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Publié le
Il y a 3 heures, jayce a dit :

Je ne sais pas par où commencer c'est la pire version de tnr que j'ai vu il y a un seul joli moment au niveau de la restauration mais mon dieu niveau technique le gars il se complique la vie pour rien comment faire le plus compliqué possible à du être sa réflexion de départ et revenir au paquet pour faire la revelation finale... 

Puis lors de la restauration on voit au fur et à mesure que la carte a des séquelles de sa déchirure et comme par hasard a la restoration du dernier bout la carte redeviens neuve je trouve ça aberrant j'avais bien aimé le trailer mais mon dieu que c'est fastidieux à faire au niveau des angles une catastrophe bref 

Je reste à la version de houchin et torched and restore qui pour ce dernier est la version la plus facile et qui a tellement de belles réactions de la part du public 

Je te trouve dur.

J'aime beaucoup.

C'est : je prend, je colle....

 

Rien à cacher comparé à Yves. Et d'autres versions.

 

J'adore celle de Yves...une pépite... 

 

Les deux sont tops...

Juste la dernière qui est coton !!

 

Smart bastards magazine, c'est bientôt...

 

"Les magiciens sont en concurrence car ils prennent des parts du gâteau, alors que mon but est de faire grossir le gâteau." Kostya Kimlat

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Publié le
Il y a 12 heures, Calix a dit :

Je te trouve dur.

J'aime beaucoup.

C'est : je prend, je colle....

 

Rien à cacher comparé à Yves. Et d'autres versions.

 

J'adore celle de Yves...une pépite... 

 

Les deux sont tops...

Juste la dernière qui est coton !!

 

Te jures j'accroche pas du tout rien à cacher y' à quand même un e...... ge à la fin lol

Publié le

Oui c'est ce que je disais avec : la dernière est coton.

 

Perso, je ne suis pas très fan du fait qu’il n’y ai pas de plis sur la carte !

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Publié le
Il y a 2 heures, Calix a dit :

Oui c'est ce que je disais avec : la dernière est coton.

 

Perso, je ne suis pas très fan du fait qu’il n’y ai pas de plis sur la carte !

Pareil je trouve que c'est ce compliquer la vie pour rien la version de houchin est superbe aussi mais tu as déjà testé la version torched and restored ? Je sais pas si c'est le feu ou autre mais les réactions sont folles en plus je met un morceaux pf entre les 2 et quand j'allume ça fait super joli 

Publié le
Le 09/03/2019 à 19:36, jayce a dit :

Je reste à la version de houchin

Eh ben tu vois, pour ma part c'est celle de Houchin qui m'a totalement laissé de marbre...

Le "imp" (pour les fan du Jerx) de passer ses doigtrs le long de la flamme est très intéressant, mais sinon bof.

Je suis loin d'avoir une culture exaustive en TnR car je ne me suis mis qu'assez récemment dans ma pratique magique à désacraliser l'objet carte pour lui faire du mal.
Pour moi mes préférés (pliures restantes ou pas à la fin), sont :
- ToRn de Garcia (même si visiblement très largement inspiré de Doumergue, donc je le crédite aussi ex-aequo ne sachant pas qui est le premier de la poule ou de l'oeuf)
- Seamless
- la restauration de Williamson

  • J'aime 1

David

mnemonaute_tn.jpg

Publié le
Le 08/03/2019 à 07:11, Jon SPADE a dit :

Ma préférée d’un point de vue travail et effet reste celle de Karl Hein. Un chef d’œuvre. Mais celle-ci est vraiment superbe aussi je trouve.

Merci pour la découverte Jon SPADE, j'aime beaucoup cette version de Karl Hein. Pour ceux qui connaissent les 2 versions, Seamless a l'air d'utiliser le même principe, non?

  • Merci 1
Publié le
il y a 39 minutes, Alain (Monsieur A) a dit :

Merci pour la découverte Jon SPADE, j'aime beaucoup cette version de Karl Hein. Pour ceux qui connaissent les 2 versions, Seamless a l'air d'utiliser le même principe, non?

