Aller au contenu
Pas de pub non magique pour les membres du Cercle VM. Clique ici pour en savoir plus !

Recommended Posts

Publié le (modifié)
à l’instant, Thierry (Moonlight) a dit :

je suis bien placé pour dire cela car dans mes bouquins, il est écrit clairement que l'utilisation de mes routines est utilisable en public et qu'une demande est nécessaire pour un passage télé ou média.

C'est une manière clair et très saine d'agir. 

Il existe aussi des créateurs qui souhaitent expliquer leurs routines dans un livre sans pour autant que ses routines soient présenter en dehors du cadre familial. C'est un choix qu'il faut aussi respecter. 

Modifié par Jamal EZEDINE
Pas de pub non magique pour les membres du Cercle VM. Clique ici pour en savoir plus !
Publié le
il y a 4 minutes, Jamal EZEDINE a dit :

Justement, notre travail, est d'expliquer à la jeune génération que demander l'autorisation n'est pas une chose secondaire. Ce n'est pas "accessoire". C'est une obligation, tout comme de travailler en étant déclaré. 

 

Sauf qu'en droit (de façon générale) si rien n'est indiqué sur le produit, l'utilisation n'est pas restreinte (sauf en faire une copie, sauf en faire une démo sur des médias). C'est cela le droit aussi. Donc si les créateurs veulent restreindre (pour x raisons) le droit d'utilisation, ils l'indiquent sur le produit et ensuite c'est aux acheteurs de décider.

  • J'aime 2

Thierry Périchon
http://www.moonlightanimations.fr
 

Publié le
il y a 3 minutes, Jamal EZEDINE a dit :

C'est une manière clair et très saine d'agir. 

Il existe aussi des créateurs qui souhaitent expliquer leurs routine dans un livre sans pour autant que ces routines soient exécuter en dehors du cadre familial. C'est un choix qu'il faut aussi respecter. 

Si c'est indiqué clairement, pour moi pas de soucis, je respecte ce choix. C'est leur vision des choses et leurs problèmes.

Thierry Périchon
http://www.moonlightanimations.fr
 

Publié le
à l’instant, Thierry (Moonlight) a dit :

Sauf qu'en droit (de façon générale) si rien n'est indiqué sur le produit, l'utilisation n'est pas restreinte (sauf en faire une copie, sauf en faire une démo sur des médias). C'est cela le droit aussi. Donc si les créateurs veulent restreindre (pour x raisons) le droit d'utilisation, ils l'indiquent sur le produit et ensuite c'est aux acheteurs de décider.

Non, s'il n'est rien écrit sur la notice, par défaut, cela signifie que le créateur n'autorise que la présentation dans le cercle familial. 

Publié le
Il y a 5 heures, Michel (Darlone) a dit :

je trouve plusieurs choses se mélangent. Il y a le numero, le personnage qui sont la propriété du créateur qui en dispose, il peut choisir de le vendre (cela s’est fait) d’autoriser ou non un autre à utiliser une partie...etc et je pense que cela ne fait pas débat ni légalement ni moralement, enfin j’ose l’espérer!

Je suis plus dubitatif sur le magicien qui vend volontairement un tour en boutique. Que les droits télé ou de tournée soient réservés la encore cela me paraît Totalement normal. Par contre en restreinte l’usage a un cercle familial c’est de l’hypocrisie voir du foutage de gueules si vous me passez l’expression. Surtout avec des pubs, worker, pro.... 

Et dans ce cas soyons honnête avec le consommateurs que les boutiques et les créateurs indiquent clairement « usage restreint au cercle familial »...mais je crains que les ventes s’en ressentent...et qu’ils ne le fassent pas... légal ou pas...

Certains créateurs je pense à Helklau précisent que les droits sont cèdes en dehors de la télévision voilà qui est clair.

 

Étant créateur, je rebondis très rapidement sur le message de Michel, dont je trouve la logique très juste. Si je prends (je me permets) l'exemple d'Impossible Choix, mon ouvrage sorti récemment, il est stipulé que les droits télévisuels ne sont pas inclus. En ce qui concerne les représentations professionnelles, hors TV donc, j'accorde ces dits-droits sans l'avoir mentionné, dans le sens où, justement, il est écrit que les droits TV ne sont pas inclus. 

