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Tout ce qui a été publié par Eflamm CAOUISSIN
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[Télévision] Débat Sarkozy-Hollande : Leurs gestes les trahissent !
Eflamm CAOUISSIN a répondu à un sujet de François SLH dans Chemins de Traverse
Intéressant mais analyse complètement partisane. Donc faussée et collaborant ainsi à la manipulation des masses (il est vrai que l'on n'est plus à une manipulation près... ). Le Figaro a aussi analysé cela en temps réel, et même si le journal est de droite (et pourrait privilégier l'autre candidat), l'analyse est un peu plus objective. -
Je savais qu'on avait de bons illusionnistes en politique. Après débat, je vois qu'on a aussi de très bons bonimenteurs (mettez le tiret où vouvoulez dans le dernier mot). L'un ne va certes pas sans l'autre, mais j'avoue que là, c'est du bon, du haut vol.... On aurait presque envie d'y croire. Franchement, chers VMistes, si vous voulez vraiment avoir de l'avenir dans la magie, soit faites de la politique, soit invitez les candidats présidentiels au prochain congrès FFAP pour vous faire la conf des conf. Y'a des leçons à prendre. Plus encore, la presse est très bonne elle aussi : certains quotidiens parti-sans titraient déjà sur leur édition de demain alors que le débat débutait à peine. Si ça aussi ce n'est pas de la manipulation des masses. Alors ne ratez pas la nouvelle tournée de conférences pour le monde magique : La Grande Illusion, un dealer show où on vous vend des promesses qui ne seront pas tenues, une prestation où l'on vous montrera comment retrouver un bulletin de vote anal ysé et préalablement enveloppé. Le tout sans sire !
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Tu as tort : une banque est devenue une entreprise mais n'a pas vocation à l'être. C'est là la base de tout le problème. Une société à rustines n'est qu'une société en passe d'aller en déchetterie, ce qui n'est pas concevable. Un politique doit donc être un bon père de famille, certes appelé à faire des compromis mais pour le bien commun. Or le bien commun est devenu très individuel, et les structures pour établir ce bien commun ont été dévoyées, tant au niveau économique que social et politique (au sens premier du mot). Tant que les politiques n'auront pas compris ça, et le peuple avec, on ira dans le mur, et effectivement l'usine à rustines devra tourner à plein régime.
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En effet, il semble qu'il l'ait utilisé de bonne foi. Toutefois, c'est aussi pour orienter l'opinion qu'il l'a utilisé. D'où mon observation, l'idée n'étant pas de parler du fond de son message, mais des manipulations à divers niveaux, intéressant pour les magiciens que nous sommes.
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Pour en revenir à la manipulation, voilà un petit exemple : d'un côté, un fake qui peut manipuler certains esprits, de l'autre, un JLM qui s'est fait avoir et qui utilise cette même manipulation pour manipuler l'opinion... Drôle, non ? Je mets juste un lien : ici
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[Administration] Et les magiciens, ils votent pour quel président?
Eflamm CAOUISSIN a répondu à un sujet de Jean-Yves LOES dans Chemins de Traverse
Et alors ? dans ce cas, n'oublions pas - Nicolas Paul Stéphane SarkÖzy de Nagy-Bocsa - François Gérard Georges Hollande C'est complètement idiot car les candidats portent le projet d'un parti, d'un organe politique. Ils représentent donc ce dernier et non eux-mêmes. L'obligation lorsqu'il s'agit d'actes publics concernent ceux qui sont fait en leurs noms propres, si je ne me trompe. C'est pourquoi il est peu probable que le recours soit recevable. -
Télépathie Réelle de Patrick FROMENT
Eflamm CAOUISSIN a répondu à un sujet de Marc BARBAT dans Les Étagères Magiques
Petite info intéressante à propos de Télépathie Réelle : Ludo et Marchand de Trucs proposent un jeu concours pour gagner un livre du catalogue MDT... Je vous propose de vous rendre directement sur la Page FaceBook de MDT pour en savoir plus : ici Attention... c'est jusqu'à demain 20h ! -
Je vous laisse lire cette info : Appel aux gouvernements d’un groupe d’experts économiques français et allemands réunis à Düsseldorf 27 avril 2012 (Source : Marianne 2) Treize ans après le lancement de l’euro, il est patent que non seulement cette expérience n’a tenu aucune de ses promesses, mais même que sa poursuite risque de déboucher sur le chaos. Au lieu de la prospérité, un ralentissement de la croissance dans tous les pays de la zone, avec un important volant de chômage. Au lieu de la rigueur, dix années d’augmentation irresponsable des dépenses publiques et des dettes souveraines, qu’une génération de sacrifices ne suffirait pas à apurer. Au lieu d’une meilleure intégration économique, des déséquilibres entre les pays qui s’aggravent chaque jour. Les pays d’Europe du Sud, Grèce, mais aussi Portugal, Espagne, Italie, et même France voient leur compétitivité se dégrader depuis dix ans de manière continue. Asséchant le pouvoir d’achat des uns, cette situation fait obstacle à la croissance des autres et donc au développement du marché unique. Au lieu d’un rapprochement des peuples, une animosité croissante entre créanciers et débiteurs. Au lieu d’un progrès de la démocratie, des décisions venues de haut imposées à des peuples qui les refusent. Les plans successifs destinés à « sauver l 'euro » sont vains car ils ne s’attaquent, d’ailleurs