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Publié le
il y a 4 minutes, MagicStef a dit :

Bonjour Christian 🙂 

La gamme des élastiques de Joe Rindfleisch propose 3 groupes distincts.

J'ai testé les Legend, Rainbow mais pas Executive ( couleurs noires ou blanches)

Je préfère nettement les Rainbows car les couleurs sont plus vives et l'élasticité plus importante que les Legends.

Donc peut-être que pour toi Christian les Legends te conviendraient mieux...

Si tu veux, j'en ai un peu en stock que je pourrais t'envoyer 😉 

Merci MagicStef pour ces précisions, j'ai utilisé des Rainbows, je ne connais pas les autres, je tenterai à l'occasion d'un prochain achat, merci pour ta proposition mais je ne vais pas t'embêter avec un envoi postal, en tout cas c'est très sympa de ta part. 🙂 

 

 

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Publié le
il y a 14 minutes, Christian GIRARD a dit :

Merci MagicStef pour ces précisions, j'ai utilisé des Rainbows, je ne connais pas les autres, je tenterai à l'occasion d'un prochain achat, merci pour ta proposition mais je ne vais pas t'embêter avec un envoi postal, en tout cas c'est très sympa de ta part. 🙂 

 

 

La différence d'élasticité n'est pas énorme, juste quelques centimètres.

Et suivant les couleurs, dans un même paquet, on n'a pas la même élasticité et l'épaisseur des élastiques légèrement différente.

N'hésites pas si tu changes d'avis, c'est juste une petite enveloppe avec des élastiques à poster 😉 

 

 

 

  • Merci 1

Le monde de la magie est une illusion et l’art est de présenter l’illusion du monde. (Paul Virilio)

Publié le
Le 15/11/2019 à 16:24, MagicStef a dit :

Salut Mickaël 🙂 

Pour une grande partie des effets de Rindfleisch, les Rainbows conviennent mieux. 

Et même parfois, je me demande si il n'en utilise pas d'autres que ceux qu'il vend car c'est vrai que pour Exchange, on est au point de rupture pour les élastiques.

Même constat pour la "casse"...c'est du consommable donc... Je me fais 2 sachets à élastiques, un pour l'entraînement et les autres pour les prestations, ainsi, pas de mauvaises surprises.

Salut Stef ! 🙂

Je carbure aux Rainbows aussi ^^

La pour l'instant la casse ne me dérange pas, je suis en phase d'apprentissage et je pense que c'est normal.

Après comme tu dis, c'est du consommable...

  • Perso j'ai un petit support en cuir "Étui porte élastiques en cuir" sur lequel il y a 4 encoches pour accrocher des élastiques. J'en garde 3 pour stocker une 15aine d'élastiques neufs et sur le dernier je range la douzaine d'élastiques que je mets au poignet et qui s'usent à vitesse grand V 😉
Le 16/11/2019 à 23:42, Jean-Baptiste DUGAST a dit :

Bonsoir à toutes et à tous,

Concernant les Rainbows, je souhaite savoir quelle est la taille la plus appropriée entre la 16 et la 19 ?

Merci.

Salut !

Je pense que c'est le 19 le plus approprié...

  • Ils sont juste bien autour de mon poignet et ne laissent qu'un bâillement d'un demi centimètre, juste parfait.
  • Ils doivent forcément s'étirer davantage que ceux de 16 et mon chemin personnel m'amène à chercher les élastiques qui s'étirent le mieux. Mais a priori ce n'est pas une qualité absolu, ça dépend de ce que l'on cherche.

Pour certains effets, les élastiques japonais sont plus judicieux...

  • Je pense par exemple à "Rubber Dissolve" (deuxième des 6 effets de "Band on Fire 2"). Ça marche avec les Rainbows mais c'est mieux avec des japonais.
Le 15/11/2019 à 13:31, Christian GIRARD a dit :

J'ai toujours dans ma poche quatre ou cinq chouchous et quelques élastiques, c'est extra de pouvoir effectuer de la magie visuelle et efficace avec si peu de moyen en toutes occasions.