;)

www.jonspade-magicien.fr

Publié le
Il y a 23 heures, Calix a dit :

Perso, je ne suis pas très fan du fait qu’il n’y ai pas de plis sur la carte !

Ah bah comme quoi. ;) Je n'ai jamais aimé les effets de TnR car je trouve que c'est un non sens absolu de prétendre pouvoir reconstituer une carte tout en gardant un pli tout cracra (éventuellement résolu à la toute fin avec un change, mais ça reste bof à mes yeux). Du coup ici c'est LE truc qui fait que j'adore. 

Je n'y connais pas grand chose en TnR, il existait déjà des publications de reconstitution progressive et sans plis tout du long de la reconstruction ?

We're looking for a better solution to the problem when we should be looking for a better problem to work on.

Publié le
il y a 12 minutes, TanMai (Aurélien) a dit :

Ah bah comme quoi. ;) Je n'ai jamais aimé les effets de TnR car je trouve que c'est un non sens absolu de prétendre pouvoir reconstituer une carte tout en gardant un pli tout cracra (éventuellement résolu à la toute fin avec un change, mais ça reste bof à mes yeux). Du coup ici c'est LE truc qui fait que j'adore. 

Je n'y connais pas grand chose en TnR, il existait déjà des publications de reconstitution progressive et sans plis tout du long de la reconstruction ?

C'est du point de vue théorique que ça me dérange. 

 

La méthode: on a une carte A déchiré que l'on échange contre une carte B (dans toutes les TNR). 

L'effet de seamless: On voit une carte A déchirée, et ensuite elle ne l'est plus, ni meme aucunes traces du pliage. Qu'imagine le spéctateur: Ce n'est pas ma carte, il a du l'échanger contre une aute sans que je ne le détecte. 

 

Donc méthode = effet. 

 

Alors que si les stigmates restent, qu'imagine le spectateur?

-Ah, il doit avoir une carte avec des aimants, qui permettent de donner l'impression qu'elle est recollée, ou alors il a de la colle sur son ongle et il passe les morceaux sur la colle.

 

Le fait de l'envoyer sur ces différentes pistes, et après de refermer les portes, éloigne de la méthode, carte A => carte B. 

 

Rien n’empêche après tout ça, de faire un autre effet: l'effacement des pliures. Mais bien dissocier les deux: restoration et lissage, mais pas en même temps. 

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Publié le

De façon très brut, en effet ça se défend.

En revanche, si juste avant de rendre la carte, tu la presses entre tes 2 mains et que de la fumée s'en échappe, tu peux te permettre de la rendre intacte.

Tout dépend de la trame narrative. Mais en effet ça demande une autre préparation.
Tu peux aussi le faire sans gimmick magique en aspirant ouvertement de ta cigarette ou e-cig, tu recraches la fumée sur tes mains serrées, et tu laisses les spectateurs relier les points.

