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Publié le

Oui, toi aussi met toi au vert comme Al Gore :

" Tout en mettant en garde contre les conséquences désastreuses si le reste d'entre nous ne rappelle pas notre consommation d'énergie, A lGore n'a pas fait les mêmes sacrifices lui-même.

Selon le rapport, compilé à partir des demandes d'informations publiques et des informations du Nashville Electric Service, le manoir de style colonial de 20 salles, de 10 074 pieds carrés de Gore, a consommé en moyenne 19 241 kilowattheures par mois, plus de 21,3 fois celui de La moyenne des ménages américains de 901 kilowatts-heure par mois.

Le seul septembre dernier, la maison de Gore dans la section toney Belle Meade de Music City a consommé 30 993 kWh, autant d'énergie qu'une famille américaine typique utilise en 34 mois.

Au cours de la période de 12 mois allant d'août 2016 à fin juillet, Gore a brûlé 230 889 kWh d'électricité, dont 66 159 kWh pour chauffer sa piscine. Ce dernier est suffisant, selon le rapport, «pour alimenter six ménages américains moyens pendant un an».

http://dailysignal.com/2017/08/15/al-gores-carbon-footprint-hypocrisy/

C'est vrai c'est super d'être écolo !

Melvin

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Publié le
Il y a 2 heures, Melvin a dit :

C'est vrai c'est super d'être écolo !


Al Gore, tout comme les Yann Arthus-Bertrand ou Nicolas Hulot (parfois parodiés en "Nicolas Bertrand") et d'autres sont ce qu'on peut parfois appeler des écotartuffes, c'est à dire des gens qui en matière d'écologie, ne font pas ce qu'ils disent.
Ceci dit, cela n'empêche pas, en tant que leaders d'opinion, qu'ils puissent aussi avoir un discours valable même s'ils ne le mettent pas toujours en application eux-mêmes.

 

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france-politique-2012-votez-nicolas-bert

 

 

 

Publié le
Il y a 10 heures, Kristo a dit :


Bien d'accord, on a du mal à l'évaluer.
Surtout sur VM ;)

 


Ceux qui vendaient ce truc prétendaient pourtant bien faire, avec un produit tout beau tout propre...

 

dev_durable_gd.jpg

Oui. Il y a plein de produits BIO qui sont contaminés

heureusement que je mange que des normaux issues de poules qui courent dans les champs, pleinent de poux rouges, comme dans les fermes de mon enfance.

mdrmdrmdrmdrmdrmdr

 

Publié le
il y a 23 minutes, claudemage a dit :

Oui. Il y a plein de produits BIO qui sont contaminés

heureusement que je mange que des normaux issues de poules qui courent dans les champs, pleinent de poux rouges, comme dans les fermes de mon enfance.

Les gars qui vendaient le produit en question prétendaient qu'il permettait de lutter contre les poux rouges de façon propre et naturelle, ce qui fait que même des producteurs bio ont fait appel à eux. C'étaient des escrocs...

Perso, j'achète des oeufs bio de poules élevées en plein air dans notre beau pays...

  • 2 weeks plus tard...
Publié le

C'est sûr que si la niche écologique occupée par l'Homme devient disponible, elle le sera pour tout un tas d'autres espèces. Cela est vrai d'ailleurs pour n'importe quelle niche écologique libérée. Il y a 65 millions d'années, c'est d'ailleurs la place laissée par la disparition des dinosaures qui a permis la radiation (= l'extension) des mammifères.

Mais il n'y a pas besoin de voir la disparition de l'Homme pour voir la nature s'exprimer : je possède un jardin dont je n'ai pas le temps de m'occuper : chaque année il se transforme en une friche sans nom où il faut plusieurs jours pour tout couper.

Je pense qu'il ne faut pas voir l'Homme comme ennemi de la nature. L'Homme fait partie de la nature. 

Melvin

Publié le (modifié)
Il y a 3 heures, Woody a dit :

Et allez hop : ça fait rêver, hein :);) ?

 

Ah oui. C'est un docu qui date d'il y a quelques années, non ?

Ils ressortent toujours des trucs pendant l'été ¬¬

 

 

Ce phénomène de délabrement rapide des constructions humaines, avec au bout de quelques temps l'incendie inéluctable des centrales nucléaires et de leur combustible libéré dans l'atmosphère.... est aussi relaté dans l'excellente série "The Last Man on Earth".

 

Il y a 2 heures, Melvin a dit :

Je pense qu'il ne faut pas voir l'Homme comme ennemi de la nature. L'Homme fait partie de la nature.


