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Publié le (modifié)

dub: mmmmhh

Pour tous ?

lol

christophe: non. Je dis que le système actuel est, bien que perfectible, meilleur qu'un régime stalinien.

Ca ne veut pas dire qu'on ne puisse pas le modifier, ni meme en changer.

Et ca ne veut surtout pas dire qu'on se tappe de la misère du monde comme tu le laisse sous-entendre.

:)

Modifié par KSoeze
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Publié le

L'intérêt Dub c'est pour tenter de davantage te connaître.

A part savoir que tu habites le 91, je ne sais rien.

Je sais pas, tu es peut être étudiant vu tu postes des messages toute la journée.

Rassures toi, quant à moi je ne suis pas étudiant à 43 ans juste en arrêt maladie après une opération des ligaments croisés.

Publié le
Et ca ne veut surtout pas dire qu'on se tappe de la misère du monde comme tu le laisse sous-entendre. :)

je n'ai pas dit que tu t'en tapais, mais tu la juges manifestement suffisamment supportable pour ne pas déduire que le libéralisme est un poison.

Publié le (modifié)

Si tu ne le sous entends pas, parfait, j'ai compris de travers. Ca arrive. Je m'en excuse.

Mais je n'ai pas vraiment dis ca non plus, mais je ne suis pas très clair, et je ne maîtrise pas mon sujet.

Mon avis, je l'ai déjà donné, et tu y as répondu:

je pense aussi que vivre ensemble, ca commence par etre sympa avec ses voisins.

désolé d'être aussi franc, mais je trouve ta remarque particulièrement bête. c'est du niveau de ceux qui nous assènent de grandes leçons de tolérance en nous apprenant que tous les hommes sont frères et qu'au moyen-orient ils devraient s'aimer au lieu de se battre. les choses sont un peu plus complexes que ça. si ton voisin se met à jouer de la batterie à 2 plombes du mat', gageons que tu seras un peu moins enclin à être sympa.

Mais je n'ai toujours pas changé de point de vue.

La campagne de Mélanchon avait pour objectif, entre autre, de contrer le FN.

Par voie de conséquence, et instantanément, on a un conflit entre 2 parties de la population qui, à priori, souffrent des mêmes maux et pour les mêmes raisons.

Je maintiens que dans ta rue de 10 personnes, il y a en moyenne 2 FN, 3 UMP, 3 Socialistes, 1 gauchiste et un autre sans avis...

Et que c'est ensemble qu'il faut trouver des solutions, sinon, y'aura pas de barbecue dimanche.

Je ne veux pas plus de la dictature du plus nombreux que d'une autre.

Et je n'ai pas envie, un jour, d'être désigné comme la cause des soucis d'un autre.

Tiens, regarde, on a même pas changé de régime, tu te prends déjà la tête avec ceux qui ne sont pas d'accord avec toi.

C'est pas en crachant sur les gens qu'on s'en fait des amis.

Et non, je ne dirais pas "poison". Je ne connais pas assez le sujet.

Mais je lui reconnais volontiers nombre de vices.

Je vais même te raconter une annecdote:

J'ai un ami qui était RedSkin. Son kif, c'était la chasse au neusk.

Un jour, dans un bistrot, au détour d'une discution de comptoir, y'a un p'tit vieux, au vin blanc, qui nous sort: t'es con. Un skin, c'est un mec comme toi, un jeune en colère, en révolte, mais comme toi, il se trompe d'ennemi.

, dézinguer son pareil, c'est ballot quand même.

A un ennemi près, on était pote...

Ca m'a passablement remué.

Modifié par KSoeze
Publié le

La pauvreté existait bien avant le libéralisme...

Et, que je sache, la pauvreté n'est pas plus importante avec le libéralisme. Dire que la pauvreté et la misère sont les fruits du libéralisme, c'est quand même vachement résumer 7,5 millions d'années!

Des pauvres, il y en a toujours eu, des riches aussi. Croire en la possibilité d'un système sans pauvre, c'est quand même totalement utopiste, c'est vivre hors du monde réel, se fabriquer un univers rêvé. Parce que même dans le système le plus égalitaire que tu pourras trouver, tu ne pourras empêcher que quelqu'un commet une dérive et s'enrichisse un peu plus que son voisin, recréant alors la distinction riche/pauvre. C'est assez bien expliqué dans "Le schtroumpf financier" (on passera sur l'aspect enfantin du sujet pour essayer de comprendre la portée de l'histoire racontée. Mais il s'agit d'un exemple pour illustrer, pas d'une preuve scientifique que j'apporterai). La seule solution serait d'avoir un état si puissant et si fort qu'il empêche toute dérive... ce qui s'appelle un état totalitaire, ce qui est une dérive en soi. Et qui, tout en pouvant (mais il faudrait alors l'existence d'un ordre mondial) tenir un égalitarisme absolu en terme de redistribution des richesses, empêcherait toute liberté individuelle. L'Homme élevé au rang de machine!L'Etant réifié! Ô gloire! Ô Évolution!