  • J'aime 1

David

mnemonaute_tn.jpg

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    • Derniers souvenirs partagés ici de cette FISM 2025 avec le 1er prix de micro-magie et Grand Prix FISM de Close-Up. *** Et puis le mercredi 16 IBUKI paru en scène, plia son foulard et avec lui la compétition de micro-magie. Ce n’était que la première session sur les trois de la compétition mais il n’y avait guère de doute qu’IBUKI serait au palmarès. La rumeur se répand rapidement comme souvent dans ce type d’événement. Le soir même coincé dans un bus avec la délégation russe qui avait loupé le passage du japonais les voilà qui m’assaillent de questions sur son numéro, car leur propre candidat, Vova, va devoir en découdre avec le magicien japonais. *** Description pour qui veut : IBUKI apparaît debout derrière sa table : sur celle-ci un tapis de close-up relevé à 45° vers le public et où se déroulera l’essentiel de la routine. Mais pas son introduction. Le magicien japonais sanglé dans une large veste de costume (couleur entre pêche et crème, mais pas noir, surtout pas noir), fermée sur le devant par quatre gros boutons, commence par poser alternativement ses mains sur des paires de boutons qui se téléportent magiquement jusqu’à se regrouper tous les quatre dans le coin supérieur gauche (vue du public) de son pan de veste.   Cousus là, tous les quatre.   Restés jusque-là bouche cousue, les premiers glapissements de surprise des spectateurs se font entendre dans la salle. Ce n’est que le début. *** Sur cette introduction : Les trois premiers effets de téléportation se produisent dans un plan vertical, sur la veste même d’IBUKI : il s’assure ainsi de l’excellente visibilité de cet effet de Matrix, effet redoublé d’une impossibilité matérielle : non seulement les boutons voyagent magiquement, mais avec eux leurs coutures aussi (sur cette impossibilité matérielle qui redouble le seul effet de téléportation, on pense par exemple à la Matrix avec des clous plantés dans une planche de Michael WEBER). Le contraste entre la couleur très claire du tissu et les boutons sombres participe de cette parfaite visibilité de l’effet - en plus d’éliminer certaines explications potentielles au tour. Et comme le montrera le reste de sa routine la visibilité des effets a été clairement un des problèmes qu’a eu à résoudre IBUKI.    IBUKI aurait pu faire le choix inverse : démarrer par les boutons regroupés puis les remettre magiquement à leur bonne place ; cela aurait fait sens si la routine avait été contextualisée : IBUKI aurait alors « réparé » magiquement la malfaçon initiale de sa veste. Mais ici pas de contexte, IBUKI préfère nous laisser sur l’image incongrue de cette veste aux boutons drôlement regroupés (d’ailleurs on a pu croiser dans les allées de la FISM IBUKI tout au long de ces six jours avec sa veste et ses drôles de boutons, conscient de cette image emblématique, cette image signature). En plus, en terminant avec les boutons regroupés là où ils ne servent plus à rien, quoi de plus naturel que de les découdre avec un petit ciseau de couturière.   La spectatrice (sans introduction formelle) assise à droite de la table se voit tendre les ciseaux et découd elle-même le 4e et dernier bouton (cette spectatrice jouera un rôle clef dans la suite de la mise en scène).    Enfin cette introduction instaure aussi l’émotion magique du reste de la routine : à savoir la surprise. « Les boutons ont voyagé...mais attendez un peu, surprise, ils sont bel et bien cousus ». D’ailleurs la première surprise de la suite du numéro sera que le « pouvoir » d’IBUKI ne va pas être tant la téléportation que de coudre entre eux magiquement et à volonté toutes sortes d’objets. *** Fin de l’introduction. Un foulard quadrillé est déplié sur le tapis incliné, les quatre boutons tout juste défaits de la veste sont chacun posés à un des quatre angles et à partir de là, et bien disons que plus rien ne va se passer comme prévu. Plutôt que de déflorer la suite de la routine deux remarques.  