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La montagne de déchets de Limeil-Brévannes


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Les médias évoquent régulièrement les fameux "continents de plastique".

La plaque de déchets du Pacifique nord est une zone du gyre subtropical du Pacifique nord, aussi connue sous le nom de « soupe plastique » ou de « Huitième Continent » ou encore de « Grande zone d’ordures du Pacifique » (GPGP pour « Great Pacific Garbage Patch »). Une plaque similaire a été découverte dans le nord de l'Océan Atlantique
Source et développements ici :

http://fr.wikipedia.org/wiki/Plaque_de_d%C3%A9chets_du_Pacifique_nord

Voici une touchante allégorie de la situation, la réalité est pire... :sick: :

[video:youtube]

Pour ma part, j'ai été sensibilisé par un comédien tournant dans un reportage (en cours de réalisation) sur un sujet proche en région parisienne, la colline de détritus de Limeil-Brévannes. Je relais cette information.

Une vidéo sur le sujet via ce lien :

http://www.actu-environnement.com/ae/news/centre-transit-decharge-limeil-brevannes-11869.php4

Extrait :

Des déchets qui atteignent des sommets !

Ça se passe aux portes de Paris ! Le centre de transit et de tri de déchets de chantier de Limeil-Brevannes (94) n'en finit plus d'accumuler des déchets... en toute irrégularité. Pourtant les diverses actions, associative, communale et préfectorale, n'aboutissent pas. Pourquoi ?

Environ 150.000 mètres cubes de déchets, des "départs de feu" tous les jours sur cette montagne de déchets qui s'étend sur près de 200 mètres de long et culmine à 25 mètres de haut.

Plus récemment, une "solution" semble être apportée, lire ici :

http://www.rtl.fr/actualites/vie-pratique/environnement/article/enfin-une-solution-pour-la-decharge-de-limeil-brevannes-7715990683

C'est magique non ?, tout va disparaître ;) ! (Tri sélectif mis à part, on se doute bien qu'il va bien rester deux ou trois bricoles à enterrer discrétos mais bon... quand ce sera enfoui, difficile de se plaindre :( ...)

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  • 1 année plus tard...
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Super Trash est un film français réalisé par Martin Esposito, dont la sortie est prévue pour le 9 octobre 2013.

SYNOPSIS

"Martin revient sur les lieux de son enfance. Ces lieux sont maintenant ensevelis par une gigantesque décharge à ciel ouvert.

Seule sa cabane est toujours là, un ancien abri pour les ouvriers agricoles de l'époque, maintenant à la lisière de la décharge. Il décide de s'y installer et de vivre dans ce monde

fait d'ordures et rythmé par le ballet, le va-et-vient incessant des camions et bulldozers qui déchargent et nivellent les déchets. Petit à petit les employés de la décharge se familiarisent avec sa présence et lui révèlent les secrets de cette “zone“ : l'endroit de

l'enfouissement des fûts d'arsenic, le trajet du lixiviat, ce jus de décharge, ce poison mortel qui s'écoule à travers une rivière sauvage et foisonnante jusqu'à la mer. Martin, au fil des jours et des mois, va faire son trou dans ce monde invivable jusqu'à sembler aller

vers la folie. Il se nourrit des ordures. Il essaye, malgré tout, de recréer un univers vivable au milieu de la valse des camions qui l'évitent en le frôlant. Le jeune homme ne veut pas se résigner, il essaye de rendre cet univers ludique, humain. Il écrit dans sa cabane son journal, ses pensées. Il se lave dans la rivière chaque jour comme de retour à un monde primaire. Il soigne les animaux prisonniers de cet enfer, il surfe sur la vague géante générée par les détritus. Il est au-delà de la dénonciation, il essaye par ce film, dans un effort désespéré, de faire une métaphore de notre monde loin de la culpabilité. Il ne veut pas accepter cet univers qui lui a été imposé, il veut se l'approprier, l'ingérer, le digérer. Jusqu'au jour de la fermeture définitive où il sauvera une dernière mouette de

l'empoisonnement. La décharge fermée, Martin erre dans ce no man's land, avec sa caméra. Il enterre des oiseaux, traîne parmi les Caterpillar abandonnés comme s'il ne pouvait se résoudre à quitter cet endroit. Tout est recouvert de terre, mais comme des

fantômes, des sacs de plastique s'échappent du sol et volent dans le ciel emportés par le vent et qui frappent la caméra."

Sortie nationale du film le 9 octobre 2013.