avec peu d’effet, qu’aux seuls déficits publics et non à ce qui est racine du mal : la propension différente des pays à l’inflation. La seule solution serait la déflation des prix dans les pays déficitaires : or une telle opération n’a jamais réussi nulle part (ex : l’Allemagne de 1930, la France de 1934). Poursuivant un objectif qu’elle n’atteindra de toutes façons pas, l’Europe est entraînée dans une spirale de récession qui, s’agissant du premier marché mondial, inquiète la planète toute entière. À cette récession s’ajoute le risque d’inflation, d’autant qu’en violation de ses statuts, la Banque Centrale Européenne ne voit d’autre issue, pour prolonger l’euro, qu’un recours massif à la création monétaire au bénéfice des banques, trop heureuses de l’aubaine. Il est tout aussi illusoire d’espérer organiser une « Europe des transferts », qui exigerait le transfert durable de centaines de milliards d’euros vers les pays en difficulté, revenant à une collectivisation des déficits publics. Solution refusée par les peuples que l’on voudrait mettre à contribution tout en n’offrant aucun espoir de redressement aux plus mal en point. Cet acharnement thérapeutique, qui ne vise que le court terme, ne pourra éviter l’accélération des secousses qui touchent non seulement la sphère financière mais aussi l’économie réelle. S’il n’y est pas rapidement mis fin, l’expérience de la monnaie unique se terminera de la manière la plus dramatique : détérioration de la situation économique, explosion du chômage, désordres sociaux, montée des extrémismes, résurgence d’anciens conflits, destruction de l’État de droit : les pays de l’Europe deviendraient ingouvernables. L’Union européenne ne saurait demeurer la marionnette des oligarchies financières qui visent la destruction de la base même de nos existences. N’est-il pas honteux de les voir soumettre les pouvoir politique et économique au gré de leurs intérêts ? Il est clair que seules des dévaluations et réévaluations réelles, adaptées à la situation de chaque pays, pourront mettre fin aux déséquilibres entre eux et, par-là, rétablir la croissance. L’histoire nous offre de nombreux exemples de ruptures d’unions monétaires : il en ressort que non seulement il est possible de les gérer de manière ordonnée sur les plans politique et économique, mais aussi qu’elles se sont révélées bénéfiques, et cela au bout de quelques mois seulement. C’est pourquoi les économistes allemands et français signataires, réunis à Lyon en octobre 2011 et à Düsseldorf en avril 2012, appellent leurs gouvernements respectifs à convenir et à proposer aux autres États membres de l’Union européenne, de mettre fin à l’expérience de la monnaie unique et, à cet effet, de prendre sans délai les mesures suivantes : - remplacer l’euro par de nouvelles monnaies nationales disposant de l’ensemble de leurs prérogatives dans chacun des États, sachant que certains pays pourront passer des accords bilatéraux ou multilatéraux pour mettre en commun leur monnaie ; - créer un nouveau système monétaire européen, comportant une unité de compte européenne, égale à la moyenne pondérée des unités monétaires nationales ; - afficher d’emblée les parités souhaitables des monnaies nationales vis-à-vis de cette unité de compte européenne, calculées de façon à limiter la spéculation, restaurer la compétitivité de tous les États, assurer des échanges équilibrés entre eux et résorber du chômage ; - veiller, en s’appuyant sur un Institut monétaire européen, à ce que les taux de change réels des monnaies nationales soient ensuite stabilisés, à l’intérieur d’une marge de fluctuation à déterminer ; - convertir dans chaque pays l’ensemble des prix et salaires intérieurs ainsi que les avoirs bancaires sur la base de un euro pour chaque unité de monnaie nationale ; - convertir, selon la même règle, les dettes publiques de tous les pays de l’euro en leur nouvelle monnaie nationale ; - convertir les créances et dettes privées internationales dans l’unité de compte européenne. Le règlement des dettes publiques et privées pourra faire l’objet de négociations bilatérales, entre créanciers et débiteurs, à partir des deux règles de base énoncées dans les deux précédents alinéas. Dans ce contexte, une même priorité doit être donnée aux politiques nationales, celle de développer et d’adapter toutes les forces productives, afin d’accroître la productivité de l’ensemble de l’Europe. La coopération des institutions responsables doit permettre de réussir une transition en bon ordre. Cette transition doit être la plus courte possible : elle ne pose pas de problèmes techniques majeurs. Les nouvelles règles doivent être affichées clairement. Il sera demandé aux États de veiller, en s’appuyant sur leurs Banques centrales nationales, désormais autonomes, à ce que la transition décidée n’entraîne aucune déstabilisation du système financier européen et lui donne même les moyens de contribuer activement au retour de la croissance. En lançant cet appel, les économistes allemands et français signataires souhaitent ardemment contribuer, par leur expertise et leur engagement, à la relance de la construction européenne sur des bases rénovées et réalistes, en même temps qu’au redressement économique de l’Europe. Le 27 Avril 2012. Bruno Bandulet, Rolf Hasse, Wilhelm Nölling, Karl Albrecht Schachtschneider, Wolf Schäfer, Dieter Spethmann, Joachim Starbatty, Alain Cotta, Jean-Pierre Gérard, Roland Hureaux, Gérard Lafay, Philippe Murer, Michel Robatel, Jean-Jacques Rosa.
