'un grand magazine feminin, je ne sais plus lequel et quel a été ma surprise de me rendre compte qu'il était illisible, des fenêtres de pub qui s'affichaient dans tous les sens sur l'article que je voulais lire, et dès que je l'enlevais un autre, j'ai vite quitté le site.

Je me demandais, comment de gros magazines comme celui-ci pouvaient-ils compter attirer leurs lectrices sur leur site web s'il devient illisible ? Là aussi j'ai pas compris le concept d'un site web tellement noyé par la pub qu'il en devient inutilisable.

Cela arrive souvent et c'est insupportable !!!

Du coup on se taille du site sans avoir pus avoir accès à l'article,

Mais au final le site lui est garanti car il touche du pognon garde à ces pubs intempestives,

Qu'on lise ou pas l'article le site s'en fou complet de nos jours !!!!

Et au final les cons c'est nous !

Sauf qu'au bout d'un moment si plus personne ne va sur le site car il est merd.ique, il n'y aura plus de pub... et donc plus de site à la fin.

Donc le site n'a pas à s'en foutre s'il veut perdurer et donc je me demande justement pourquoi de tels site se lance dans une formule illisible qui a long terme ne sera pas viable.

Ou alors le site est lisible uniquement pour les abonnés...?

Pas de pub non magique pour les membres du Cercle VM. Clique ici pour en savoir plus !
  • Réponses 137
  • Créé
  • Dernière réponse

Membres les + Actifs

Publié le
Si un mec pirate mon soft c'est du manque à gagner pour moi

Pas tout à fait : ce n'est un manque à gagner que si tu aurais gagné plus sans ce piratage, donc que si le mec est prêt à l'acheter s'il ne peut pas le pirater.

Or, comme beaucoup de gens piratent des choses qu'ils n'auraient de toute manière pas achetées, il est totalement faux de penser qu'un piratage est une vente perdue.

C'est d'ailleurs exactement pour ça qu'Adobe et Microsoft, pour reprendre les exemples cités précédemment, n'en ont rien a faire des petits particuliers qui les piratent : ces gens là font de la pub à leur logiciels mais n'auraient jamais été clients.

Par contre, il est vrai que statistiquement, plus il y a de pirates et plus il y a de chance que parmi eux certains auraient été prêt à payer s'ils n'avaient pas eu de solution gratuite.

Et c'est la même chose dans tous les autres domaines : musique, ciné, littérature ou magie !

Il en va de même pour les nombreux magasins de livres d'occasions sans parler des brocantes et même les ventes d'occasions sur VM.

Pourquoi deux poids deux mesures.

Il est légal de revendre un produit en occasion puisqu'il s'agit d'un original.

Il me semble que le coeur du débat n'est pas tant la légalité que ce qui lèse les auteurs.

Une action peut être légale mais lèser quelqu'un alors qu'une autre action peut ne pas être légale mais ne pas véritablement faire de victime.

Dans le cas du marché de l'occasion, en particulier de la magie, on a la situation suivante :

Un premier client achète quelque chose à son créateur.

Une fois qu'il en a retiré ce qu'il en a pu (idées), il revend son original.

Un deuxième client, qui était prêt à payer quelque chose, rembourse en partie (voire même parfois en totalité. Si, si) le premier client.

Donc sur 2 personnes prêtes à débourser de l'argent, l'auteur n'a touché que l'équivalent d'une seule vente.

Dans le cas d'un gimmick, on peut se dire que comme le premier client ne peut plus s'en servir après l'avoir vendu, il n'y a pas de manque à gagner : un seul client l'a payé, un seul s'en sert. Le fait que ce ne soit pas la même personne ne change finalement pas grand chose.

Dans le cas d'un livre ou d'un DVD, par contre, les idées découvertes par le 1er acheteur ne seront pas oubliées lors de la revente. Et donc une vente pour l'auteur aura bénéficié à plusieurs clients (en fonction du nombre de reventes successives)

Au final, au delà de l'aspect légal, on peut se poser la question de ce qui lèse le plus l'auteur : un piratage par quelqu'un qui n'était pas prêt à faire d'achat, ou un achat d'occasion sur lequel il ne touche rien alors qu'un client était effectivement prêt à dépenser quelque chose ?

