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J' avais oublié le trés bon numéro de Carlos Vaquera avec un super texte , il a vraiment la classe le mec.

Pas d'accord.

Le texte est le plus souvent narratif, mais surtout, tordre 256 cuillères en 2 minutes chrono, fait que ce qui, a mon sens, devrait se présenter comme une expérience difficile à réaliser, devient du travail à la chaine et banalise l'effet.

Pas de magie, mais de l'abatage.

Ses dernières phrases sont d'ailleurs révélatrices.

Entre le rêve d'un homme réalisant l'impossible et l'illusion d'un homme ayant b*isé tout le monde, il préfère la deuxieme solution.

Pourquoi pas! :(

Pour moi, la magie était surtout présente dans le numéro de Dima Shine

Une pure merveille ou le temps et les loies de la nature sont déjoués, et ou l'on ne présente pas un puzzle, mais un moment de rêve.

Modifié par dub

Circulez !

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[...] Entre le rêve d'un homme réalisant l'impossible et l'illusion d'un homme ayant b*isé tout le monde, il préfère la deuxieme solution [...]

Je n'ai pas revu la video, mais il me semble bien que Adamo à tiqué, lachant un : "c'est vous qui le dites...".

Je pense que l'objectif de cette conclusion est de ne pas laisser croire à un quelconque pouvoir surnaturel comme explication de la performance. Mais c'est vrai que je trouve la formule ambigüe...

Je préfère quant à moi la formule par laquelle finissaient Mir et Miroska : "s’il n’y a pas de truc c’est extraordinaire, mais s’il y en a un, c’est encore plus fort".

Bob

Modifié par bob
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  • Tolérance : c'est quand on connaît des cons et qu'on ne dit pas les noms (Pierre Doris - Humoriste 1919-2009)
Publié le

Je pense que l'objectif de cette conclusion est de ne pas laisser croire à un quelconque pouvoir surnaturel comme explication de la performance.

Ben c'est vrai que ce serait un comble que les gens croient à la magie.

Autant leur casser les pates en disant que tout n'est qu'illusion.

Ca rassure le magicien car finalement tout n'est que technique.

Accessoirement, cette conclusion tente de ramener sa "performance" au niveau de celle de Geller.

Si le niveau des techniques est peut être équivalent, celui du niveau de reflexion qui sous tend l'impact de l'effet me semble en faveur de monsieur Uri.

Avec les réserves que l'on peut emettre sur le personnage, n'est pas Geller qui veut.

Circulez !

Publié le (modifié)
[...] Autant leur casser les pates en disant que tout n'est qu'illusion [...]

Que les choses soient claires : j’adore, j’ai toujours adoré, et j’adorerai toujours la magie, l’illusionnisme, la prestidigitation…

Mais en aucun cas je n’admets qu’on puisse laisser de doute sur l’origine de ce que le spectateur voit. Une fois le spectacle terminé, il doit être clair que ce qu’il a vu n’est bien qu’une illusion, destiné à le faire rêver, à le distraire, à solliciter son imaginaire, voire à le faire réfléchir, mais sans jamais laisser l’ambiguïté sur l’existence d’un quelconque pouvoir surnaturel. Pour moi, le mensonge n’est acceptable que s’il est au service du rêve, mais ne doit en aucun cas abuser le public.

Je pars du principe que je n’apprécie pas qu’on me prenne pour un con, et j’imagine qu’il en est de même pour mes congénères.

D’autres l’ expriment probablement mieux que moi :

« Ma définition personnelle de l'illusionnisme est la suivante : L'Art de Mystifier dans le but de Divertir et non pas : L'art de Tromper dans le But de d'Abrutir» (Fabrice Delauré)

« Toutes les ambitions sont légitimes, excepté celles qui s’élèvent sur les misères ou les crédulités de l’humanité. » (Joseph Conrad 1857-1924)

Et je suis de ceux qui pense que M. Majax a fait œuvre de salut public dans sa traque des « abuseurs publics ».

Je préfère les « amuseurs publics ».

Bob

PS : sur ce sujet, je me permets de conseiller la lecture du livre intitulé « Devenez sorciers, devenez savants » de Georges Charpak et Henri Broch.

Modifié par Thomas THIÉBAUT
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  • Tolérance : c'est quand on connaît des cons et qu'on ne dit pas les noms (Pierre Doris - Humoriste 1919-2009)
Publié le
Je pars du principe que je n’apprécie pas qu’on me prenne pour un con, et j’imagine qu’il en est de même pour mes congénères.

C'est assez paradoxal.

Pourquoi, sous couvert de ne pas prendre les gens pour des cons, doit on leur expliquer ce qu'ils doivent penser.

Ne peuvent ils pas avoir de libre arbitre et être capable de raisonner par eux même?