La visibilité : IBUKI a donc un problème : il va magiquement coudre entre eux des objets préalablement montrés « libres » les uns des autres…mais voilà : des coutures c’est bien peu visible de loin. La mise en scène de la routine pallie cette difficulté majeure de plusieurs façons : o   Quand il le peut IBUKI profite du contraste bien visible de loin du fil de couture blanc magiquement apparu sur certains objets noirs en montrant bien ceux-ci...sous toutes les coutures, avant et arrière. o   IBUKI va à plusieurs reprises basculer ses accessoires du plan incliné du tapis de close-up vers le plan vertical du début. Cela rend palpable les coutures même aux spectateurs les plus éloignés qui font physiquement l’expérience qu’en dépit de la gravité des objets restent désormais inexplicablement fixés, car cousus entre eux. o   À l’appui du mot « cousu » qu’il vient de prononcer, IBUKI mime (et ce mime a une autre raison d’être - voir ci-dessous, les mots) par de larges gestes de sa main droite, en vagues montantes et descendantes, l’acte même de l’aiguille qui coud, communiquant là encore pratiquement physiquement à tous les spectateurs l’expérience du fil qui transperce les objets pour les unir – ce qui renforce encore au passage la totale impossibilité de son effet magique. o   La spectatrice est elle aussi mise à contribution comme témoin-relais de l’ensemble du public : invitée à toucher les coutures, à découdre, à manipuler les boutons libres l’instant d’avant puis soudainement cousus sous sa propre paume ; jusqu’au tout dernier geste d’IBUKI envers cette spectatrice, geste qu’on ne révélera pas ici, mais qui a fait fondre les derniers neurones des spectateurs et du jury.            Obtenir une standing ovation de quelque 2200 spectateurs dans une salle dont il a été suffisamment dit qu’avec son sol plat elle offrait une piètre visibilité, et ce avec quatre boutons et un foulard, prouve combien cette mise en scène est efficace.  Les mots. Pas de dramatisation de l’effet via un contexte, pas de personnage autre d’IBUKI lui-même, un côté gendre idéal un rien timide engoncé dans son costume, posé au début, puis qui s’anime de plus en plus au gré du crescendo des effets. Le texte : réduit au possible ; en fait il va tout entier tourner autour d’un calembour assez sot (si j’ose dire) : les différentes acceptions en anglais du son [soʊ], de « tellement » (so), à « coudre » (saw), en passant par « vu » (saw). Mais ce jeu de mots à première vue bêta contribue à la montée en émotion de toute la routine. Et on l’a dit l’émotion visée est la surprise, aussi chaque séquence se déroule selon : o   Exposition de la situation initiale : les objets sont clairement séparés. o   La magie se produit en douce, sans incantation, ni geste magique. o   IBUKI prononce le son [soʊ] et on découvre stupéfait que l’effet n’est pas nécessairement celui attendu (une téléportation), mais qu’une nouvelle couture est apparue, et jamais là où on l’aurait imaginée. Le son [soʊ] n’a pas la valeur d’un abracadabra (car quand il est prononcé la magie est déjà advenue), mais il en conserve la valeur rythmique de leitmotiv en marquant le début de la phase de révélation de l’état final : dès qu’IBUKI se montre ravi que quelque chose de « so impossible » s’est produit (mime à l’appui de la couture pour souligner le piètre calembour so/saw) on frémit : on n’a rien vu et pourtant une nouvelle couture a surgi là où on ne l’attendait pas. La tension entre la naïveté assumée du jeu de mot qui nous nargue d’une part, et notre totale incompréhension du « truc » d’autre part, décuple alors l’émotion magique ressentie. *** Un dernier détail. Deux fois j’ai vu IBUKI (en compétition et dans le gala des gagnants) et deux fois à un certain moment de la routine alors qu’il se saisit du bouton le plus près de lui à sa gauche, le foulard amidonné reste malencontreusement (?) dressé à la verticale. Notre « taureau de la raison » (TAMARIZ) se rue sur ce pli accidentel : IBUKI ne profite-t-il pas d’un pli pas si fortuit pour y dissimuler un bouton resté en place et dont il n’a que simulé la prise ? L’instant suivant remarquant le désordre de son foulard IBUKI le saisit par deux coins, le claque pour le redéposer bien à plat sur le tapis…et anéantir au passage notre hypothèse : aucun bouton où nous le soupçonnions. L’art de la fausse piste, du red herring, est un art du tact : trop subtil, le leurre n’est même pas remarqué ; grossier, le spectateur flaire l’intention délibérée du magicien de l’égarer et se rebiffe. J’ignore si ce pli, bien vertical, bien visible était ou non une maladresse par deux fois réellement malencontreuse (improbable à ce niveau de compétition, d’autant que la chorégraphie d’IBUKI est impeccable partout ailleurs), j’ignore si ce minuscule « incident » du pi de trop a donc quoi que ce soit de réfléchi, d’intentionnel (voir même de nécessaire à la méthode), mais si tel est le cas, comme je le soupçonne, faire d’un faux pli un vrai contrôle de notre attention aura suffi à me ravir.    
    • Bonjour, Un peu plus haut en évoquant combien l''humanité" du personnage de Mortenn CHRISTIANSEN participe de la construction de son numéro, la citation de Derren BROWN que j'avais en tête est extraite de "Notes from a Fellow Traveller", page 416 :  
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