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Publié le (modifié)
il y a 45 minutes, Karl DELLIS a dit :

Chacun défend son propre intérêt : lorsque je tombe au chômage ou en incapacité de travail, ils ne me font pas non plus une réduction sur mes bicycles 😉

Quand tu tombe au chômage ou en incapacité de travail, les petits indépendants qui paient leurs charges sociales participent au fait que tu ne sois pas obligé de vendre ton rein pour continuer à vivre.
Quand le modèle d'Amazon se sera généralisé au petits indépendants, il n'y aura plus de rein en France.
C'est pas trop gênant, les gens pleureront tellement qu'ils n'auront plus besoin d'uriner.

 

Modifié par Eric (dub)
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Circulez !

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Publié le
il y a 11 minutes, Eric (dub) a dit :

Quand tu tombe au chômage ou en incapacité de travail, les petits indépendants qui paient leurs charges sociales participent au fait que tu ne sois pas obligé de vendre ton rein pour continuer à vivre.
Quand le modèle d'Amazon se sera généralisé au petits indépendants, il n'y aura plus de rein en France.
C'est pas trop gênant, les gens pleureront tellement qu'ils n'auront plus besoin d'uriner.

 

J'ai toujours travaillé et je cotise...

De plus on ne peut pas dire aux salariés : "il faut compresser vos salaires, vous comprenez... la concurrence internationale, les petits chinois, les petits roumains ou que sais-je sont moins chers..." et s'attendre à ce qu'en même temps - tout en supportant une pression sur son salaire - le salarié passe à la caisse une seconde fois "par solidarité" en achetant plus cher ce qu'il peut obtenir moins chers ailleurs.

Et encore une fois : bien rares sont les "petits indépendants" qui se démarquent des grandes enseignes ni en qualité, ni en service, ni en diversité.

Maintenant, tout le monde a le droit d'acheter un paquet de carte à 4,5 € au lieu de 2,5 €.

 

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Publié le
il y a 57 minutes, Karl DELLIS a dit :

Maintenant, tout le monde a le droit d'acheter un paquet de carte à 4,5 € au lieu de 2,5 €.

Ben en fait, à 4,5€, t’achètes pas qu'un jeu de cartes, t'achète des cartes + des cotisations + de la TVA + des impôts...
A 2,5€, t'achètes un jeu de cartes + de la fraude à la TVA et aux accidents du travail + de l'optimisation fiscale... 

Mais tu as raison, tout le monde à le droit d'acheter un paquet de cartes à 2,5€ au lieu de 4,5€.

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Circulez !

Publié le
Il y a 2 heures, Karl DELLIS a dit :

Et encore une fois : bien rares sont les "petits indépendants" qui se démarquent des grandes enseignes ni en qualité, ni en service, ni en diversité.

Je ne sais pas où tu vis et ça ne me regarde pas mais ça me surprend de lire ton commentaire :

Car j'ai autour de moi pleins de "petits indépendants" qui se démarquent et de manière positive tant sur la qualité, le service et la diversité.......

Je dois être chanceux 😉 

Manu

Publié le

Cela me fait penser à ce débat récurrent sur l'achat du bio et local...

 

Quoi qu'il en soit, il est important de respecter le choix de chacun car il se fait en fonction de son vécu.

 

Cette minute philosophie vous a été proposée gratuitement.

  • Merci 1

Faiseur de trucs et de bidules.

Publié le

Mais est ce que Magic planet et cartes production sont des petites boutiques françaises?

Publié le
il y a 1 minute, Jean-Marc KLD a dit :

Mais est ce que Magic planet et cartes production sont des petites boutiques françaises?

La première oui, l'autre c'est un importateur de produit de poker (je ne connais pas vraiment cette structure)

Publié le (modifié)
Il y a 8 heures, bob a dit :

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Bob

 

Les différentes formes de délocalisation sont un choix de stratégie économique posé depuis les années 80'. Notamment via différents outils tels que les accords commerciaux entre l'Union européenne et des états étrangers.