Tout ceci pour dire, qu'en effet, et je rejoins Michel à ce sujet, il faudrait clairement mentionné les droits octroyés ou non à propos de chaque tour. 

 

Mes amitiés, 

 

Jerry's, 

  • J'aime 3
  • Merci 1
Publié le
il y a 1 minute, Jamal EZEDINE a dit :

Non, s'il n'est rien écrit sur la notice, par défaut, cela signifie que le créateur n'autorise que la présentation dans le cercle familial. 

Non car le droit s'applique à tous produits que l'on achète. Par exemple sur un DV, il est écrit en clair que son utilisation (je parle de films) ne peut faire l'objet d'une présentation publique. Si je prends un autre exemple, je décide d'utiliser ma machine à café dans l'une de mes prestats rien ne m'y empêche.

Thierry Périchon
http://www.moonlightanimations.fr
 

Publié le
il y a 3 minutes, Jerry's BRUAND a dit :

Étant créateur, je rebondis très rapidement sur le message de Michel, dont je trouve la logique très juste. Si je prends (je me permets) l'exemple d'Impossible Choix, mon ouvrage sorti récemment, il est stipulé que les droits télévisuels ne sont pas inclus. En ce qui concerne les représentations professionnelles, hors TV donc, j'accorde ces dits-droits sans l'avoir mentionné, dans le sens où, justement, il est écrit que les droits TV ne sont pas inclus. 

Tout ceci pour dire, qu'en effet, et je rejoins Michel à ce sujet, il faudrait clairement mentionné les droits octroyés ou non à propos de chaque tour. 

 

Mes amitiés, 

 

Jerry's, 

C'est exactement qe que je fais avec mes bouquins et je suis entièrement d'accord sur le fait d'inscrire en clair sur le package ou notice quels droits sont octroyés. Ce n'est pas à l'acheteur de faire la démarche. Et en justice si rien n'est indiqué sur le produitet que l'on utilise le produit dans le cadre d'une activité pro (hors droits médias bien sur), l'acheteur aura toujours raison (la magie n'est pas régie par un droit spécifique).

  • J'aime 1

Thierry Périchon
http://www.moonlightanimations.fr
 

Publié le
Il y a 1 heure, Peter DIN a dit :

 

Donc, tu avais bien compris en lisant A savoir, que l'achat d'un tour ne permettait que de le présenter dans un cadre familial. (sauf avis contraire exprimé dans la documentation.).

 

@Thierry (Moonlight),

L'achat d'un tour, ne donne le droit QUE de le présenter dans un cadre familial. 

 

Publié le (modifié)
il y a 7 minutes, Jamal EZEDINE a dit :

@Thierry (Moonlight),

L'achat d'un tour, ne donne le droit QUE de le présenter dans un cadre familial. 

 

Ha bon et ca sort d'où si ce n'est pas indiqué ? Par contre, l'utilisation d'un produit contrefait (qui vient de Chine par exemple) là oui il y a illégalité.

Modifié par Thierry (Moonlight)
  • J'aime 1

Thierry Périchon
http://www.moonlightanimations.fr
 

Invité
Ce sujet ne peut plus recevoir de nouvelles réponses.


  • Pas de pub non magique pour les membres du Cercle VM. Clique ici pour en savoir plus !
  • Messages