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Voilà une info intéressante, que j'ai déjà évoquée par ailleurs en citant d'autres sources, mais qui provient ici d'un ex-professeur d'économie du droit à l'Université de Paris-Dauphine, docteur ès sciences économiques.. [...] Ce n’est pas la dette en valeur absolue qui compte mais le rapport entre produit national brut et dette, intérêts compris. La capacité de remboursement d’un État n’est rien d’autre que son économie, sa richesse, sa croissance. La spirale infernale commence lorsque, pour rembourser la dette, les gouvernements augmentent les impôts et diminuent les dépenses, ce qui impacte la croissance… (...) Plus grave, si l’on ose dire, mais ni Hollande ni Sarkozy n’en parlent – pas même une allusion du bout des lèvres -, la crise actuelle est, en fait, l’ultime accès d’une fièvre qui s’est emparé du système monétaire international depuis qu’a été fermée la fenêtre d’or (golden window) le 15 août 1971 par Richard Nixon, alors président des États-Unis. La mémoire des politiciens et des économistes à leur service ou au service des banques qui les paient grassement est si courte qu’on est obligé de leur rappeler que, ce jour-là, le dernier lien qui existait entre le métal jaune et une monnaie (et pas n’importe laquelle puisqu’il s’agissait du dollar) a été rompu (...) Or sont soupçonnées à juste titre les banques de profiter de ce faux-monnayage généralisé. A l’abri de banques centrales qui jouent le rôle de prêteur en dernier ressort, elles produisent de la monnaie dite fiduciaire, créée ex nihilo. Autrement dit, des titres de propriété sont créés qui ne correspondent à aucune richesse réelle et perçus comme des propriétés alors qu’ils ne sont que des titres en papier. De rien ne peut rien sortir (...) Evidemment, le premier bénéficiaire de cette fraude est le créateur de la monnaie fiduciaire, c’est-à-dire le banquier lui-même. D’où des privilèges éhontés, dignes de l’Ancien Régime : les institutions proches du pouvoir de l’État comme la haute fonction publique, le Trésor, la banque centrale, l’aristocratie bancaire et les petits malins du trading s’en mettent plein les poches (...) De cette socialisation des pertes, correspondant à une privatisation de super-profits scandaleux de monopole, le contribuable est invité maintenant à solder les frais. Le peuple a raison de se révolter. Marine Le Pen et Jean-Luc Mélenchon sont les vecteurs de cette colère légitime. La seule manière de sortir de cette gigantesque ornière est de mettre fin au faux monnayage issu de la coucherie incestueuse de la banque et de l’État et de rétablir une monnaie ancrée dans la réalité économique. L’obstacle est seulement politique : les princes qui nous gouvernent aujourd’hui n’y ont pas intérêt". (Source : SB) Il faut bien prendre en compte que la situation dans laquelle nous sommes ne date pas d'hier. Il est indiqué ici que Nixon y est pour beaucoup, mais pour ma part je mets la genèse de ce problème bien avant, et notamment avec Roosevelt. Nixon ayant porté un coup fatal, et par la suite tous ceux qui ont accepté l'Europe de Maastricht et ses dérives totalitaires. Au second tour donc, reste à voir ce qu'il convient de faire pour une bonne gestion du pays : faire empirer la situation par un choix irresponsable (selon moi) qui plongera dans le marasme, ou l'endiguer par un choix qui ne sera pas imposé par les médias, pris en conscience et en raison, qui privilégiera non pas des intérêts personnels ou communautaires, mais des intérêts nationaux de bien commun. Magiciens, il est important de voir les actuelles manipulations usées par les médias et de nombreux politiques. Il est tout aussi important de voir les temps d'avance qu'ils ont sur le public, et le misdirections plus ou moins fines qu'ils utilisent. Ils sont bien meilleurs que de nombreux magiciens présents ici. Non... le rôle d'un magicien n'est pas que de distraire le spectateur.
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je ne suis pas d'accord du tout. au contraire, voter c'est participer au scrutin avec l'adhésion implicite à son résultat. c'est une façon de dire "ok, je vais voter, je joue le jeu et j'accepterai le vainqueur, quel qu'il soit". au contraire, s'abstenir c'est dire "je ne me sens pas concerné par ce cirque, je refuse de grossir le chiffre de la participation qui donnera une assise au vainqueur de cet élection." quel cruel manque d'ambition que de se contenter de ce qu'on te donne. tanhouarn, pour information, accepterais-tu de me dire pour qui diable tu vas voter à ce deuxième tour? je comprendrais que tu refuses, mais cela pourrait poser les bases d'une discussion sous un jour nouveau. il n'en a tiré aucun bénéfice, puisqu'il n'a pas été élu. et puis de toute façon, il est assez clair, pour tous les observateurs, que chevènement, par son refus de rallier le camp socialiste, a été l'artisan de l'accession de le pen au second tour. de plus il est également assez clair que l'abstention était une protestation contre le président en place, à savoir jacques chirac, et que si la participation avait été plus élevée, elle n'aurait sans doute pas bénéficié à jospin et n'aurait pas changé l'issue du premier tour de ce scrutin. Ton observation sur le fait de "refuser de participer à ce cirque" est clairement ce que me disent les amis dont je parlais plus haut. Mais ils souhaitent une reconnaissance du vote blanc et à ce titre font ce choix, que je respecte, car il est cohérent avec le reste de leur propos. Ils votent aussi car ne veulent pas laisser ce droit partir en vrille. Pour ma part, je ne manque pas d'ambitions. Mes choix ont été guidés en ce sens lors du premier tour. De part mon job par ailleurs, j'ai un devoir de réserve et je tairai donc mon choix de second tour, même si cela pourrait effectivement permettre de discuter. Mais il est évident qu'il s'agit pour moi d'une affaire de conscience et l'important est d'être au maximum en adéquation avec cette conscience dans un but de bien commun, ou du moins ce que je pense être le mieux pour le bien commun.
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cite-moi un exemple ou un candidat aurait tiré un quelconque bénéfice de l'abstention. cet argument est souvent brandi par les détracteurs de l'abstention, mais il est totalement dénué de fondement. on entend souvent dire que s'abstenir c'est favoriser les extrêmes. au-delà du droit de chacun de choisir de favoriser sciemment ces extrêmes, c'est une situation virtuelle qui ne s'est jamais produite. A mon sens, le fait de favoriser les extrêmes est une conséquence. Par contre, s'abstenir (ou voter blanc ou nul puisque ca revient au même en France, excepté l'acte du vote), c'est accepter implicitement la politique du candidat vainqueur. En l'occurrence, au deuxième tour, cela ne favorise pas les extrêmes puisque deux camps sont uniquement représentés. D'où l'idée de poser en conscience un consensus différentiel, afin de voir qui, selon soi-même, a la meilleure (ou la moins mauvaise) politique, plutôt que de jouer à l'ermite électoral se réfugiant dans le désert abstentionniste, où les mirages sont plus nombreux que les oasis. Et pour donner un exemple, en 2002, Le Pen avait tiré un avantage de l'abstention. Sans celle-ci, il ne passait pas au second tour. CQFD
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Juste pour préciser que j'ai des amis qui votent blanc par cohérence. Ils ne choisissent pas leur camp et la politique proposée par ces camps car ils ont une vision politique précise, et ne se reconnaissent dans aucun des programmes (et dans leurs passifs), et ne souhaitent donc pas faire de compromissions en conscience. Voter blanc est leur solution. Même si je conçois que leur vision est respectable et cohérente, je ne suis pas du même avis qu'eux sur la façon de procéder, puisque le vote blanc est considéré au même niveau que le nul : pour moi (en la condition actuelle des choses) voter blanc ou nul (ou ne pas voter), c'est non pas acquiescer l'une des politique proposées, mais collaborer à l'accession au pouvoir de l'un ou l'autre des candidats. A mon sens, notre responsabilité est donc posée, quel que soit le choix, et cette responsabilité est projetée dans la politique future de la nation, qu'on le veuille ou non. Mais pour ces amis dont je te parle, eux ne voient pas cela de cette manière : en votant, ils font leur devoir électoral ; cependant, en votant blanc, ils disent ainsi ne légitimer ni l'un ni l'autre des candidats, et comme tu le dis, n'apportent ni soutien, ni confiance. Mais cependant, ils vont voter, et légitiment donc le scrutin. Ces personnes aimeraient d'ailleurs une reconnaissance du vote blanc. A voir maintenant quel est le mieux : s'agit-il de faire un consensus différentiel avec le programme qui se rapproche le plus de notre vision sociétale et de nos valeurs, ou s'agit-il de se dégager de toute responsabilité (tout comme le fit Ponce Pilate) ? Reste à déterminer si dans ce cas l'acte posé en conscience dégage vraiment de toute responsabilité sur le développement national.