Par exemple, ces accords permettent à nos entreprises de produire en chine et de "réimporter" en Europe.

Notamment par la limitation ou la suppression des droits de douanes et de certains mécanismes de protection.

Car les droits de douanes servaient justement à mettre à égalité avec nos produits les produits fabriqués à l'étranger avec des impôts, coûts sociaux, environnementaux, etc. moindres.

Ce n'est absolument pas le consommateur qui décide de supprimer les droits de douanes et autres mécanismes de protection. Ce n'est pas lui qui qui décide du modèle du commerce international.

Cela résulte d'une politique  de libéralisation et de suppression des droits de douanes.

C'est cette absence de protection qui permet d'acheter moins cher en Chine ou ailleurs. Et, parallèlement, c'est également cela qui met les différentes économies nationales en concurrence et donc les rémunérations sous pression.

 

Ce n'est pas le consommateur qui a supprimé les droits de douane :

- En tant que travailleur, sa main d’œuvre est en concurrence avec la main d’œuvre internationale et sa rémunération subit une pression.

- Mais en tant que consommateur il peut consommer moins cher.

 

Si on voulait mettre fin à ce système, ce serait simple : cela s'appelle les droits de douanes, le contingentement et autres mécanismes de protection.

Je ne vois donc pas pourquoi, en tant que travailleur, le citoyen devrait subir la libéralisation qui lui est imposée et qui fait pression sur sa rémunération, alors qu'en tant que consommateur il devrait se censurer et acheter bien plus cher ce que sa rémunération qui commanderait logiquement d'acheter ailleurs bien moins cher.

 

Par ailleurs, on pourrait alors aussi faire un "traité d'économie pour les nuls" où on enseignerait à nos entreprises qu'en limitant les salaires, ils privent leurs consommateurs de revenus et que ceux-ci devront donc consommer chinois...

Mais je ne crois pas que pour autant les entreprises se mettent à augmenter les salaires ou à produire en France.

 

Ce genre de petits schémas sont donc trop simplistes.

 

Les différents acteurs économiques sont pris dans système qui est pensé et cohérent : on produit globalement moins cher en faisant pression sur les salaires. Et les salariés vont, logiquement, aussi consommer aux moins cher.

Ce qui permet cela résulte de choix de politiques économiques posés par nos institutions.

 

Le citoyen n'a aucune raison de se faire tondre deux fois : une fois en tant que salarié déforcé par la libéralisation et une seconde fois en tant que consommateur idéaliste.

 

 

