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Publié le
Il y a 17 heures, Matmag1 a dit :

Une partie de notre patrimoine commun brûle,

Je lis ici et là que certains objets irremplaçables ont brûlé.

Mais est ce la cas, ils ont perdu des livres anciens, quelques vieilles boîtes de magie?

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Publié le
il y a 50 minutes, Jean-Marc (thucydide) a dit :

Je lis ici et là que certains objets irremplaçables ont brûlé.

Mais est ce la cas, ils ont perdu des livres anciens, quelques vieilles boîtes de magie?

Pour vous donner les quelques infos que j’ai, nous n’avons malheureusement pu faire aucun état des lieux de ce qui avait brûlé, l’expert doit repasser demain pour une expertise approfondie. 

Les travaux de décontamination et de nettoyage suivront après l’aval de l’expert. 

Cependant, la vitrine de jeu de cartes de collection située côté rue est détruite et les jeux, s’ils n’ont pas brûlés, sont complètement inutilisables dû à l’eau qui a permis d’éteindre l’incendie. Des jeux de cartes rares et uniques sont donc désormais invendables. 

Je rentre de vacances dans une semaine, j’essayerais de vous tenir au courant de l’avancée des choses. 

Ma seule certitude : la détermination de toute l’équipe pour reconstruire vite, avec d’avantage de services pour les magiciens et toujours la même passion. Les vidéos explicatives, nouveautés et live reprennent dès la semaine prochaine 💪

Publié le
Le 18/08/2019 à 20:54, Alex' a dit :

Cependant, la vitrine de jeu de cartes de collection située côté rue est détruite et les jeux, s’ils n’ont pas brûlés, sont complètement inutilisables dû à l’eau qui a permis d’éteindre l’incendie. Des jeux de cartes rares et uniques sont donc désormais invendables. 

 

Après le choc et le début de reconstruction, ce serait d'ailleurs intéressant de "profiter" de cette affreuse expérience pour nous dire comment vous avez été remboursés sur ce genre d'objets rares et introuvables ...

Cela peut interesser tout le monde : je me souviens d'une discussion avec ma sympathique agent d'assurance qui tombait des nues quand j'ai voulu assurer mes quelques pièces de monnaie .. Elle ne semblait jamais avoir vu cela et le fichier que j'avais concocté avec des photos ne rentrait même pas dans leur logiciel (pour seulement 1000e de pièces véritables ou truquées)

Pour les jeux de cartes elle m'a dit que ca rentrait dans l'assurance habitation normale mais je doute qu'ils connaissent bien les prix des paquets vintage (sans facture évidemment) en cas de sinistre.

Ce serait donc sympa de nous dire ce qu'il faut justifier pour avoir un remboursement même partiel de pièces uniques. Que votre expérience puisse servir à la communauté de magiciens.

 

  • J'aime 2
Publié le

Les assurances pro prennent en charge la totalité du stock à leur valeur d'achat ( et pas en valeur revente ), sans vétusté ( sous réserve du montant stock assuré dans les conditions particulières du contrat ). Donc tout va dépendre si ce stock "spécial" était assuré différemment. 
Concernant le reste des dégats, il y a de la vétusté sur le matériel d'exploitation ( ordinateurs, mobilier de vente, etc... ) .
A noter qu'une assurance pro n'est pas comme une assurance perso, et qu'en général on est mieux remboursé en pro, car plus "carré", vu que toutes les factures d'achat existent, factures de ventes aussi.
Et je rajoute que les assurances pro pour les commerces remboursent aussi la perte d'exploitation, càd la marge qui n'a pas été faite par le professionnel pendant qu'il ne peut pas travailler, donc pour payer les salaires, charges,  tous les frais fixes.

Donc généralement, les pros sont bien couverts et sont beaucoup plus rapidement remboursés que les particuliers, car plus ça dure, plus il y a des pertes d'exploitation à rembourser.

Donc je ne me fait pas trop de soucis sur la reconstruction de Magic Dream ( qui d'ailleurs continue ses activités ventes via le web, donc n'est pas totalement à l'arrêt ).

  • J'aime 1
  • Merci 1
Publié le
il y a 43 minutes, Frédéric (fredv) a dit :

Ce serait donc sympa de nous dire ce qu'il faut justifier pour avoir un remboursement même partiel de pièces uniques. Que votre expérience puisse servir à la communauté de magiciens.

 

Malheureusement dans ces cas de figures l'expérience des uns ne peut servir de référence aux autres, il n'y pas de règle d'ordre générale, chaque compagnie d'assurance, chaque contrat à ses spécificités qu'il lui sont propres, en terme de montants, de plafonds et de prise en charge, idem pour les terminologies qui varient également.

