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Publié le
Pour smoke tu peux y aller les yeux fermés !

Double Cross et smoke sont pour moi les meilleurs...

Oui j'ai les deux, mais je suis à la recherche d'une bonne routine de carte a la bouche avec une bonne misdirection etc.

SMOKE n'est pas une "routine" mais un outil pour rajouter des effets à tes routines. aucune obligation de l'utiliser pour que les routines de bases soient bluffantes mais cela ajoute une fioriture sympa.

Pour une carte à la bouche, tu mets ton marqueur en bouche au moment de montrer tes mains vides et ton paquet de cartes. Ca passe très bien.

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Publié le (modifié)

En ce moment, j'ai un faible pour les McAbee Rings. C'est basé sur le même principe que les anneaux chinois, sauf que la clé est beaucoup moins visible. C'est tout petit. Parfois, je suis même quelque peu embarrassé à ne plus pouvoir trouver où est la clé (rien de bien grave, la routine durera juste un poil plus long). Un aspect que j'aime est l'ondulation des anneaux, qui rend plus difficile de discerner si les anneaux sont liés ou non (et qui par la même occasion cache mieux le gimmick. Là où c'est fort, c'est que ces anneaux permettent des effets plus esthétiques que les anneaux classiques. En plus, c'est assez petit pour être transportables aisément sans être trop petit non plus. Idéal pour le close-up. Dans ma routine, je n'ai pas besoin de faire un switch, vu que je réussis à donner l'illusion que chaque anneau s'est enclavé les unes sur les autres, au lieu de 3 anneaux sur un (i.e., la "clé"). Quand je les dé-"link" un par un, donnant l'illusion qu'ils sont tous enclavés les uns sur les autres, je donne à examiner deux anneaux non gimmickés. Il n'y a rien que je trouve à redire. Je ne les vendrai pour rien au monde.

Modifié par mh1001
Publié le (modifié)
Le meilleur tour que l’on possède ?

Le meilleur tour n’est-il pas celui qui nous possède ?

Mes meilleurs tours sont ceux que j’ai pensé, construit, que j’ai peaufiné, que j’ai fait des centaines de fois.

Il y a une osmose et une fusion qui se fait entre le tour et le magicien, même si je ne suis pas vraiment magicien, d’ailleurs, je ne présente pas vraiment des tours…

Le meilleur tour des uns ne sera pas le meilleur pour les autres.

Vouloir une liste des « tops », c’est déjà renoncer à créer ses propres « tops »…

Inventez votre magie, plutôt que de l’acheter, car on ne possède pas un tour, mais on peut le vivre…

Sinon, une LD, c’est bien aussi.

Gilbus

Je suis d'accord avec ta vision des choses Gilbus, le but de ce poste est justement d'engager une conversation comme celle que tu lances... Ce que je cherche a savoir (moi qui suis en pleine crise identitaire magique, si on peut appeler ça comme ça) c'est de savoir quels sont les gimmicks, tours ou routines, qui vous ont le plus inspirés ou influencés dans la création de votre univers magique ? En ce qui me concerne par exemple, je viens d'acquérir Sixth Sense 2.5 d'Hugo Shelley. Aucune routine ne me convient, et je viens d'en créer une de toute pièce sur le thème de Koh Lanta (le fameux jeux de la boule noire)... Qui s'enchaine ensuite sur une autre routine, qui s'enchaine encore sur une autre...

Pour ma part, les gimmicks et routines qui m'ont aidés et que j'utilise très souvent sont :

- Double Cross, que j'utilise parfois en lien avec une routine ESP

- Ace de RICHARD SANDERS... Un Must have pour moi

- POWERBALL 60

- TRUE DETECTIVE de Julien LOSA... Qui m'ouvre a une nouvelle perception du mentalisme et a une prise de conscience sur le fait que l'imagination, dans notre art est notre seule limite...

Modifié par Jeremy0710

"Un voyage de mille lieues commence toujours par un premier pas." Lao-Tseu

Publié le (modifié)

Hola

Mon tour préférée et pour moi, mon meilleur c'est Gambler de julien Labigne.

J'ai rajouté plusieurs hauntique dont une belle boite etc et à chaque fois que je le présente c'est la folie. Mon public est scotché.

Et aussi inferno de Joshua Jay que je trouve vraiment bien !!!

Et enfin Holly card.

Voila mes trois tours préférés !!!

Modifié par NicoMAD
Publié le

tiens je t'ai pris la description magasin c'est juste une tuerie ce tour !!!

Vous recherchez un effet de mentalisme original à ajouter à votre répertoire ? Ce tour est vraiment fait pour vous !

Gambler est un effet qui a fait partie du répertoire professionnel de Julien Labigne pendant de longues années, il l’a d’ailleurs présenté plusieurs fois dans son spectacle 4 secrets…

Vous avez enfin la possibilité de vous procurer ce magnifique effet…

Vous sortez de votre poche une boite ou se trouve plusieurs objets, des jetons, un dé, un jeu de cartes…

Vous présentez les deux jetons au spectateur, un jeton de 500 et un jeton de 1000. Le spectateur choisit un jeton.

