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Publié le

Pour l’instant ce sont des actions qui ne nécessitent pas d’avocat, le bureau de la FFAP s’est débrouillé avec les connaissances juridiques de ses membres, ça n’a pas coûté un sou à la fédération, et la FFAP a gagné.

Les actions à venir vont probablement nécessiter quelques dépenses qui seront largement compensées par les retours médiatiques de l’utilisation en bonne et due forme du titre officiel. La défense des valeurs fondamentales de l’art magique est à ce prix.

Tout sera au grand jour, et les membres seront largement informés des suites de cette affaire trop longtemps négligée.

Le bureau de la FFAP

Publié le (modifié)

Bonjour Fréderic,

Pourquoi ne pas dire la vérité ?

La FFAP a reconnu par écrit auprès de Méga Magie et de l'INPI la légitimité et l'existence du Championnat de France de Magie.

La FFAP n'a rien gagné mais à simplement fait un dépôt INPI dans la bonne classe.

Et pour l'instant, il n'y a pas d'action ou de procès contre Méga Magie et le Championnat de France de magie, mais une action en cours d'appel pour savoir si oui ou non la FFAP peut appeler son concours "Championnat FFAP" ... Merci donc de ne pas faire croire autre chose...

Je ne comptais pas m'en mêler, mais si des dirigeants FFAP (qui ont soutenu et participé en tant que membre du jury au Championnat de France de Magie) commence à dire des âneries...

P.S : Ne parler pas de retombées médiatiques hypothétiques, alors que quand vous organisez un Championnat d'Europe en France, personne, à part les magiciens, n'est au courant de cet évènement !...

P.S 2 : Si vous n’avez pas engagé d’avocat… comment se fait-il que nous ayons reçu des courriers émanent d’avocats ? Nous les tenons à votre disposition…

P.S 3 : En tout cas, un sincère merci à Otto (et aux autres) d'avoir compris et exposé le fond du problème !

Arthus

Modifié par Arthus
Publié le

Messieurs du Bureau de la FFAP...

Il me paraît urgent de crever l'abcès de cette histoire navrante.

J'ai, au fil des années, toujours entendu G.A. dire qu'il était prêt à rencontrer

les hautes instances de notre Fédé pour débattre de ce sujet épineux.

L'ancien Président n'a pas voulu entendre cet appel, il semblerait que le Bureau actuel ne le veuille pas non plus,

ce qui me parait bien préjudiciable pour l'ensemble des Magiciens. Que de temps et d'énergie perdus !!!

Il aurait peut-être été utile d'accorder un temps d'échanges lors de l'Assemblée Générale de demain...

Publié le

Complètement d'accord avec toi Yilou, d'autant que Gilles m'a confirmé que si la FFAP le souhaitait, il était à leur disposition demain pour leur Assemblée Générale !

Publié le

Bonjour Arthus

Le message que j'ai mis émane du bureau de la FFAP.

Maintenant si tu veux mon avis.

Chacun essaye de dire que l'autre ment !

Je ne rentrerai pas dans ce petit jeu.(ce n'est pas sur un forum que cela se règle. Si cela doit passer par la justice alors allons-y comme ça au moins on sera fixé)

Je ne regarde que les faits notamment tous les mails avec Gilles d'une côté et le bureau de la FFAP de l'autre que j'ai gardé de l'époque (2005)

Tu sais comme moi que j'étais dès le départ dans le projet (et même avant que gilles ne pense à le faire et à le proposer à paris première)

Je dis aussi que la FFAP utilise son titre de championnat de France de magie FFAP depuis de nombreuses années (et avant la diffusion par Paris première)

il a été réactivé lors du congrès de nancy en 2002. Gilles a même été engagé au congrès à ce congrès, il est également sur le DVD souvenir du congrès qui s'intitule championnat de France de magie.

ensuite les choses ont évolué et moi je regrette surtout que ce ne soit pas le bon titre qui soit utilisé.

Le titre qu'il a déposé est "championnat de France de magie de Gilles Arthur"

Pourquoi ne pas utiliser la marque que Gilles à déposé ?

Je ne dis rien d'autre.

Frédéric

Publié le
P.S : Ne parler pas de retombées médiatiques hypothétiques, alors que quand vous organisez un Championnat d'Europe en France, personne, à part les magiciens, n'est au courant de cet évènement !...

