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Invité lancelot
Publié le

C'est rien, Max : c'était juste une mise au point d'Otto...

Publié le (modifié)

Bonjour !

Oh et puis zut,

je vais en parler

avec Bernard Bilis.

Petitbonhomme

PS : sinon, j'espère que mon post

ne remettra pas en question mes envies

et futures demandes auprès de Otto Tabary et Francis Wesselly

de causer pour mon Petitzebulon !

PS 1 : les autres, j'ai pu envie,

ils m'ont trop déçu dans leur réponse !

Passez une bonne journée dodue !

Modifié par petitbonhomme

Jean-Yves Loes (Petitbonhomme)

http://www.lamagiedupetitzebulon.com/

Publié le

pour répondre à Draco, un magicien "tout court" ne peut pas être populaire en France...

pour répondre à Ch Henriet ...un magicien populaire peut exister en France...

Conclusion : un magicien populaire ne peut pas être "tout court".....

ps: je ne vise personne, of course.....

conclusion de ma conclusion : pour être un magicien populaire...mieux vaut être "tout long"...

J'en connaissais un qui avait ces capacités....mais il a disparu du petit écran.....?????? et maintenant pour en retrouver un ce sera un véritable travail de " FOURMI ".......

A savoir que les deux magiciens les plus populaires furent : Majax et Garcimore...(et encore....Garcimore était-il magicien????)

toutes ces réflexions n'engagent que moi.....

http://www.francistabary.fr/

Créer est divin, copier est humain .

Publié le

Une fois par mois à la télévision, ça suffit pas pour que le public se rappel du nom et du personnage, ils se rappel que du personnage ( c'est ce que j'entends en presta).

à l'époque de studio Gabriel pour Sylvain mirouf, une émission quasi quotidienne le public se rappelait du personnage et du nom.

Ensuite une autre question que l'on peut se poser, cherche-t-il vraiment la popularité ?

Publié le

Brachetti est plutôt considéré comme transformiste....(génial)

Analysons peut être la réussite de Majax dans les années 70...

il était jeune,svelte,beau parleur,bon magicien et passait tous les jours à une heure "propice"....mais je pense que son coup de génie était de dévoiler quelques trucs simples...il se mettait ainsi à la portée du bon peuple à qui il faut donner un peu à boire et à manger et il savait s'en faire un peu le complice...Le Français n'aime pas se faire toujours "avoir" et le fait d'expliquer qq babioles rendait ce Français un peu moins "c.." Bien sûr à l'époque, il n'y avait pas foison de chaines de tV et donc c'était plus facile d'être reconnu...Le magicien est "victime" du secret...c'est ce qui fait qu'il aura toujours beaucoup de mal à être "populaire" . Je pense que le secret nous éloigne d'un certain succés et c'est pour celà qu'un chanteur ou un comique sera toujours plus populaire qu'un magicien...

http://www.francistabary.fr/

Créer est divin, copier est humain .

Publié le

Pourquoi David Copperfield a eu un succès mondial?

David Blaine, Chriss Angel ont des succès télévisuels aux US, ainsi que Cyril Takayama au Japon. Derren Brown a fait des belles audiences avec ses émissions sur channel 4. Je ne parle pas ici de la qualité des magiciens mais de ce qui a fait leur succès televisuel.

Aucun d'eux ne livre de trucs, certes, la culture de leurs publics est différente, beaucoup plus naïve (dans le bon sens du terme) et fraiche, mais je reste convaincu que ce genre de divertissement pourrait très bien marcher et sortir la magie de la case "cabaret"

Pourquoi rien de tel en France ? Les producteurs jugent-il que cela n'intéresse pas le public?

Publié le

Je pense qu'il y a un vrai paradoxe qui bloque le succès sans condition :

Il y a une certaine fatigue pour la magie poussiéreuse et classique, les gens ne sont plus séduits par les "classiques", ils attendent de l'originalité, de la nouveauté, ils attendent que nous brisions les usages et les conventions. Ils en ont marre de voir la même carte choisie et retrouvée dans des conditions toujours plus impossibles, peut-être ?

Briser les conventions c'est bien joli, mais ce n'est pas facile de le faire tout en réussissant à rester consensuel, et en plaisant aux masses... Paradoxe, impossibilité ?

Pour finir, j'ai un grand respect, et beaucoup d'admiration pour le travail de Bilis, et il ne me viendrai jamais à l'idée de critiquer sa contribution au monde de la magie... Mais dans le monde de la télévision et de la communication, on ne peut pas vraiment dire qu'il a le charisme le plus impressionnant...

Ne restreins pas le champ du possible aux limites de ton imaginaire.