Oui tout à fait ! Et comme il s'en croit supérieur et ne se soucie pas de ses limites, il la parasite de plus en plus :(

Modifié par Kristo
Publié le (modifié)

Oui l'Homme se croit tellement supérieur qu'il croit qu'il est supérieur à la nature, qu'il la contrôle et qu'il est même responsable des phénomènes climatiques !

Mais comme l'Homme qui se prend pour le bon Dieu croit quand même en lui, il s'est persuadé qu'il est mauvais : c'est lui qui détruit l'autre nature, c'est lui qui détraque le temps. En fait tout ce que touche l'Homme est mal ! Même quand l'homme a touché la première fois la seule femme du paradis, c'était mal !

On est pas sorti de l'auberge avec toutes ces croyances !

Modifié par Melvin

Melvin

Publié le
Il y a 2 heures, Melvin a dit :

Oui l'Homme se croit tellement supérieur qu'il croit qu'il est supérieur à la nature, qu'il la contrôle et qu'il est même responsable des phénomènes climatiques !

 

En fait tu touches là un paradoxe et une situation pas si simple que ça.

D'un côté, jusqu'à présent, d'une manière générale l'homme se pense supérieur à la nature (et à tous les autres animaux...) et pense que la nature et ses ressources sont inépuisables, et que toutes les pollutions qu'il génère se diluent dans l'immensité de la nature au point que celle-ci peut se regénérer à l'infini sans que la pollution pose un problème global.
Ca, c'est la "pensée unique" véhiculée depuis les débuts de l'ère industrielle et encore maintenant, avec tous les politiques et les médias qui nous poussent constamment à plus de consommation, plus de croissance, comme si la planète était sans limite.
Or, s'il est vrai que la nature a un grand pouvoir de regénération (laissez un coin de forêt amazonienne tranquille et tout repousse à vitesse V) mais les activités humaines, au delà d'un certain niveau, entraînent des déséquilibres que la nature ne peut compenser, et au bout d'un moment c'est la cata, dont en général on se rend compte trop tard.

Ce n'est que relativement récemment que l'on a bien été obligés de constater cela, y compris l'impact sur le climat.

 

Il y a 2 heures, Melvin a dit :

Mais comme l'Homme qui se prend pour le bon Dieu croit quand même en lui, il s'est persuadé qu'il est mauvais : c'est lui qui détruit l'autre nature, c'est lui qui détraque le temps. En fait tout ce que touche l'Homme est mal ! Même quand l'homme a touché la première fois la seule femme du paradis, c'était mal !

On est pas sorti de l'auberge avec toutes ces croyances !

 

En l'occurrence on ne parle pas de croyances mais de phénomènes constatés scientifiquement... et qui vont à contre-courant de la croyance populaire qui pense que la nature est inépuisable.

 

Publié le
il y a une heure, Kristo a dit :

D'un côté, jusqu'à présent, d'une manière générale l'homme se pense supérieur à la nature (et à tous les autres animaux...) et pense que la nature et ses ressources sont inépuisables, et que toutes les pollutions qu'il génère se diluent dans l'immensité de la nature au point que celle-ci peut se regénérer à l'infini sans que la pollution pose un problème global.
Ca, c'est la "pensée unique" véhiculée depuis les débuts de l'ère industrielle et encore maintenant, avec tous les politiques et les médias qui nous poussent constamment à plus de consommation, plus de croissance, comme si la planète était sans limite.
Or, s'il est vrai que la nature a un grand pouvoir de regénération (laissez un coin de forêt amazonienne tranquille et tout repousse à vitesse V) mais les activités humaines, au delà d'un certain niveau, entraînent des déséquilibres que la nature ne peut compenser, et au bout d'un moment c'est la cata, dont en général on se rend compte trop tard.

Quand tu parles de ressources, tu parles de ressources pour l'Homme (matériaux, ressources énergétiques fossiles...). Encore une fois tu es Homocentré alors que tu veux nous faire croire que tes pensées sont centrées sur la nature.

Quand il n'y aura plus ces matériaux disponibles directement pour l'Homme, penses-tu vraiment que l'humanité disparaitra pour autant ?

Ne penses-tu pas qu'on récupérera là où ils sont ces matériaux dont on a besoin et qui sont encore sur la Terre ?

Donc en quelques sorte, rien n'est vraiment inépuisable.

De même, quand bien même l'humanité disparaitrait, la nature (la vie) pour autant ne disparaitra pas.

Donc arrêtons de nous faire croire que la nature périra par l'Homme.

La nature ne juge pas comme bien ou mal les actions del'Homme. La nature continue sa route quelque soit les conditions régnant sur la planète.

Encore une fois, l'Homme fait partie de la nature mais n'est pas la nature.