Ça m'est arrivé ce week-end ! 😁

Je passais voir un pote qui a deux filles (6 et 10 ans) et qui me demandent toujours "de la magie" quand j'y vais... Là manque de bol je n'avais pas prévu mon coup mais... J'avais mes élastiques avec moi !

Et je confirme, c'est extra de pouvoir faire de la magie avec juste quelques élastiques !

Là j'avais mes Joe Rindfleisch mais même avec des élastiques de bureau, la majorité des effets aurait pu être réalisée.

  • Merci 2
Publié le
Il y a 12 heures, Mickaël a dit :

Salut !

Je pense que c'est le 19 le plus approprié...

  • Ils sont juste bien autour de mon poignet et ne laissent qu'un bâillement d'un demi centimètre, juste parfait.
  • Ils doivent forcément s'étirer davantage que ceux de 16 et mon chemin personnel m'amène à chercher les élastiques qui s'étirent le mieux. Mais a priori ce n'est pas une qualité absolu, ça dépend de ce que l'on cherche.

Pour certains effets, les élastiques japonais sont plus judicieux...

  • Je pense par exemple à "Rubber Dissolve" (deuxième des 6 effets de "Band on Fire 2"). Ça marche avec les Rainbows mais c'est mieux avec des japonais.

Merci pour le retour Mickaël.

Dans ce cas, je réinvestis dans les japonais avec lesquels j'ai toujours travaillé et je vais essayer les Rainbows 19 👌

  • J'aime 1

"In magic, today as always, the effect is what counts. The method or methods used are always purely secondary." Dai Vernon

  • 1 month plus tard...
Publié le (modifié)
Le 27/09/2016 à 09:17, Christian GIRARD a dit :

Hello Thomas :)

Six ans pour répondre à ce message, ça va encore. :)

L'effet de James Chadier, à 1' 04'', est une variante de Twisted (1993 – The Band-Shark. Original and impromptu magic with rubber bands, Dan Harlan) dans lequel un élastique est "vrillé en croix" comme l'écrit mon ami Pierre Guedin. Le brin "supérieur passe nettement à travers le brin inférieur".

L’adaptation de Chadier consiste à produire le même effet de passage d'un brin à travers un autre (avec le même principe pas facile à décrire, disons nécessitant une torsion et une "boucle secrète" donnant l'illusion qu'un brin se trouve derrière l'autre alors qu'il est en réalité topologiquement devant) en positionnant l’élastique sur deux doigts seulement (au lieu d'utiliser tous les doigts) et en soulignant le côté visuel (et intellectuel ma foi) en noircissant le brin "pénétré" au marqueur. Ceci plus quelques détails de présentation (angle, couverture due à l'index plié, etc.) sont ce qui fait l'originalité de cette adaptation.

Et j'ajoute (quatre ans plus tard cette fois ! et grâce aux P & P) que le titre exact est « Michael Goldman's Twisted », d'où l'on déduit que l'effet original est « Strand through Strand » de Michael Goldman, publié en 1994. 

