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Publié le

Pi Tester 1.3.4 est disponible dans vos mises-à-jour.

Elle corrige le bug des versions « sans chapelet ». Tout devrait à présent fonctionner normalement.

"Pourquoi jouer tant de notes, alors qu'il suffit de jouer les plus belles ?" (Miles DAVIS).

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Je n'ai pas eu le courage de vérifier mais comme l'anniversaire est quelque chose d'important pour les spectateurs (ce qui fait d'ailleurs la force émotionnelle de la phase 3), est-ce qu'ils ne risquent pas de regarder via une app où se trouve leur anniversaire? Bien sûr, ils ne verront pas si le savant fou a retenu la bonne place (;-)) , mais est-ce qu'on est bien sûr que toutes ou une bonne partie des dates d'anniversaires se retrouvent dans les premières 10000 décimales du pi réel ? Sinon les spectateurs risquent de constater qu'il ne s'y trouve en réalité pas.

 

 

Publié le (modifié)

Pi Tester 1.4.1 est disponible dans vos mises-à-jour.

Elle ajoute une fonction « Parlé » dans les 4 exercices.

Il y a un petit bug : Si vous appuyez sur « +1 chiffre » dans l’exercice 2 tout en étant dans le mode parlé, la question devient illisible.

Ceci sera corrigé dans la prochaine MAJ.

Modifié par Jérôme DAMIEN

"Pourquoi jouer tant de notes, alors qu'il suffit de jouer les plus belles ?" (Miles DAVIS).

Publié le
Le ‎14‎/‎12‎/‎2016 à 08:28, JMB a dit :

Je n'ai pas eu le courage de vérifier mais comme l'anniversaire est quelque chose d'important pour les spectateurs (ce qui fait d'ailleurs la force émotionnelle de la phase 3), est-ce qu'ils ne risquent pas de regarder via une app où se trouve leur anniversaire? Bien sûr, ils ne verront pas si le savant fou a retenu la bonne place (;-)) , mais est-ce qu'on est bien sûr que toutes ou une bonne partie des dates d'anniversaires se retrouvent dans les premières 10000 décimales du pi réel ? Sinon les spectateurs risquent de constater qu'il ne s'y trouve en réalité pas.

Non seulement ça me semble hautement improbable, mais surtout il est impossible que la personne vérifie à quelle place se trouve le chiffre DANS le livre. Cette donnée n'est pas sur Internet.

J'ajouterais qu'il faut savoir choisir ses participants. Ne pas le faire à tout prix. Si c'est montré comme un tour de magie, les gens voudront trouver le tour. Il faut que ça paraisse comme une vraie cascade mentale.

J'ai mis sur ma carte de visite "Magicien Mnemoniste". Les gens me demandent donc souvent "c'est quoi Mnemoniste ?", et j'ai l'ouverture légitime. Je vais donc pouvoir me promener avec mon livre 10.000 décimales de Pi avec moi en table à table ;o) (non je déconne)

Mais des potes m'ont reparlé il y a peu de cet effet (page + date anniversaire) réalisé il y a quasiment 1 an.

J'en profite pour remercier PUBLIQUEMENT et CHALEUREUSEMENT Jerome Damien pour sa folie et le boulot qu'il a investi dans la réalisation de PiTester qui me change la vie avec cet effet et me l'a rendu bien plus fluide. Merci poto =)

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David

mnemonaute_tn.jpg

Publié le (modifié)

Je n'ai pas dit qu'ils pouvaient vérifier à quelle place (est-ce la bonne?) se trouve le chiffre dans le livre dans les mains du "cascadeur". Il peuvent par contre vérifier où se trouve leur anniversaire dans la séquence réelle et constater qu'il se trouve loin derrière la 10000 décimale (pour le 15 février (1502) il faut attendre la 26221 position) alors que l'acteur l'a trouvé dans le  livre de 10000 décimales. Ces cas sont peut-être rares et en combinaison avec la probabilité que le spectateur vérifie pas trop dangereuses. Pour les trente dates que j'ai testées, 4 tombent entre les décimales 10000 et 20000 et 7 au delà de 20000. Pour ces trente dates, si le spectateur vérifie, il y a une chance sur trois qu'il constate qu'il y a un problème.