Vous demandez au spectateur ensuite de choisir une des faces du dé, le dé n’est pas truqué le spectateur choisit vraiment la face de son choix.

Pour finir vous présentez le jeu de cartes et faites défiler les cartes une à une sur la table, et le spectateur vous dit stop sur la carte de son choix.

1 chance sur 2

1 chance sur 6

1 chance sur 52

Soit une chance sur 624 d’avoir la bonne combinaison… Vous retournez votre prédiction et le spectateur peut voir exactement la même combinaison, aussi incroyable que cela puisse être vous aviez prédit ses trois choix !

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    • A défaut, il te suffit de présenter n'importe quelle routine de ton répertoire à tes spectateurs pour que ceux-ci puissent expliquer par la suite qu'ils ont vu un tour de Pierre (et à une lettre près, on n'est pas si loin de la demande initiale. Sans que cela ne te coûte un centime. Merci qui 😜 ?)
    • Derniers souvenirs partagés ici de cette FISM 2025 avec le 1er prix de micro-magie et Grand Prix FISM de Close-Up. *** Et puis le mercredi 16 IBUKI paru en scène, plia son foulard et avec lui la compétition de micro-magie. Ce n’était que la première session sur les trois de la compétition mais il n’y avait guère de doute qu’IBUKI serait au palmarès. La rumeur se répand rapidement comme souvent dans ce type d’événement. Le soir même coincé dans un bus avec la délégation russe qui avait loupé le passage du japonais les voilà qui m’assaillent de questions sur son numéro, car leur propre candidat, Vova, va devoir en découdre avec le magicien japonais. *** Description pour qui veut : IBUKI apparaît debout derrière sa table : sur celle-ci un tapis de close-up relevé à 45° vers le public et où se déroulera l’essentiel de la routine. Mais pas son introduction. Le magicien japonais sanglé dans une large veste de costume (couleur entre pêche et crème, mais pas noir, surtout pas noir), fermée sur le devant par quatre gros boutons, commence par poser alternativement ses mains sur des paires de boutons qui se téléportent magiquement jusqu’à se regrouper tous les quatre dans le coin supérieur gauche (vue du public) de son pan de veste.   Cousus là, tous les quatre.   Restés jusque-là bouche cousue, les premiers glapissements de surprise des spectateurs se font entendre dans la salle. Ce n’est que le début. *** Sur cette introduction : Les trois premiers effets de téléportation se produisent dans un plan vertical, sur la veste même d’IBUKI : il s’assure ainsi de l’excellente visibilité de cet effet de Matrix, effet redoublé d’une impossibilité matérielle : non seulement les boutons voyagent magiquement, mais avec eux leurs coutures aussi (sur cette impossibilité matérielle qui redouble le seul effet de téléportation, on pense par exemple à la Matrix avec des clous plantés dans une planche de Michael WEBER). Le contraste entre la couleur très claire du tissu et les boutons sombres participe de cette parfaite visibilité de l’effet - en plus d’éliminer certaines explications potentielles au tour. Et comme le montrera le reste de sa routine la visibilité des effets a été clairement un des problèmes qu’a eu à résoudre IBUKI.    IBUKI aurait pu faire le choix inverse : démarrer par les boutons regroupés puis les remettre magiquement à leur bonne place ; cela aurait fait sens si la routine avait été contextualisée : IBUKI aurait alors « réparé » magiquement la malfaçon initiale de sa veste. Mais ici pas de contexte, IBUKI préfère nous laisser sur l’image incongrue de cette veste aux boutons drôlement regroupés (d’ailleurs on a pu croiser dans les allées de la FISM IBUKI tout au long de ces six jours avec sa veste et ses drôles de boutons, conscient de cette image emblématique, cette image signature). En plus, en terminant avec les boutons regroupés là où ils ne servent plus à rien, quoi de plus naturel que de les découdre avec un petit ciseau de couturière.   La spectatrice (sans introduction formelle) assise à droite de la table se voit tendre les ciseaux et découd elle-même le 4e et dernier bouton (cette spectatrice jouera un rôle clef dans la suite de la mise en scène).    Enfin cette introduction instaure aussi l’émotion magique du reste de la routine : à savoir la surprise. « Les boutons ont voyagé...mais attendez un peu, surprise, ils sont bel et bien cousus ». D’ailleurs la première surprise de la suite du numéro sera que le « pouvoir » d’IBUKI ne va pas être tant la téléportation que de coudre entre eux magiquement et à volonté toutes sortes d’objets. *** Fin de l’introduction. Un foulard quadrillé est déplié sur le tapis incliné, les quatre boutons tout juste défaits de la veste sont chacun posés à un des quatre angles et à partir de là, et bien disons que plus rien ne va se passer comme prévu. Plutôt que de déflorer la suite de la routine deux remarques.  