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William SCOTT

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Tout ce qui a été publié par William SCOTT

  1. Salut ! Jouer devant des enfants demande un long apprentissage, jouer devant des enfants hospitalisés ou malades mais mobiles ne s'improvise pas. Tu dois savoir IMPERATIVEMENT maîtriser tes tours, ton langage, la compréhension des enfants... Certains enfants malades sont très introvertis mais en créant un lien avec eux par le regard, le respect, le toucher,...tu pourras leur offrir le plus beau spectacle qu'ils pouvaient espérer. J'interviens depuis trois ans au CHU de Nantes en service oncologie et en secteur protégé. Bien que fort d'une expérience de plus de 10 ans auprès d'enfants, il m'a fallu deuix mois soit 4 séances pour m'adapter, comprendre leurs désirs, trouver les thèmes qu'ils aiment aborder à travers la magie. Si tu fais bien ton travail tu prendras beaucoup de plaisir et les enfants te le rendront, si tu le fais mal tu le sauras tout suite en ressentant comme un sentiment de gêne, presque mal à l'aise. Bises
  2. Est-ce donc la trad française de ce livre édité par Minch ? Merci Ludo
  3. y'en a qui remettent toujours en doute les flammes... franchement lire de telles bêtise...
  4. un petit passage au micro onde devrait les rendre dossiles. JE PLAISANTE BIEN SUR, un peu de second degré messieurs :-)
  5. Si en réalité il est une personnalité connue, peut-être veut-il que l'on apprécie son travail pour son contenu et non pour qui il est. Dans ce cas je comprends qu'il prenne une autre identité.
  6. ils font beaucoup de congrès où ils tiennent des stands, peut-être sont-ils sur la route... Ils ont peut-être commandé ton échelle à leur fournisseur suite à ta commande car stocker coûte cher. Ils sont cleans alors patiente...
  7. Ca y est en temps de crise la jalousie domine à l'unicité. J'ai toujours défendu le statut d'IS en affirmant qu'il doit être modifié sur bien des points (audiovisuel public, plafonnement,...). Mais là c'est un vrai torchon que j'ai lu sur le point. Et j'ADORE la réponse apportée par cet IS : Ce matin, comme tout bon intermittent gâté pourri qui se respecte, je me suis levé tard, je me suis fait un café et, conscient de ma vie facile, j’ai décidé de me la couler douce en glandant sur facebook. Et là, oh surprise, je tombe sur le titre de votre journal. Nous sommes dimanche, on vient de passer à l’heure d’hiver, il pleut, ça sent la journée « Drucker » à plein nez alors oui, c’est bon de rire parfois. Alors comme ça, pendant que la France trime et croule sous les impôts, l’intermittent du spectacle lui, se la joue tranquille et se la coule douce ? Si vous le dites, c’est que cela est sûrement vrai, je ne doute pas de vos qualités d’investigation à l’heure où vous avez ébauché cette couverture. Vous êtes journalistes, un métier noble, respecté, intègre, sans régime spécial, abattements professionnels intouchables et autres. Vous êtes la France qui travaille, qui informe, qui guide... Vous êtes à des milliers de kilomètres de la réalité du monde qui vous entoure et que vous ne croisez plus depuis longtemps dans les salons de vos rédactions. Je suis intermittent du spectacle, oui, mais ce n’est pas mon métier, c’est un statut. Mon métier ? Technicien du cinéma, plus précisément assistant réalisateur chargé de la figuration. Je fais, je travaille dans le cinéma, cette activité qui occupe encore quelques pages dans votre hebdomadaire et dont certains de vos collègues se targuent de connaître, de comprendre et de juger en pages culture. Je suis en charge de recruter les figurants, les acteurs de compléments, ceux qu’on ne voit pas, ceux qu’on ne connaît pas, ceux qui viennent pour une journée de tournage, parfois deux, salariés en cdd pour des salaires qui ne dépassent pas vos notes de frais. Ceux sans qui une séquence de foule n’existerait pas, ceux sans qui la vie et l’ambiance du film serait bien démunies en leur absence. Ce sont donc des « acteurs de compléments », des hommes, des femmes anonymes qui cumulent 43 cachets en 10 mois et demi pour vivre de leur métier, à raison d’une brève apparition par film en attendant un rôle, une pièce de théâtre où ils ne seront pas rémunérés durant les mois de répétitions précédant les représentations. Ca n’a rien de pathétique, rien de glorieux, c’est leur métier avant d’être un statut. J’emploie en moyenne 300 personnes par film, je reçois en moyenne 2000 candidatures. Je crée des foules, des « chorégraphies » de passants qui passent, je place, habille des gens comme un enfant déballe sa boite de playmobils. Avec envie, avec plaisir. Souvent je trouve le figurant idoine, parfois je sauve juste le statut d’un comédien en manque de travail. Ca n’a rien de confortable, rien