Bref, je ne suis pas certain que les questions de moralité, de légalité et de manque a gagner soient toujours aussi tranchées que certains on l'air de le penser.

Publié le
Si un mec pirate mon soft c'est du manque à gagner pour moi

Pas tout à fait : ce n'est un manque à gagner que si tu aurais gagné plus sans ce piratage, donc que si le mec est prêt à l'acheter s'il ne peut pas le pirater.

Or, comme beaucoup de gens piratent des choses qu'ils n'auraient de toute manière pas achetées, il est totalement faux de penser qu'un piratage est une vente perdue.

C'est d'ailleurs exactement pour ça qu'Adobe et Microsoft, pour reprendre les exemples cités précédemment, n'en ont rien a faire des petits particuliers qui les piratent : ces gens là font de la pub à leur logiciels mais n'auraient jamais été clients.

Par contre, il est vrai que statistiquement, plus il y a de pirates et plus il y a de chance que parmi eux certains auraient été prêt à payer s'ils n'avaient pas eu de solution gratuite.

Et c'est la même chose dans tous les autres domaines : musique, ciné, littérature ou magie !

Ce n'est pas vrai (dans mon cas), car je m'adresse à une niche. Le mec qui me pirate c'est parce que le logiciel l'intéresse (ce n'est pas du grand public) ou qu'il le pirate pour revendre des copies et c'est donc bien un manque à gagner.

Et c'est du vécu, puisque à un moment donné, je mettais à dispo une version de démo et qu'un jour un mec m'a appelé (parce que ses données étaient corrompues) en me faisant croire qu'il avait acheté le logiciel et quand je lui ai demandé son numéro de licence, il m'a sorti un numéro qui avait du être fait par un key générator (probleme pour lui ma protection est basé sur un autre principe). Ce n'est pas un manque à gagner ?

Je le répète pour les petites boites, se faire copier est dommageable.

Thierry Périchon
http://www.moonlightanimations.fr
 

Publié le

Le mec qui te pirate, c'est que ton logiciel l'intéresse, en effet. Mais ça ne veut pas dire qu'il sera automatiquement prêt à payer pour l'avoir. C'est ça que j'essaie de te faire comprendre.

Donc ce n'est pas automatiquement du manque à gagner (ce qui ne veut pas dire non plus que ça n'en est jamais. Ce qui n'est pas tout noir n'est pas forcément tout blanc non plus)

Publié le
Si un mec pirate mon soft c'est du manque à gagner pour moi

Pas tout à fait : ce n'est un manque à gagner que si tu aurais gagné plus sans ce piratage, donc que si le mec est prêt à l'acheter s'il ne peut pas le pirater.

Or, comme beaucoup de gens piratent des choses qu'ils n'auraient de toute manière pas achetées, il est totalement faux de penser qu'un piratage est une vente perdue.

C'est d'ailleurs exactement pour ça qu'Adobe et Microsoft, pour reprendre les exemples cités précédemment, n'en ont rien a faire des petits particuliers qui les piratent : ces gens là font de la pub à leur logiciels mais n'auraient jamais été clients.

Par contre, il est vrai que statistiquement, plus il y a de pirates et plus il y a de chance que parmi eux certains auraient été prêt à payer s'ils n'avaient pas eu de solution gratuite.

Et c'est la même chose dans tous les autres domaines : musique, ciné, littérature ou magie !

Il en va de même pour les nombreux magasins de livres d'occasions sans parler des brocantes et même les ventes d'occasions sur VM.

Pourquoi deux poids deux mesures.

Il est légal de revendre un produit en occasion puisqu'il s'agit d'un original.

Il me semble que le coeur du débat n'est pas tant la légalité que ce qui lèse les auteurs.

Une action peut être légale mais lèser quelqu'un alors qu'une autre action peut ne pas être légale mais ne pas véritablement faire de victime.

Dans le cas du marché de l'occasion, en particulier de la magie, on a la situation suivante :

Un premier client achète quelque chose à son créateur.