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[Réflexion] Et pourquoi la FFAP ne changerait-Elle pas de nom ?
Eflamm CAOUISSIN a répondu à un sujet de Jean-Yves LOES dans Forum Général
Vu la devanture, Je propose "Le Rassemblement Bleu Magique", non ? ... -
Sauf que c'est autour d'un petit verre, fut-il virtuel, que certains esprits peuvent s'éclairer au vu de certaines informations qu'on ne trouve que si on cherche
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Voilà un autre exemple de liberté : "L’Espagne suspend provisoirement les accords de Schengen Le cynisme des européistes n’a décidément aucune limite. Ils ont plein la bouche de la « solidarité européenne », de la « citoyenneté européenne » et de la « libre circulation ». Ils se targuent de la « démocratie » et de « l’État de droit » – sur lesquels repose l’Union européenne d’après les articles 2 et 3 du Traité sur l’Union européenne – pour donner des leçons de démocratie à la planète entière. ARTICLE 2 DU TUE (version consolidée) L’Union est fondée sur les valeurs de respect de la dignité humaine, de liberté, de démocratie, d’égalité, de l’État de droit, ainsi que de respect des droits de l’homme, y compris des droits des personnes appartenant à des minorités. [...] ARTICLE 3 DU TUE (version consolidée) 1. L’Union a pour but de promouvoir la paix, ses valeurs et le bien-être de ses peuples. 2. L’Union offre à ses citoyens un espace de liberté, de sécurité et de justice sans frontières intérieures, au sein duquel est assurée la libre circulation des personnes, en liaison avec des mesures appropriées en matière de contrôle des frontières extérieures, d’asile, d’immigration ainsi que de prévention de la criminalité et de lutte contre ce phénomène. En vertu de ces articles, nos européistes poussent des cris de vierges effarouchées lorsqu’un État parfaitement démocratique, comme récemment le Danemark, suspend l’application des Accords de Schengen et réintroduit des contrôles aux frontières intérieures de l’UE. Ils y voient aussitôt matière à scandale et pointent du doigt un retour au « nationalisme » si ce n’est à la « Bête immonde. » Seulement voilà : dès que l’une des réunions de ce collège de dictateurs qui gouverne les peuples d’Europe risque de tourner à l’émeute, les beaux principes affichés sont remisés illico au magasin des farces et attrapes. C’est exactement ce que vient de faire l’Espagne il y a quelques minutes, en décidant de « suspendre les Accords de Schengen juste avant et pendant la réunion » de la Banque centrale européenne (BCE) qui doit se tenir exceptionnellement à Barcelone début mai. Le ministère espagnol de l’intérieur a décidé cette « suspension » de la libre circulation des « citoyens européens » car il s’attend à d’importantes manifestations dans la métropole catalane, qui a déjà été le théâtre d’émeutes pendant une grève générale le 29 mars dernier. Le gouvernement espagnol craint en particulier la venue d’Italiens et Grecs protestant contre les mesures d’austérité sans précédent qui leur ont été imposées par MM. Papademos et Monti, les deux banquiers dictateurs nommés à la tête des gouvernements grec et italien par l’oligarchie euro-atlantiste sans jamais avoir été élus par quiconque. CONCLUSION « Faites ce que je dis, ne faites pas ce que je fais ! » Telle est l’une des devises des oligarques européistes, qui affichent ainsi une nouvelle fois leur mépris d’acier pour tous les principes démocratiques proclamés, dès lors que c’est leur pouvoir dictatorial qui risque d’être remis en cause." Source : UPR ______________________________________ "L’Espagne suspend temporairement les accords de Schengen sur la libre circulation des personnes entre les pays de l’Union Européenne entre le 28 avril et le 4 mai à cause de la tenue de la réunion de la direction de la Banque Centrale Européenne à Barcelone le 3 mai. L’information a été communiquée par le Ministère de l’Intérieur espagnol. Cette décision sous-entend de renforcer le contrôle aux frontières pour empêcher la venue dans la capitale catalane des mouvements antisystème. Ils pourraient provoquer des désordres dans les rues de la ville le 3 mai. « Nous disposons de données sur la possible venue à Barcelone d’éléments hors contrôle, en particulier d’Italie et de Grèce », a-t-on expliqué au Ministère." (Source : La Voix de la Russie) ______________________________________ "L'Espagne rétablira les contrôles à sa frontière avec la France et dans certains aéroports pour éviter l'entrée de groupes violents lors d'une réunion de la Banque centrale européenne (BCE) à Barcelone le 3 mai, a indiqué lundi une responsable du ministère de l'Intérieur. "L'accord de Schengen sera suspendu entre le 24 avril et le 4 mai", a expliqué cette responsable sous couvert d'anonymat, le ministère cherchant à empêcher d'éventuels "altercations" et "actes de violence". "Les forces de sécurité ont détecté la possibilité que des organisations anti-système arrivent pour cette réunion", a précisé la même source, indiquant qu'elles "pourraient venir de Grèce ou d'Italie". L'Espagne rétablira donc des contrôles plus stricts "dans les aéroports de Catalogne et sur la frontière" avec la France, a-t-elle ajouté. Environ 2000 agents de police et de la Garde civile pourraient venir renforcer les effectifs de la police régionale catalane, a-t-on ajouté au ministère. La police catalane refuse pour l'instant de chiffrer le dispositif spécial prévu à cette occasion. En tout, les médias espagnols estiment qu'environ 6000 agents seront déployés dans la région. Des incidents violents ont marqué la dernière grève générale du 29 mars à Barcelone, deuxième ville du pays, la police ayant dû tirer des balles en caoutchouc pour disperser des manifestants. Après ces heurts, le gouvernement conservateur de Mariano Rajoy a annoncé qu'il travaillait à une réforme controversée du code pénal, qui durcira les peines encourues par les casseurs mais aussi par les organisateurs de manifestations qui dégénèrent." (Source : RTBF) ________________________________ L'Espagne rétablira les contrôles à ses frontières début mai en raison d'une réunion de la Banque centrale européenne (BCE) à Barcelone, a annoncé un responsable du ministère de l'Intérieur vendredi. Le traité de Schengen sur la libre circulation en Europe sera suspendu juste avant et pendant la réunion, a précisé cette source ayant requis l'anonymat. L'Espagne s'attend à d'importantes manifestations dans la capitale catalane et en particulier à la venue d'Italiens et Grecs protestant contre les mesures d'austérité extrêmement sévères qui leur ont été imposées. Barcelone, qui a été le théâtre d'émeutes pendant une grève générale le 29 mars dernier, a prévu une forte mobilisation policière pendant la réunion de la BCE. (Source : ChallengeS)
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Idem... même si ca ne se voit pas trop quand je sors ma faux
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Ksoeze, à titre informatif, ce ne sont pas les ennemis communs qui nous ont rapproché, Jack et moi pour au moins deux raisons : je suis en relation amicale avec Jack depuis bien avant de connaitre ses opinions politiques. Et le fait de les connaître ne change rien. Pour moi, une divergence politique ne peut être une question de mépris, et qui plus est si tout est argumenté. J'ai des amis de tous bords politiques, et ce n'est pas parce qu'on n'est pas d'accord qu'on va se taper dessus ou ne pas s'apprécier. La deuxième raison du rapprochement est, non pas les ennemis communs, mais l'envie de remettre l'humain au centre de la société. Les réponses ne sont pas forcément les mêmes, mais l'idée est là.
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Il me semble que sur les frontières, il y a consensus : un protectionnisme. Cela ne veut pas dire fermer, mais bien protéger, comme cela se passe ailleurs, et qui est logique. Ou sinon, voilà ce que je propose : laissez chacun votre porte de maison ouverte. Ca devrait faire le bonheur d'une partie de la population. Je schématise un peu, mais le protectionnisme n'est qu'une mesure de bon sens : on ferme la porte mais ca ne veut pas dire que l'on accueille pas l'autre. Alors on les ferme, mais on garde les clés à portée de main
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Tu m'étonnes ? Et bien mon cher Skoeze, permets-moi de penser (peut-être à tort), que tu es un pur produit de la société UMPS. Si je partage certaines analyses que tu donnes, je suis beaucoup plus circonspect sur ta vision des électeurs, qui montre que tu ne connais rien aux aspirations et à la vision de ceux qui ne votent pas le "Parti unique". Enfin, ta source sur l'histoire de l'Argent omet des faits et des observations très importantes, qui sont aux racines des problèmes actuels. Il travestit même la vérité, en ce qui concerne la régie de la monnaie mondiale par la FED, qu'il dit étalonnée sur l'or . Sans mettre le doigt sur ces racines, on ne peut proposer une société meilleure, et on restera sur la mauvaise pente. Je te laisse réagir sur le post précédent à propos du MES, et tu m'expliqueras quel est l'intérêt de laisser continuer tout ça avec des con-promis, et quelles sont "tes" solutions éventuelles ?
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Tout à fait d'accord, excepté sur les dépenses publiques. Si je suis bien d'accord sur le fait qu'elles doivent être orientées sur de l'investissement, je pense que certaines dépenses publiques doivent toutefois être revues, à commencer par les salaires et indemnités diverses des gouvernants, ainsi que le train de vie des ministères et collectivités territoriales. Certes, c'est une goutte d'eau mais une belle !
