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il y a une heure, Stéphane BERTHO a dit :

Si on pouvait aller beaucoup plus vite, pourrait-on éviter les collisions ou avoir des véhicules assez solides pour ne pas être endommagés par des collisions ou frottements qui doivent faire mal, même avec de la poussière, à très grande vitesse ?

Avec un peu de MHD, ça devrait le faire... un bon accélérateur à plasma et hop !

https://fr.wikipedia.org/wiki/Accélérateur_MHD

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Publié le
il y a 25 minutes, Mickaël MCD a dit :

Chui pas sûr que les vols habités le restent une fois l'effet de l'accélérateur passé 😃 😎


En accélérant à 1 g (soit près de 10 m/s2) qui est l'accélération de la pesanteur, il faudrait moins d'un an pour atteindre la vitesse de la lumière.
Calcul en gros : 300000 km/s = 300000000 m/2

300.000.000 / 10 / 3600 / 24 = 347 jours.

Ici ça dit 200 jours pour atteindre 50% de la vitesse de la lumière : https://fr.quora.com/Combien-de-temps-faut-il-pour-accélérer-à-la-vitesse-de-la-lumière-que-les-humains-peuvent-supporter

Ca dit aussi "Ma nouvelle Accélération : Journal de bord d’un voyage relativiste décrit un voyage de 10 années lumière sous acceleration constante de 1g.
En 551 jours le temps vaisseau il atteint 99.999% de c puis décélère à 1g en 551 jours de plus.
On peut donc très confortablement aller n'importe où dans l'univers en 3 ans environ. Manque plus que la technologie…"

Avec des calculs plus justes : https://en.wikipedia.org/wiki/Space_travel_under_constant_acceleration

on lit ça: At a constant acceleration of 1 g, a rocket could travel the diameter of our galaxy in about 12 years ship time, and about 113,000 years planetary time. If the last half of the trip involves deceleration at 1 g, the trip would take about 24 years. If the trip is merely to the nearest star, with deceleration the last half of the way, it would take 3.6 years.

Pas mal !

  • J'aime 2
Publié le
il y a 23 minutes, Christophe (Kristo) a dit :


En accélérant à 1 g (soit près de 10 m/s2) qui est l'accélération de la pesanteur, il faudrait moins d'un an pour atteindre la vitesse de la lumière.
Calcul en gros : 300000 km/s = 300000000 m/2

300.000.000 / 10 / 3600 / 24 = 347 jours.

Ici ça dit 200 jours pour atteindre 50% de la vitesse de la lumière : https://fr.quora.com/Combien-de-temps-faut-il-pour-accélérer-à-la-vitesse-de-la-lumière-que-les-humains-peuvent-supporter

Ca dit aussi "Ma nouvelle Accélération : Journal de bord d’un voyage relativiste décrit un voyage de 10 années lumière sous acceleration constante de 1g.
En 551 jours le temps vaisseau il atteint 99.999% de c puis décélère à 1g en 551 jours de plus.
On peut donc très confortablement aller n'importe où dans l'univers en 3 ans environ. Manque plus que la technologie…"

Avec des calculs plus justes : https://en.wikipedia.org/wiki/Space_travel_under_constant_acceleration

on lit ça: At a constant acceleration of 1 g, a rocket could travel the diameter of our galaxy in about 12 years ship time, and about 113,000 years planetary time. If the last half of the trip involves deceleration at 1 g, the trip would take about 24 years. If the trip is merely to the nearest star, with deceleration the last half of the way, it would take 3.6 years.

Pas mal !

On reste quand même à 6 ans pour le voyage vers la première exoplanète 🤪

Et il faudrait un bol monstre pour qu'on tombe sur une planète habitée et même juste "habitable".

il y a 25 minutes, Christophe (Kristo) a dit :

On peut donc très confortablement aller n'importe où dans l'univers en 3 ans environ.