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    • Derniers souvenirs partagés ici de cette FISM 2025 avec le 1er prix de micro-magie et Grand Prix FISM de Close-Up. *** Et puis le mercredi 16 IBUKI paru en scène, plia son foulard et avec lui la compétition de micro-magie. Ce n’était que la première session sur les trois de la compétition mais il n’y avait guère de doute qu’IBUKI serait au palmarès. La rumeur se répand rapidement comme souvent dans ce type d’événement. Le soir même coincé dans un bus avec la délégation russe qui avait loupé le passage du japonais les voilà qui m’assaillent de questions sur son numéro, car leur propre candidat, Vova, va devoir en découdre avec le magicien japonais. *** Description pour qui veut : IBUKI apparaît debout derrière sa table : sur celle-ci un tapis de close-up relevé à 45° vers le public et où se déroulera l’essentiel de la routine. Mais pas son introduction. Le magicien japonais sanglé dans une large veste de costume (couleur entre pêche et crème, mais pas noir, surtout pas noir), fermée sur le devant par quatre gros boutons, commence par poser alternativement ses mains sur des paires de boutons qui se téléportent magiquement jusqu’à se regrouper tous les quatre dans le coin supérieur gauche (vue du public) de son pan de veste.   Cousus là, tous les quatre.   Restés jusque-là bouche cousue, les premiers glapissements de surprise des spectateurs se font entendre dans la salle. Ce n’est que le début. *** Sur cette introduction : Les trois premiers effets de téléportation se produisent dans un plan vertical, sur la veste même d’IBUKI : il s’assure ainsi de l’excellente visibilité de cet effet de Matrix, effet redoublé d’une impossibilité matérielle : non seulement les boutons voyagent magiquement, mais avec eux leurs coutures aussi (sur cette impossibilité matérielle qui redouble le seul effet de téléportation, on pense par exemple à la Matrix avec des clous plantés dans une planche de Michael WEBER). Le contraste entre la couleur très claire du tissu et les boutons sombres participe de cette parfaite visibilité de l’effet - en plus d’éliminer certaines explications potentielles au tour. Et comme le montrera le reste de sa routine la visibilité des effets a été clairement un des problèmes qu’a eu à résoudre IBUKI.    IBUKI aurait pu faire le choix inverse : démarrer par les boutons regroupés puis les remettre magiquement à leur bonne place ; cela aurait fait sens si la routine avait été contextualisée : IBUKI aurait alors « réparé » magiquement la malfaçon initiale de sa veste. Mais ici pas de contexte, IBUKI préfère nous laisser sur l’image incongrue de cette veste aux boutons drôlement regroupés (d’ailleurs on a pu croiser dans les allées de la FISM IBUKI tout au long de ces six jours avec sa veste et ses drôles de boutons, conscient de cette image emblématique, cette image signature). En plus, en terminant avec les boutons regroupés là où ils ne servent plus à rien, quoi de plus naturel que de les découdre avec un petit ciseau de couturière.   La spectatrice (sans introduction formelle) assise à droite de la table se voit tendre les ciseaux et découd elle-même le 4e et dernier bouton (cette spectatrice jouera un rôle clef dans la suite de la mise en scène).    Enfin cette introduction instaure aussi l’émotion magique du reste de la routine : à savoir la surprise. « Les boutons ont voyagé...mais attendez un peu, surprise, ils sont bel et bien cousus ». D’ailleurs la première surprise de la suite du numéro sera que le « pouvoir » d’IBUKI ne va pas être tant la téléportation que de coudre entre eux magiquement et à volonté toutes sortes d’objets. *** Fin de l’introduction. Un foulard quadrillé est déplié sur le tapis incliné, les quatre boutons tout juste défaits de la veste sont chacun posés à un des quatre angles et à partir de là, et bien disons que plus rien ne va se passer comme prévu. Plutôt que de déflorer la suite de la routine deux remarques.  