C'est quand même un peu vrai. Par ailleurs, force est de constater que, sur le plan médiatique et en terme de notoriété, l'avantage est à Gilles Arthur, sans aucun doute possible et cela depuis des années (depuis que je suis gosse, tiens :) ).

D'ailleurs, je pense que laisser à Gilles Arthur le droit d'utiliser le titre en question et obtenir en retour de la visibilité sur une chaine de télé (tout en grapillant peut-être au passage quelques picaillons) peut être une bonne stratégie pour la FFAP.

My2Cents

:cool:

Woody

Publié le

« Championnat de France de Magie »

Mon avis personnel est que le terme est très inadapté.

Existe-t-il un championnat ou une coupe du monde de musique ou de peinture ?

Peut-être mais ce n'est pas vraiment connu, car ça n'a pas vraiment de sens

Il existe des miss, des grands prix de Rome, des Victoires, des Césars, des Oscars, des étoiles au guide XXX, (même des master XXX...)

L'art est subjectif par essence, et les championnats sont là pour déterminer le meilleur... Ce qui n'a aucun sens puisque nous parlons de domaine subjectif !

Bref être champion de France ou du monde ça fait bien, c'est vendeur, mais champion du monde d'un sport ou de tout autre discipline qui peut être évaluée subjectivement ; champion du monde de magie n'a aucun sens !

C'est en totale opposition avec ma conception de la magie.

On en revient à la question ; la magie est-elle un art ?

C'était ma digression sur le sujet, mais il fallait que ça sorte.

Publié le

Fred, tu sais que c’est faux, et tu sais tout comme moi que la FFAP a utilisé ce titre de manière exceptionnelle une seule fois en 2002, puis ne le voulait plus… le trouvant moins prestigieux que prix magicus (selon tes courriers de l’époque et ceux de FFAP)

Ce que tu ignores peut-etre, (j’en doute) c'est que Gilles l'a utilisé également en 1990 dans le cadre du 1er festival des Mandrakes d'Or et que le titre à également été utilisé dans les années 70 à Lyon…

Et je te le redis, Gilles est prêt à en discuter avec vous lors de votre assemblée de demain… Mais je pense que vous préférez probablement son absence..

Arthus

Publié le

[quote=hannibal…

Existe-t-il un championnat ou une coupe du monde de musique ou de peinture ?

Tu as bien sur raison sur l’idée qu’on ne peut classer que difficilement des artistes entre eux.

Mais tout le monde n’est pas dans cette optique, la preuve, le nombre de gens se présentant à la FISM.

Car au-delà des grands principes, il y a les carrières et les hommes.

Un prix peut booster une carrière, et la plupart des hommes sont prêt à ce qu’on reconnaisse officiellement leur talent…

C’est ainsi qu’on a des prix en littérature, en théâtre, en musique, et qu’un prix Nobel est rarement pris à la légère sous prétexte qu’on a fait cela pour la bonne cause…

Ces prix sont au contraire un but qui motive plein de gens, on ne va pas leur enlever cela.

D’ailleurs, l’intérêt dans ces compétitions magiques, c’est que ce ne sont PAS des compétitions…

Les concurrents ne concourent pas les uns contre les autres, mais pour atteindre un niveau de qualité (théorique et subjectif, si tu veux… mais tout jugement d’un jury fait intervenir une part subjective, quelle que soit la précision des grilles de notation…)

C’est ainsi qu’on peut avoir plusieurs grand prix une année, aucun l’année suivante etc.

En ce sens, cela se différencie des championnats sportifs qui sont basés eux sur la compétition pure.

Gilbus

Quand le magicien montre la lune avec son doigt, le public regarde le doigt...