Modifié par Christian GIRARD
  • 1 month plus tard...
Publié le

9 effets dans Psychobands de Cyril THOMAS

On en parle ici 

  • Merci 1

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  • Messages

    • Qu’est-ce que The Age of Disclosure, le documentaire qui dévoile des secrets sur les ovnis ? Dan Farah souhaite révéler au grand public des dissimulations vieilles de 80 ans. C’est une question qu’on s’est tous posée au moins une fois : sommes-nous seuls dans l’univers ? Si Dan Farah tente de convaincre dans son documentaire The Age of Disclosure (l’âge de la divulgation) que les ovnis sont bien à prendre au sérieux, il souhaite avant tout éveiller les consciences sur les différentes dissimulations mises en place par le gouvernement des États-Unis.  https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cinema/Qu-est-ce-que-The-Age-of-Disclosure-le-documentaire-qui-devoile-des-secrets-sur-les-ovnis-
    • Voici un extrait de la FISM : Le règlement est très vague et de ce fait, on peut arguer que la simple disparition d'un FP dans un foulard aurait compté. Maintenant comme on peut voir plus haut, Dani n'a pas été éliminé. A moins, de discuter avec les juges, il est donc difficile de savoir ce qu'il lui aurait permis d'avoir plus de points.
    • Bonjour, Plus frappant peut-être était surtout l'hommage final à René LAVAND, et ses trois boulettes de mie de pain dans la tasse, exécuté ici à quatre mains...ou plutôt à deux mains sur quatre - Rubi FEREZ étant la main droite et Fernando NADAL la gauche ; et sans récitation de poème non plus mais en musique. Le duo FEREZ-NADAL fonctionne ceci dit à l'opposé de celui de Pepe CARROLL et Juan TAMARIZ - si je m'en réfère à leurs apparitions dans la série Magia Potagia. *** Pour Pepe CARROLL et Juan TAMARIZ la dramaturgie du numéro se nouait généralement sur une mise en compétition entre eux, se lançant des défis mutuellement, essayant de surpasser l'autre ; ou, parfois, le fantasque et farceur Juan TAMARIZ tendant un "piège" dans le dos de l'élégant et suave  Pepe CARROLL -modifiant par exemple avec un clin d’œil au public l'ordre de certaines cartes, ou mélangeant carrément le paquet à son insu. Mais immanquablement Pepe CARROL retombait sur ses pieds, comme si de rien n'était, l'embuche tendue par J.TAMARIZ effacée par magie... Dans ce dispositif-ci,  l'intérêt est que ce conflit narratif "extérieur" entre les deux magiciens agit à la manière d'une couverture pour leur collusion secrète bien réelle : le mélange de l'un destiné à compliquer la tâche de l'autre - récit apparent- a en réalité bien l'objectif par exemple d’amener secrètement l'arrangement voulu sur le dessus du paquet, arrangement qui permettra justement au second magicien de "briller" en dépit de l’apparente traitrise du mélange du paquet par le premier ( voir l'introduction du classique  "Magic and Showmanship" de H.NELMS pour un autre exemple de  conflit narratif apparent  comme couverture du modus operandi réel de l'effet, par complicité secrète entre les deux adversaires déclarés du récit). *** Le duo FEREZ-NADAL, lui, est soudé pour produire l'effet magique, soudé littéralement bien souvent, épaule contre épaule. La séquence intermédiaire du numéro à une main chacun sur la guitare, et à une main chacun sur la table pour y produire l'effet magique, illustre cette complète coopération. S'il y a bien une dynamique de (léger) conflit entre les deux personnages elle n'est pas sur la table mais sur leurs visages avec deux leitmotiv : les lunettes de Fernando ne cesse de lui glisser sur le bout du nez et c'est Rubi qui les lui remonte en place. Ce simple geste pose les deux personnages : Fernando est le "sérieux" du duo, soucieux des apparences, et Rubi est l’affectueux, le bienveillant. Fernando, par souci des convenances, ne cesse d'arracher un cure-dent d’entre les dents de Rubi, et le cure-dent malicieusement fait perpétuellement sa réapparition dans la bouche de Rubi. Mais aucune provocation de l'un par rapport à l'autre ici, non, c’est juste que Rubi est l'enfantin des deux -et son cure-dent, et bien, il ne peut juste pas s'en empêcher c'est tout. Avec son visage ovale illuminé de son franc sourire, ou même lorsqu'il fait fait son mystérieux - tel un petit enfant qui aurait caché un objet dans sa main et nous lancerait "Devine !"