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Parce que ca (que j'ai posté un peu plus haut), ce n'est pas un article de fond qui peut alimenter le débat, peut-être ? Quand on vous dit que les banksters dirigent tout et qu'ils liquident nos libertés : Et durant la période électorale, les affaires continuent ! Parce que contrairement aux affirmations mensongères des uns et des autres : la crise, on est en plein dedans ! Souvenons-nous de François Baroin, qui assénait sur FR3 en septembre 2010 : « la croissance est au rendez-vous et la crise est derrière nous ». De Christine Lagarde, qui, le 29 janvier 2011, affirmait devant les décideurs du monde entier, réunis au Forum Economique de Davos, « l’euro a franchi le cap et la zone euro a désormais le pire de la crise de la dette derrière elle ». Et de Barack Obama, qui déclarait, le 30 août 2011, que « nous venons de traverser la pire crise financière depuis la Grande Dépression (crise de 1929) et après les récessions et les crises financières que nous venons de vivre, le patient met du temps à guérir. Notre économie a eu une crise cardiaque, le patient vit toujours, il va mieux, mais guérit trop lentement ». Et pour Joerg Asmussen, membre du conseil de la Banque Centrale Européenne (BCE) : « Le pire de la crise semble passé. La balle est à présent dans le camp des gouvernements. C’est à eux d’agir », in L’Echo du 16.avril 2012. Chacun d’entre nous peut effectivement se rendre compte de la situation réelle que nous vivons. Les eurocrates à la manœuvre. Et pendant ces 4 dernières années où les politicards au Pouvoir se sont ingéniés à coller des rustines sur les fuites financières, la D.G.S.I (la Davos-Goldman-Sachs-Idéologie, comme l’appelle le criminologue Xavier Raufer) a diffusé ses métastases dans tous les rouages de la mondialisation. A tel point que les crânes d’œufs qui s’agitent dans les bureaux du Caprice des Dieux bruxellois et leurs complices banksters ont imaginé de remplacer le Fonds Européen de Stabilité Financière (FESF, créé en urgence en mai 2010 à cause de la faillite grecque et doté de 1.000 milliards €), par une autre usine à gaz dénommée Mécanisme Européen de Stabilité (M.E.S). Et ici, on touche au grandiose ! Jugez-en : le Conseil européen de mars 2011 a modifié l’article 136 du traité de Lisbonne, sans tambours ni trompettes. Le cadre légal du M.E.S assujettit les peuples de la zone euro à être garants et cautions des dettes auprès des banques. On vous en a parlé ? Expliqué les implications ? Vous êtes d’accord ? Eh bien… pas moi ! Extravagant : parce que l’article 9 du traité instituant le M.E.S précise que « les membres du M.E.S s’engagent de manière irrévocable et inconditionnelle à verser sur demande les fonds demandés par le directeur général en vertu du présent paragraphe dans les 7 jours suivants la réception de ladite demande ». Très fort : les articles 27 et 30 octroient la personnalité juridique au M.E.S, qui pourra engager des poursuites judiciaires (par exemple envers un Etat qui ne lui verse pas la somme exigée), mais jouira (ainsi que les membres de la direction et du personnel) de l’immunité diplomatique. De plus, les documents du M.E.S ne seront pas disponibles pour le grand public, car « les archives du M.E.S et tous les documents qui lui appartiennent ou qu’il détient sont inviolables ». C’est clair : personne ne pourra demander des comptes détaillés sur les décisions ou les options prises et imposées par cette institution. Démocratie ? Connaît pas ! Encore mieux : d’après l’accord de décembre 2011, le M.E.S sera géré suivant la règle de la majorité qualifiée. Une décision devra recueillir au moins 85% des droits de vote pour être valide, alors que c’était l’unanimité qui était prévue auparavant. Cela confère maintenant un droit de veto de fait à trois pays qui ont plus de 15% des voix : l’Allemagne (27,1%), la France (20,4%) et l’Italie (17,9%). Cela fleure bon les arrangements entre coquins … Toujours plus fort : un des autres pays ne pourra pas seul s’opposer à une décision du M.E.S, comme ce fut le cas à l’automne 2010 pour la Finlande ou la Slovaquie. En réalité, voilà une institution qui sera permanente, antidémocratique, inattaquable sur le plan juridique, occulte, et qui pourra exiger de n’importe quel pays de la zone euro, dans un délai d’une semaine, des milliards d’euros de manière inconditionnelle et irrévocable ! On assiste ici et en catimini, avec le silence complice des médias, à une prise de pleins pouvoirs financiers par une caste cosmopolite qui prétexte la crise et le problème de la dette publique ! L’austérité, la rigueur et la bonne gestion ne concernent ni les socialauds, ni les écolos, ni les banksters et leurs laquais libéros-démocrates : seul le peuple paiera ! Mais ce qui est consternant est le fait que PAS UN des partis ou mouvements nationalistes en Europe – dont certains sont en campagne électorale – n’a jugé bon d’étaler sur la place publique ce véritable hold-up de la souveraineté des pays concernés et la mise sous tutelle des citoyens européens ! Exit les libertés fondamentales. Le poids des maux, le choc des impôts A l’inverse des déclarations lénifiantes et soporifiques des chefs d’États européens, de nombreux pays sont en récession et bien malin sera celui qui pourra prédire la reprise réelle de nos économies, la réduction effective du déficit public, la diminution de la dette publique nominale et le retour au plein emploi. Parce que durant les 4 dernières années et encore actuellement, les pourriticards de gauche comme de droite ont menti et caché la réalité calamiteuse de leur gestion des affaires. Le réveil sera terrible et on ne pourra pas échapper à une réduction de notre pouvoir d’achat et de notre train de vie (pour 80% de la population), car les dépenses publiques devront être fortement diminuées. Pour la France, cela représentera 30 milliards € par an et durant 5 ans, y compris des privatisations et des cessions d’immobiliers, selon un rapport publié par la Fondation pour la Recherche sur les Administrations et les Politiques Publiques (iFRAP) publié en mars. Par ailleurs la croissance sera absente dans la plupart des pays d’Europe en 2012 : Grèce : -4,5% ; Portugal : -3,3% ; Italie : -1,5% ; Espagne : -1% ; Belgique : -0,5% ; France : 0%. Et ce n’est pas en augmentant les impôts et les taxes que l’on ranimera la confiance des entrepreneurs et des ménages. Il faut prendre des mesures structurelles et sur le long terme. OUI, il faudra rapidement supprimer les aberrations de l’État-Providence, sous peine de sombrer dans le désespoir que connait maintenant la Grèce… Source : Les 4 Vérités hebdo