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    • A défaut, il te suffit de présenter n'importe quelle routine de ton répertoire à tes spectateurs pour que ceux-ci puissent expliquer par la suite qu'ils ont vu un tour de Pierre (et à une lettre près, on n'est pas si loin de la demande initiale. Sans que cela ne te coûte un centime. Merci qui 😜 ?)
    • Derniers souvenirs partagés ici de cette FISM 2025 avec le 1er prix de micro-magie et Grand Prix FISM de Close-Up. *** Et puis le mercredi 16 IBUKI paru en scène, plia son foulard et avec lui la compétition de micro-magie. Ce n’était que la première session sur les trois de la compétition mais il n’y avait guère de doute qu’IBUKI serait au palmarès. La rumeur se répand rapidement comme souvent dans ce type d’événement. Le soir même coincé dans un bus avec la délégation russe qui avait loupé le passage du japonais les voilà qui m’assaillent de questions sur son numéro, car leur propre candidat, Vova, va devoir en découdre avec le magicien japonais. *** Description pour qui veut : IBUKI apparaît debout derrière sa table : sur celle-ci un tapis de close-up relevé à 45° vers le public et où se déroulera l’essentiel de la routine. Mais pas son introduction. Le magicien japonais sanglé dans une large veste de costume (couleur entre pêche et crème, mais pas noir, surtout pas noir), fermée sur le devant par quatre gros boutons, commence par poser alternativement ses mains sur des paires de boutons qui se téléportent magiquement jusqu’à se regrouper tous les quatre dans le coin supérieur gauche (vue du public) de son pan de veste.   Cousus là, tous les quatre.   Restés jusque-là bouche cousue, les premiers glapissements de surprise des spectateurs se font entendre dans la salle. Ce n’est que le début. *** Sur cette introduction : Les trois premiers effets de téléportation se produisent dans un plan vertical, sur la veste même d’IBUKI : il s’assure ainsi de l’excellente visibilité de cet effet de Matrix, effet redoublé d’une impossibilité matérielle : non seulement les boutons voyagent magiquement, mais avec eux leurs coutures aussi (sur cette impossibilité matérielle qui redouble le seul effet de téléportation, on pense par exemple à la Matrix avec des clous plantés dans une planche de Michael WEBER). Le contraste entre la couleur très claire du tissu et les boutons sombres participe de cette parfaite visibilité de l’effet - en plus d’éliminer certaines explications potentielles au tour. Et comme le montrera le reste de sa routine la visibilité des effets a été clairement un des problèmes qu’a eu à résoudre IBUKI.    IBUKI aurait pu faire le choix inverse : démarrer par les boutons regroupés puis les remettre magiquement à leur bonne place ; cela aurait fait sens si la routine avait été contextualisée : IBUKI aurait alors « réparé » magiquement la malfaçon initiale de sa veste. Mais ici pas de contexte, IBUKI préfère nous laisser sur l’image incongrue de cette veste aux boutons drôlement regroupés (d’ailleurs on a pu croiser dans les allées de la FISM IBUKI tout au long de ces six jours avec sa veste et ses drôles de boutons, conscient de cette image emblématique, cette image signature). En plus, en terminant avec les boutons regroupés là où ils ne servent plus à rien, quoi de plus naturel que de les découdre avec un petit ciseau de couturière.   La spectatrice (sans introduction formelle) assise à droite de la table se voit tendre les ciseaux et découd elle-même le 4e et dernier bouton (cette spectatrice jouera un rôle clef dans la suite de la mise en scène).    Enfin cette introduction instaure aussi l’émotion magique du reste de la routine : à savoir la surprise. « Les boutons ont voyagé...mais attendez un peu, surprise, ils sont bel et bien cousus ». D’ailleurs la première surprise de la suite du numéro sera que le « pouvoir » d’IBUKI ne va pas être tant la téléportation que de coudre entre eux magiquement et à volonté toutes sortes d’objets. *** Fin de l’introduction. Un foulard quadrillé est déplié sur le tapis incliné, les quatre boutons tout juste défaits de la veste sont chacun posés à un des quatre angles et à partir de là, et bien disons que plus rien ne va se passer comme prévu. Plutôt que de déflorer la suite de la routine deux remarques.  