-, Rubi FEREZ a un charisme tel qu'il désamorce instantanément tout bras de fer magicien-public quant au secret : la magie advient, tout simplement. *** À noter qu'il y avait un autre duo en compétition de micro-magie, les suisses Omini et Nico qui ont vendredi matin fait l'ouverture de la 3e et dernière session de la compétition close-up/magie de salon, avec un numéro extrêmement soigné, bien construit, où des balles éponges vertes sont des virus qui se multiplient et infectent un des magiciens : bâtonnets de test dans la narine, thermomètre, masque sanitaire, tous les accessoires employés sont parfaitement justifiés, la progression dramatique comme la maladie passe de l'un à l'autre très claire. Le thème choisi qui ne rappelle  guère de bons souvenirs à quiconque les a-t-il desservi ? Sans doute, mais plus globalement il parait assez net que ce jury était sur une ligne "la magie avant tout", et s'est montré globalement très peu sensible à toute mise en contexte narrative de la magie* du moins c'est comme cela que je le perçois (seul au palmarès Starman et son numéro de dépressif après une rupture amoureuse peut être vu comme une légère exception)  (je m'en vais relire à ce sujet la section de L'Arc en Ciel Magique où J.TAMARIZ analyse longuement le mélange magie et narration). *C'est cette même ligne très arrêtée du jury qui a sans doute, comme pour Omini et Nico, compliqué la tâche aux numéros de Air One, Bertrand MORA et Robin DEVILLE puisque chacun à leur manière assumait des partis pris narratifs justement très marqués, assortis d'un travail sur les personnages et sur le conflit dramatique qui en découle. Je repense à l'excellent "Conspirations" spectacle de mentalisme donné la saison dernière au LUCERNAIRE et qui proposait par sa mise en scène astucieuse, levant et rabaissant virtuellement l'invisible 4e mur au gré des effets, comment une magie fortement théâtralisée est possible. Chauvinisme en passant : au contraire des délégations italienne, allemande, bulgare ou autrichienne (olalala l'Autriche pitié) qui nous ont toutes infligés au moins un numéro irregardable, tous les candidats français en magie de salon et close-up qu'on en ait apprécié ou pas le  résultat final, leur parti-pris artistique, leurs effets magiques, témoignaient d'un travail de mise en scène, sans doute perfectible, mais avec au moins à chaque fois une recherche de quelque chose. On ne pouvait vraiment pas en dire autant donc de bien d'autres pays. *** Ces six jours furent intenses, passionants, et totalement épuisants : épuisants par ces montagnes russes émotionnelles quand on passe d'un numéro où du fond de son siège on se sent en total empathie avec l'artiste, on croiserait presque les doigts pour que le numéro tienne jusqu'au bout, on vibre et on craint, puis l'instant d’après on aimerait se terrer sous son siège tant le numéro proposé tourne à la débandade complète, le numéro s'étire, la confusion embrume les esprits, les applaudissements s'étiolent, la gêne s'installe. Épuisants aussi car intellectuellement c'est une sollicitation constante, chaque choix thématique, choix de mise en scène, de musique, d’accessoires, de chorégraphie, de texte suscitent une foule d'interrogation, d'idées, on imagine des alternatives, on reconnait un principe plus ou moins bien employé, on s'interroge sur un texte,  peu importe qu'on adhère ou pas, c'est un bouillonnement de créativité qui vous lessive, qui parfois frise l’excellence, parfois sombre dans des approximations difficilement recevable côté public, mais qui toujours exige une concentration soutenue s'il on veut analyser à fond chaque numéro- et par analyser j'entends aller au-delà du "oulalala il a flashé" ou des conjectures quant à la méthode employée (après, le 3e jour des session de close-up et magie de scène, vendredi donc 5e jour de la FISM, on ne cachera pas que c'était visiblement et surtout bruyamment 😉 difficile pour beaucoup de suivre encore la compétition tant la fatigue était grande) . Admiration aussi pour ceux, tous ceux, qui s'y collent :  que de mains qui tremblent, que de voix qui déraillent sous le coup de l'émotion, que de gestes techniques qui dérapent sous la pression, mais ils y sont allés quand même, dans l'espoir de créer un moment magique.  Chapeau. L'aspect compétition, délégation des pays, avait été ici même discuté avant la FISM : très franchement ces questions une fois qu'on est dedans s’envolent instantanément, l'ambiance fabuleuse qui se crée autour de la compétition, le plaisir de voir les équipes soutenir avec un chauvinisme bon enfant leurs différents candidats vous emporte-on a souvent la standing ovation facile, mais qu'importe c'est le jeu. Au contraire même l'idée d'avoir des équipes qui soutiennent les artistes dans tous les domaines, créatifs, techniques, et pourquoi pas psychologique - la pression est telle- paraît assez évidemment la voie à poursuivre et amplifier. *** Et zut ... ce matin -après un retour dans la nuit homérique de quelque sept heures depuis TURIN pour PARIS- je me suis surpris à fredonner "Abracadabra"... arghhhhhh Lady GAGA sort de ce corps...  
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