Que ce soit clair, j'aime beaucoup l'idée avec l'anniversaire, mais il suffirait peut-être de renommer le livre en "30000 décimales" avec une blacklist pour les quelques dates qui en sortiraient ?

Modifié par JMB
Publié le (modifié)

Oulah on quitte totalement la dynamique de l'effet.

10.000 décimales de Pi est un livre qui existe. Si la personne veut vérifier, elle ouvre le livre et elle regarde. S'il faut légitimer le truc, tu vas sur Amazon et tu montres que c'est bien le livre tel qu'il apparait. Si la personne va jusqu'à vérifier que sa date est bien à telle place, c'est soit que l'effet a mal été amené, soit que cette personne ne mérite pas l'effet.

Ca ressemble à "courir quand on n'est pas poursuivi".
Le mieux est l'ennemi du bien. Je suis prêt à essuyer un écueil une fois pour 20 fois où il sera réussi.

Il ne faut pas avoir peur de ça en présentant l'effet, sinon le spectateur le sentira et creusera. Si tu le sens, surtout n'y vas pas, c'est ton aplomb qui va vendre le truc. Et surtout "Pi" on s'en fout, on en sort avec l'implication du nombre univers et de tout ce qu'il implique.

Modifié par Chakkan
Ajout.

David

mnemonaute_tn.jpg

Publié le

Je n'ai pas peur de prendre des risques lors d'un tour mais j'aime bien les connaitre, d'où ma question initiale. J'ai encore refait un test avec 30 dates, avec des statistiques similaires, et j'ai donc maintenant une idée de la probabilité d'un problème (si quelqu'un vérifie).  Je ne crains pas non plus ceux qui cherchent à tout prix de trouver une faille (en effet tant pis pour eux), mais je pense que les spectateurs méritent qu'on fasse tout pour maintenir l'illusion. Parmi mon public habituel, des scientifiques, je vois bien quelqu'un se dire après coup, tiens je vais voir où se trouve la place exacte de mon anniversaire, disons le 3112, pour voir si par hasard il ne tomberait pas à la place 3112, 3141, 42, 2718 ou un autre nombre marrant.  Il risque d'être déçu, et même si c'est seulement plus tard qu'il découvre le problème.  D'où ma proposition de renommer le livre en quelque chose comme pi avec 31415 décimales; cela ne changerait strictement rien à la dynamique de l'effet initial mais fermerait une porte. C'est peut-être courir quand on n'est pas poursuivi, mais comme cela serait "gratuit" si une nouvelle édition était nécessaire, peut-être la suggestion peut faire son chemin ;-)

Publié le

Effectivement Pi n'est pas très adapté à un public scientifique/technique qui pour la plupart manipulent Pi très souvent. Mais pour un profane lambda, si la presentation ne tourne pas au cours de math, le public se laisse assez bien embarqué. D'autant plus que les remarques du genre : " oh moi les math j'ai jamais rien compris" ou le fait que Pi soit vu comme une chose très abstraite, fait rendre les armes très vite au spectateur, et ne tente pas plus que ça de se poser de question sur le modus operandi. Ils participent avec plaisir et repartent mm avec une implication émotionnelle car on leur a retrouvé leur date d'anniversaire au milieu des chiffres de cet objet mystérieux qu'est Pi.

Il ne faut jamais oublier que la lumière vient des gens de l'ombre !