Une fois qu'il en a retiré ce qu'il en a pu (idées), il revend son original.

Un deuxième client, qui était prêt à payer quelque chose, rembourse en partie (voire même parfois en totalité. Si, si) le premier client.

Donc sur 2 personnes prêtes à débourser de l'argent, l'auteur n'a touché que l'équivalent d'une seule vente.

Dans le cas d'un gimmick, on peut se dire que comme le premier client ne peut plus s'en servir après l'avoir vendu, il n'y a pas de manque à gagner : un seul client l'a payé, un seul s'en sert. Le fait que ce ne soit pas la même personne ne change finalement pas grand chose.

Dans le cas d'un livre ou d'un DVD, par contre, les idées découvertes par le 1er acheteur ne seront pas oubliées lors de la revente. Et donc une vente pour l'auteur aura bénéficié à plusieurs clients (en fonction du nombre de reventes successives)

Au final, au delà de l'aspect légal, on peut se poser la question de ce qui lèse le plus l'auteur : un piratage par quelqu'un qui n'était pas prêt à faire d'achat, ou un achat d'occasion sur lequel il ne touche rien alors qu'un client était effectivement prêt à dépenser quelque chose ?

Bref, je ne suis pas certain que les questions de moralité, de légalité et de manque a gagner soient toujours aussi tranchées que certains on l'air de le penser.

Syllan, ton message figure sous l'onglet [Réflexion], je crois qu'un onglet [humour] serait plus adapté. (Ben non, ça ne peut pas être sérieux... :( )

Publié le
Dans le cas du marché de l'occasion, en particulier de la magie, on a la situation suivante :

Un premier client achète quelque chose à son créateur.

Une fois qu'il en a retiré ce qu'il en a pu (idées), il revend son original.

Un deuxième client, qui était prêt à payer quelque chose, rembourse en partie (voire même parfois en totalité. Si, si) le premier client.

Donc sur 2 personnes prêtes à débourser de l'argent, l'auteur n'a touché que l'équivalent d'une seule vente.

Même cas de conscience dans le cadre d'un achat d'un livre ou de DVD pour le compte d'une collectivité, association, dans notre cas un cercle de magiciens dont une partie des recettes et adhésions est utilisée à acquérir un fonds commun d'ouvrages et DVD. Un seul achat pour plusieurs lecteurs...

Rejoins la conversation !

Tu peux publier maintenant et t'enregistrer plus tard. Si tu as un compte, connecte-toi maintenant pour publier avec ton identité.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Vous avez collé du contenu avec mise en forme.   Restaurer la mise en forme

  Only 75 emoji are allowed.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédemment saisis, a été restauré..   Effacer le contenu

×   You cannot paste images directly. Upload or insert images from URL.



  • Pas de pub non magique pour les membres du Cercle VM. Clique ici pour en savoir plus !
  • Messages