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Quand on vous dit que les banksters dirigent tout et qu'ils liquident nos libertés : Et durant la période électorale, les affaires continuent ! Parce que contrairement aux affirmations mensongères des uns et des autres : la crise, on est en plein dedans ! Souvenons-nous de François Baroin, qui assénait sur FR3 en septembre 2010 : « la croissance est au rendez-vous et la crise est derrière nous ». De Christine Lagarde, qui, le 29 janvier 2011, affirmait devant les décideurs du monde entier, réunis au Forum Economique de Davos, « l’euro a franchi le cap et la zone euro a désormais le pire de la crise de la dette derrière elle ». Et de Barack Obama, qui déclarait, le 30 août 2011, que « nous venons de traverser la pire crise financière depuis la Grande Dépression (crise de 1929) et après les récessions et les crises financières que nous venons de vivre, le patient met du temps à guérir. Notre économie a eu une crise cardiaque, le patient vit toujours, il va mieux, mais guérit trop lentement ». Et pour Joerg Asmussen, membre du conseil de la Banque Centrale Européenne (BCE) : « Le pire de la crise semble passé. La balle est à présent dans le camp des gouvernements. C’est à eux d’agir », in L’Echo du 16.avril 2012. Chacun d’entre nous peut effectivement se rendre compte de la situation réelle que nous vivons. Les eurocrates à la manœuvre. Et pendant ces 4 dernières années où les politicards au Pouvoir se sont ingéniés à coller des rustines sur les fuites financières, la D.G.S.I (la Davos-Goldman-Sachs-Idéologie, comme l’appelle le criminologue Xavier Raufer) a diffusé ses métastases dans tous les rouages de la mondialisation. A tel point que les crânes d’œufs qui s’agitent dans les bureaux du Caprice des Dieux bruxellois et leurs complices banksters ont imaginé de remplacer le Fonds Européen de Stabilité Financière (FESF, créé en urgence en mai 2010 à cause de la faillite grecque et doté de 1.000 milliards €), par une autre usine à gaz dénommée Mécanisme Européen de Stabilité (M.E.S). Et ici, on touche au grandiose ! Jugez-en : le Conseil européen de mars 2011 a modifié l’article 136 du traité de Lisbonne, sans tambours ni trompettes. Le cadre légal du M.E.S assujettit les peuples de la zone euro à être garants et cautions des dettes auprès des banques. On vous en a parlé ? Expliqué les implications ? Vous êtes d’accord ? Eh bien… pas moi ! Extravagant : parce que l’article 9 du traité instituant le M.E.S précise que « les membres du M.E.S s’engagent de manière irrévocable et inconditionnelle à verser sur demande les fonds demandés par le directeur général en vertu du présent paragraphe dans les 7 jours suivants la réception de ladite demande ». Très fort : les articles 27 et 30 octroient la personnalité juridique au M.E.S, qui pourra engager des poursuites judiciaires (par exemple envers un Etat qui ne lui verse pas la somme exigée), mais jouira (ainsi que les membres de la direction et du personnel) de l’immunité diplomatique. De plus, les documents du M.E.S ne seront pas disponibles pour le grand public, car « les archives du M.E.S et tous les documents qui lui appartiennent ou qu’il détient sont inviolables ». C’est clair : personne ne pourra demander des comptes détaillés sur les décisions ou les options prises et imposées par cette institution. Démocratie ? Connaît pas ! Encore mieux : d’après l’accord de décembre 2011, le M.E.S sera géré suivant la règle de la majorité qualifiée. Une décision devra recueillir au moins 85% des droits de vote pour être valide, alors que c’était l’unanimité qui était prévue auparavant. Cela confère maintenant un droit de veto de fait à trois pays qui ont plus de 15% des voix : l’Allemagne (27,1%), la France (20,4%) et l’Italie (17,9%). Cela fleure bon les arrangements entre coquins … Toujours plus fort : un des autres pays ne pourra pas seul s’opposer à une décision du M.E.S, comme ce fut le cas à l’automne 2010 pour la Finlande ou la Slovaquie. En réalité, voilà une institution qui sera permanente, antidémocratique, inattaquable sur le plan juridique, occulte, et qui pourra exiger de n’importe quel pays de la zone euro, dans un délai d’une semaine, des milliards d’euros de manière inconditionnelle et irrévocable ! On assiste ici et en catimini, avec le silence complice des médias, à une prise de pleins pouvoirs financiers par une caste cosmopolite qui prétexte la crise et le problème de la dette publique ! L’austérité, la rigueur et la bonne gestion ne concernent ni les socialauds, ni les écolos, ni les banksters et leurs laquais libéros-démocrates : seul le peuple paiera ! Mais ce qui est consternant est le fait que PAS UN des partis ou mouvements nationalistes en Europe – dont certains sont en campagne électorale – n’a jugé bon d’étaler sur la place publique ce véritable hold-up de la souveraineté des pays concernés et la mise sous tutelle des citoyens européens ! Exit les libertés fondamentales. Le poids des maux, le choc des impôts A l’inverse des déclarations lénifiantes et soporifiques des chefs d’États européens, de nombreux pays sont en récession et bien malin sera celui qui pourra prédire la reprise réelle de nos économies, la réduction effective du déficit public, la diminution de la dette publique nominale et le retour au plein emploi. Parce que durant les 4 dernières années et encore actuellement, les pourriticards de gauche comme de droite ont menti et caché la réalité calamiteuse de leur gestion des affaires. Le réveil sera terrible et on ne pourra pas échapper à une réduction de notre pouvoir d’achat et de notre train de vie (pour 80% de la population), car les dépenses publiques devront être fortement diminuées. Pour la France, cela représentera 30 milliards € par an et durant 5 ans, y compris des privatisations et des cessions d’immobiliers, selon un rapport publié par la Fondation pour la Recherche sur les Administrations et les Politiques Publiques (iFRAP) publié en mars. Par ailleurs la croissance sera absente dans la plupart des pays d’Europe en 2012 : Grèce : -4,5% ; Portugal : -3,3% ; Italie : -1,5% ; Espagne : -1% ; Belgique : -0,5% ; France : 0%. Et ce n’est pas en augmentant les impôts et les taxes que l’on ranimera la confiance des entrepreneurs et des ménages. Il faut prendre des mesures structurelles et sur le long terme. OUI, il faudra rapidement supprimer les aberrations de l’État-Providence, sous peine de sombrer dans le désespoir que connait maintenant la Grèce… Source : Les 4 Vérités hebdo