Seule une lecture approfondie des dispositions particulières et des conditions générales afférentes au(x) contrat(s) signé(s) peut permettre d'appréhender de manière précise le niveau de couverture 

Par ailleurs, ici nous sommes dans le cadre d'un  contrat d'assurance lié à une activité professionnelle, non comparable à une multirisque habitation que peut posséder un particulier sur son logement : ici également les règles sont encore différentes....

  • Merci 1

Manu

Publié le (modifié)

Pour répondre à @Frédéric (fredv), il faut retenir qu'il est toujours plus simple de faire assurer SPÉCIFIQUEMENT des objets de valeurs que d'en justifier la valeur après un sinistre. Mais les agents d'assurance locaux sont malheureusement peu formés à l'étude des risques particuliers...

Cela dit, à moins d'une collection d'une valeur vraiment importante, il est rare qu'une collection nécessite une assurance spécifique (voir si la valeur de la collection dépasse les plafonds de garanties). 

D'une manière générale, voici quelques conseils que je peux donner :

- faire établir une liste des objets de valeurs : photos, justificatif d'achat etc... (attention, toutefois comme pour le marché de l'art, la valeur vénale est parfois loin de la valeur marchande... Or les assureurs, sauf contrat très spécifique, rembourse la valeur vénale). 

- faire évoluer régulièrement cette liste (objets qui sortent de la collection et objets qui rentrent...)

- ne pas oublier que si vous possédez une grosse collection, vous devez mettre en face des moyens de protections de bon sens... (contre le vol, contre les dégâts des eaux etc...). 

 

Après sinistre, c'est l'expert de votre assurance qui établira l'évaluation de préjudice sur la base de votre réclamation. Il faudra donc travailler AVEC lui et non pas CONTRE lui. 

En cas de gros sinistre, je vous conseille de systématiquement prendre un contre-expert "expert pour le lésé" qui vous aidera à constituer et à structurer votre réclamation. Certains contrat MRH prévoient le remboursement des frais de contre-expertise, c'est une option qui peut être intéressante et faciliter le traitement de votre dossier sinistre. Cette option se décide à la souscription d'un contrat d'assurance et pas au moment du sinistre... 

Aidez vous d'Ebay ou d'annonces spécialisées pour justifier du prix de remplacement des objets que vous auriez pu perdre lors du sinistre.

Les experts sont peu sensible à des argumentations du type 'l' objet est introuvable aujourd'hui, c'est un objet de collectionneur'... C'est vrai dans notre microcosme, mais l'expert est là pour démêler la partie 'spéculative' ou 'fantasmée' d'un objet de collection... Car on peut faire rentrer tout et n'importe quoi dans une collection...même des jouets kinder... La simple 'indisponibilité' d'un produit industriel mais à tirage limité ne confère pas une valeur importante à quelques bouts de carton... Même si des 'collectionneurs' sont prêt à y mettre une centaine d'euros.

Par contre, si vos objets entrent réellement dans la notion de collection, vous devriez facilement trouver des publications et catalogues qui répertorient ces objets et donnent parfois des estimations (exemple : catalogue de ventes aux enchères de collections réputées, livres spécialisés etc...). 

 

 

Pour le cas de Magic Dream, la situation est un peu différente puisqu'il s'agit de locaux professionnels. Le sinistre est donc constitué par une perte mobilière (stock), immobilière (dégâts dans la boutique) et immatériel (perte d'exploration directe suite à l'incendie ou indirecte suite aux réparations). Hors l'évaluation du dommage, l'expert devra également définir la cause de l'incendie afin d'actionner les bonnes garanties, et déterminer les éventuelles responsabilités en fonction de la cause... Ce qui actionnera peut être des actions en recours sur d'autres assureurs, qui peuvent s'avérer longues ou difficiles. 

Bref, c'est une véritable épreuve qui attend MagicDream, et j'espère que tout se passera bien pour vous. En attendant, je vous souhaite beaucoup de courage ! 

Modifié par Philip59
  • Merci 8
Publié le
Il y a 5 heures, Frédéric (fredv) a dit :

Cela peut interesser tout le monde : je me souviens d'une discussion avec ma sympathique agent d'assurance qui tombait des nues quand j'ai voulu assurer mes quelques pièces de monnaie .. Elle ne semblait jamais avoir vu cela et le fichier que j'avais concocté avec des photos ne rentrait même pas dans leur logiciel (pour seulement 1000e de pièces véritables ou truquées)

 

En général les collections peuvent être assurées.

Il était possible de rentrer ces pièces comme pièces de collection?