Ça j'ai un peu du mal à comprendre le raisonnement 🙃

  • A priori le diamètre le l'Univers observable est d'environ 93 milliards d'années-lumière.
  • Pour faire une seule année-lumière, il faut :
    • 1 an
    • A la vitesse de la lumière
    • 😅
  • Donc en partant de notre position pour aller là où l'on voit la limite de NOTRE Univers observable. Il faut parcourir le rayon donc +/- 46,5 milliards d'années-lumière.

Alors si mon raisonnement est juste, pour aller au bord de notre Univers observable à la vitesse de la lumière, il nous faudrait environ 46.500.000.000 ans et non pas 3 ans ?

il y a 32 minutes, Christophe (Kristo) a dit :

En accélérant à 1 g (soit près de 10 m/s2) qui est l'accélération de la pesanteur, il faudrait moins d'un an pour atteindre la vitesse de la lumière.

Où trouver la source d'énergie en continue aussi ?

A-t-on assez d'énergie (même en rassemblant toute l'énergie de notre étoile) pour faire un tel voyage ?

Et comment transporter toute cette énergie pour la distiller pendant 1 an avant d'arriver à la vitesse de la lumière ?

Proxima du Centaure

Ce système planétaire se trouve à 4,2 années-lumière et se trouve être le système le plus proche de nous.

Donc la lumière mets déjà plus de 4 ans à nous parvenir.

Même en voyageant à la vitesse de la lumière, 4 ans ça fait un p'tit d'chemin quand même 😄

Après, même avec une technologie aussi puissante, on n'a pas intérêt à avoir un astéroïde ou quoi que ce soit sur le chemin 😅

Publié le
il y a 17 minutes, Mickaël MCD a dit :

On reste quand même à 6 ans pour le voyage vers la première exoplanète 🤪

Et il faudrait un bol monstre pour qu'on tombe sur une planète habitée et même juste "habitable".

 

6 ans aller-retour oui.

Mais quel intérêt de faire le retour ?

Entre temps il se sera passé 226000 ans sur la terre.
Même pas sûr que VM existe encore !

 

il y a 17 minutes, Mickaël MCD a dit :

Ça j'ai un peu du mal à comprendre le raisonnement 🙃

  • A priori le diamètre le l'Univers observable est d'environ 93 milliards d'années-lumière.
  • Pour faire une seule année-lumière, il faut :
    • 1 an
    • A la vitesse de la lumière
    • 😅
  • Donc en partant de notre position pour aller là où l'on voit la limite de NOTRE Univers observable. Il faut parcourir le rayon donc +/- 46,5 milliards d'années-lumière.

Alors si mon raisonnement est juste, pour aller au bord de notre Univers observable à la vitesse de la lumière, il nous faudrait environ 46.500.000.000 ans et non pas 3 ans ?


Oui le gars reconnait que son calcul est faux.

De meilleurs calculs sont à l'autre lien.
 

il y a 17 minutes, Mickaël MCD a dit :

Où trouver la source d'énergie en continue aussi ?


Ca doit consommer un max en effet, heureusement qu'il n'y a pas de taxe sur le kérosène ! 😅

Sur la page de l'autre lien, le chapitre sur la faisabilité en parle et évoque plusieurs possibilités.

- Higher efficiency fuel (the motor ship approach). Two possibilities for the motor ship approach are nuclear and matter–antimatter based fuels.

- Drawing propulsion energy from the environment as the ship passes through it (the sailing ship approach)

Autre idée, le voilier solaire, propulsé par les rayons lumineux poussant une voile.

Comme dans le bouquin de Bernard Werber. Son voyage dure 1000 ans par contre. cf https://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Papillon_des_étoiles

 

il y a 25 minutes, Mickaël MCD a dit :

Après, même avec une technologie aussi puissante, on n'a pas intérêt à avoir un astéroïde ou quoi que ce soit sur le chemin

C'est aussi évoqué dans l'autre lien. Ca ferait boum.

A moins que la MHD arrive à écarter les obstacles...

Publié le
Il y a 2 heures, Christophe (Kristo) a dit :

Même pas sûr que VM existe encore !

Qui sait ? Peut-être que je suis un extra-terrestre et que je vous enterrerait tous ? 😉

  • Haha 3

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Publié le
Il y a 15 heures, Christophe (Kristo) a dit :

6 ans aller-retour oui.

