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Hello,

En attendant la V3 du compte rendu de la soirée spéciale "magie pour enfants", je voulais avoir l'avis d'experts sur le sujet sur la transition entre des spectacles devant des enfants nombre de 10-20 et des spectacles pour des enfants au nombre de 100.

Je parle bien de spectacle qui suppose la mise en place d'une scenographie, l'écriture d'un scenario et le jeu de comedien du magicien. Cela s'oppose donc aux tours de magie pour enfants que l'on fait les uns à la suite des autres sans vraiment de fil conducteur.

Pour ma part, je suis rôdé sur un spectacle pour des enfants de 4 à 11 ans mais pas sur un public très nombreux (mon maximum est 40 enfants).

Je n'ai pas encore pu aller voir le spectacle de S Mossiere, il tombe... lors de goûters d'anniversaires.

Bref, je me demande si l'approche est complètement différente et si les tours sont à adapter à de la magie de scene ou si le contenu d'un mini spectacle, s'il plaît, s'il fait rire, s'il impressionne, aura le même impact devant un plus grand auditoire.

Enfin, pour ceux qui sont concernés, comment avez vous géré cette transition (s'il y en a eu une ?).

Merci d'avance

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J'ai eu l'occasion de faire des spectacles devant des salles de 1200 enfants (maternelles).

Une fois, il m'est même arrivé de faire un spectacle devant 900 enfants de petite section maternelle.

Mon pire spectacle a été fait devant 3 enfants (deux garçons de 7 ans et une grande fille de 15 ou 16 ans).

C'était au domicile de Rochas (les parfums). Je me suis retrouvé dans la situation du film "Le jouet" avec Pierre Richard.

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Le copain qui m'avait envoyé là, m'avait fait mille recommandations pour que tout se passe bien. J'ai assuré (car je lui avais promis) mais JAMAIS je n'ai été aussi ridicule de ma vie. Les enfants gavés de frics et de cadeaux n'avaient ABSOLUMENT rien à foutre de la présence d'un magicien. En une heure de spectacle, ils ont du être présent 2 ou 3 minutes. J'ai fait le spectacle devant Rochas, une gouvernante et la gamine de 15 ou 16 ans. Une horreur !

Une anecdote (et après je réponds à ta question) : dans l'ascenseur, ce n'était pas écrit le numéro des étages mais le prénom des membres de la famille. Chaque enfant avait son étage ! Pas de palier : l'ascenseur arrivait au beau milieu d'une grande pièce.

Je pense que le nombre de spectateurs a peu d'importance sur le déroulement du spectacle. Ce qui est important, par contre, c'est de savoir si les conditions techniques (salle, sonorisation, éclairage et assises des spectateurs) permet un bon déroulement du spectacle.

Il est plus facile de présenter un tour de cartes dans une grande salle qu'une grande illusion dans le salon d'un particulier.

Sûrement qu'il doit y avoir des exceptions. Finalement, tout est une affaire de bon sens, enfin je crois...

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Merci beaucoup, cela me rassure,

En fait, le spectacle devant 40 enfants, cela m'est arrivé l'hiver dernier dans un grand magasin pour noel.

J'ai été embauché pour faire un close-up déambulatoire pour enfants, et le jour J, la personne qui m'avait embauchée n'était plus là et la responsable me dit, bon bah la scene est prête, tous les enfants vont arriver dans 20 mn, je lui signale que c'est un close-up "enfants déambulatoire" qui était prévu et non une scene.

Elle, ne veut rien savoir, à moi d'être prêt. Sans mon matos spécifique scene, sans gueridon...

Mais sans le temps de trop paniquer non plus.

Et les enfants sont arrivés les uns après les autres avec les parents, et avec le materiel que j'avais, j'a fais une version édulcorée de mon spectacle. Cela a duré quasiment 1h20, les enfants sont venus m'embrasser à la fin, les parents me serrer la main...

Heureusement, la responsable m'avait passé un micro hf, mais cela m'a donné envie de faire plus de scene pour enfants,

Les conditions techniques sont effectivement importantes, aujourd'hui, je travaille sans musique et lumière, mais cela va probablement changer.

Pour te rejoindre Gerard, un jour, je me pointe pour les 7 ans d'un garçon. Le gamin quand il m'a vu a été désorienté : il n'était plus le centre d'interet de ses amis.

Un magicien à la maison, il s'en foutait royalement, bien entendu, il etait pourri gaté, mais ça m'a fait beaucoup de peine de voir que déjà si tôt, on pouvait avoir ce type de caractère.

Bref, ses amis en ont bien profité...

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Merci beaucoup,

C'est réponses à priori simples sont pour moi très précieuses.