N'est ce pas la justement, les prendre pour des cons?

N'est ce pas une facilité de se dédouaner ainsi quand on vient juste de proposer un puzzle sensé démontrer la supériorité du magicien sur le pécus moyen.

Si l’objectif de certains magicos n’était pas d’étaler un quelconque pouvoir, il n’y aurait rien à infirmer ensuite.

Si l’objectif est le divertissement, je fais confiance aux gens pour que l’accord tacite de suspension de crédulité instauré au début, prenne fin de lui-même sans avoir à agiter signaux et pancartes devant leur nez, tout en sachant qu’avec mes cartounettes je ne risque pas grand chose.

Je suis de ceux qui pensent que G. Majax aurait moins perdu de temps en cherchant ce qui fait que certains passent pour de réels magiciens, qu’à tenter de prouver à la face du monde qui n’en a rien à foutre, que ces personnes ne sont que de vulgaires charlatans.

Circulez !

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Pourquoi, sous couvert de ne pas prendre les gens pour des cons, doit on leur expliquer ce qu'ils doivent penser.

Relisez moi bien : je n’ai jamais dit qu’il fallait expliquer [aux gens] ce qu’ils doivent penser. J’ai dit qu’il ne fallait pas laisser de doute sur l’origine de ce que le spectateur voit.

Je suis de ceux qui pensent que G. Majax aurait moins perdu de temps en cherchant ce qui fait que certains passent pour de réels magiciens, qu’à tenter de prouver à la face du monde qui n’en a rien à foutre, que ces personnes ne sont que de vulgaires charlatans.

Hélas, force est de constater que la faiblesse d’esprit de beaucoup les laisse sans défense devant les charlatans. Et je n’ai moi-même jamais loupé une occasion de préciser auprès de ceux qui en doutaient encore que M. Uri Geller en était un. Et d’ajouter qu’il était un excellent magicien.

Bob

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  • Tolérance : c'est quand on connaît des cons et qu'on ne dit pas les noms (Pierre Doris - Humoriste 1919-2009)
Publié le

Hélas, force est de constater que la faiblesse d’esprit de beaucoup les laisse sans défense devant les charlatans.

Des cons, quoi! :/

Et je n’ai moi-même jamais loupé une occasion de préciser auprès de ceux qui en doutaient encore que M. Uri Geller en était un. Et d’ajouter qu’il était un excellent magicien.

Je trouve cela un peu facile.

Uri Geller avait un talent artistique indéniable. Si l'on veut que la magie ait aussi une fonction éducative, autant le faire de manière artistique et non pas seulement de manière délatoire.

A nous de créer le numéro qui permettra aux gens de se poser les questions sur ce qu'ils voient et à remettre en question ce qu'on leur présente.

Mais attention, en cette période ou les guerres de religion et les élections nationales dominent l'actualité, on ne sait pas ou cela va nous conduire... :crazy:

Circulez !

Publié le (modifié)

Notre débat me semble intéressant mais pourrait s’éterniser de manière stérile. D’autant plus que je soupçonne que nos points de vue ne sont finalement pas si éloignés que ça.

Aussi je ne souhaite pas renchérir sur votre dernière réponse (avec laquelle je suis en gros d'accord) et vous laisserai le dernier mot. Peut-être un jour aurons nous l'occasion de reprendre cette discussion de vive voix.

Bob

Modifié par bob
  • magicbob3d.deviantart.com
  • Tolérance : c'est quand on connaît des cons et qu'on ne dit pas les noms (Pierre Doris - Humoriste 1919-2009)
Publié le

Je suis de ceux qui pensent que G. Majax aurait moins perdu de temps en cherchant ce qui fait que certains passent pour de réels magiciens, qu’à tenter de prouver à la face du monde qui n’en a rien à foutre, que ces personnes ne sont que de vulgaires charlatans.

Je ne suis pas sur que les gens n'en aient rien à foutre, le bouquin de Broch et Charpak s'est très bien vendu, il y a donc des personnes intéressées par le sujet...

