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C'est très sympa, cette version est idéal pour les non adepte du cull ;) Moi perso j'aime bien c'est pure mais je fais exactement la même chose avec un peu plus de technique qui reste pour autant aussi fluide pour le spectateur je pense. Mais attention c'est très bien pour ceux qui ne sont pas des manipulateurs ;)

"Rie est la clé de la communication"

Publié le

C'est bizarre alors c'est peut être moi mais ça ressemble étrangement à un tour que je pratique depuis quelques années et que j'affectionne vraiment : Ultimate oil and water de Anthony Owens [video:youtube]

On dirait le même mode fonctionnement.. Peut être que je me trompe ;)

Thomas-Riboulet-black-high-res.thumb.png.3dedaacef6feecd2163e4bdb02eeb9d3.png

Publié le (modifié)

En fait, le problème de cet effet c'est qu'il est répétitif et finalement ennuyeux.

Pour moi, il faut qu'il y ait au moins un climax car après avoir séparé 77 fois les rouges et les noires de "façon magique", t'as déjà perdu 90% de tes spectateurs (Messmer peut aller se rhabiller si t'es sur le même plateau que lui :D ).

En ce sens la version de Bogunia a au moins ce mérite. D'autant plus que ce climax peut être ajouté à n'importe quelle version d'huile et eau puisqu'il est indépendant des cartes utilisées pour l'effet en lui même :) .

Modifié par Woody
Publié le

Hum, je ne suis pas tout a fait d'accord, la routine d'Anthony en trois phase et rapide et assez attractive, en tout cas aucun de mes spectateurs ne s'est endormi quand je le faisais ;) Mais bon passons, la richesse de la magie et que heureusement nous n'aimons et ne pratiquons pas tous les même choses :)

Pour ce qui est du climax final, j'aime beaucoup dans le même genre la routine de Christian Engblom oil over troubled water ! [video:youtube]

Oui Oui vous l'aurez compris j'adore les routine d'huile et d'eau. Quoi qu'il en soit ce sont les deux seuls version d'huile et d'eau gimmické que je pratique.

Je viens d'y pensé mais cette routine Sorted Affair est aussi réalisable avec les carte de Ultimate oil and water et le gaffe deck Unshuffled de Anton James (super gaffe deck soit dit en passant ;) )

[video:youtube]

Thomas-Riboulet-black-high-res.thumb.png.3dedaacef6feecd2163e4bdb02eeb9d3.png

Publié le

Ah ah ! Tu as certainement un très bon texte (ou ma présentation est toute pourrite c'est possible aussi ça. Quoi que non, en y repensant mdr;) ) car la routine d'Anthony Owen c'est juste 6 cartes, 3 rouges et 3 noires qui une fois mélangées se séparent magiquement trois fois de suite. Question presque invariable du spectateur :

- "Oui, oui j'ai compris; tu me l'as fait trois fois. Et donc ?

- Ben rien. C'est fini.

- Ah...

- Tu veux que je le refasse ?

- Non, non, ça va aller..."

Je caricature un peu mais OK la première fois ça surprend. Et c'est normal car c'est très étonnant. La deuxième fois, le spectateur est plus attentif et le magicien essaye d'être le plus honnête possible mdr tandis que la troisième fois, la situation se complexifie mais le résultat est le même. Si tu t'arrêtes là, selon moi, dans l'esprit du spectateur, tu as fait trois fois de suite la même chose. Du coup, si le spectateur se pose des questions sur le pourquoi du comment, tu le laisses avec ses questions et tu ne convaincs pas.

En revanche, si tu proposes un climax, même simple, comme le fait le type dans la vidéo, en proposant une conclusion (en lien évidemment avec l'effet), tu finis sur un whouah qui, de fait, balaye toutes les hypothèses que le spectateur pouvait échafauder pour remonter ton truc.

Et dans les compte-rendus qu'il fera à ses potes plus tard, tu n'auras pas de "il avait des cartes mélangées et il a séparé les rouges et les noires, comme ça sans rien faire" mais un "il avait des cartes rouges et noires mélangées et il les a séparé trois fois de suite sans les toucher et attends, à la fin, c'est tout le jeu qui était complètement séparé, d'un coté les rouges et de l'autre les noires" (si bien sur on conclue par ce climax ;) ). C'est quand même mieux, non :) ?

Si tu n'en est pas convaincu, décrits l'effet à un copain non magicien. Décrits-lui d'abord l'effet sans climax (comme si tu lui soumettais une idée de tour) et demande lui ce qu'il en pense. Ensuite, ajoute le climax à ta description et demande lui de nouveau ce qu'il en pense.

My2Cents

:cool:

Woody

Publié le
Ah ah ! Tu as certainement un très bon texte (ou ma présentation est toute pourrite c'est possible aussi ça. Quoi que non, en y repensant mdr;) ) car la routine d'Anthony Owen c'est juste 6 cartes, 3 rouges et 3 noires qui une fois mélangées se séparent magiquement trois fois de suite. Question presque invariable du spectateur :

- "Oui, oui j'ai compris; tu me l'as fait trois fois. Et donc ?