    • Bonjour, Plus frappant peut-être était surtout l'hommage final à René LAVAND, et ses trois boulettes de mie de pain dans la tasse, exécuté ici à quatre mains...ou plutôt à deux mains sur quatre - Rubi FEREZ étant la main droite et Fernando NADAL la gauche ; et sans récitation de poème non plus mais en musique. Le duo FEREZ-NADAL fonctionne ceci dit à l'opposé de celui de Pepe CARROLL et Juan TAMARIZ - si je m'en réfère à leurs apparitions dans la série Magia Potagia. *** Pour Pepe CARROLL et Juan TAMARIZ la dramaturgie du numéro se nouait généralement sur une mise en compétition entre eux, se lançant des défis mutuellement, essayant de surpasser l'autre ; ou, parfois, le fantasque et farceur Juan TAMARIZ tendant un "piège" dans le dos de l'élégant et suave  Pepe CARROLL -modifiant par exemple avec un clin d’œil au public l'ordre de certaines cartes, ou mélangeant carrément le paquet à son insu. Mais immanquablement Pepe CARROL retombait sur ses pieds, comme si de rien n'était, l'embuche tendue par J.TAMARIZ effacée par magie... Dans ce dispositif-ci,  l'intérêt est que ce conflit narratif "extérieur" entre les deux magiciens agit à la manière d'une couverture pour leur collusion secrète bien réelle : le mélange de l'un destiné à compliquer la tâche de l'autre - récit apparent- a en réalité bien l'objectif par exemple d’amener secrètement l'arrangement voulu sur le dessus du paquet, arrangement qui permettra justement au second magicien de "briller" en dépit de l’apparente traitrise du mélange du paquet par le premier ( voir l'introduction du classique  "Magic and Showmanship" de H.NELMS pour un autre exemple de  conflit narratif apparent  comme couverture du modus operandi réel de l'effet, par complicité secrète entre les deux adversaires déclarés du récit). *** Le duo FEREZ-NADAL, lui, est soudé pour produire l'effet magique, soudé littéralement bien souvent, épaule contre épaule. La séquence intermédiaire du numéro à une main chacun sur la guitare, et à une main chacun sur la table pour y produire l'effet magique, illustre cette complète coopération. S'il y a bien une dynamique de (léger) conflit entre les deux personnages elle n'est pas sur la table mais sur leurs visages avec deux leitmotiv : les lunettes de Fernando ne cesse de lui glisser sur le bout du nez et c'est Rubi qui les lui remonte en place. Ce simple geste pose les deux personnages : Fernando est le "sérieux" du duo, soucieux des apparences, et Rubi est l’affectueux, le bienveillant. Fernando, par souci des convenances, ne cesse d'arracher un cure-dent d’entre les dents de Rubi, et le cure-dent malicieusement fait perpétuellement sa réapparition dans la bouche de Rubi. Mais aucune provocation de l'un par rapport à l'autre ici, non, c’est juste que Rubi est l'enfantin des deux -et son cure-dent, et bien, il ne peut juste pas s'en empêcher c'est tout. Avec son visage ovale illuminé de son franc sourire, ou même lorsqu'il fait fait son mystérieux - tel un petit enfant qui aurait caché un objet dans sa main et nous lancerait "Devine !"-, Rubi FEREZ a un charisme tel qu'il désamorce instantanément tout bras de fer magicien-public quant au secret : la magie advient, tout simplement. *** À noter qu'il y avait un autre duo en compétition de micro-magie, les suisses Omini et Nico qui ont vendredi matin fait l'ouverture de la 3e et dernière session de la compétition close-up/magie de salon, avec un numéro extrêmement soigné, bien construit, où des balles éponges vertes sont des virus qui se multiplient et infectent un des magiciens : bâtonnets de test dans la narine, thermomètre, masque sanitaire, tous les accessoires employés sont parfaitement justifiés, la progression dramatique comme la maladie passe de l'un à l'autre très claire. Le thème choisi qui ne rappelle  guère de bons souvenirs à quiconque les a-t-il desservi ? Sans doute, mais plus globalement il parait assez net que ce jury était sur une ligne "la magie avant tout", et s'est montré globalement très peu sensible à toute mise en contexte narrative de la magie* du moins c'est comme cela que je le perçois (seul au palmarès Starman et son numéro de dépressif après une rupture amoureuse peut être vu comme une légère exception)  (je m'en vais relire à ce sujet la section de L'Arc en Ciel Magique où J.TAMARIZ analyse longuement le mélange magie et narration). *C'est cette même ligne très arrêtée du jury qui a sans doute, comme pour Omini et Nico, compliqué la tâche aux numéros de Air One, Bertrand MORA et Robin DEVILLE puisque chacun à leur manière