Pour mieux comprendre le réel, il faut parfois passer par l'imaginaire...

http://sebastienfourie.monsite.orange.fr/

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    • Pourquoi prendre le risque de concourir en ne respectant pas les règles ? 🤔
    • C'est du ChaKPT, non ? (La neutralité du ton y ressemble et il y a des infos qui m'interpellent - il a vraiment été ovationné des son ENTRÉE sur scène ?)
    • Article prévu pour la Presse Française :  Double champion du monde ? Pourquoi Dani Lary a été privé d’une reconnaissance historique à la FISM    Chapeau : Ovationné pendant plus de deux minutes par 2 000 spectateurs à Turin, Dani Lary a livré un numéro d’une pureté rare lors du Championnat du monde de magie 2025. Pourtant, l’illusionniste français n’a pas été primé : la rigidité du règlement et des contraintes administratives l’ont privé d’une reconnaissance officielle, posant la question du rôle de la FISM et de son équilibre entre exigence et souplesse.   1. La FISM, vitrine mondiale de la magie La Fédération Internationale des Sociétés Magiques (FISM) est depuis plus de soixante-dix ans le rendez-vous incontournable des magiciens du monde entier. Véritables "Jeux Olympiques de la magie", ses championnats visent à célébrer l’excellence et la diversité artistique dans toutes les disciplines : close-up, manipulation, grandes illusions… L’édition 2025, organisée à Turin, a une fois de plus rassemblé des centaines d’artistes venus des quatre coins du monde, confirmant le prestige de l’événement.   2. L’exemple Dani Lary : quand la règle prime sur l’art Cette édition restera toutefois marquée par la controverse autour de la participation de Dani Lary, figure emblématique de la magie française. Dès son arrivée sur scène, l’artiste a déclenché une vague d’applaudissements et d’engouement de la part des 2 000 spectateurs présents dans la salle. Son numéro, Gloop, centré autour d’un aquarium, a été couronné d’une standing ovation de plus de deux minutes, au point que l’animateur a dû réclamer le silence avec difficulté pour introduire le passage suivant. La volonté de Dani Lary était de rester dans la pureté du numéro, débarrassé de tout artifice superflu, en assumant un minimalisme rare dans les grandes illusions. Ce choix, salué par le public, a pourtant été pénalisé par le règlement, qui considère qu’un seul "effet" ne suffit pas à concourir. « Ce numéro d’escapologie que j’ai présenté en hommage au célèbre magicien Harry Houdini, le Gloop, est à ce jour toujours incompris de tous les magiciens. C’est unique au monde. Jamais personne ne l’avait fait : c’est du 100 % invention, du 100 % créatif et novateur. Rien que pour ça, ils auraient dû se dire : “ce numéro fait avancer la magie à un haut niveau” », confie Dani Lary. Malgré l’innovation reconnue de son numéro, le règlement a prévalu : Dani Lary a été considéré comme n’ayant présenté qu’un seul effet et a perdu de précieux points.   3. Une rigidité qui interroge La FISM doit-elle rester intransigeante pour préserver l’équité ? Si la rigueur administrative garantit des conditions standardisées, elle peut aussi étouffer la créativité. Le cas Dani Lary illustre un déséquilibre potentiel entre prestige institutionnel et ouverture artistique. Gloop n’a jamais été expliqué ni reproduit ; il reposait sur un procédé totalement inédit. « J’ai gardé ce numéro pour le jour d’un congrès mondial parce que je savais que c’était une pépite », explique l’artiste, qui refuse encore de le vendre à d’autres magiciens tant il le juge unique. Dani Lary estime que ces inventions véritablement nouvelles devraient être davantage valorisées. « Ce sont ces numéros-là qui font avancer la magie », insiste-t-il.   📣 Encadré : “Un moment suspendu dans la salle” « Dès qu’il est apparu, on a senti une énergie incroyable. Les spectateurs se sont levés presque instinctivement et ont applaudi sans discontinuer pendant plus de deux minutes. L’animateur a eu toutes les peines du monde à calmer la salle pour enchaîner », raconte un membre de la communauté magique sur le forum Virtualmagie. Ce témoignage reflète l’intensité de l’émotion vécue dans la salle : un numéro salué par un public conquis.   4. Peu de précédents documentés À ce jour, aucun autre cas comparable — où un artiste majeur aurait été pénalisé pour quelques heures de retard ou pour un numéro jugé "trop minimaliste" — n’a été largement documenté. Ce cas reste donc isolé, mais soulève une question essentielle : certaines règles ne limitent-elles pas inutilement l’innovation et l’émotion scénique ?   5. Vers un équilibre à trouver Pour rester fidèle à sa mission, la FISM gagnerait à : Introduire une marge de tolérance sur les délais administratifs ; Valoriser la diversité expressive, y compris les styles minimalistes et novateurs ; Renforcer le soutien logistique auprès des artistes, quelle que soit leur renommée.   6. Conclusion Le prestige de la FISM repose sur un juste équilibre entre excellence artistique et rigueur organisationnelle. L’affaire Dani Lary rappelle que la magie est d’abord un art de l’émotion et de l’innovation. Le Gloop, salué par 2 000 spectateurs debout à Turin, a démontré qu’un seul numéro peut marquer durablement les esprits. Pour préserver sa crédibilité, la FISM doit évoluer vers davantage de tolérance et accompagner pleinement les artistes, au lieu de les freiner.
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