- Ben rien. C'est fini.

- Ah...

- Tu veux que je le refasse ?

- Non, non, ça va aller..."

Ceci dit, René Lavand a fait le tour du monde avec 3 cartes noires et 3 cartes rouges (et un texte magnifique certes). ;)

Et si on y réfléchit bien, on peut faire le même reproche a beaucoup de tour de magie : ambitieuse, bonneteau, ...

https://www.fabienarcole.fr

Publié le (modifié)

René Lavand ? Connais pas. Concernant les routines que tu cites, je ne suis pas tout à fait d'accord; mon ambitieuse se termine par une carte au plafond parfaitement justifiée tandis que le bonneteau de Garret Thomas, par exemple, finit sur un climax où (si je ne dis pas de bêtises) les trois cartes se transforment en cartes gagnantes (par ailleurs, les effets au cours du bonneteau de GT vont plutôt crescendo).

Enfin, si certaines routines sont un peu faibles sur la fin, à nous de les modifier en conséquence (je travaille en ce moment une routine un peu laborieuse dans sa conclusion, un truc basé sur une divination de tableaux, bref peu importe; je conclue cette routine en retrouvant une balle éponge géante rouge dans la poche de veste du spectateur, afin de rendre la révélation du tableau pensé plus amusante).

Modifié par Woody
Publié le

Bien sur ! Je pense même que c'est le minimum syndical :) .

(sinon bravo pour ne pas avoir réagi à la provocation et avoir su garder ton sang-froid mdr ; je ne concluerai évidemment pas Orsay par la production d'une balle éponge :D;) . Les pic-verts, en règle général, ne sont pas des saboteurs ;) ).

