Christian GIRARD

Marrant, je propose une vidéo avec ce guitariste : Dub rebondit (si je puis dire) avec des arpèges from Hell d'Yngwie Malmsteem : Et je tombe sur Joscho Stephan qui évoque lesdites techniques : "Joscho Stephan: Django vs. Yngwie Arpeggios" Il y a de l'algorithme dans l'air...

Eh bien si les Chrétiens doutaient de ce prérequis ça se saurait non ? Par ailleurs, voici une vidéo qui donne pas mal de pistes de réflexion pour parler d'un personnage historique nommé Jésus :

Le paradoxe que je soulève se résume à ceci : On ne peut en même temps affirmer qu'on a la foi, un "état" consistant pour certains (cette définition n'est pas de moi) à "croire sans preuve" et affirmer qu'on a la foi ET des preuves ! Je mets juste en lumière un paradoxe car "la foi sans preuve" est un argument rhétorique récurrent.

J'ai réalisé que de ce poncif que nous servent ceux qui prétendent avoir la foi (je ne remets pas en cause ladite prétention hein !) découle un paradoxe ! L'idée du croyant est que s'il existait une preuve de l'existence de Dieu, alors il n'y aurait plus besoin d'avoir la foi, ce qui est très logique si la foi c'est croire sans preuve. MAIS : Dès lors qu'un croyant estime que Jésus (désolé, ce n'est qu'un exemple parmi ceux que je connais le mieux, je vous laisse en trouver de différents dans d'autres branches religieuses, l’avantage avec Jésus c'est qu'il est plutôt cool et qu'il me pardonnera mon éventuel côté non intentionnellement irrévérencieux) est Dieu incarné, c'est donc que la preuve de l'existence de Dieu est établie pour eux. Ainsi, de fait, ils ne peuvent plus avoir la foi puisque ils sont dans le domaine de la certitude ! Il en est de même pour les miracles : s'ils "existent" et sont donc d'ordre divin, ils sont des PREUVES que Dieu existe. À nouveau ces miracles, s'ils sont bien "réels", éliminent la possibilité d'avoir la foi qui n'a plus lieu d'être. Ainsi, si l'on adhère à Jésus ou aux miracles et qu'on les considère comme une réalité, il ne peut plus y avoir de foi pour le croyant ; inversement, si l'on a la foi, impossible d'affirmer que Jésus est Dieu incarné ou que les miracles existent vraiment. On ne peut en même temps "croire sans preuve" et affirmer qu'on a la foi ET des preuves ! Qu'en pensez-vous ?

Cette vidéo est passionnante : "Jusqu'où un arbre peut-il pousser ?"

Une autre référence Freud & Lacan - Des charlatans ? :

Eh oui, le fameux biais de confirmation dont on a plusieurs fois parlé dans VM, par exemple ici (avec un lien à la clé) :

Le livre en version géante ici (sans compter d'autres objets extraordinaires) : https://www.egconf.com/videos/mark-setteducati-inventor-magic-puzzles-games-eg5

"Pour en finir avec l'homéopathie - Tronche de Fake 4.8"

J'ai décrit une technique perso en 2006 dans l'Illusionniste numéro 361, page 21 : « Projection de carte tournoyante ».

Hello Jean-Marc Le titre du sujet est : On a là une artiste tout à fait originale vu sa tenue du violon comme un violoncelle, par ailleurs son interprétation me touche personnellement (mais ça c'est subjectif) et j'apprécie toujours ceux qui réagissent à des contraintes fortes par de la créativité.

C'est très bien ! Cette méthode est idéale quand on n'a rien dans les poches (rappel pour Michaël M. : ce qui n'est pas mon cas ).

"Gaelynn Lea: NPR Music Tiny Desk Concert"

"À quelle distance se situe l’horizon ?" (Oui, il est question de cartes dans cette vidéo) :

Oui.

En effet, série intéressante sur le sujet avec parfois de surprenants twists... Merci pour le conseil (j'avais également beaucoup apprécié la version de Sherlock Holmes des mêmes créateurs).

Ce sont des accessoires sympatoches, fun et produisant une magie forte ET visuelle. J'en ai toujours dans ma poche, trois au minimum (possibilité de produire un triple enclavement si besoin) mais souvent plus. J'ai également dans la même poche des élastiques et parfois un lacet coloré, l'ensemble est léger et tient peu de place mais le tout permet de très nombreux effets. De plus j'ai toujours un jeu de cartes standard, mais pas dans ma poche. Sinon je pense qu'il faut y aller crescendo dans la situation proposée par Philippe Noël, il est donc intéressant de commencer par des choses simples et sans rien, exemple : des effets avec les mains seules. J'en ai déjà décrit plusieurs (dans L'Illusionniste notamment) mais j'ai un petit faible pour ma routine de comptage de doigts (en gros : on les compte plusieurs fois de suite mais ça donne des résultats différents, en tout cas jamais 10 ). C'est un premier pas pour amener le spectateur avec vous, sans être forcément hyper-magique-de-la-mort-qui-tue, mais ensuite ça offre tout loisir de sortir des accessoires pour aller un peu plus loin... L'idée est, par une première interaction distrayante, de susciter l'envie d'en voir plus.

Ouvrage reçu, ouah ! C'est encore mieux que ce que j'imaginais et en plus il y a de sacrés bonus (chhhhut, c'est peut-être secret, je ne sais pas...). Merci encore Jean-Luc, sacré boulot ! Toutes mes félicitations.

"Samsung's Deepfake AI can create animated talking head from single image" *** DeepFaceLab

Info reçue à l'instant :

En page 66 de l'ouvrage est précisé que le nom de scène de Maurice Faier (Gérard Majax) a remplacé celui de David Seth Kotkin dit David Copperfield (titre de l’ouvrage de Dickens). Preuve que pour beaucoup (Clémentine Mélois, voir photo ci-dessous, est née en 1980...) Majax est encore LE magicien français auquel on pense en premier ! https://fr.wikipedia.org/wiki/Clémentine_Mélois

Et j'ajoute (quatre ans plus tard cette fois ! et grâce aux P & P) que le titre exact est « Michael Goldman's Twisted », d'où l'on déduit que l'effet original est « Strand through Strand » de Michael Goldman, publié en 1994.

Pourquoi Dana ? Parce que l’important c'est que ça valide :