assumait des partis pris narratifs justement très marqués, assortis d'un travail sur les personnages et sur le conflit dramatique qui en découle. Je repense à l'excellent "Conspirations" spectacle de mentalisme donné la saison dernière au LUCERNAIRE et qui proposait par sa mise en scène astucieuse, levant et rabaissant virtuellement l'invisible 4e mur au gré des effets, comment une magie fortement théâtralisée est possible. Chauvinisme en passant : au contraire des délégations italienne, allemande, bulgare ou autrichienne (olalala l'Autriche pitié) qui nous ont toutes infligés au moins un numéro irregardable, tous les candidats français en magie de salon et close-up qu'on en ait apprécié ou pas le  résultat final, leur parti-pris artistique, leurs effets magiques, témoignaient d'un travail de mise en scène, sans doute perfectible, mais avec au moins à chaque fois une recherche de quelque chose. On ne pouvait vraiment pas en dire autant donc de bien d'autres pays. *** Ces six jours furent intenses, passionants, et totalement épuisants : épuisants par ces montagnes russes émotionnelles quand on passe d'un numéro où du fond de son siège on se sent en total empathie avec l'artiste, on croiserait presque les doigts pour que le numéro tienne jusqu'au bout, on vibre et on craint, puis l'instant d’après on aimerait se terrer sous son siège tant le numéro proposé tourne à la débandade complète, le numéro s'étire, la confusion embrume les esprits, les applaudissements s'étiolent, la gêne s'installe. Épuisants aussi car intellectuellement c'est une sollicitation constante, chaque choix thématique, choix de mise en scène, de musique, d’accessoires, de chorégraphie, de texte suscitent une foule d'interrogation, d'idées, on imagine des alternatives, on reconnait un principe plus ou moins bien employé, on s'interroge sur un texte,  peu importe qu'on adhère ou pas, c'est un bouillonnement de créativité qui vous lessive, qui parfois frise l’excellence, parfois sombre dans des approximations difficilement recevable côté public, mais qui toujours exige une concentration soutenue s'il on veut analyser à fond chaque numéro- et par analyser j'entends aller au-delà du "oulalala il a flashé" ou des conjectures quant à la méthode employée (après, le 3e jour des session de close-up et magie de scène, vendredi donc 5e jour de la FISM, on ne cachera pas que c'était visiblement et surtout bruyamment 😉 difficile pour beaucoup de suivre encore la compétition tant la fatigue était grande) . Admiration aussi pour ceux, tous ceux, qui s'y collent :  que de mains qui tremblent, que de voix qui déraillent sous le coup de l'émotion, que de gestes techniques qui dérapent sous la pression, mais ils y sont allés quand même, dans l'espoir de créer un moment magique.  Chapeau. L'aspect compétition, délégation des pays, avait été ici même discuté avant la FISM : très franchement ces questions une fois qu'on est dedans s’envolent instantanément, l'ambiance fabuleuse qui se crée autour de la compétition, le plaisir de voir les équipes soutenir avec un chauvinisme bon enfant leurs différents candidats vous emporte-on a souvent la standing ovation facile, mais qu'importe c'est le jeu. Au contraire même l'idée d'avoir des équipes qui soutiennent les artistes dans tous les domaines, créatifs, techniques, et pourquoi pas psychologique - la pression est telle- paraît assez évidemment la voie à poursuivre et amplifier. *** Et zut ... ce matin -après un retour dans la nuit homérique de quelque sept heures depuis TURIN pour PARIS- je me suis surpris à fredonner "Abracadabra"... arghhhhhh Lady GAGA sort de ce corps...  
    • Merci pour cette précision. Je pensais que Dani concourrait uniquement en invention. Il reste dommage que dans la catégorie GI, on exige deux illusions différentes. Pas certain que des effets additionnels de magie générale suffisent avec une seule grande illusion. C’est du moins ce que l’on m’a expliqué à plusieurs reprises, mais peut-être les choses ont-elles changé ( ou mériteraient d’évoluer dans le cas contraire). 
    • Entre temps, j'ai eu un retour de @Pathy BADD qui a demandé à Peter DIN le vice président de la FISM et en charge des notations.  Sa réponse  Cela répond donc à ta question sur les 120 points 😜
  • Statistiques des membres

    • Total des membres
      8217
    • Maximum en ligne
      4524

    Membre le plus récent
    Hippolyte ADENOT
    Inscription
  • Statistiques des forums

    • Total des sujets
      83.9k
    • Total des messages
      678.8k

×
×
  • Créer...