J'ai un projet de réalisation de spectacle devant 100 enfants, mais je ne voulais pas accepter sans être certain d'avoir la capacité de le faire.

Il ne me reste plus qu'à le préparer...et à me replonger dans les ouvrages (dont le votre P. Din) ;)

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Bonjour,

En fait tu poses deux questions. L’une sur la nature du spectacle pour un public nombreux, et l’autre sur le fait de se produire devant un public nombreux.

La première relève du contenu artistique de la prestation et l’autre de la gestion de la prestation par le comédien/magicien.

Pour parler du premier point. Comme tu le pressens toi-même dans ta question ,il est évident qu’un spectacle magique n’est pas une animation magique, qu’il s’agisse d’enfants ou pas d’ailleurs. Pourquoi ? Tout d’abord parce qu’une animation magique aborde le public d’une façon différente. Ce dernier est parfois surpris (ex : un close up qui déboule ans un banquet,..), n’a pas forcement suivi toute la logique de la prestation (un passant qui découvre un magicien à l’angle d’une rue dans un festival…)…lors d’une animation on peut admettre , voire rechercher, des interactions avec le public et dans une certaine mesure se nourrir d’une forme d’improvisation.

Il en va différemment pour un spectacle. Il s’agit d’une unité finie, pensée dans sa globalité et répondant à des règles précises au niveau timing, enchaînement des tours, ( fiche technique et conduite)…. Un personnage, un thème, un début et une fin caractérisent a minima un spectacle. Bref, en tant que spectateur on fait le choix de se rendre au spectacle.

Cela dit , je suis d'accord avec Peter le nombre de spectateurs ne change rien l ‘affaire…

L’ampleur du public ne signifie pas forcément ampleur des moyens (je veux dire dans le contenu du spectacle, au plan technique c’est autre chose)

On a vu des one man shows réalisés dans des stades !

Pour ce qui est de se produire devant un public nombreux , disons au delà de 150 personnes , (ce qui est une jauge déjà importante pour de jeunes enfants) il est évident que la qualité du spectacle tient aussi dans la faculté du comédien à s’adresser au fameux « quatrième mur » mur imaginaire qui sépare la scène de la salle. Il ne s’agit plus alors d’une problématique liée à la magie mais de théâtre. Mais la règle reste la même pour 20 personnes .

Voici quelques pistes qui pourront, je l’espère t’éclairer par rapport à ta question :

- Le spectacle doit être « carré », c'est-à-dire être précisément calé quant à sa durée, au nombre de tours, aux interventions et participations de la salle.

- Les effets doivent être visibles par tous et pas seulement par le premier rang

- Le magicien/comédien doit être vu et entendu par tous (éclairage/son)

- En spectacle tout est prévu… même l’imprévisible ;--)) plus sérieusement ca veut dire qu’on doit avoir une réponse cohérente face à un problème, une erreur…

- Le magicien s’adresse à tout le monde et à chacun , même lorsqu’il fait venir un enfant sur scène.(il n’oublie pas le public !)

- ….

Evidemment des tas d’autres choses sont importantes, mais pour revenir à ta question tout spectacle bien ficelé , même s’il a été présenté dans un cadre restreint au début, doit pouvoir passer la barre de la scène. C’est à mon avis le comédien qui lui donne sa force, par sa présence scénique, le contrôle de son jeu et le respect qu’il doit savoir obtenir d’un public nombreux d’enfants. Et cela n’est pas toujours facile surtout lorsqu’ils sont en communauté sans leurs parents (centre de loisirs par ex)

Concernant ta question sur l’adaptation à la scène des tours prévus initialement pour des petits comités j’ai été concerné par cela dans mon dernier spectacle « Le Magicien de Papier ».

Je transforme un poisson d’avril en papier en vrai poisson rouge. Il est évident que pour qu’il ne passe pas inaperçu dans une salle de 350 places il a fallu adapter. (Je ne sais pas faire apparaître un saumon… et encore moins l’éléver entre deux représentations).

J’ai donc du donner un peu de corps à mon poisson rouge. Comment ? En lui donnant une vraie place, il a un nom, une vie, un caractère. Je le montre ostensiblement plusieurs fois et le fait saluer à la fin du spectacle.

Voila quelques idées qui je l’espère te permettront d’avancer dans ta reflexion

Magicalement

Paul

Besoin d'un souffle magique ? : www.paulmaz.com

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Un très grand merci pour cette réponse qui m'éclaire de nouveau.

Le quatrième mur dont vous parlez, je ne l'ai pas encore exploré car jsqu'à présent, j'arrive à voir ou à déceler facilement la perception du public.