de pathétique, rien de glorieux. Le seul point commun qui nous anime eux et moi est l’envie de faire le métier, ce métier, toujours, tout le temps, le plus souvent possible. Je ne connais pas d’assistant réalisateur, d’assistant caméra, d’ingénieur du son ou autres professionnels de la profession, qui ont choisi ce métier par confort du statut, je ne connais que des techniciens, artistes qui, tout jeune, ont choisi par passion ce mode de vie, sans connaître pour la plupart, les tenants et les aboutissants des calculs unedics à leur encontre. Non messieurs, mesdames les journalistes, au même titre que le journalisme, on n’entre pas dans ce métier par hasard, par intérêt, on y entre uniquement par envie, par passion, quitte à tirer un trait sur une vie classique, facile, rangée, confortable. Mais on l’assume, on ne revendique rien, on ne se plaint pas, on aspire juste à un peu plus d’objectivité de votre part. Oui, nous bénéficions d’un statut spécifique qui peut choquer en ces temps de crise, mais ce n’est pas nouveau, c’est le prix à payer pour qu’un semblant de culture subsiste aujourd’hui. Connaissez vous un autre moyen pour qu’une exception culturelle survive aujourd’hui ? Pour que certains réalisateurs, metteurs en scène continuent de créer des films, des spectacles, dans cet océan de médiocrité culturelle qui nous submerge aujourd’hui ? De tout temps, la culture a eu besoin des élites et des états pour vivre. Le ménestrel mangeait grâce à la générosité du seigneur du château, qu’en serait il aujourd’hui des pièces de Molière sans l’aide de Louis XIV ? Un Michael Haneke existerait-il aujourd’hui sans subventions et sans des techniciens confirmés ? Alors vous pouvez titrer sur les gabegies de l’état, sur les facilités des intermittents, oui vous pouvez, vous avez la chance de pouvoir profiter d’une liberté d’expression que vous ne cessez de revendiquer au même titre que nous pouvons revendiquer une aide à la création pour que cette dite création continue d’exister chaque jour que Dieu fait. Au lieu de tirer sur des cibles faciles, d’aborder des sujets qui divisent les gens au lieu de les amener à se rencontrer, à se comprendre, posons nous ensemble la question que personne n’ose aborder aujourd’hui : « Qu’est ce que la culture aujourd’hui ? Quelle est sa place dans notre société ? L’importance que nous lui accordons et le soutien que nous lui apportons ? » Offusquez vous des facilités accordées à moins de 100 000 artistes et techniciens en France à condition de soulever cette hérésie, cette supercherie de notre société moderne qui se plaint de l’augmentation de l’essence, mais qui patiente en foule des heures durant devant des magasins, pour posséder des smart phone à plus de 600 euros ou le dernier jeu vidéo à la futilité indispensable. Qui crache sur des artistes intermittents mais qui s’extasie devant une miss météo ou une bimbo de bas étage enfermée dans un loft en prime time. Aujourd’hui un film de cinéma est vu par 100 000 spectateurs, soit 100 foins moins qu’une vidéo sur Youtube, d’un mannequin qui flatule dans un jacuzzi. Oui, la culture mérite le soutien de la société, mais à vous lire et à voir ce qui nous entoure, la société mérite-t-elle encore qu’on la cultive et en a-t-elle encore envie? Ce matin, comme tout bon intermittent qui se respecte, je me suis levé tard… Pour la première fois depuis deux mois. Je viens de finir un tournage auquel je suis heureux et fier d’avoir participé, un film avec peu de subvention où chacun a fait l’effort financier pour que ce film existe. Je me suis fait un café et je suis tombé sur la première page de votre journal. Je suis déçu de voir que des hommes de lettres et d’écrit puissent tirer à boulets rouges sur une catégorie qui pourtant au départ, n’est pas loin de leur ressembler. J’ai lu votre couverture… Je lirais l’article au hasard d’une salle d’attente de médecin ou dans le hall de la CAF et du Pole emploi. Là où finissent fatalement vos œuvres. Demain matin, lundi, je vais tenter de joindre mon pôle emploi pour renouveler mon statut. L’hiver approche ainsi que ma taxe d’habitation, je ne bénéficie pas d’allocation de rentrée scolaire pour mon fils et je compte bien lui apprendre à lire, à discerner l’écrit, les lettres, de la diatribe poujadiste. Plus tard, il aura un vrai métier à l’avenir assuré : Journaliste au Point ou footballeur, qu’en pensez vous ? L’intermittent est plus fourmi que cigale par les temps qui courent. Jacques-Emmanuel Astor
  8. Bonne idée à mon sens!
  9. Sympa pour la pub. Mais quel rapprochement fais-tu du mentalisme et d'un clou dans le nez ?
  10. "C'est net d'impôts..." Euh de moins en moins cher Francis. La France aime taxer le talent et de plus en plus... La fuite des cerveaux dans tous les domaines, c'est maintenant !