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Tiens... à propos de libertés : celle de vivre vous est comptée. L'humain est au centre du sujet qui nous occupe sur ce thread. Je vous invite donc à lire, en entier, cette analyse extraite de Liberté Politique. Je rappelle cette phrase glissée dans un de mes précédents messages : "Dans une société qui tue les éléments fondamentaux de son avenir (l'humain), peut-on encore considérer que cette société a encore de l'avenir ?" Dans une lettre en date du 2 avril adressée au président du Comité consultatif national d’éthique qui a demandé à tous les candidats à la présidentielle de s’expliquer sur leur vision des enjeux bioéthiques futurs, François Hollande a confirmé sa volonté de légaliser l’euthanasie s’il était élu à la magistrature suprême : « Je souhaite que toute personne majeure en phase avancée ou terminale d’une maladie incurable, provoquant une souffrance physique ou psychique insupportable, et qui ne peut être apaisée, puisse demander à bénéficier d’une assistance médicalisée pour terminer sa vie dans la dignité ». Le candidat socialiste s’est par ailleurs engagé à ce que le Parlement adopte ce « nouveau cadre juridique » avant le printemps 2013. Applaudissant à la proposition de François Hollande, le philosophe André Comte-Sponville qui est l’un des maîtres à penser du lobby pro-euthanasie ADMD (Association pour le droit de mourir à la dignité) signe cette semaine un éditorial qui lève un coin du voile sur le projet socialiste : « La réforme (…) ne coûterait pas un centime à l’Etat. Elle pourrait même (quoique ce ne soit pas son but) permettre des économies à la Sécurité sociale ». Aveu d’autant plus effrayant qu’il est publié dans l’hebdomadaire économique Challenges[1]. Arrière-pensées Lorsque nous avions pris connaissance du projet présidentiel de François Hollande en janvier dernier, nous avions envisagé l’hypothèse d’arrière-pensées « financières » inavouables : « La gauche espère-t-elle engranger de substantielles économies en ces temps de crise budgétaire en précipitant la mort des malades en fin de vie ? Il est vrai qu’une injection mortelle de chlorure de potassium coûte moins d’un euro tandis qu’une journée d’hospitalisation en réanimation dépasse les 1500 euros [2]». Les langues commenceraient-elles à se délier chez les partisans de la légalisation de l’euthanasie depuis que leur favori est en passe d’accéder à la présidence de la République ? Toujours est-il qu’il n’est pas anodin qu’André Comte-Sponville évoque pour la première fois depuis le début de la campagne les économies d’argent attendues de la légalisation du « meurtre anticipé ». A n’en pas douter, l’euthanasie est dans l’esprit de certains en passe de devenir une possible variable d’ajustement économique. La logique socialiste D’ailleurs, dès 1981, Jacques Attali n’annonçait-il pas que l’euthanasie serait « l’un des instruments essentiels de nos sociétés futures dans tous les cas de figure » (Avenir de la Vie, Edition Seghers) ? L’ancien conseiller de François Mitterrand voyait deux raisons à cette évolution inéluctable. D’une part, en raison de la signification même du socialisme car « la logique socialiste, c’est la liberté, et la liberté fondamentale, c’est le suicide : en conséquence, le droit au suicide direct ou indirect est une valeur absolue dans ce type de société ». Il n’est donc guère surprenant que François Hollande veuille, 30 ans après, adosser le droit de mourir dans la dignité au nouveau principe d’autodisposition de l’individu. D’autre part, en raison du « logiciel » interne à nos sociétés utilitaristes dont l’unique credo semble être la rentabilité : « Dans une société capitaliste, des machines à tuer, des prothèses qui permettront d’éliminer la vie lorsqu’elle sera insupportable [un terme que ne fait que reprendre Hollande dans son projet] ou économiquement trop coûteuse, verront le jour et seront de pratique courante. Je pense donc que l’euthanasie, qu’elle soit une valeur de liberté ou une marchandise, sera une des règles de la société future ». L’euthanasie instrument de gouvernement Dans un autre ouvrage intitulé L’homme nomade (Editions le Livre de Poche, 2005), Jacques Attali convoque de nouveau des critères économiques pour justifier l’institution d’une euthanasie d’Etat : « Dès qu’il dépasse 60/65 ans, l’homme vit plus longtemps qu’il ne produit et il coûte cher à la société : il est bien préférable que la machine humaine s’arrête brutalement, plutôt qu’elle ne se détériore progressivement (…). On pourrait accepter l’idée d’allongement de l’espérance de vie à condition de rendre les vieux solvables et de créer ainsi un marché (…). Je crois que dans la logique même du système industriel dans lequel nous nous trouvons, l’allongement de la durée de la vie n’est plus un objectif souhaité par la logique du pouvoir ». Dans la nouvelle société relativiste, individualiste et technocratique, Attali pronostique que l’euthanasie sera « un instrument essentiel de gouvernement ». Dans l’éventualité de la victoire du candidat socialiste le 6 mai prochain, cette « prophétie » pourrait rapidement devenir réalité. [1] André Comte-Sponville, « Dépénaliser l’euthanasie », Challenges, 19 avril 2012. [2] Pierre-Olivier Arduin, « Le choix mortel de l’euthanasie », Valeurs actuelles, 9 février 2012.
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Ce n'est pas mon discours mais celui d'un monsieur qui vivait en 1931, et si pour certains il peut justifier le libéralisme, il justifie simplement pour moi la méritocratie et le refus du nivellement par le bas, comme l'indique aussi le site source. De plus, parce que c'est cela qui pose l'éternel problème auprès du salarié marxisé dans sa relation avec les patrons : un mec qui crée une entreprise (avec les risques qui vont avec), qui la valorise, qui créé des emplois et permet de faire vivre des familles a-t-il le droit d'avoir une juste récompense de cette prise d'audace ? Il semble que non... Bien sûr qu'il faut une équité et que si la boite fait des bénéfices monstres, les premiers à devoir en bénéficier, après le patron, devraient être les salariés. Bien sûr que les fonds de pension devraient être revus. Mais notre belle société libérale a deux problème : l'un avec le libéralisme, l'autre avec le social-communisme, qui a empoisonné la façon de penser. Rien n'est jamais noir ou blanc, et un juste équilibre devrait voir le jour, comme je le répète, en mettant l'humain au centre de tout... mais au-delà des idéologies véhiculées, qu'elles soient ultra-libérales ou qu'elles soient à l'inverse même. Par contre, si tu veux mon discours... celui de la liberté est le mien
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