La visibilité : IBUKI a donc un problème : il va magiquement coudre entre eux des objets préalablement montrés « libres » les uns des autres…mais voilà : des coutures c’est bien peu visible de loin. La mise en scène de la routine pallie cette difficulté majeure de plusieurs façons : o   Quand il le peut IBUKI profite du contraste bien visible de loin du fil de couture blanc magiquement apparu sur certains objets noirs en montrant bien ceux-ci...sous toutes les coutures, avant et arrière. o   IBUKI va à plusieurs reprises basculer ses accessoires du plan incliné du tapis de close-up vers le plan vertical du début. Cela rend palpable les coutures même aux spectateurs les plus éloignés qui font physiquement l’expérience qu’en dépit de la gravité des objets restent désormais inexplicablement fixés, car cousus entre eux. o   À l’appui du mot « cousu » qu’il vient de prononcer, IBUKI mime (et ce mime a une autre raison d’être - voir ci-dessous, les mots) par de larges gestes de sa main droite, en vagues montantes et descendantes, l’acte même de l’aiguille qui coud, communiquant là encore pratiquement physiquement à tous les spectateurs l’expérience du fil qui transperce les objets pour les unir – ce qui renforce encore au passage la totale impossibilité de son effet magique. o   La spectatrice est elle aussi mise à contribution comme témoin-relais de l’ensemble du public : invitée à toucher les coutures, à découdre, à manipuler les boutons libres l’instant d’avant puis soudainement cousus sous sa propre paume ; jusqu’au tout dernier geste d’IBUKI envers cette spectatrice, geste qu’on ne révélera pas ici, mais qui a fait fondre les derniers neurones des spectateurs et du jury.            Obtenir une standing ovation de quelque 2200 spectateurs dans une salle dont il a été suffisamment dit qu’avec son sol plat elle offrait une piètre visibilité, et ce avec quatre boutons et un foulard, prouve combien cette mise en scène est efficace.  Les mots. Pas de dramatisation de l’effet via un contexte, pas de personnage autre d’IBUKI lui-même, un côté gendre idéal un rien timide engoncé dans son costume, posé au début, puis qui s’anime de plus en plus au gré du crescendo des effets. Le texte : réduit au possible ; en fait il va tout entier tourner autour d’un calembour assez sot (si j’ose dire) : les différentes acceptions en anglais du son [soʊ], de « tellement » (so), à « coudre » (saw), en passant par « vu » (saw). Mais ce jeu de mots à première vue bêta contribue à la montée en émotion de toute la routine. Et on l’a dit l’émotion visée est la surprise, aussi chaque séquence se déroule selon : o   Exposition de la situation initiale : les objets sont clairement séparés. o   La magie se produit en douce, sans incantation, ni geste magique. o   IBUKI prononce le son [soʊ] et on découvre stupéfait que l’effet n’est pas nécessairement celui attendu (une téléportation), mais qu’une nouvelle couture est apparue, et jamais là où on l’aurait imaginée. Le son [soʊ] n’a pas la valeur d’un abracadabra (car quand il est prononcé la magie est déjà advenue), mais il en conserve la valeur rythmique de leitmotiv en marquant le début de la phase de révélation de l’état final : dès qu’IBUKI se montre ravi que quelque chose de « so impossible » s’est produit (mime à l’appui de la couture pour souligner le piètre calembour so/saw) on frémit : on n’a rien vu et pourtant une nouvelle couture a surgi là où on ne l’attendait pas. La tension entre la naïveté assumée du jeu de mot qui nous nargue d’une part, et notre totale incompréhension du « truc » d’autre part, décuple alors l’émotion magique ressentie. *** Un dernier détail. Deux fois j’ai vu IBUKI (en compétition et dans le gala des gagnants) et deux fois à un certain moment de la routine alors qu’il se saisit du bouton le plus près de lui à sa gauche, le foulard amidonné reste malencontreusement (?) dressé à la verticale. Notre « taureau de la raison » (TAMARIZ) se rue sur ce pli accidentel : IBUKI ne profite-t-il pas d’un pli pas si fortuit pour y dissimuler un bouton resté en place et dont il n’a que simulé la prise ? L’instant suivant remarquant le désordre de son foulard IBUKI le saisit par deux coins, le claque pour le redéposer bien à plat sur le tapis…et anéantir au passage notre hypothèse : aucun bouton où nous le soupçonnions. L’art de la fausse piste, du red herring, est un art du tact : trop subtil, le leurre n’est même pas remarqué ; grossier, le spectateur flaire l’intention délibérée du magicien de l’égarer et se rebiffe. J’ignore si ce pli, bien vertical, bien visible était ou non une maladresse par deux fois réellement malencontreuse (improbable à ce niveau de compétition, d’autant que la chorégraphie d’IBUKI est impeccable partout ailleurs), j’ignore si ce minuscule « incident » du pi de trop a donc quoi que ce soit de réfléchi, d’intentionnel (voir même de nécessaire à la méthode), mais si tel est le cas, comme je le soupçonne, faire d’un faux pli un vrai contrôle de notre attention aura suffi à me ravir.    
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