Alors qu'il me semble que le libéralisme est la condition naturelle de l'Homme: "Tous les Hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits". Après, il existe des dérives du libéralisme. Croire que ces dérives sont la preuve que le système d'origine est pourri, c'est encore une erreur: cela prouve seulement que l'Homme n'est pas parfait.

Il est évident pour moi qu'être libre, ça ne signifie pas l'anarchie ou la liberté comme absolu: certains, à force de ne pas choisir pour rester libres, deviennent esclaves de ce non-choix. Être libre, c'est justement être libre de choisir.

J'ai suffisamment foi en l'humanité pour croire que librement, celle-ci tend à désirer le bien commun. Le libéralisme est alors le système qui permet à chacun de travailler librement à l'établissement du bien commun. Et cela passe par des lois qui vont encadrer notre liberté (mais des lois choisies démocratiquement, approuvées par le peuple) afin justement d'assurer à chacun cette liberté. Pour être libre, il faut notamment des conditions de vie descentes. La lutte contre la pauvreté devrait donc être un cheval de bataille quotidien du libéralisme. Tout en évitant un interventionnisme d'état grossier qui rendrait alors les citoyens dépendant de la machinerie d'état, et non plus libres. Ça, c'est la dérive que subissent actuellement nos agriculteurs, nos pêcheurs, et pas mal de nos artistes.

La pauvreté reste insupportable.C'est un combat, un aiguillon quotidien. Mais elle doit avant tout être l'affaire de chacun, individuellement, avant d'être prise en main par l'état. Et là, la liberté individuelle permet justement à chacun de s'offusquer ou non de la pauvreté et de la misère. Et ça, ça reste une liberté inaliénable de l'Homme.

cdmdu.

Publié le

ok, il faut être gentils, on est tous frères et la guerre c'est moche. c'est ça la solution?

tant qu'il y aura une partie de la population qui se fait du beurre sur le dos de l'autre, la paix sociale c'est pas gagné. et tant mieux d'ailleurs, le but premier c'est quand même d'avoir un monde juste, pas une espèce de pax romana artificielle ou on est tous copains parce que c'est mieux comme ça.

Publié le

ah on va partir en guerre?? contre qui??

une guerre civile??

pas beau ça

comme quoi les anciens avaient raison il nous aura manqué une bonne guerre!!

là il y a de l'égalité le riche comme le pauvre peut mourir par une balle sauf que le riche sera assez malin pour envoyer les pauvres à sa place!!

Je ne m'attendais pas à de tels messages en partant de JLM!!

ben dites donc on l'a échappé belle là

Bon la guerre faites là sans moi car moi j'ai déjà donné afin que vous puissiez sortir toutes ces âneries en toute liberté!

WINFRIED

Publié le (modifié)
Tanhouarn: je n'en doute pas une seule seconde, et bien qu'étant un affreux Chouan, tu jouis, comme Jack, de tout mon respect également :)

Idem... même si ca ne se voit pas trop quand je sors ma faux ;)

Modifié par tanhouarn

« La préservation de la vérité objective et de la capacité de chaque individu à former des jugements objectivement vrais est la condition première et absolument nécessaire d’une vie libre » (James Conant, in Orwell ou le pouvoir de la vérité, p. VIII).