Aujourd'hui, je suis arrivé à quelque chose d'assez satisfaisant, mon but premier étant vraiment de déclencher les rires, plus que d'impressionner par le talent magique même si evidemment l'objectif est d'allier les 2.

En vous lisant, je suis rassuré dans ma capacité à pouvoir conserver le scenario que j'ai construit. Il me reste plus qu'à passer de la théorie à la pratique...

PS : Si vous réalisez des spectacles en public (payants ou pas), je serai très heureux de pouvoir y assister.

Magic Régis

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    • Bonjour, Plus frappant peut-être était surtout l'hommage final à René LAVAND, et ses trois boulettes de mie de pain dans la tasse, exécuté ici à quatre mains...ou plutôt à deux mains sur quatre - Rubi FEREZ étant la main droite et Fernando NADAL la gauche ; et sans récitation de poème non plus mais en musique. Le duo FEREZ-NADAL fonctionne ceci dit à l'opposé de celui de Pepe CARROLL et Juan TAMARIZ - si je m'en réfère à leurs apparitions dans la série Magia Potagia. *** Pour Pepe CARROLL et Juan TAMARIZ la dramaturgie du numéro se nouait généralement sur une mise en compétition entre eux, se lançant des défis mutuellement, essayant de surpasser l'autre ; ou, parfois, le fantasque et farceur Juan TAMARIZ tendant un "piège" dans le dos de l'élégant et suave  Pepe CARROLL -modifiant par exemple avec un clin d’œil au public l'ordre de certaines cartes, ou mélangeant carrément le paquet à son insu. Mais immanquablement Pepe CARROL retombait sur ses pieds, comme si de rien n'était, l'embuche tendue par J.TAMARIZ effacée par magie... Dans ce dispositif-ci,  l'intérêt est que ce conflit narratif "extérieur" entre les deux magiciens agit à la manière d'une couverture pour leur collusion secrète bien réelle : le mélange de l'un destiné à compliquer la tâche de l'autre - récit apparent- a en réalité bien l'objectif par exemple d’amener secrètement l'arrangement voulu sur le dessus du paquet, arrangement qui permettra justement au second magicien de "briller" en dépit de l’apparente traitrise du mélange du paquet par le premier ( voir l'introduction du classique  "Magic and Showmanship" de H.NELMS pour un autre exemple de  conflit narratif apparent  comme couverture du modus operandi réel de l'effet, par complicité secrète entre les deux adversaires déclarés du récit). *** Le duo FEREZ-NADAL, lui, est soudé pour produire l'effet magique, soudé littéralement bien souvent, épaule contre épaule. La séquence intermédiaire du numéro à une main chacun sur la guitare, et à une main chacun sur la table pour y produire l'effet magique, illustre cette complète coopération. S'il y a bien une dynamique de (léger) conflit entre les deux personnages elle n'est pas sur la table mais sur leurs visages avec deux leitmotiv : les lunettes de Fernando ne cesse de lui glisser sur le bout du nez et c'est Rubi qui les lui remonte en place. Ce simple geste pose les deux personnages : Fernando est le "sérieux" du duo, soucieux des apparences, et Rubi est l’affectueux, le bienveillant. Fernando, par souci des convenances, ne cesse d'arracher un cure-dent d’entre les dents de Rubi, et le cure-dent malicieusement fait perpétuellement sa réapparition dans la bouche de Rubi. Mais aucune provocation de l'un par rapport à l'autre ici, non, c’est juste que Rubi est l'enfantin des deux -et son cure-dent, et bien, il ne peut juste pas s'en empêcher c'est tout. Avec son visage ovale illuminé de son franc sourire, ou même lorsqu'il fait fait son mystérieux - tel un petit enfant qui aurait caché un objet dans sa main et nous lancerait "Devine !"-, Rubi FEREZ a un charisme tel qu'il désamorce instantanément tout bras de fer magicien-public quant au secret : la magie advient, tout simplement. *** À noter qu'il y avait un autre duo en compétition de micro-magie, les suisses Omini et Nico qui ont vendredi matin fait l'ouverture de la 3e et dernière session de la compétition close-up/magie de salon, avec un numéro extrêmement soigné, bien construit, où des balles éponges vertes sont des virus qui se multiplient et infectent un des magiciens : bâtonnets de test dans la narine, thermomètre, masque sanitaire, tous les accessoires employés sont parfaitement justifiés, la progression dramatique comme la maladie passe de l'un à l'autre très claire. Le thème choisi qui ne rappelle  guère de bons souvenirs à quiconque les a-t-il desservi ? Sans doute, mais plus globalement il parait assez net que ce jury était sur une ligne "la magie avant tout", et s'est montré globalement très peu sensible à toute mise en contexte narrative de la magie* du moins c'est comme cela que je le perçois (seul au palmarès Starman et son numéro de dépressif