Mais quel intérêt de faire le retour ?

Entre temps il se sera passé 226000 ans sur la terre.
Même pas sûr que VM existe encore !

Nan plutôt 6 ans pour l'aller non ? 🙂

  • 4,2 années-lumières = 4 ans, 2 mois et 2 semaines à la vitesse de la lumière.
  • En imaginant que l'on voyage a la vitesse de la lumière :
    • Il faudrait environ 1 année complète pour atteindre la vitesse de la lumière.
    • Et il faut compter également le ralentissement à la fin et le temps de décélération.

En utilisant le puissant calculateur Chyphropif, je suis tombé sur à peu près 6 ans juste pour l'aller.

  • Comment tu arrives à 3 ans pour un trajet de 4 années-lumière ?
Publié le
Il y a 3 heures, Mickaël MCD a dit :

Comment tu arrives à 3 ans pour un trajet de 4 années-lumière ?

Au lien ci-dessus "If the trip is merely to the nearest star, with deceleration the last half of the way, it would take 3.6 years." https://en.wikipedia.org/wiki/Space_travel_under_constant_acceleration

Et ici le calcul détaillé : https://math.ucr.edu/home/baez/physics/Relativity/SR/Rocket/rocket.html

Apparemment c'est dû au facteur de dilatation du temps.

  • J'aime 1
Publié le

Il y a aussi un chapitre indiquant la quantité d'énergie nécessaire (en kilos de matière par kilo transporté):

d (années lumières)       Arrêt à                              M
4.3                                   Etoile la plus proche        38 kg
27                                    Vega                                   886 kg
30,000                            Centre de la galaxie         955,000 tonnes
2,000,000                      Galaxie Andromede         4.2 milliards de tonnes

  • Merci 1
Publié le
Il y a 2 heures, Christophe (Kristo) a dit :

Apparemment c'est dû au facteur de dilatation du temps.

Sacrée dilatation ! La pilule doit passer sans problème 😱 😎

Et sans compter la dilatation de l'espace je suppose.

A priori, la vitesse maximale de la lumière est plus rapide que la vitesse maximale de la lumière 🤪

  • Comme l'espace se dilate (ou se répand, on s'étend, ou s'expand, ou tout c'qu'ont veut en "end/and").
  • Alors il faut rajouter à la vitesse de la lumière, la vitesse de l'expansion de l'Univers 😎
Il y a 2 heures, Christophe (Kristo) a dit :

4.3                                   Etoile la plus proche        38 kg

Ça monte vite ! D'autant plus que le carburant a consommer doit également faire parti du poids à propulser puisqu'on l'embarque 🤪

Je ne suis pas assez calé pour comprendre ça mais le Soleil fait :

  • 1,989 × 10^30 kg

Quel pourcentage du Soleil faudrait-il lui voler pour faire partir une fusée habitée de la taille disons de l'ISS avec une demi-douzaine de personnes et les vivres (nourriture et eau) pour plusieurs années disons 5 ou 6 en direction de l'exoplanète la plus proche (PdCB ; 4,2 AL) 😱😈😎