La visibilité : IBUKI a donc un problème : il va magiquement coudre entre eux des objets préalablement montrés « libres » les uns des autres…mais voilà : des coutures c’est bien peu visible de loin. La mise en scène de la routine pallie cette difficulté majeure de plusieurs façons : o   Quand il le peut IBUKI profite du contraste bien visible de loin du fil de couture blanc magiquement apparu sur certains objets noirs en montrant bien ceux-ci...sous toutes les coutures, avant et arrière. o   IBUKI va à plusieurs reprises basculer ses accessoires du plan incliné du tapis de close-up vers le plan vertical du début. Cela rend palpable les coutures même aux spectateurs les plus éloignés qui font physiquement l’expérience qu’en dépit de la gravité des objets restent désormais inexplicablement fixés, car cousus entre eux. o   À l’appui du mot « cousu » qu’il vient de prononcer, IBUKI mime (et ce mime a une autre raison d’être - voir ci-dessous, les mots) par de larges gestes de sa main droite, en vagues montantes et descendantes, l’acte même de l’aiguille qui coud, communiquant là encore pratiquement physiquement à tous les spectateurs l’expérience du fil qui transperce les objets pour les unir – ce qui renforce encore au passage la totale impossibilité de son effet magique. o   La spectatrice est elle aussi mise à contribution comme témoin-relais de l’ensemble du public : invitée à toucher les coutures, à découdre, à manipuler les boutons libres l’instant d’avant puis soudainement cousus sous sa propre paume ; jusqu’au tout dernier geste d’IBUKI envers cette spectatrice, geste qu’on ne révélera pas ici, mais qui a fait fondre les derniers neurones des spectateurs et du jury.            Obtenir une standing ovation de quelque 2200 spectateurs dans une salle dont il a été suffisamment dit qu’avec son sol plat elle offrait une piètre visibilité, et ce avec quatre boutons et un foulard, prouve combien cette mise en scène est efficace.  Les mots. Pas de dramatisation de l’effet via un contexte, pas de personnage autre d’IBUKI lui-même, un côté gendre idéal un rien timide engoncé dans son costume, posé au début, puis qui s’anime de plus en plus au gré du crescendo des effets. Le texte : réduit au possible ; en fait il va tout entier tourner autour d’un calembour assez sot (si j’ose dire) : les différentes acceptions en anglais du son [soʊ], de « tellement » (so), à « coudre » (saw), en passant par « vu » (saw). Mais ce jeu de mots à première vue bêta contribue à la montée en émotion de toute la routine. Et on l’a dit l’émotion visée est la surprise, aussi chaque séquence se déroule selon : o   Exposition de la situation initiale : les objets sont clairement séparés. o   La magie se produit en douce, sans incantation, ni geste magique. o   IBUKI prononce le son [soʊ] et on découvre stupéfait que l’effet n’est pas nécessairement celui attendu (une téléportation), mais qu’une nouvelle couture est apparue, et jamais là où on l’aurait imaginée. Le son [soʊ] n’a pas la valeur d’un abracadabra (car quand il est prononcé la magie est déjà advenue), mais il en conserve la valeur rythmique de leitmotiv en marquant le début de la phase de révélation de l’état final : dès qu’IBUKI se montre ravi que quelque chose de « so impossible » s’est produit (mime à l’appui de la couture pour souligner le piètre calembour so/saw) on frémit : on n’a rien vu et pourtant une nouvelle couture a surgi là où on ne l’attendait pas. La tension entre la naïveté assumée du jeu de mot qui nous nargue d’une part, et notre totale incompréhension du « truc » d’autre part, décuple alors l’émotion magique ressentie. *** Un dernier détail. Deux fois j’ai vu IBUKI (en compétition et dans le gala des gagnants) et deux fois à un certain moment de la routine alors qu’il se saisit du bouton le plus près de lui à sa gauche, le foulard amidonné reste malencontreusement (?) dressé à la verticale. Notre « taureau de la raison » (TAMARIZ) se rue sur ce pli accidentel : IBUKI ne profite-t-il pas d’un pli pas si fortuit pour y dissimuler un bouton resté en place et dont il n’a que simulé la prise ? L’instant suivant remarquant le désordre de son foulard IBUKI le saisit par deux coins, le claque pour le redéposer bien à plat sur le tapis…et anéantir au passage notre hypothèse : aucun bouton où nous le soupçonnions. L’art de la fausse piste, du red herring, est un art du tact : trop subtil, le leurre n’est même pas remarqué ; grossier, le spectateur flaire l’intention délibérée du magicien de l’égarer et se rebiffe. J’ignore si ce pli, bien vertical, bien visible était ou non une maladresse par deux fois réellement malencontreuse (improbable à ce niveau de compétition, d’autant que la chorégraphie d’IBUKI est impeccable partout ailleurs), j’ignore si ce minuscule « incident » du pi de trop a donc quoi que ce soit de réfléchi, d’intentionnel (voir même de nécessaire à la méthode), mais si tel est le cas, comme je le soupçonne, faire d’un faux pli un vrai contrôle de notre attention aura suffi à me ravir.    
    • Bonjour, Un peu plus haut en évoquant combien l''humanité" du personnage de Mortenn CHRISTIANSEN participe de la construction de son numéro, la citation de Derren BROWN que j'avais en tête est extraite de "Notes from a Fellow Traveller", page 416 :  
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