La visibilité : IBUKI a donc un problème : il va magiquement coudre entre eux des objets préalablement montrés « libres » les uns des autres…mais voilà : des coutures c’est bien peu visible de loin. La mise en scène de la routine pallie cette difficulté majeure de plusieurs façons : o   Quand il le peut IBUKI profite du contraste bien visible de loin du fil de couture blanc magiquement apparu sur certains objets noirs en montrant bien ceux-ci...sous toutes les coutures, avant et arrière. o   IBUKI va à plusieurs reprises basculer ses accessoires du plan incliné du tapis de close-up vers le plan vertical du début. Cela rend palpable les coutures même aux spectateurs les plus éloignés qui font physiquement l’expérience qu’en dépit de la gravité des objets restent désormais inexplicablement fixés, car cousus entre eux. o   À l’appui du mot « cousu » qu’il vient de prononcer, IBUKI mime (et ce mime a une autre raison d’être - voir ci-dessous, les mots) par de larges gestes de sa main droite, en vagues montantes et descendantes, l’acte même de l’aiguille qui coud, communiquant là encore pratiquement physiquement à tous les spectateurs l’expérience du fil qui transperce les objets pour les unir – ce qui renforce encore au passage la totale impossibilité de son effet magique. o   La spectatrice est elle aussi mise à contribution comme témoin-relais de l’ensemble du public : invitée à toucher les coutures, à découdre, à manipuler les boutons libres l’instant d’avant puis soudainement cousus sous sa propre paume ; jusqu’au tout dernier geste d’IBUKI envers cette spectatrice, geste qu’on ne révélera pas ici, mais qui a fait fondre les derniers neurones des spectateurs et du jury.            Obtenir une standing ovation de quelque 2200 spectateurs dans une salle dont il a été suffisamment dit qu’avec son sol plat elle offrait une piètre visibilité, et ce avec quatre boutons et un foulard, prouve combien cette mise en scène est efficace.  Les mots. Pas de dramatisation de l’effet via un contexte, pas de personnage autre d’IBUKI lui-même, un côté gendre idéal un rien timide engoncé dans son costume, posé au début, puis qui s’anime de plus en plus au gré du crescendo des effets. Le texte : réduit au possible ; en fait il va tout entier tourner autour d’un calembour assez sot (si j’ose dire) : les différentes acceptions en anglais du son [soʊ], de « tellement » (so), à « coudre » (saw), en passant par « vu » (saw). Mais ce jeu de mots à première vue bêta contribue à la montée en émotion de toute la routine. Et on l’a dit l’émotion visée est la surprise, aussi chaque séquence se déroule selon : o   Exposition de la situation initiale : les objets sont clairement séparés. o   La magie se produit en douce, sans incantation, ni geste magique. o   IBUKI prononce le son [soʊ] et on découvre stupéfait que l’effet n’est pas nécessairement celui attendu (une téléportation), mais qu’une nouvelle couture est apparue, et jamais là où on l’aurait imaginée. Le son [soʊ] n’a pas la valeur d’un abracadabra (car quand il est prononcé la magie est déjà advenue), mais il en conserve la valeur rythmique de leitmotiv en marquant le début de la phase de révélation de l’état final : dès qu’IBUKI se montre ravi que quelque chose de « so impossible » s’est produit (mime à l’appui de la couture pour souligner le piètre calembour so/saw) on frémit : on n’a rien vu et pourtant une nouvelle couture a surgi là où on ne l’attendait pas. La tension entre la naïveté assumée du jeu de mot qui nous nargue d’une part, et notre totale incompréhension du « truc » d’autre part, décuple alors l’émotion magique ressentie. *** Un dernier détail. Deux fois j’ai vu IBUKI (en compétition et dans le gala des gagnants) et deux fois à un certain moment de la routine alors qu’il se saisit du bouton le plus près de lui à sa gauche, le foulard amidonné reste malencontreusement (?) dressé à la verticale. Notre « taureau de la raison » (TAMARIZ) se rue sur ce pli accidentel : IBUKI ne profite-t-il pas d’un pli pas si fortuit pour y dissimuler un bouton resté en place et dont il n’a que simulé la prise ? L’instant suivant remarquant le désordre de son foulard IBUKI le saisit par deux coins, le claque pour le redéposer bien à plat sur le tapis…et anéantir au passage notre hypothèse : aucun bouton où nous le soupçonnions. L’art de la fausse piste, du red herring, est un art du tact : trop subtil, le leurre n’est même pas remarqué ; grossier, le spectateur flaire l’intention délibérée du magicien de l’égarer et se rebiffe. J’ignore si ce pli, bien vertical, bien visible était ou non une maladresse par deux fois réellement malencontreuse (improbable à ce niveau de compétition, d’autant que la chorégraphie d’IBUKI est impeccable partout ailleurs), j’ignore si ce minuscule « incident » du pi de trop a donc quoi que ce soit de réfléchi, d’intentionnel (voir même de nécessaire à la méthode), mais si tel est le cas, comme je le soupçonne, faire d’un faux pli un vrai contrôle de notre attention aura suffi à me ravir.    
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