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Le professeur Choron nous enseignait que l'ivrogne tombe toujours du même côté que la tartine, à savoir du côté beurré. Ci-dessous, on apprend qu'avec ladite tartine beurrée sur son dos, « le chat reste en lévitation pour éviter d'avoir à choisir son camp » :

[video:youtube]

Finalement, il suffisait d'essayer. J’aime beaucoup cette formulation : « les rôties, ces tranches de pain que l’on badigeonne de tartinade » :

[video:youtube]http://www.youtube.com/watch?v=C64AokkWXSQ&feature=related

  • 5 months plus tard...
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Publié le
Exemple : vous êtes dans un ascenseur, celui-ci tombe et au moment de toucher le sol vous sautez pour éviter le pire.

Ca a été testé dans l'émission Mythbusters, avec un mannequin monté sur ressort, commandé à distance, dans un ascenseur d'un immeuble voué à la démolition.

[video:dailymotion]http://www.dailymotion.com/video/x5zhcw_mythbusters-ascenseur-en-chute-libr_news

La conclusion, si je me souviens bien, était que ça ne change pas grand chose étant donnée la vitesse de la chute... le mannequin est ratatiné quoi qu'il fasse !

  • 8 months plus tard...
Publié le
Sachant que "9" est plus grand (lourd) que "6", Thomas Edison a dessiné la première machine à mouvement perpétuel :

2010-11-01-circular-argument.jpg

En quelque sorte un "troll" version XVIIIième siècle !

Reste plus qu'à cacher un mécanisme faisant réellement tourner la roue pour en faire un objet magique.

Voir quelques modèles très amusants ici :

[video:youtube]

Publié le

Marrant !

Une explication au 1er de ces "mouvements perpétuels" ici :

[video:youtube]

Le liquide met un certain temps à arriver dans le tuyau parce qu'il doit passer dans un tube caché qui mène à une pompe située dans la base.

D'ailleurs on voit le fil électrique d'alim à 1mn52.

  • 9 months plus tard...
  • 10 months plus tard...
  • 5 months plus tard...
Publié le
Plus sérieusement, mes recherches de sources relatives au créateur du paradoxe du chat beurré me mènent actuellement vers John Frazee.

“The buttered cat paradox is a paradox based on the tongue-in-cheek combination of two adages:

• Cats always land on their feet.

• Buttered toast always lands buttered side down.[1]

The paradox arises when one considers what would happen if one attached a piece of buttered toast (butter side up) to the back of a cat, then dropped the cat from a large height. The buttered cat paradox, submitted by John Frazee of Kingston, New York, won a 1993 OMNI magazine competition about paradoxes.”

Vous trouverez des choses amusantes dans cet article notamment des questions du type : « Est-ce que ça fonctionne encore si on utilise de la margarine ? »

http://en.wikipedia.org/wiki/Buttered_cat_paradox

When a cat is dropped, it always lands on its feet, and when toast is dropped, it always lands with the buttered side down. I propose to strap buttered toast to the back of a cat; the 2 will hover, inches above the ground. With a giant buttered-cat array, a high-speed monorail could easily link New York with Chicago.

John Frazee

“Toast always lands buttered-side down, and a cat always lands feet first. I propose we strap buttered toast to the back of a cat; the two will hover, spinning inches from the ground. With a giant buttered-toast/cat array, a hovering monorail could easily link New York with Chicago.”

John Frazee in the Journal of Irreproducible Results

Wiki : “The Journal of Irreproducible Results (JIR) is a magazine of science humor.[1] JIR was founded in Israel in 1955 by virologist Alexander Kohn and physicist Harry J. Lipkin, who wanted a humor magazine about science, for scientists. It contains a unique mix of jokes, satire of scientific practice, science cartoons, and discussion of funny but real research. It has passed through several hands and is published in San Mateo, California as of 2004.”

http://www.jir.com/

2937857327_1_5_E9lNNbPG.png

  • 1 année plus tard...

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    • ChatGPT : Les études historiques et techniques disponibles révèlent bien des retouches et interventions humaines, mais elles laissent le cœur de l’image (visage, mains, robe, manteau) dans une zone largement inexpliquée techniquement, sans consensus scientifique pour en faire une peinture ordinaire. 1) Support et conservation : une longévité qui reste anormalement remarquable      Pendant des siècles, la tilma a été exposée sans protection moderne : fumée de milliers de cierges, humidité, poussière, manipulations directes des pèlerins ; malgré cela, la partie centrale de l’image reste étonnamment fraîche, sans craquelures, alors que les ajouts (dorures, lune, etc.) se sont nettement détériorés.      Les restaurations et le verre blindé du XXᵉ siècle expliquent la bonne conservation récente, pas la survie initiale dans des conditions normalement destructrices. 2) Retouches et ajouts : oui… mais précisément où ?      Les documents historiques, les restaurateurs modernes et les examens IR convergent sur un point : il y a eu des retouches humaines (couronne, lune, angelot, certains rayons, dorures), ces éléments montrent des craquelures, des écaillages, un vieillissement normal, alors que le noyau de l’image (visage, mains, tunique, manteau) ne présente ni craquelure typique, ni pelade de peinture, ni vernis protecteur.      Les retouches démentent l’idée d’une image jamais touchée, mais elles soulignent aussi une différence de nature entre : ce qui est manifestement humain et fragile, et le cœur de l’image qui reste anormalement stable et techniquement singulier. 3) Pigments et technique : un dossier loin d’être “pro-peinture ordinaire”      L’étude infrarouge de Callahan et Smith (1979–1981), largement citée, aboutit à cette conclusion pour le motif central : aucun sous-dessin, aucune couche d’apprêt (sizing), aucun vernis, la trame même du tissu utilisée pour donner la profondeur, luminosité et stabilité de couleurs jugées “inexplicables” par les techniques artistiques connues.  4) Reflets dans les yeux : ni preuve de miracle, ni argument “anti-miracle”      Scientifiquement, on peut dire : ces “reflets” sont trop discutés et trop dépendants du traitement d’image pour fonder une preuve solide, mais cela ne devient pas pour autant une “preuve” contre le caractère exceptionnel de l’image : c’est juste une zone d’arguments faibles dans les deux sens. 5) Histoire et iconographie : le “peintre Marcos” ne clôt rien      Oui, certains textes plus tardifs (XVIIᵉ–XVIIIᵉ s.) évoquent un peintre nommé “Marcos” ou “Marcial” et servent de base à l’hypothèse d’une fabrication humaine. Mais : ces sources apparaissent dans un contexte de polémiques internes (conflits entre ordres religieux, débats sur la piété populaire), et on n’a aucun document direct de commande, de paiement, de contrat, ni d’atelier associé à ce prétendu peintre.      A l’inverse, il existe des sources nahuatl anciennes (comme le Codex Escalada, daté du XVIᵉ siècle) et une tradition indigène qui présentent l’image dès le départ comme liée à un événement miraculeux et à une dévotion massive. Conclusion en mode très simple      La science pointe plutôt vers ‘non miraculeux’ et ne trouve rien de vraiment inexplicable. Une lecture plus équilibrée des mêmes données dit plutôt : Il y a des retouches humaines évidentes, mais le cœur de l’image et la conservation du support restent objectivement déroutants, et les études sont trop partielles et contradictoires pour qu’on conclue sereinement ‘tout est banal’.      Au final, ce n’est pas la science qui “désacralise” Guadalupe. La science dit surtout : “cet objet est très inhabituel, nous ne comprenons pas tout.
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