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    • Bonjour, Heureux si j'ai pu partager avec certains quelques unes des émotions ressenties pendant les six jours de cette FISM. À propos d'émotions, le numéro du 1er prix en magie de salon en débordait. (précision : lors de son second passage sur "Fool Us" le tout début de ce numéro a déjà été montré : si vous ne l'avez pas déjà vu...alors tant mieux, gardez-vous de le regarder, vous vous gâcheriez une partie du plaisir de la version intégrale) *** Asi WIND dans « Incredibly Human » ou Derren BROWN dans son dernier livre se posent la même question : pour que dans un spectacle vivant et interactif une émotion sincère puisse naître, il faut que surgisse une connexion authentique entre l’artiste et son public. Dès lors, comment concilier en magie cette authenticité de la relation humaine avec un art qui est, lui, tout entier tourné vers l’artifice ? Ce jeudi 17 juillet à TURIN au matin, lors de la compétition de magie de salon, Mortenn CHRISTIANSEN a à sa manière si particulière fait surgir cette bouffée d’humanité dans un auditorium comble. *** Dès le départ tout est allé de travers pour le candidat danois Mortenn CHRISTIANSEN, appelé sur scène alors qu’il n’était absolument pas prêt. Mais alors pas prêt du tout, du tout, du tout. Le jeune homme bien portant boulottait des chips en douce dans les coulisses au moment d’entrer en scène, mais dans la précipitation, c’est la cata : sa main droite s’est coincée dans son tube de chips. Son désarroi est palpable. Pour tenter de sauver la mise de demander malgré tout une carte à un spectateur (Shawn FARQUHAR s’y colle, va pour le 4 de cœur) avant de s’apercevoir que son paquet de cartes est coincé dans la poche arrière droite de son pantalon -pas de bol, pile du côté de sa main bloquée dans le paquet de chips : au prix de moult contorsions Mortenn parvient à faire remonter peu à peu le paquet de cartes qui émerge de sa poche et finit par chuter sur scène. Il le ramasse de sa seule main libre -la gauche- sort les cartes et enchaine une série de piètres manipulations d’une main. Les maladresses succèdent aux maladresses, Mortenn peste, marmonne combien il n’était pas prêt, laisse lamentablement choir toujours plus de cartes, bref sa prestation tourne à l’embarras complet. Mais attendez, voilà que Mortenn ne tient plus qu’une seule carte, dos au public…se pourrait-il ? *** À cet instant la routine bascule : Mortenn fanfaronne : « Eh eh…vous avez cru que je n’étais pas prêt…et bien c’était pour de faux, j’étais prêt, archi-prêt… ». Qu’on se le tienne pour dit, on va voir ce qu’on va voir. Non pas bien sûr que quiconque dans la salle ait réellement cru à la farce de Mortenn pas prêt – même si cette séquence du pauvre garçon en prise aux pires coups du sort aura quand même suffit à susciter notre empathie immédiate envers lui-, mais nous voilà, nous dans la salle, passés en un clin d’œil de spectateurs à spect-acteurs, projetés dans le rôle qui nous est assigné : celui d’adultes face à un petit enfant trop content d’avoir roulé son monde dans la farine ; et nous allons, pour lui faire plaisir, faire comme si nous avions effectivement gobé la bonne blague de sa déroute feinte. Par sa personnalité scénique et sa mise en scène, ayé, le (vrai) tour est joué : le bras de fer potentiel public-magicien est illico désamorcé, nous consentons à entrer dans le monde de Mortenn, nous jouons à faire comme si nous avions vraiment cru qu’il était pris de court, et ainsi nous nous livrons pieds et poings liés au garnement. Mortenn est un enfant mais pas à la manière mettons d’un Rubi FEREZ- enfant lunaire, rayonnant et malicieux, qui s’émerveille de tout. Non, pour Mortenn le monde est vaste et compliqué ; puéril et hypersensible (donc hyper-attachant) il est en butte aux gens et aux choses qui le rendent bien, bien, malheureux. Et la magie est son salut. Et la vraie magie est que tout le reste de la routine va puiser sa justification précisément dans le personnage même de Mortenn CHRISTIANSEN, dans sa « revanche » face aux grandes personnes. *** Car à cet instant la routine bascule aussi en termes de nature d’effet magique : on va passer d’une démonstration burlesque d’habilité à retrouver une carte par des manipulations faussement maladroites, à un tout autre effet : une prédiction. Ou plutôt des prédictions. Les magiciens ont sans doute tendance à surestimer l’impact réel des effets de prédiction sur leur public, et, pour donner un semblant de construction dramatique à leur numéro, à multiplier les révélations sur le mode : « vous avez librement choisi le 4 de cœur…observez miracle ! C’est la seule carte à dos rouge dans ce paquet bleu… non seulement cela, mais j’ai aussi un 4 de cœur tatoué sur mon bras…et attendez un peu…une carte et une seule dans mon portefeuille le 4 de cœur… ». Le kicker jusqu’à plus soif. La surenchère de prédictions au lieu de décupler l’effet bien souvent l’amoindrit. On avait saisi le message dès la première prédiction révélée : ok le magicien a prévu l’avenir, quel besoin a-t-il donc de nous le « prouver » encore et encore ? L’insistance superflue éveille la suspicion : lors d’un