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    • Je crois surtout qu’une telle accumulation d’affirmations toutes plus invraisemblables les unes que les autres les feraient ricaner, s’ils en avaient cure.    J’ai déjà évoqué cela. Un exemple ici :  Par ailleurs Christian Delamorinière habituellement si « prompt » (c’est le cas de le dire) à dégainer une IA pour répondre à sa place lorsque ça l’arrange, ne fait pas ici cet « effort » dès lors que ça pourrait ne pas abonder dans son sens, exemple avec ce que peut relever ChatGPT du point de vue des éléments scientifiques sur cette affaire (qui pour moi je le précise n’en est pas une, à part l’analyse sociologique intéressante qu’on peut faire sur les croyances et la crédulité humaine) : ChatGPT : « Je vais te donner, de façon structurée et rigoureuse, les éléments scientifiques (tests, observations, preuves historiques et limites méthodologiques) qu’on peut invoquer pour soutenir l’hypothèse non-miraculeuse concernant l’image de Notre-Dame de Guadalupe. Je cite les travaux et rapports clés pour chaque point (les cinq affirmations les plus importantes sont sourcées). Résumé rapide (une phrase) : Les enquêtes historiques et techniques existantes montrent des indices compatibles avec une fabrication ou des retouches humaines (présence de pigments et retouches, témoignages d’experts-restaurateurs, preuves documentées d’altérations et d’interventions), et aucun test non-contredit et irréfutable n’a démontré une origine « surnaturelle ». 1) Matière du support et conservation — pourquoi la “longévité inexplicable” n’est pas une preuve suffisante Analyses historiques identifient le support comme une tilmatli / tissu composé (traditionnellement ixtle = fibre d’agave) mais certaines études postérieures ont trouvé des fibres plus stables (lin/coton) ou mélange. Les fibres d’agave « pures » se dégradent normalement en quelques décennies dans le climat de Mexico — l’existence d’un tissu intact depuis ~1531 exige donc une explication (restaurations, protection, remplacements partiels, conditions favorables), pas automatiquement un miracle. Faits documentés qui expliquent partiellement la conservation : image protégée derrière verre blindé, changements d’éclairage et de contrôle climatique au XXᵉ siècle, interventions de restauration historiques (nettoyages, ajout de cadre, etc.). Ces mesures réduisent l’argument « ça n’aurait pas dû survivre ». 2) Preuves de retouches, additions et interventions historiques Documents et enquêtes (rapports de peintres en 1751, note d’un restaurateur en 1946, rapport de José Sol Rosales en 1982) signalent retouches visibles (ajout/suppression de la couronne, placages d’or/argent sur certains éléments, retouches locales). Ces interventions humaines montrent que l’image a subi modifications — ce qui affaiblit l’argument que l’ensemble de l’image est « intacte et miraculeuse ». Incidents historiques (taches d’acide en 1791, explosion d’une bombe en 1921, déplacements/encadrements multiples) sont attestés et documentés ; l’existence de copies et de manipulations rend plausible qu’au fil du temps on ait effectué réparations/restaurations. 3) Analyses pigmentaires et techniques (ce qu’on sait / ce qu’il faudrait) Tests publiés (examens visuels, microscopiques, photos infrarouges) ont montré des zones retouchées et, selon certains experts, des pigments et une préparation compatibles avec des techniques humaines (tempera/tüchlein). L’étude infrarouge de Philip Serna Callahan (1979–1981) n’a pas trouvé d’explication miraculeuse pour la conservation des zones « originales », mais a identifié des retouches visibles et des différences de matière. Méthodes scientifiques rigoureuses à appliquer (ou dont l’absence est critique) : cartographie non destructive (XRF, hyperspectral imaging), micro-spectroscopies (Raman, FTIR), SEM-EDS pour composition élémentaire, analyses de couches (micro-stratigraphie) et datation AMS (radiocarbone) sur fibres non-essentielles. Si ces tests montrent pigments, liants et stratigraphies compatibles avec peinture humaine du XVIᵉ siècle et/ou matériaux introduits plus tard, cela supporte fortement l’origine humaine. À ce jour, il n’existe pas de publication largement acceptée présentant un jeu complet, moderne et indépendant de ces analyses sur l’ensemble de l’objet (ou du moins ces données ne sont pas toutes publiques). 4) Études sur les « reflets » dans les yeux et pareidolie Certaines études ont affirmé trouver des « images » miniatures dans les yeux (figures des témoins). Les critiques scientifiques montrent que ces images sont très faibles, sujettes à pareidolie (reconnaissance d’images dans des taches) et que l’interprétation n’est pas reproductible ni robuste : ce type d’« evidence » n’a pas de valeur probante forte en l’absence d’une méthodologie statistique stricte. 5) Approche historique et iconographique L’enquête historique (relevés, témoignages du XVIᵉ–XVIIIᵉ siècle, débats entre religieux) montre que depuis le début il y a eu des accusations que l’image était peinte par des humains (témoignages citant un peintre « Marcos/Marcial » au XVIᵉ siècle). Les rapports d’experts en peinture (1751) et les analyses iconographiques modernes fournissent des alternatives historiques plausibles à l’explication miraculeuse. Ce qu’il faudrait pour “prouver” de façon scientifique qu’il n’y a pas de miracle (critères de rigueur) : Pour renverser définitivement l’attribution miraculeuse (dans une logique scientifique), il faudrait un jeu complet et public d’analyses reproductibles, indépendantes et multi-modalités : Datation directe (AMS radiocarbone) d’un fragment de la fibre (ou d’un fil marginal non essentiel) — établir l’âge du support. Cartographie chimique non destructive (XRF, hyperspectral, FTIR, Raman) couvrant l’ensemble pour lier pigments/éléments à matériaux connus. Analyses micro-stratigraphiques (coupe en section microscopique) montrant couches de préparation, liant, pigments et retouches datables. Contrôle de l’altération (analyses de dégradation) pour comprendre pourquoi certaines zones sont conservées. Publication complète et revue par pairs permettant reproduction et critique. Absence d’un de ces éléments (surtout l’absence d’AMS daté ou d’un jeu public et indépendant d’analyses) signifie que l’argument « inexplicable scientifiquement = miracle » est méthodologiquement faible. Limites et mise en garde méthodologique Accès et échantillonnage : la basilique contrôle très strictement l’accès — procédures invasives (prélèvement pour AMS, micro-coupe) sont politiquement et religieusement sensibles; l’absence de tels prélèvements limite les conclusions définitives. Preuves négatives : montrer que l’on ne voit pas d’explication naturelle complète n’est pas la même chose que prouver un miracle. La charge de la preuve scientifique pèse sur celui qui affirme l’exceptionnel. Interprétations contradictoires : plusieurs études (et auteurs) arrivent à conclusions différentes selon méthodes, expertise et déclarations. Il faut privilégier analyses reproductibles et données ouvertes. Conclusion synthétique (ce que la science rigoureuse peut raisonnablement soutenir aujourd’hui) Il existe des preuves historiques et techniques d’interventions humaines (retouches, ajouts, nettoyage, modifications documentées). Des études techniques (photos IR, examens microscopiques, analyses conservatoires) ont identifié des pigments et des signes compatibles avec un travail humain sur au moins une partie de l’image. L’argument « la tilma aurait dû se décomposer » perd de sa force quand on tient compte des matériaux identifiés, des interventions historiques et des mesures de conservation. Il n’y a pas (à ma connaissance, dans la littérature publique et peer-critique) de série complète et indépendante d’analyses modernes et invasives qui établissent irrécusablement une origine miraculeuse ; inversement, il existe des analyses et arguments plausibles en faveur d’une fabrication ou de retouches humaines. »   Lequel ? La Bulgarie ? 
    • Merci beaucoup @Sébastien MACAK (Splitter). 🙏
    • Apparitions de Guadalupe : des preuves matérielles qui désarment la science :  
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