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    • Bonjour, Plus frappant peut-être était surtout l'hommage final à René LAVAND, et ses trois boulettes de mie de pain dans la tasse, exécuté ici à quatre mains...ou plutôt à deux mains sur quatre - Rubi FEREZ étant la main droite et Fernando NADAL la gauche ; et sans récitation de poème non plus mais en musique. Le duo FEREZ-NADAL fonctionne ceci dit à l'opposé de celui de Pepe CARROLL et Juan TAMARIZ - si je m'en réfère à leurs apparitions dans la série Magia Potagia. *** Pour Pepe CARROLL et Juan TAMARIZ la dramaturgie du numéro se nouait généralement sur une mise en compétition entre eux, se lançant des défis mutuellement, essayant de surpasser l'autre ; ou, parfois, le fantasque et farceur Juan TAMARIZ tendant un "piège" dans le dos de l'élégant et suave  Pepe CARROLL -modifiant par exemple avec un clin d’œil au public l'ordre de certaines cartes, ou mélangeant carrément le paquet à son insu. Mais immanquablement Pepe CARROL retombait sur ses pieds, comme si de rien n'était, l'embuche tendue par J.TAMARIZ effacée par magie... Dans ce dispositif-ci,  l'intérêt est que ce conflit narratif "extérieur" entre les deux magiciens agit à la manière d'une couverture pour leur collusion secrète bien réelle : le mélange de l'un destiné à compliquer la tâche de l'autre - récit apparent- a en réalité bien l'objectif par exemple d’amener secrètement l'arrangement voulu sur le dessus du paquet, arrangement qui permettra justement au second magicien de "briller" en dépit de l’apparente traitrise du mélange du paquet par le premier ( voir l'introduction du classique  "Magic and Showmanship" de H.NELMS pour un autre exemple de  conflit narratif apparent  comme couverture du modus operandi réel de l'effet, par complicité secrète entre les deux adversaires déclarés du récit). *** Le duo FEREZ-NADAL, lui, est soudé pour produire l'effet magique, soudé littéralement bien souvent, épaule contre épaule. La séquence intermédiaire du numéro à une main chacun sur la guitare, et à une main chacun sur la table pour y produire l'effet magique, illustre cette complète coopération. S'il y a bien une dynamique de (léger) conflit entre les deux personnages elle n'est pas sur la table mais sur leurs visages avec deux leitmotiv : les lunettes de Fernando ne cesse de lui glisser sur le bout du nez et c'est Rubi qui les lui remonte en place. Ce simple geste pose les deux personnages : Fernando est le "sérieux" du duo, soucieux des apparences, et Rubi est l’affectueux, le bienveillant. Fernando, par souci des convenances, ne cesse d'arracher un cure-dent d’entre les dents de Rubi, et le cure-dent malicieusement fait perpétuellement sa réapparition dans la bouche de Rubi. Mais aucune provocation de l'un par rapport à l'autre ici, non, c’est juste que Rubi est l'enfantin des deux -et son cure-dent, et bien, il ne peut juste pas s'en empêcher c'est tout. Avec son visage ovale illuminé de son franc sourire, ou même lorsqu'il fait fait son mystérieux - tel un petit enfant qui aurait caché un objet dans sa main et nous lancerait "Devine !"-, Rubi FEREZ a un charisme tel qu'il désamorce instantanément tout bras de fer magicien-public quant au secret : la magie advient, tout simplement. *** À noter qu'il y avait un autre duo en compétition de micro-magie, les suisses Omini et Nico qui ont vendredi matin fait l'ouverture de la 3e et dernière session de la compétition close-up/magie de salon, avec un numéro extrêmement soigné, bien construit, où des balles éponges vertes sont des virus qui se multiplient et infectent un des magiciens : bâtonnets de test dans la narine, thermomètre, masque sanitaire, tous les accessoires employés sont parfaitement justifiés, la progression dramatique comme la maladie passe de l'un à l'autre très claire. Le thème choisi qui ne rappelle  guère de bons souvenirs à quiconque les a-t-il desservi ? Sans doute, mais plus globalement il parait assez net que ce jury était sur une ligne "la magie avant tout", et s'est montré globalement très peu sensible à toute mise en contexte narrative de la magie* du moins c'est comme cela que je le perçois (seul au palmarès Starman et son numéro de dépressif après une rupture amoureuse peut être vu comme une légère exception)  (je m'en vais relire à ce sujet la section de L'Arc en Ciel Magique où J.TAMARIZ analyse longuement le mélange magie et narration). *C'est cette même ligne très arrêtée du jury qui