spectacle vu il y a quelques temps j’entendis ainsi soupirer un spectateur au moment de la « trop parfaite » énième révélation : « Bon ok donc c’est le 4 de cœur tous les soirs... » (sic) (pages 46-47 de « Notes from a Fellow Traveler » D.BROWN explique la réécriture du final de son show « Enigma » suite à un exemple semblable d’accumulations d’effets redondants qui s’affaiblissaient mutuellement au lieu de créer la montée dramatique escomptée). Mortenn CHRISTIANSEN va réemployer cette structure « discutable » et lui aussi multiplier les prédictions de la carte choisie -au moins 5 de mémoire : alors pourquoi ici cela fonctionne-t-il si bien, jusqu’à déclencher une standing ovation ? Premièrement le choix initial est on ne peut plus convaincant, transparent : le spectateur nomme librement la première carte qui lui passe par la tête -le jeu n’est même pas encore sorti, et puis quelles manipulations possibles avec une main fourrée dans un paquet de chips ? Comme notre esprit rationnel est tranquillisé de ce côté-ci par une procédure rapide et limpide, il va se faire d’autant plus facilement submerger ensuite par notre esprit émotionnel. Car, deuxièmement, l’accumulation de révélations de prédictions de cette carte est motivée dramatiquement (et donc notre esprit rationnel le cède d’autant plus aisément à notre esprit émotionnel) : c’est juste le personnage immature de Mortenn qui piaffe ; il nous a bien eu, et vlan, vlan, vlan, prédiction après prédiction, le petit enfant jubile d’avoir joué un si bon tour à ces grands bêtas d’adultes. Et nous qui avions si volontiers consenti à entrer dans son jeu nous voilà refaits, désarçonnés face à une avalanche d’impossibilités grandissantes. Ici c’est donc du personnage que part la construction dramatique de la routine et sa multiplication des effets de prédictions. Et non pas d’un personnage de magicien surplombant qui pour accroitre son prestige, prédictions après prédictions, essaierait (vainement) d’étoffer le mystère ; mais bien d’un personnage enfantin qui a gagné notre sympathie et que l’on regarde tendrement trépigner d’avoir enfin le dessus sur les « grandes » personnes que nous sommes. Le martèlement des effets reflète la psychologie de Mortenn. D’un point de vue magique, la rafale de révélations sature notre esprit rationnel : à peine est-il parti en chasse d’un début d’explication potentielle d’une des prédictions qu’une autre surgit encore plus mystérieuse (on n’est pas ici face à un même effet strictement répété avec des méthodes différentes qui se protègent mutuellement - voir la carte ambitieuse dans "Le Chemin Maqique" de J.TAMARIZ- mais bien face à une même carte prédite de manières très variées). Le crescendo est assuré par l’animation puérile croissante du personnage trop content de nous avoir bien eus, par des prédictions de plus en plus incompréhensibles donc (variées aussi en échelle et supports), et enfin par une série d’effets annexes qui rythment l’emballement final du numéro et brisent l’enchainement de prédictions seules : production de deux verres de jus d’orange, une carte transformée en chips, une autre en écouteurs, et même un quick change mi-foiré - l’enfant Mortenn a mis sa chemise à l’envers. Et tout cela en harmonie avec le personnage :  on se souvient comment il avait au début joué sans ambages de sa morphologie pour péniblement extraire les cartes de son pantalon (d’ailleurs comme un callback il se dandinera une seconde fois au cours de la routine pour extraire une seule carte de son autre poche arrière), c’est cette sincérité-là vis-à-vis de ce qu’il est, physiquement et mentalement, qui fait qu’on se figure assez Mortenn se couper d’un monde compliqué pour lui avec ses écouteurs, en mangeant ses chips, parfois même peut-être essaye-t-il de socialiser en offrant des verres de jus d’orange sans voir qu’on rigole dans son dos de ce qu’il est mal fagoté. Tout un petit monde, toute une humanité simple, dans les pas dix minutes d’un « bête » tour de cartes. *** Plus tard ce même jour alors que j’évoque avec Shawn FARQUHAR son documentaire « Lost in the Shuffle » il soupire, soulagé : enfin quelqu’un qui lui parle d’autre chose que de ce satané 4 de cœur de la compétition du matin avec Mortenn CHRISTIANSEN. Il a visiblement été assailli toute la journée par des spectateurs persuadés de sa complicité avec le magicien danois – une complicité pourtant clairement interdite par le règlement du concours. Le 4 de cœur ?, me dit-il, c’est tout simplement la carte qui avait été choisie lors de sa propre victoire à la FISM en 2009.
    • Les réponses ici, et c’est impressionnant :   
    • Merci Otto pour ton compte-rendu très agréable à lire, tout en légèreté. J'en déduis que Voronin est quelqu'un de simple et de très sympa en plus d'être un grand artiste. Avec Finn Jon et Oguz Engin, il fait partie des quelques magiciens que j'aimerai rencontrer depuis que je suis gamin mais pour lesquels l'occasion ne s'est pas encore présentée. Par contre j'ai du mal avec la vodka mais mon père fait un très bon ratafia, ça fera l'affaire pour trinquer avec lui et les copains le jour venu.  
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