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    • Derniers souvenirs partagés ici de cette FISM 2025 avec le 1er prix de micro-magie et Grand Prix FISM de Close-Up. *** Et puis le mercredi 16 IBUKI paru en scène, plia son foulard et avec lui la compétition de micro-magie. Ce n’était que la première session sur les trois de la compétition mais il n’y avait guère de doute qu’IBUKI serait au palmarès. La rumeur se répand rapidement comme souvent dans ce type d’événement. Le soir même coincé dans un bus avec la délégation russe qui avait loupé le passage du japonais les voilà qui m’assaillent de questions sur son numéro, car leur propre candidat, Vova, va devoir en découdre avec le magicien japonais. *** Description pour qui veut : IBUKI apparaît debout derrière sa table : sur celle-ci un tapis de close-up relevé à 45° vers le public et où se déroulera l’essentiel de la routine. Mais pas son introduction. Le magicien japonais sanglé dans une large veste de costume (couleur entre pêche et crème, mais pas noir, surtout pas noir), fermée sur le devant par quatre gros boutons, commence par poser alternativement ses mains sur des paires de boutons qui se téléportent magiquement jusqu’à se regrouper tous les quatre dans le coin supérieur gauche (vue du public) de son pan de veste.   Cousus là, tous les quatre.   Restés jusque-là bouche cousue, les premiers glapissements de surprise des spectateurs se font entendre dans la salle. Ce n’est que le début. *** Sur cette introduction : Les trois premiers effets de téléportation se produisent dans un plan vertical, sur la veste même d’IBUKI : il s’assure ainsi de l’excellente visibilité de cet effet de Matrix, effet redoublé d’une impossibilité matérielle : non seulement les boutons voyagent magiquement, mais avec eux leurs coutures aussi (sur cette impossibilité matérielle qui redouble le seul effet de téléportation, on pense par exemple à la Matrix avec des clous plantés dans une planche de Michael WEBER). Le contraste entre la couleur très claire du tissu et les boutons sombres participe de cette parfaite visibilité de l’effet - en plus d’éliminer certaines explications potentielles au tour. Et comme le montrera le reste de sa routine la visibilité des effets a été clairement un des problèmes qu’a eu à résoudre IBUKI.    IBUKI aurait pu faire le choix inverse : démarrer par les boutons regroupés puis les remettre magiquement à leur bonne place ; cela aurait fait sens si la routine avait été contextualisée : IBUKI aurait alors « réparé » magiquement la malfaçon initiale de sa veste. Mais ici pas de contexte, IBUKI préfère nous laisser sur l’image incongrue de cette veste aux boutons drôlement regroupés (d’ailleurs on a pu croiser dans les allées de la FISM IBUKI tout au long de ces six jours avec sa veste et ses drôles de boutons, conscient de cette image emblématique, cette image signature). En plus, en terminant avec les boutons regroupés là où ils ne servent plus à rien, quoi de plus naturel que de les découdre avec un petit ciseau de couturière.   La spectatrice (sans introduction formelle) assise à droite de la table se voit tendre les ciseaux et découd elle-même le 4e et dernier bouton (cette spectatrice jouera un rôle clef dans la suite de la mise en scène).    Enfin cette introduction instaure aussi l’émotion magique du reste de la routine : à savoir la surprise. « Les boutons ont voyagé...mais attendez un peu, surprise, ils sont bel et bien cousus ». D’ailleurs la première surprise de la suite du numéro sera que le « pouvoir » d’IBUKI ne va pas être tant la téléportation que de coudre entre eux magiquement et à volonté toutes sortes d’objets. *** Fin de l’introduction. Un foulard quadrillé est déplié sur le tapis incliné, les quatre boutons tout juste défaits de la veste sont chacun posés à un des quatre angles et à partir de là, et bien disons que plus rien ne va se passer comme prévu. Plutôt que de déflorer la suite de la routine deux remarques.  