Modifié par Karl DELLIS
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    • Bonjour, Plus frappant peut-être était surtout l'hommage final à René LAVAND, et ses trois boulettes de mie de pain dans la tasse, exécuté ici à quatre mains...ou plutôt à deux mains sur quatre - Rubi FEREZ étant la main droite et Fernando NADAL la gauche ; et sans récitation de poème non plus mais en musique. Le duo FEREZ-NADAL fonctionne ceci dit à l'opposé de celui de Pepe CARROLL et Juan TAMARIZ - si je m'en réfère à leurs apparitions dans la série Magia Potagia. *** Pour Pepe CARROLL et Juan TAMARIZ la dramaturgie du numéro se nouait généralement sur une mise en compétition entre eux, se lançant des défis mutuellement, essayant de surpasser l'autre ; ou, parfois, le fantasque et farceur Juan TAMARIZ tendant un "piège" dans le dos de l'élégant et suave  Pepe CARROLL -modifiant par exemple avec un clin d’œil au public l'ordre de certaines cartes, ou mélangeant carrément le paquet à son insu. Mais immanquablement Pepe CARROL retombait sur ses pieds, comme si de rien n'était, l'embuche tendue par J.TAMARIZ effacée par magie... Dans ce dispositif-ci,  l'intérêt est que ce conflit narratif "extérieur" entre les deux magiciens agit à la manière d'une couverture pour leur collusion secrète bien réelle : le mélange de l'un destiné à compliquer la tâche de l'autre - récit apparent- a en réalité bien l'objectif par exemple d’amener secrètement l'arrangement voulu sur le dessus du paquet, arrangement qui permettra justement au second magicien de "briller" en dépit de l’apparente traitrise du mélange du paquet par le premier ( voir l'introduction du classique  "Magic and Showmanship" de H.NELMS pour un autre exemple de  conflit narratif apparent  comme couverture du modus operandi réel de l'effet, par complicité secrète entre les deux adversaires déclarés du récit). *** Le duo FEREZ-NADAL, lui, est soudé pour produire l'effet magique, soudé littéralement bien souvent, épaule contre épaule. La séquence intermédiaire du numéro à une main chacun sur la guitare, et à une main chacun sur la table pour y produire l'effet magique, illustre cette complète coopération. S'il y a bien une dynamique de (léger) conflit entre les deux personnages elle n'est pas sur la table mais sur leurs visages avec deux leitmotiv : les lunettes de Fernando ne cesse de lui glisser sur le bout du nez et c'est Rubi qui les lui remonte en place. Ce simple geste pose les deux personnages : Fernando est le "sérieux" du duo, soucieux des apparences, et Rubi est l’affectueux, le bienveillant. Fernando, par souci des convenances, ne cesse d'arracher un cure-dent d’entre les dents de Rubi, et le cure-dent malicieusement fait perpétuellement sa réapparition dans la bouche de Rubi. Mais aucune provocation de l'un par rapport à l'autre ici, non, c’est juste que Rubi est l'enfantin des deux -et son cure-dent, et bien, il ne peut juste pas s'en empêcher c'est tout. Avec son visage ovale illuminé de son franc sourire, ou même lorsqu'il fait fait son mystérieux - tel un petit enfant qui aurait caché un objet dans sa main et nous lancerait "Devine !"-, Rubi FEREZ a un charisme tel qu'il désamorce instantanément tout bras de fer magicien-public quant au secret : la magie advient, tout simplement. *** À noter qu'il y avait un autre duo en compétition de micro-magie, les suisses Omini et Nico qui ont vendredi matin fait l'ouverture de la 3e et dernière session de la compétition close-up/magie de salon, avec un numéro extrêmement soigné, bien construit, où des balles éponges vertes sont des virus qui se multiplient et infectent un des magiciens : bâtonnets de test dans la narine, thermomètre, masque sanitaire, tous les accessoires employés sont parfaitement justifiés, la progression dramatique comme la maladie passe de l'un à l'autre très claire. Le thème choisi qui ne rappelle  guère de bons souvenirs à quiconque les a-t-il desservi ? Sans doute, mais plus globalement il parait assez net que ce jury était sur une ligne "la magie avant tout", et s'est montré globalement très peu sensible à toute mise en contexte narrative de la magie* du moins c'est comme cela que je le perçois (seul au palmarès Starman et son numéro de dépressif après une rupture amoureuse peut être vu comme une légère exception)  (je m'en vais relire à ce sujet la section de L'Arc en Ciel Magique où J.TAMARIZ analyse longuement le mélange magie et narration). *C'est cette même ligne très arrêtée