    • Super travail, bonne idee le site participatif ! Par contre, je ne comprends pas  😅
    • C'est la triste réalité. D'où le fait que j'ai dit qu'il fallait que le contenu d'une conférence soit précisé et que l'essentiel ne soit pas disponible sur le net. Pas évident. Cela étant dit, il y a quand même une différence entre voir un artiste par écran interposé et le voir en vrai. Même si je savais ce qu'allait présenté Jay Scott Berry lors de sa dernière conférence, même si j'ai déjà un dvd, sa conférence Penguin et quelques routines de lui, j'ai eu envie de le voir en vrai. Et ça vaut la peine de voir comment un artiste organise sa conférence, comment il enchaîne ses effets, organise ses poches, justifie tel ou tel choix. Avec les spectacles, c'est pire : j'ai du mal à regarder un spectacle de 1h30 derrière un écran d'un seul coup. Rien ne vaut le spectacle réel mais là, il est vrai qu'on le voit souvent dans de meilleures conditions (un théâtre) et que le but n'est pas le même (il n'y a pas de mouvement à comprendre, de choses à redemander pour être sûr d'avoir bien compris le principe, le raisonnement, la justification, etc..on se laisse porter, c'est du spectacle). Pour les congrès c'est pareil, en vidéo, j'en regarderai seulement quelques morceaux mais lorsqu'on y va en vrai, c'est plusieurs jours de magie non-stop, c'est vivant. Comme c'est un gros investissement, il faut faire des choix : regarder le plateau, le programme et se demander "Est-ce que ça vaut le prix demandé ? Suis-je prêt à mettre ça pour aller voir tel ensemble d'artistes ?".
    • 🔥24 € PORT COMPRIS - EXCELLENT ÉTAT  ( Pas de pages cornées, pas d’annotations, pas de Stabilo ) - PORT EN SUIVI COMPRIS  MONDIAL RELAY (France) - Paiement Paypal ‼️PRIX NEUF avec port : 30€ 🇫🇷Livre en français 🚨 Benoît GRENIER va vous apprendre à faire frissonner le public en voyageant dans le monde spirite et paranormal.   ➡ Grâce à des principes simples et une présentation paranormale de  » phénomènes « , vous ne serez pas perçu par les spectateurs comme un magicien, mais plutôt comme un médium aux facultés inexpliquées. Vous pourrez, grâce aux 28 effets contenus dans ce livre, recréer une véritable séance de spiritisme.  Tel un médium du début du XXème siècle, invitez vos convives autour d’une table.  Tamisez la lumière, allumez quelques bougies et demandez le silence le plus complet. Vous allez à présent jouer le rôle de guide.   ➡ Le programme Première Etape : Installer l’ambiance Prédiction Fatale: Un jeu de cartes de tarot est battu. Le spectateur coupe ensuite le jeu où il le désire et prend la carte. De toutes les cartes, il a choisi celle de la mort… le présage est loin d’être bon. Vivant ou Mort : Plusieurs spectateurs sont choisis. L’un d’entre eux écrit le nom d’une personne décédée. Les autres écrivent le nom de personnes vivantes sur des cartons, qui sont ensuite mélan gés. Le médium est capable en se concentrant simplement sur le nom de dire si la personne est vivante ou morte. Clous du Cercueil : Le médium montre plusieurs clous dont un ayant servi à fermer un cercueil. Les clous sont mélangés, puis les spectateurs en prennent chacun un. En se mettant en transes, le mé dium découvre qui a pris le clou du cercueil. Seconde Etape : Entrez plus en avant dans la séance et que les manifestations physi ques commencent ! Contact : Le médium dessine un pentacle sur une feuille de papier avant de la brûler. Il prend la cendre et la frotte sur un morceau de papier. Le nom de l’esprit présent apparaît. Présence : Pendant la séance, la flamme d’une bougie se met à vaciller puis s’éteint seule, alors qu’il n’y a aucun vent ni courant d’air. Mot Spirite : Sur une feuille de papier blanc placé dans une en veloppe, apparaît une main ensanglantée. Troisième Etape : A ce moment, les esprits sont parmi vous et prouvent leur présence par tous les moyens possibles. Tante Lucie : Une cuillère ayant appartenu à une arrière-gran de tante se met à se soulever sous un foulard. Lorsque le spectateur retire le foulard, la clé retombe. Esprits Frappeurs : Pendant la séance, un cadre portant la photo d’une personne décédée tombe. Message de l’au-delà : Sur des ardoises montrées vierges de toute inscription, un message troublant de l’au-delà apparaît. Ultime Etape : Il est temps de demander aux esprits de rejoindre leur monde. Pour cela, opérez un rituel de purification. Purification : II est temps de dire au revoir aux esprits. Une feuille de papier va être brûlée en signe de purification. La feuille prend feu et se transforme en une croix (ou autre petit objet) : tout est rentré dans l’ordre. Esprits êtes-vous là ? Vos spectateurs n’en auront plus aucun doute…  
  • Statistiques des membres

    • Total des membres
      8227
    • Maximum en ligne
      4524

    Membre le plus récent
    Niranjan SHIVARAM
    Inscription
  • Statistiques des forums

    • Total des sujets
      84k
    • Total des messages
      679k

×
×
  • Créer...