après une rupture amoureuse peut être vu comme une légère exception)  (je m'en vais relire à ce sujet la section de L'Arc en Ciel Magique où J.TAMARIZ analyse longuement le mélange magie et narration). *C'est cette même ligne très arrêtée du jury qui a sans doute, comme pour Omini et Nico, compliqué la tâche aux numéros de Air One, Bertrand MORA et Robin DEVILLE puisque chacun à leur manière assumait des partis pris narratifs justement très marqués, assortis d'un travail sur les personnages et sur le conflit dramatique qui en découle. Je repense à l'excellent "Conspirations" spectacle de mentalisme donné la saison dernière au LUCERNAIRE et qui proposait par sa mise en scène astucieuse, levant et rabaissant virtuellement l'invisible 4e mur au gré des effets, comment une magie fortement théâtralisée est possible. Chauvinisme en passant : au contraire des délégations italienne, allemande, bulgare ou autrichienne (olalala l'Autriche pitié) qui nous ont toutes infligés au moins un numéro irregardable, tous les candidats français en magie de salon et close-up qu'on en ait apprécié ou pas le  résultat final, leur parti-pris artistique, leurs effets magiques, témoignaient d'un travail de mise en scène, sans doute perfectible, mais avec au moins à chaque fois une recherche de quelque chose. On ne pouvait vraiment pas en dire autant donc de bien d'autres pays. *** Ces six jours furent intenses, passionants, et totalement épuisants : épuisants par ces montagnes russes émotionnelles quand on passe d'un numéro où du fond de son siège on se sent en total empathie avec l'artiste, on croiserait presque les doigts pour que le numéro tienne jusqu'au bout, on vibre et on craint, puis l'instant d’après on aimerait se terrer sous son siège tant le numéro proposé tourne à la débandade complète, le numéro s'étire, la confusion embrume les esprits, les applaudissements s'étiolent, la gêne s'installe. Épuisants aussi car intellectuellement c'est une sollicitation constante, chaque choix thématique, choix de mise en scène, de musique, d’accessoires, de chorégraphie, de texte suscitent une foule d'interrogation, d'idées, on imagine des alternatives, on reconnait un principe plus ou moins bien employé, on s'interroge sur un texte,  peu importe qu'on adhère ou pas, c'est un bouillonnement de créativité qui vous lessive, qui parfois frise l’excellence, parfois sombre dans des approximations difficilement recevable côté public, mais qui toujours exige une concentration soutenue s'il on veut analyser à fond chaque numéro- et par analyser j'entends aller au-delà du "oulalala il a flashé" ou des conjectures quant à la méthode employée (après, le 3e jour des session de close-up et magie de scène, vendredi donc 5e jour de la FISM, on ne cachera pas que c'était visiblement et surtout bruyamment 😉 difficile pour beaucoup de suivre encore la compétition tant la fatigue était grande) . Admiration aussi pour ceux, tous ceux, qui s'y collent :  que de mains qui tremblent, que de voix qui déraillent sous le coup de l'émotion, que de gestes techniques qui dérapent sous la pression, mais ils y sont allés quand même, dans l'espoir de créer un moment magique.  Chapeau. L'aspect compétition, délégation des pays, avait été ici même discuté avant la FISM : très franchement ces questions une fois qu'on est dedans s’envolent instantanément, l'ambiance fabuleuse qui se crée autour de la compétition, le plaisir de voir les équipes soutenir avec un chauvinisme bon enfant leurs différents candidats vous emporte-on a souvent la standing ovation facile, mais qu'importe c'est le jeu. Au contraire même l'idée d'avoir des équipes qui soutiennent les artistes dans tous les domaines, créatifs, techniques, et pourquoi pas psychologique - la pression est telle- paraît assez évidemment la voie à poursuivre et amplifier. *** Et zut ... ce matin -après un retour dans la nuit homérique de quelque sept heures depuis TURIN pour PARIS- je me suis surpris à fredonner "Abracadabra"... arghhhhhh Lady GAGA sort de ce corps...  
    • Merci pour cette précision. Je pensais que Dani concourrait uniquement en invention. Il reste dommage que dans la catégorie GI, on exige deux illusions différentes. Pas certain que des effets additionnels de magie générale suffisent avec une seule grande illusion. C’est du moins ce que l’on m’a expliqué à plusieurs reprises, mais peut-être les choses ont-elles changé ( ou mériteraient d’évoluer dans le cas contraire). 
    • Entre temps, j'ai eu un retour de @Pathy BADD qui a demandé à Peter DIN le vice président de la FISM et en charge des notations.  Sa réponse  Cela répond donc à ta question sur les 120 points 😜
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