Source, site Internet : http://www.supertrashlefilm.com/#!wwwsupertrashlefilmcom/aboutPage

Fiche Wiki : https://fr.wikipedia.org/wiki/Super_Trash

Personne n'a fumé les moquettes du festival de Cannes ? :

[video:youtube]

Arsenic sans vieilles dentelles :

[video:youtube]

Une dernière bière ? :

[video:dailymotion]

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De bien **** belles **** images, mon cher Christian…

comme je les aime ! Bien anamorphosées du RAYON invisible d'A.Breton, On y est enfin !

De ce que je vois de ces teasers... ce n'est, ni un reportage ni un film, c'est juste notre propre image qui se reflète enfin... à l'or dur de son système. Touché !

Quel rapport avec le festival de Cannes ?

Ce film concourait ?

Sortie prévue pour le 9 octobre 2013 !

Je note...

J@B

~~~~

PS/

[video:youtube]

SANS RIRE ...Cette première image m'en a rappelé une autre, il y a déjà bien des années lol

L"affiche de l'un d'entre nous, bien précurseur dans ses visions...

énorme ! J'arrive pas à la retrouver mais il s'agit d'une image

ou celui-ci et sa compagne qui sont, tout pareils, au sommet d'une décharge ....énorme ! s'il vient en à passer par là, qu'est-ce qu'en pense l’intéressé ?

Modifié par JacK Barlett
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  • 9 months plus tard...

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L'expédition "Septième continent", qui vient de rentrer en Martinique d'un périple d'un mois à la recherche d'un énorme amas de plastique dans l'Atlantique Nord, est revenue atterrée de son voyage après avoir validé ses hypothèses. En pire.

"Ce ne sont pas les macrodéchets les plus impressionnants" "Ce sont les grandes soupes de déchets, formées de petites particules de plastique. Un des moments les plus marquants est lorsque nous avons été plusieurs à y plonger le bras : il a fallu ensuite utiliser des pinces à épiler pour retirer les petits morceaux de plastique de notre peau. Imaginons la baleine bleue qui ouvre grand sa gueule pour avaler tout ça!"

Source et article complet ici : https://fr.news.yahoo.com/un-continent-plastique-explor%C3%A9-dans-latlantique-nord-100639729.html

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  • 1 année plus tard...

Une méga grève des éboueurs, ça donne quoi ? Il suffit de lire cet ouvrage.

Pour ma part il m'a fallu passer le cap des 50 premières pages pour rentrer dedans mais après je n'ai plus lâché l'ouvrage.

Le Seigneur des porcheries, sous-titré « le temps venu de tuer le veau gras et d'armer les justes » (Lord of the Barnyard : Killing the Fatted Calf and Arming the Aware in the Corn Belt) est un roman écrit par Tristan Egolf en 1998.

Publication

Après avoir été refusé par plus de soixante-dix éditeurs aux États-Unis, le manuscrit est publié en 1998 en France par Gallimard après avoir été découvert par la fille de Patrick Modiano.

Accueil critique

Le roman reçoit un bon accueil critique. Son auteur est comparé à John Steinbeck, William Faulkner et John Kennedy Toole.

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Quatrième de couverture :

Ce premier roman singulier commence avec la mort d'un mammouth à l'ère glaciaire et finit par une burlesque chasse au porc lors d'un enterrement dans le Midwest d'aujourd'hui. Entre-temps, on aura assisté à deux inondations, à quatorze bagarres, à trois incendies criminels, à une émeute dans une mairie, à une tornade dévastatrice et à l'invasion de méthodistes déchaînés ; on aura suivi la révolte d'une équipe d'éboueurs et vu comment un match de basket se transforme en cataclysme. Tout se passe dans la petite ville de Baker, sinistre bourgade du Midwest ravagée par l'inceste, l'alcoolisme, la violence aveugle, le racisme et la bigoterie. Au centre des événements, John Kaltenbrunner, un enfant du pays, en butte à toutes les vexations, animé par une juste rancœur. Comment John se vengera-t-il de la communauté qui l'a exclu ? Jusqu'où des années de désespoir silencieux peuvent-elles conduire un être en apparence raisonnable ? Dans un style flamboyant, Le seigneur des porcheries retrace l'histoire de cette vengeance, telle qu'elle est contée, après la mort de John, par un des « humiliés et offensés » qu'il défendait.

L'auteur : https://fr.wikipedia.org/wiki/Tristan_Egolf

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  • 6 months plus tard...

"Les sacs plastique jetables, c'est fini !" :

