Une série d'effets sur le thème des esprits, des fantômes, des morts-vivants, des ancêtres est toujours en relation avec la mort.
Mort qui, dans d'autres traditions et/ou époques, est abordée tout à fait différemment. Il y a le respect de l'ancêtre, la peur du revenant... tant de thèmes qui vont à l'encontre des tabous que nous avons installés autour du sujet, dans une société où il faut être beau, jeune et riche pour "exister".
Pourquoi cacher l'inéluctable au lieu de vivre avec ? Pourquoi ne pas fêter le vivant au lieu d'attendre un hypothétique au-delà "paradisiaque" ?
Le conteur n'est-il pas celui qui peut - au travers d'une fiction - nouès amener à ouvrir nos oeillères ?
Flouter le visage, c'est éviter le questionnement.