La visibilité : IBUKI a donc un problème : il va magiquement coudre entre eux des objets préalablement montrés « libres » les uns des autres…mais voilà : des coutures c’est bien peu visible de loin. La mise en scène de la routine pallie cette difficulté majeure de plusieurs façons : o   Quand il le peut IBUKI profite du contraste bien visible de loin du fil de couture blanc magiquement apparu sur certains objets noirs en montrant bien ceux-ci...sous toutes les coutures, avant et arrière. o   IBUKI va à plusieurs reprises basculer ses accessoires du plan incliné du tapis de close-up vers le plan vertical du début. Cela rend palpable les coutures même aux spectateurs les plus éloignés qui font physiquement l’expérience qu’en dépit de la gravité des objets restent désormais inexplicablement fixés, car cousus entre eux. o   À l’appui du mot « cousu » qu’il vient de prononcer, IBUKI mime (et ce mime a une autre raison d’être - voir ci-dessous, les mots) par de larges gestes de sa main droite, en vagues montantes et descendantes, l’acte même de l’aiguille qui coud, communiquant là encore pratiquement physiquement à tous les spectateurs l’expérience du fil qui transperce les objets pour les unir – ce qui renforce encore au passage la totale impossibilité de son effet magique. o   La spectatrice est elle aussi mise à contribution comme témoin-relais de l’ensemble du public : invitée à toucher les coutures, à découdre, à manipuler les boutons libres l’instant d’avant puis soudainement cousus sous sa propre paume ; jusqu’au tout dernier geste d’IBUKI envers cette spectatrice, geste qu’on ne révélera pas ici, mais qui a fait fondre les derniers neurones des spectateurs et du jury.            Obtenir une standing ovation de quelque 2200 spectateurs dans une salle dont il a été suffisamment dit qu’avec son sol plat elle offrait une piètre visibilité, et ce avec quatre boutons et un foulard, prouve combien cette mise en scène est efficace.  Les mots. Pas de dramatisation de l’effet via un contexte, pas de personnage autre d’IBUKI lui-même, un côté gendre idéal un rien timide engoncé dans son costume, posé au début, puis qui s’anime de plus en plus au gré du crescendo des effets. Le texte : réduit au possible ; en fait il va tout entier tourner autour d’un calembour assez sot (si j’ose dire) : les différentes acceptions en anglais du son [soʊ], de « tellement » (so), à « coudre » (saw), en passant par « vu » (saw). Mais ce jeu de mots à première vue bêta contribue à la montée en émotion de toute la routine. Et on l’a dit l’émotion visée est la surprise, aussi chaque séquence se déroule selon : o   Exposition de la situation initiale : les objets sont clairement séparés. o   La magie se produit en douce, sans incantation, ni geste magique. o   IBUKI prononce le son [soʊ] et on découvre stupéfait que l’effet n’est pas nécessairement celui attendu (une téléportation), mais qu’une nouvelle couture est apparue, et jamais là où on l’aurait imaginée. Le son [soʊ] n’a pas la valeur d’un abracadabra (car quand il est prononcé la magie est déjà advenue), mais il en conserve la valeur rythmique de leitmotiv en marquant le début de la phase de révélation de l’état final : dès qu’IBUKI se montre ravi que quelque chose de « so impossible » s’est produit (mime à l’appui de la couture pour souligner le piètre calembour so/saw) on frémit : on n’a rien vu et pourtant une nouvelle couture a surgi là où on ne l’attendait pas. La tension entre la naïveté assumée du jeu de mot qui nous nargue d’une part, et notre totale incompréhension du « truc » d’autre part, décuple alors l’émotion magique ressentie. *** Un dernier détail. Deux fois j’ai vu IBUKI (en compétition et dans le gala des gagnants) et deux fois à un certain moment de la routine alors qu’il se saisit du bouton le plus près de lui à sa gauche, le foulard amidonné reste malencontreusement (?) dressé à la verticale. Notre « taureau de la raison » (TAMARIZ) se rue sur ce pli accidentel : IBUKI ne profite-t-il pas d’un pli pas si fortuit pour y dissimuler un bouton resté en place et dont il n’a que simulé la prise ? L’instant suivant remarquant le désordre de son foulard IBUKI le saisit par deux coins, le claque pour le redéposer bien à plat sur le tapis…et anéantir au passage notre hypothèse : aucun bouton où nous le soupçonnions. L’art de la fausse piste, du red herring, est un art du tact : trop subtil, le leurre n’est même pas remarqué ; grossier, le spectateur flaire l’intention délibérée du magicien de l’égarer et se rebiffe. J’ignore si ce pli, bien vertical, bien visible était ou non une maladresse par deux fois réellement malencontreuse (improbable à ce niveau de compétition, d’autant que la chorégraphie d’IBUKI est impeccable partout ailleurs), j’ignore si ce minuscule « incident » du pi de trop a donc quoi que ce soit de réfléchi, d’intentionnel (voir même de nécessaire à la méthode), mais si tel est le cas, comme je le soupçonne, faire d’un faux pli un vrai contrôle de notre attention aura suffi à me ravir.    
    • Bonjour, Un peu plus haut en évoquant combien l''humanité" du personnage de Mortenn CHRISTIANSEN participe de la construction de son numéro, la citation de Derren BROWN que j'avais en tête est extraite de "Notes from a Fellow Traveller", page 416 :  
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