 

 

Melvin

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    • Derniers souvenirs partagés ici de cette FISM 2025 avec le 1er prix de micro-magie et Grand Prix FISM de Close-Up. *** Et puis le mercredi 16 IBUKI paru en scène, plia son foulard et avec lui la compétition de micro-magie. Ce n’était que la première session sur les trois de la compétition mais il n’y avait guère de doute qu’IBUKI serait au palmarès. La rumeur se répand rapidement comme souvent dans ce type d’événement. Le soir même coincé dans un bus avec la délégation russe qui avait loupé le passage du japonais les voilà qui m’assaillent de questions sur son numéro, car leur propre candidat, Vova, va devoir en découdre avec le magicien japonais. *** Description pour qui veut : IBUKI apparaît debout derrière sa table : sur celle-ci un tapis de close-up relevé à 45° vers le public et où se déroulera l’essentiel de la routine. Mais pas son introduction. Le magicien japonais sanglé dans une large veste de costume (couleur entre pêche et crème, mais pas noir, surtout pas noir), fermée sur le devant par quatre gros boutons, commence par poser alternativement ses mains sur des paires de boutons qui se téléportent magiquement jusqu’à se regrouper tous les quatre dans le coin supérieur gauche (vue du public) de son pan de veste.   Cousus là, tous les quatre.   Restés jusque-là bouche cousue, les premiers glapissements de surprise des spectateurs se font entendre dans la salle. Ce n’est que le début. *** Sur cette introduction : Les trois premiers effets de téléportation se produisent dans un plan vertical, sur la veste même d’IBUKI : il s’assure ainsi de l’excellente visibilité de cet effet de Matrix, effet redoublé d’une impossibilité matérielle : non seulement les boutons voyagent magiquement, mais avec eux leurs coutures aussi (sur cette impossibilité matérielle qui redouble le seul effet de téléportation, on pense par exemple à la Matrix avec des clous plantés dans une planche de Michael WEBER). Le contraste entre la couleur très claire du tissu et les boutons sombres participe de cette parfaite visibilité de l’effet - en plus d’éliminer certaines explications potentielles au tour. Et comme le montrera le reste de sa routine la visibilité des effets a été clairement un des problèmes qu’a eu à résoudre IBUKI.    IBUKI aurait pu faire le choix inverse : démarrer par les boutons regroupés puis les remettre magiquement à leur bonne place ; cela aurait fait sens si la routine avait été contextualisée : IBUKI aurait alors « réparé » magiquement la malfaçon initiale de sa veste. Mais ici pas de contexte, IBUKI préfère nous laisser sur l’image incongrue de cette veste aux boutons drôlement regroupés (d’ailleurs on a pu croiser dans les allées de la FISM IBUKI tout au long de ces six jours avec sa veste et ses drôles de boutons, conscient de cette image emblématique, cette image signature). En plus, en terminant avec les boutons regroupés là où ils ne servent plus à rien, quoi de plus naturel que de les découdre avec un petit ciseau de couturière.   La spectatrice (sans introduction formelle) assise à droite de la table se voit tendre les ciseaux et découd elle-même le 4e et dernier bouton (cette spectatrice jouera un rôle clef dans la suite de la mise en scène).    Enfin cette introduction instaure aussi l’émotion magique du reste de la routine : à savoir la surprise. « Les boutons ont voyagé...mais attendez un peu, surprise, ils sont bel et bien cousus ». D’ailleurs la première surprise de la suite du numéro sera que le « pouvoir » d’IBUKI ne va pas être tant la téléportation que de coudre entre eux magiquement et à volonté toutes sortes d’objets. *** Fin de l’introduction. Un foulard quadrillé est déplié sur le tapis incliné, les quatre boutons tout juste défaits de la veste sont chacun posés à un des quatre angles et à partir de là, et bien disons que plus rien ne va se passer comme prévu. Plutôt que de déflorer la suite de la routine deux remarques.  