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  • Messages

    • Pourquoi prendre le risque de concourir en ne respectant pas les règles ? 🤔
    • C'est du ChaKPT, non ? (La neutralité du ton y ressemble et il y a des infos qui m'interpellent - il a vraiment été ovationné des son ENTRÉE sur scène ?)
    • Article prévu pour la Presse Française :  Double champion du monde ? Pourquoi Dani Lary a été privé d’une reconnaissance historique à la FISM    Chapeau : Ovationné pendant plus de deux minutes par 2 000 spectateurs à Turin, Dani Lary a livré un numéro d’une pureté rare lors du Championnat du monde de magie 2025. Pourtant, l’illusionniste français n’a pas été primé : la rigidité du règlement et des contraintes administratives l’ont privé d’une reconnaissance officielle, posant la question du rôle de la FISM et de son équilibre entre exigence et souplesse.   1. La FISM, vitrine mondiale de la magie La Fédération Internationale des Sociétés Magiques (FISM) est depuis plus de soixante-dix ans le rendez-vous incontournable des magiciens du monde entier. Véritables "Jeux Olympiques de la magie", ses championnats visent à célébrer l’excellence et la diversité artistique dans toutes les disciplines : close-up, manipulation, grandes illusions… L’édition 2025, organisée à Turin, a une fois de plus rassemblé des centaines d’artistes venus des quatre coins du monde, confirmant le prestige de l’événement.   2. L’exemple Dani Lary : quand la règle prime sur l’art Cette édition restera toutefois marquée par la controverse autour de la participation de Dani Lary, figure emblématique de la magie française. Dès son arrivée sur scène, l’artiste a déclenché une vague d’applaudissements et d’engouement de la part des 2 000 spectateurs présents dans la salle. Son numéro, Gloop, centré autour d’un aquarium, a été couronné d’une standing ovation de plus de deux minutes, au point que l’animateur a dû réclamer le silence avec difficulté pour introduire le passage suivant. La volonté de Dani Lary était de rester dans la pureté du numéro, débarrassé de tout artifice superflu, en assumant un minimalisme rare dans les grandes illusions. Ce choix, salué par le public, a pourtant été pénalisé par le règlement, qui considère qu’un seul "effet" ne suffit pas à concourir. « Ce numéro d’escapologie que j’ai présenté en hommage au célèbre magicien Harry Houdini, le Gloop, est à ce jour toujours incompris de tous les magiciens. C’est unique au monde. Jamais personne ne l’avait fait : c’est du 100 % invention, du 100 % créatif et novateur. Rien que pour ça, ils auraient dû se dire : “ce numéro fait avancer la magie à un haut niveau” », confie Dani Lary. Malgré l’innovation reconnue de son numéro, le règlement a prévalu : Dani Lary a été considéré comme n’ayant présenté qu’un seul effet et a perdu de précieux points.   3. Une rigidité qui interroge La FISM doit-elle rester intransigeante pour préserver l’équité ? Si la rigueur administrative garantit des conditions standardisées, elle peut aussi étouffer la créativité. Le cas Dani Lary illustre un déséquilibre potentiel entre prestige institutionnel et ouverture artistique. Gloop n’a jamais été expliqué ni reproduit ; il reposait sur un procédé totalement inédit. « J’ai gardé ce numéro pour le jour d’un congrès mondial parce que je savais que c’était une pépite », explique l’artiste, qui refuse encore de le vendre à d’autres magiciens tant il le juge unique. Dani Lary estime que ces inventions véritablement nouvelles devraient être davantage valorisées. « Ce sont ces numéros-là qui font avancer la magie », insiste-t-il.   📣 Encadré : “Un moment suspendu dans la salle” « Dès qu’il est apparu, on a senti une énergie incroyable. Les spectateurs se sont levés presque instinctivement et ont applaudi sans discontinuer pendant plus de deux minutes. L’animateur a eu toutes les peines du monde à calmer la salle pour enchaîner », raconte un membre de la communauté magique sur le forum Virtualmagie. Ce témoignage reflète l’intensité de l’émotion vécue dans la salle : un numéro salué par un public conquis.   4. Peu de précédents documentés À ce jour, aucun autre cas comparable — où un artiste majeur aurait été pénalisé pour quelques heures de retard ou pour un numéro jugé "trop minimaliste" — n’a été largement documenté. Ce cas reste donc isolé, mais soulève une question essentielle : certaines règles ne limitent-elles pas inutilement l’innovation et l’émotion scénique ?   5. Vers un équilibre à trouver Pour rester fidèle à sa mission, la FISM gagnerait à : Introduire une marge de tolérance sur les délais administratifs ; Valoriser la diversité expressive, y compris les styles minimalistes et novateurs ; Renforcer le soutien logistique auprès des artistes, quelle que soit leur renommée.   6. Conclusion Le prestige de la FISM repose sur un juste équilibre entre excellence artistique et rigueur organisationnelle. L’affaire Dani Lary rappelle que la magie est d’abord un art de l’émotion et de l’innovation. Le Gloop, salué par 2 000 spectateurs debout à Turin, a démontré qu’un seul numéro peut marquer durablement les esprits. Pour préserver sa crédibilité, la FISM doit évoluer vers davantage de tolérance et accompagner pleinement les artistes, au lieu de les freiner.
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