  11. ok j'ai compris alors ce que vous vouliez dire.
  12. C'est exactement ce que j'essaie de dire depuis des mois et que l'on ne me crois pas. La licence est nécessaire si vous salariez et les impôts comme la DRAC qui est tout de même l'organisme d'état qui distribue les licences considère que les professions libérales n'ont pas besoin de licence si elles ne salarient pas. J'entends bien ce que tu dis Teddy mais c'est tout de même le deuxième agent des impôts qui certifie la non nécessité de la licence pour un entrepreneur individuelle, j'ai tout de même de mon côté bataillé avec la DRAC pendant 4 ans et ils ont fini par me la donner pour me faire plaisir dixit le contact sur place... Donc perso je ne sais plus quoi en penser... ET JE NE CONNAIS AUCUN AE QUI A ETE REDRESSE CAR IL N'AVAIT PAS LA LICENCE. Alors donnez nous des noms, des témoignages... Et je le répète je ne suis pas pour le statut AE c'est anticoncurrentiel... mais je vois la réalité du terrain.
  13. bien que je sois opposé au statut AE comme vous pour des raisons anticoncurentielles , j'avais demandé à mon comptable d'approfondir la question sur le côté légal des AE en artiste. il s'est retourné vers un contrôleur des impôts pour se renseigner. Réponse toute différente de notre interprétation : si l'AE agit en son nom propre, qu'il change de client à chaque spectacle, aucun lien de subordination ne peut lui être repproché car c'est la récurrence qui fait la subordination. La licence ne lui est même pas obligatoire car il sera considéré comme un professionnel libéral qui ne vend que lui-même et ne salarie pas. Ce dernier point est tout à fait vrai car moi même en entreprise individuelle je me suis battu auprès de la DRAC pour obtenir la licence. Il ne voulait pas me la donner car mon statut EI ne justifiait pas la nécessité de la licence étant donné que je suis au RSI et que je ne cotise pas aux caisses du spectacle. et ça c'est du vécu. il serait bon que des AE contrôlés et sanctionnés témoignent. je n'en trouve pas sur les forums internet. bises
  14. C'est pt'être parce qu'en ouvrant le site depuis mon PC c'est marqué "Carl Valentin est un gros ...." sur la page d'accueil et que ton ordi ne veut pas te froisser. LoL bien sûr Amic Willy
  15. Ce que je ne comprends pas c'est que les entreprises qui font du portage salarial d'IS ont forcément la licence de spectacle donc elle relève du secteur spectacle. Non ?
  16. 1000 euros qu'ils ne le feront pas !!! Et ils auront bien raison ce n'est pas leur taff! Eux ils proposent un service à leur clientèle et se font facturer les prestations reçues dans l'enceinte de leur établissement. C'est certain à 100% que c'est l'explosion des autoentrepreneurs à 2 francs 6 sous l'été prochain
  17. donc par exemple tous les campings qui ont été obligés de demander la licence de spectacle ça ne sert plus à rien puisqu'il ne sont pas producteurs... Et un IS en cas de contrôle et d'emm...erde par le fisc pourrait bien mettre le GUSO en difficulté s'il décidait de démontrer très simplement que le GUSO c'est du portage salarial sans producteur... Autant dire que ce texte va recontrer BEAUCOUP d'obstacles et je suis prêt à parier qu'il va revenir sur la table des négociations très vite...
  18. a la description d'heritage, je trouve ce dernier trop chargé. Gambler est bon parce qu'il y a 3 révélations et la règle des 3 ça fonctionne excellement bien dans notre subconscient. Vouloir trop en faire tue l'affaire.
  19. Un ami s'était renseigné auprès de Pôle emploi pour savoir comment il devait faire pour sa décla des ateliers par rapport à son statut IS. C'était un tel bourbier avec 10 réponses différentes qu'il a finit par présenter trois tours en config spectacle à la fin de ses ateliers pour les passer en cachets. Administration quand tu nous tiens...
  20. Ce matin j'ai acheté des pains au chocolats excellents. Je vous conseille la boulangerie Honoré à Nantes. Bises
  21. c'est ca l'europe des peuples...
  22. Ce qui est triste pour moi c'est qu'il devient quasi impossible de proposer une émission que sur la magie, que sur le mentalisme,... à la télé avec une vraie mise en valeur. C'est trop souvent que ces arts sont utilisés sous d'autres formes (type télé Z,...) ou l'artiste devient le support à un produit... alors que c'est le produit de son travail qui devrait être mis en évidence. Je suis peut-être nostalgique des émissions Las Vegas de Sylvain...
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