La visibilité : IBUKI a donc un problème : il va magiquement coudre entre eux des objets préalablement montrés « libres » les uns des autres…mais voilà : des coutures c’est bien peu visible de loin. La mise en scène de la routine pallie cette difficulté majeure de plusieurs façons : o   Quand il le peut IBUKI profite du contraste bien visible de loin du fil de couture blanc magiquement apparu sur certains objets noirs en montrant bien ceux-ci...sous toutes les coutures, avant et arrière. o   IBUKI va à plusieurs reprises basculer ses accessoires du plan incliné du tapis de close-up vers le plan vertical du début. Cela rend palpable les coutures même aux spectateurs les plus éloignés qui font physiquement l’expérience qu’en dépit de la gravité des objets restent désormais inexplicablement fixés, car cousus entre eux. o   À l’appui du mot « cousu » qu’il vient de prononcer, IBUKI mime (et ce mime a une autre raison d’être - voir ci-dessous, les mots) par de larges gestes de sa main droite, en vagues montantes et descendantes, l’acte même de l’aiguille qui coud, communiquant là encore pratiquement physiquement à tous les spectateurs l’expérience du fil qui transperce les objets pour les unir – ce qui renforce encore au passage la totale impossibilité de son effet magique. o   La spectatrice est elle aussi mise à contribution comme témoin-relais de l’ensemble du public : invitée à toucher les coutures, à découdre, à manipuler les boutons libres l’instant d’avant puis soudainement cousus sous sa propre paume ; jusqu’au tout dernier geste d’IBUKI envers cette spectatrice, geste qu’on ne révélera pas ici, mais qui a fait fondre les derniers neurones des spectateurs et du jury.            Obtenir une standing ovation de quelque 2200 spectateurs dans une salle dont il a été suffisamment dit qu’avec son sol plat elle offrait une piètre visibilité, et ce avec quatre boutons et un foulard, prouve combien cette mise en scène est efficace.  Les mots. Pas de dramatisation de l’effet via un contexte, pas de personnage autre d’IBUKI lui-même, un côté gendre idéal un rien timide engoncé dans son costume, posé au début, puis qui s’anime de plus en plus au gré du crescendo des effets. Le texte : réduit au possible ; en fait il va tout entier tourner autour d’un calembour assez sot (si j’ose dire) : les différentes acceptions en anglais du son [soʊ], de « tellement » (so), à « coudre » (saw), en passant par « vu » (saw). Mais ce jeu de mots à première vue bêta contribue à la montée en émotion de toute la routine. Et on l’a dit l’émotion visée est la surprise, aussi chaque séquence se déroule selon : o   Exposition de la situation initiale : les objets sont clairement séparés. o   La magie se produit en douce, sans incantation, ni geste magique. o   IBUKI prononce le son [soʊ] et on découvre stupéfait que l’effet n’est pas nécessairement celui attendu (une téléportation), mais qu’une nouvelle couture est apparue, et jamais là où on l’aurait imaginée. Le son [soʊ] n’a pas la valeur d’un abracadabra (car quand il est prononcé la magie est déjà advenue), mais il en conserve la valeur rythmique de leitmotiv en marquant le début de la phase de révélation de l’état final : dès qu’IBUKI se montre ravi que quelque chose de « so impossible » s’est produit (mime à l’appui de la couture pour souligner le piètre calembour so/saw) on frémit : on n’a rien vu et pourtant une nouvelle couture a surgi là où on ne l’attendait pas. La tension entre la naïveté assumée du jeu de mot qui nous nargue d’une part, et notre totale incompréhension du « truc » d’autre part, décuple alors l’émotion magique ressentie. *** Un dernier détail. Deux fois j’ai vu IBUKI (en compétition et dans le gala des gagnants) et deux fois à un certain moment de la routine alors qu’il se saisit du bouton le plus près de lui à sa gauche, le foulard amidonné reste malencontreusement (?) dressé à la verticale. Notre « taureau de la raison » (TAMARIZ) se rue sur ce pli accidentel : IBUKI ne profite-t-il pas d’un pli pas si fortuit pour y dissimuler un bouton resté en place et dont il n’a que simulé la prise ? L’instant suivant remarquant le désordre de son foulard IBUKI le saisit par deux coins, le claque pour le redéposer bien à plat sur le tapis…et anéantir au passage notre hypothèse : aucun bouton où nous le soupçonnions. L’art de la fausse piste, du red herring, est un art du tact : trop subtil, le leurre n’est même pas remarqué ; grossier, le spectateur flaire l’intention délibérée du magicien de l’égarer et se rebiffe. J’ignore si ce pli, bien vertical, bien visible était ou non une maladresse par deux fois réellement malencontreuse (improbable à ce niveau de compétition, d’autant que la chorégraphie d’IBUKI est impeccable partout ailleurs), j’ignore si ce minuscule « incident » du pi de trop a donc quoi que ce soit de réfléchi, d’intentionnel (voir même de nécessaire à la méthode), mais si tel est le cas, comme je le soupçonne, faire d’un faux pli un vrai contrôle de notre attention aura suffi à me ravir.    
    • Bonjour, Un peu plus haut en évoquant combien l''humanité" du personnage de Mortenn CHRISTIANSEN participe de la construction de son numéro, la citation de Derren BROWN que j'avais en tête est extraite de "Notes from a Fellow Traveller", page 416 :  
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