Le décret interdisant la distribution en caisse de ces sacs à usage unique a été publié au Journal officiel, jeudi 31 mars. Cette interdiction est prévue par la loi sur la transition énergétique votée en août 2015. Elle prendra effet le 1er juillet.

Le 1er janvier 2017, les sacs ou emballages en plastique qui ne sont pas en caisse, ainsi que les contenant des denrées alimentaires seront à leur tour prohibés. Seuls les sacs compostables et "biosourcés", c'est-à-dire avec une teneur en matière végétale, pourront être utilisés pour ces usages.

Source : -[connexe]]http://www.francetvinfo.fr/monde/environnement/les-sacs-plastique-jetables-seront-officiellement-interdits-a-compter-du-1er-juillet_1383365.html#xtor=AL-79-[article]-[connexe]

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De mémoire (ouvrage lu il y a une vingtaine d'années), Pierre-Gilles de Gennes (lauréat du prix Nobel de physique 1991) parle du problème des sacs plastique dans Les Objets fragiles, et de la fausse bonne idée qu’il peut y avoir à les remplacer par des sacs papier. En effet, très peu d'usines produisent de nombreux sacs plastique mais il faut beaucoup d'usines pour produire des sacs papier et cette production est extrêmement polluante à la source. Finalement, (c'est moi qui ajoute ça), le bon vieux sac en osier c'était très "écologique", faudrait toujours en avoir un dans sa poche ;) .

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Une méga grève des éboueurs, ça donne quoi ? Il suffit de lire cet ouvrage.

Pour ma part il m'a fallu passer le cap des 50 premières pages pour rentrer dedans mais après je n'ai plus lâché l'ouvrage.

Le Seigneur des porcheries, sous-titré « le temps venu de tuer le veau gras et d'armer les justes » (Lord of the Barnyard : Killing the Fatted Calf and Arming the Aware in the Corn Belt) est un roman écrit par Tristan Egolf en 1998.

Publication

Après avoir été refusé par plus de soixante-dix éditeurs aux États-Unis, le manuscrit est publié en 1998 en France par Gallimard après avoir été découvert par la fille de Patrick Modiano.

Accueil critique

Le roman reçoit un bon accueil critique. Son auteur est comparé à John Steinbeck, William Faulkner et John Kennedy Toole.

71ROfgkzj7L.jpg

Quatrième de couverture :

Ce premier roman singulier commence avec la mort d'un mammouth à l'ère glaciaire et finit par une burlesque chasse au porc lors d'un enterrement dans le Midwest d'aujourd'hui. Entre-temps, on aura assisté à deux inondations, à quatorze bagarres, à trois incendies criminels, à une émeute dans une mairie, à une tornade dévastatrice et à l'invasion de méthodistes déchaînés ; on aura suivi la révolte d'une équipe d'éboueurs et vu comment un match de basket se transforme en cataclysme. Tout se passe dans la petite ville de Baker, sinistre bourgade du Midwest ravagée par l'inceste, l'alcoolisme, la violence aveugle, le racisme et la bigoterie. Au centre des événements, John Kaltenbrunner, un enfant du pays, en butte à toutes les vexations, animé par une juste rancœur. Comment John se vengera-t-il de la communauté qui l'a exclu ? Jusqu'où des années de désespoir silencieux peuvent-elles conduire un être en apparence raisonnable ? Dans un style flamboyant, Le seigneur des porcheries retrace l'histoire de cette vengeance, telle qu'elle est contée, après la mort de John, par un des « humiliés et offensés » qu'il défendait.

L'auteur : https://fr.wikipedia.org/wiki/Tristan_Egolf

J'avais loupé ta référence à un de mes livres préférés. Je l'avais lu au début des années 2000 et m'étais promis de rentrer en contact avec son auteur, tellement il y avait de choses qui m'avaient touchées, tellement je me sentais d’affinités avec ce livre et du coup certainement avec son auteur.

Et puis le temps a passé.... et j'ai appris sa mort en mai 2006, quasiment un an jour pour jour après celle ci.... :(

Je me suis depuis encouragé à ne pas remettre au lendemain ce genre de démarches....

(J'ai quasiment eu la vocation après la lecture de ce livre, j'ai à l'époque postulé - sans succès - pour travailler à la propreté de Paris....)

Effectivement, les personnes à qui je l'ai conseillés, m'ont souvent dit qu'il leur avait fallu passer les 70/80 premières pages, pour vraiment rentrer dedans. Je crois me souvenir avoir eu la même, impression à la première lecture ; mais lors de lectures ultérieures, j'ai vraiment apprécié le début, que je trouve très touchant - l'enfance du personnage et ses péripéties dramatiques.

Un monument.

Modifié par If....

Un endroit où la main de l'homme n'a jamais mis le pied... (Alphonse Allais)

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