a sans doute, comme pour Omini et Nico, compliqué la tâche aux numéros de Air One, Bertrand MORA et Robin DEVILLE puisque chacun à leur manière assumait des partis pris narratifs justement très marqués, assortis d'un travail sur les personnages et sur le conflit dramatique qui en découle. Je repense à l'excellent "Conspirations" spectacle de mentalisme donné la saison dernière au LUCERNAIRE et qui proposait par sa mise en scène astucieuse, levant et rabaissant virtuellement l'invisible 4e mur au gré des effets, comment une magie fortement théâtralisée est possible. Chauvinisme en passant : au contraire des délégations italienne, allemande, bulgare ou autrichienne (olalala l'Autriche pitié) qui nous ont toutes infligés au moins un numéro irregardable, tous les candidats français en magie de salon et close-up qu'on en ait apprécié ou pas le  résultat final, leur parti-pris artistique, leurs effets magiques, témoignaient d'un travail de mise en scène, sans doute perfectible, mais avec au moins à chaque fois une recherche de quelque chose. On ne pouvait vraiment pas en dire autant donc de bien d'autres pays. *** Ces six jours furent intenses, passionants, et totalement épuisants : épuisants par ces montagnes russes émotionnelles quand on passe d'un numéro où du fond de son siège on se sent en total empathie avec l'artiste, on croiserait presque les doigts pour que le numéro tienne jusqu'au bout, on vibre et on craint, puis l'instant d’après on aimerait se terrer sous son siège tant le numéro proposé tourne à la débandade complète, le numéro s'étire, la confusion embrume les esprits, les applaudissements s'étiolent, la gêne s'installe. Épuisants aussi car intellectuellement c'est une sollicitation constante, chaque choix thématique, choix de mise en scène, de musique, d’accessoires, de chorégraphie, de texte suscitent une foule d'interrogation, d'idées, on imagine des alternatives, on reconnait un principe plus ou moins bien employé, on s'interroge sur un texte,  peu importe qu'on adhère ou pas, c'est un bouillonnement de créativité qui vous lessive, qui parfois frise l’excellence, parfois sombre dans des approximations difficilement recevable côté public, mais qui toujours exige une concentration soutenue s'il on veut analyser à fond chaque numéro- et par analyser j'entends aller au-delà du "oulalala il a flashé" ou des conjectures quant à la méthode employée (après, le 3e jour des session de close-up et magie de scène, vendredi donc 5e jour de la FISM, on ne cachera pas que c'était visiblement et surtout bruyamment 😉 difficile pour beaucoup de suivre encore la compétition tant la fatigue était grande) . Admiration aussi pour ceux, tous ceux, qui s'y collent :  que de mains qui tremblent, que de voix qui déraillent sous le coup de l'émotion, que de gestes techniques qui dérapent sous la pression, mais ils y sont allés quand même, dans l'espoir de créer un moment magique.  Chapeau. L'aspect compétition, délégation des pays, avait été ici même discuté avant la FISM : très franchement ces questions une fois qu'on est dedans s’envolent instantanément, l'ambiance fabuleuse qui se crée autour de la compétition, le plaisir de voir les équipes soutenir avec un chauvinisme bon enfant leurs différents candidats vous emporte-on a souvent la standing ovation facile, mais qu'importe c'est le jeu. Au contraire même l'idée d'avoir des équipes qui soutiennent les artistes dans tous les domaines, créatifs, techniques, et pourquoi pas psychologique - la pression est telle- paraît assez évidemment la voie à poursuivre et amplifier. *** Et zut ... ce matin -après un retour dans la nuit homérique de quelque sept heures depuis TURIN pour PARIS- je me suis surpris à fredonner "Abracadabra"... arghhhhhh Lady GAGA sort de ce corps...  
    • Merci pour cette précision. Je pensais que Dani concourrait uniquement en invention. Il reste dommage que dans la catégorie GI, on exige deux illusions différentes. Pas certain que des effets additionnels de magie générale suffisent avec une seule grande illusion. C’est du moins ce que l’on m’a expliqué à plusieurs reprises, mais peut-être les choses ont-elles changé ( ou mériteraient d’évoluer dans le cas contraire). 
    • Entre temps, j'ai eu un retour de @Pathy BADD qui a demandé à Peter DIN le vice président de la FISM et en charge des notations.  Sa réponse  Cela répond donc à ta question sur les 120 points 😜
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