du jury qui a sans doute, comme pour Omini et Nico, compliqué la tâche aux numéros de Air One, Bertrand MORA et Robin DEVILLE puisque chacun à leur manière assumait des partis pris narratifs justement très marqués, assortis d'un travail sur les personnages et sur le conflit dramatique qui en découle. Je repense à l'excellent "Conspirations" spectacle de mentalisme donné la saison dernière au LUCERNAIRE et qui proposait par sa mise en scène astucieuse, levant et rabaissant virtuellement l'invisible 4e mur au gré des effets, comment une magie fortement théâtralisée est possible. Chauvinisme en passant : au contraire des délégations italienne, allemande, bulgare ou autrichienne (olalala l'Autriche pitié) qui nous ont toutes infligés au moins un numéro irregardable, tous les candidats français en magie de salon et close-up qu'on en ait apprécié ou pas le  résultat final, leur parti-pris artistique, leurs effets magiques, témoignaient d'un travail de mise en scène, sans doute perfectible, mais avec au moins à chaque fois une recherche de quelque chose. On ne pouvait vraiment pas en dire autant donc de bien d'autres pays. *** Ces six jours furent intenses, passionants, et totalement épuisants : épuisants par ces montagnes russes émotionnelles quand on passe d'un numéro où du fond de son siège on se sent en total empathie avec l'artiste, on croiserait presque les doigts pour que le numéro tienne jusqu'au bout, on vibre et on craint, puis l'instant d’après on aimerait se terrer sous son siège tant le numéro proposé tourne à la débandade complète, le numéro s'étire, la confusion embrume les esprits, les applaudissements s'étiolent, la gêne s'installe. Épuisants aussi car intellectuellement c'est une sollicitation constante, chaque choix thématique, choix de mise en scène, de musique, d’accessoires, de chorégraphie, de texte suscitent une foule d'interrogation, d'idées, on imagine des alternatives, on reconnait un principe plus ou moins bien employé, on s'interroge sur un texte,  peu importe qu'on adhère ou pas, c'est un bouillonnement de créativité qui vous lessive, qui parfois frise l’excellence, parfois sombre dans des approximations difficilement recevable côté public, mais qui toujours exige une concentration soutenue s'il on veut analyser à fond chaque numéro- et par analyser j'entends aller au-delà du "oulalala il a flashé" ou des conjectures quant à la méthode employée (après, le 3e jour des session de close-up et magie de scène, vendredi donc 5e jour de la FISM, on ne cachera pas que c'était visiblement et surtout bruyamment 😉 difficile pour beaucoup de suivre encore la compétition tant la fatigue était grande) . Admiration aussi pour ceux, tous ceux, qui s'y collent :  que de mains qui tremblent, que de voix qui déraillent sous le coup de l'émotion, que de gestes techniques qui dérapent sous la pression, mais ils y sont allés quand même, dans l'espoir de créer un moment magique.  Chapeau. L'aspect compétition, délégation des pays, avait été ici même discuté avant la FISM : très franchement ces questions une fois qu'on est dedans s’envolent instantanément, l'ambiance fabuleuse qui se crée autour de la compétition, le plaisir de voir les équipes soutenir avec un chauvinisme bon enfant leurs différents candidats vous emporte-on a souvent la standing ovation facile, mais qu'importe c'est le jeu. Au contraire même l'idée d'avoir des équipes qui soutiennent les artistes dans tous les domaines, créatifs, techniques, et pourquoi pas psychologique - la pression est telle- paraît assez évidemment la voie à poursuivre et amplifier. *** Et zut ... ce matin -après un retour dans la nuit homérique de quelque sept heures depuis TURIN pour PARIS- je me suis surpris à fredonner "Abracadabra"... arghhhhhh Lady GAGA sort de ce corps...  
    • Merci pour cette précision. Je pensais que Dani concourrait uniquement en invention. Il reste dommage que dans la catégorie GI, on exige deux illusions différentes. Pas certain que des effets additionnels de magie générale suffisent avec une seule grande illusion. C’est du moins ce que l’on m’a expliqué à plusieurs reprises, mais peut-être les choses ont-elles changé ( ou mériteraient d’évoluer dans le cas contraire). 
    • Entre temps, j'ai eu un retour de @Pathy BADD qui a demandé à Peter DIN le vice président de la FISM et en charge des notations.  Sa réponse  Cela répond donc à ta question sur les 120 points 😜
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