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Il est apparu à quelle date le tour de l'imprimerie de Duvivier ?

Il l'a inventé dans les années 70 en 1 heure de temps...Pas d'idée précise sur la date mais dans les alentours de 1973/ 1974.

Pour info :le tour que l'on voit dans la vidéo de Brother John Hamman

en premier était commercialisé par l 'academie de Magie G.Proust

sous le nom "hallucination"

"Hal-Deuce-Ination" :)

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Rires. mdr

Disons que quand je vois un gars crédule à ce point comme Duvuv54, prêts à gober prendre comme vérité non discutable toutes les assertions de DD jusqu'à s'en faire le porte-parole publiquement (à croire que c’est sa « mission » dans VM, faire de la promotion à son référent, sans même se rendre compte sans doute de son rôle de pion), je crois qu'il est préférable d'en rire (même si sa soumission et son engagement récurrent sont un peu pathétiques). Passons...

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Alors que plusieurs pages sur les petits paquets ont vu le jour, je me permets de donner un extrait en guise de petit rappel qui me semble important, il s'agit d'un passage de Prestidigitation Mille et une sources des P&P (Philippe Billot et Pierre Guedin), chapitre Twisting, je vous y renvoie ; rien que pour ce seul effet sont recensées plus d'une trentaine de références.

Si Alex Elmsley n’avait pas inventé le Ghost Count, Dai Vernon aurait-il créé ce tour extraordinaire ? Question de pure forme puisque l’effet existait déjà depuis 1946.

Cette date vous surprend peut-être mais tout le monde (pour une fois) est d’accord là-dessus, la mode des tours de « petits paquets » a commencé le jour où George SANDS (connu surtout pour son numéro de corde intitulé Ropesational) fit paraître dans la revue Hugard’s Magic Monthly, vol. 4, n° 7 de décembre 1946, p. 275, un effet intitulé Super Optical Illusion.

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Un petit tour sympa et méconnu, le "Gorgeous" de Ken Kurita qu'Ali m'a fait découvrir et qui est je crois toujours dispo chez lui

Bonjour xav5000, la vidéo que tu avais éditée n'est plus la bonne, j'ai tenté de l'incruster également mais une autre s'affiche à la place (la même que la tienne actuellement, une restriction de l'insertion YouTube par pays peut-être ?). Mais on peut visionner immédiatement la vidéo en écrivant dans la case recherche de YouTube ces mots : Gorgeous Ken Kurita

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Par ailleurs, je crois que le sujet en cours n'est pas assez cadré, en effet les tours de petits paquets reposent sur des contraintes différentes selon qu'il s'agit d'un petit paquet dont les cartes sont tirées d'un jeu normal (par exemple emprunté), d'un set de cartes truquées sorti d'une poche au moment voulu, ou encore d'un mélange de ces deux options (un ajout secret de quelques cartes – truquées ou pas – par exemple). L'approche, l'analyse et donc le résultat sont très différents. À ce jour, personne ne transforme réellement des cartes empruntées en cartes à dos rose ou à pois jaunes n'est-ce pas ? ;)

Dans l’attente des réponses de Duduv54 à mes questions précédentes qu’il a parfaitement feint d’ignorer (mais ça ne trompe personne ;) ).

Publié le

Je comprends certes ton opinion, quand on parle de petits paquets, cela semble (et est, certainement) plus frappant de faire un tour de "petit paquet" à partir d'un jeu emprunté, ou en y ayant inséré quelques cartes supplémentaires (sans doute truquées) mais quand je fais un tour de petit paquet à un public en close up, ils ne sont pas crédules au point de se dire ce mec est une imprimante réelle il ferait mieux d'imprimer des billets de banque mais au contraire, ils se disent : "Je sais qu'il utilise des cartes truquées, ou plutôt imprimées mais comment fait-il pour me montrer au départ des cartes normales qui se transforment ? " et je trouve que c'est là que l'art du magicien en ressort encouragé : " Je sais qu'il y a un truc mais je ne comprends pas comment il fait ..."

Au commencement des temps, les mots et la magie étaient une seule et même chose (Freud)

Publié le

Pas de grosse divergence entre nous Itsmikeme (même si je ne partage pas totalement l'idée que "cela semble plus frappant de faire un tour de "petit paquet" à partir d'un jeu emprunté, ou en y ayant inséré quelques cartes supplémentaires" : en fait, c'est très relatif !) : j'aime toutes les formes d’expressions magiques et tous les styles de tours de petits paquets. Je dis juste qu'il est très difficile de comparer les effets produits avec un jeu normal (c'est à dire ayant des limites physiques liées à ce qu'il faut bien convenir être "la réalité") et ceux produits avec des cartes spéciales (qui en final apparaîtront avec des faces et/ou des dos absolument non conventionnels par exemple). Il s'agit selon moi de deux catégories différentes (du point de vue du magicien qui n'a pas du tout les mêmes contraintes). Après... il s'agit d'un forum et ça va être un sujet fourre-tout mais pourquoi pas...

De plus, il y a des tours de petits paquets avec des cartes ESP (autre catégorie ? Faut-il faire le distinguo entre les cartes ESP "normales" et les truquées ?). Est-ce qu'un tour dont la construction existe avec des cartes normales est fondamentalement différent si on utilise à la place des cartes spéciales (il existe une multitude de tours de petits paquets automatiques, bon courage pour en faire la liste ! Si en plus on y additionne les variantes consistant à changer les cartes standard par des cartes ESP ou des cartes imprimées, le choix est gigantesque). Mais j'ai bien compris que le sujet est en fait une question relative à un "tour de petit paquet préféré", c'est donc très subjectif et plus lié à l'affect qu'à l'intellect.

Publié le (modifié)

L'ignorance est le plus grand des mépris...je ne répondrai pas aux questions ci-dessus.

J'ai le droit d'aimer DD comme d'autres sont dingues de BEBEL. Chacun son truc, chacun son domaine. Je fais de la magie pour MON plaisir et celui des SPECTATEURS. Le monde des magiciens ne m'intéresse plus du tout. J'aime discuté sur les forums lorsque les sujets m'interpellent. Je n'ai fait que participer au sujet des petits paquets et je m'en prend plein le g.u.e.u.l.e. Je m'en fou et j'assume pleinement mon admiration pour Dominique Duvivier. J'en aime d'autres comme Vallarino (à ses débuts) et aussi Sylvain Mirouf qui m'a fait rêver de nombreuses fois dans mon enfance avec ses passages tv à Studio Gabriel. Bernard Bilis, du temps de "Coucou C'est Nous" m'a vraiment troué le c.. plus d'une fois avec les cartes mais lorsque j'ai découvert "La Carte Caméléon" de DD sur Fr3 "Attention Magie", j'ai adoré (préféré) ce magicien aux autres. Où est le mal d'avoir une idôle (magique, cinéma, musique...)???

Que ça plaise ou non; c'est comme ça ! je ne critique pas ceux qui rafolent de BEBEL ou d'un autre magicien (peu importe BEBEL est un exemple car il est connu et adoré de beaucoup ici) car je respecte les préférences de chacun.

C'est tout ce que j'ai à dire. Désolé d'avoir "dévié" le sujet initial mais on m'y a obligé. Alors en public, je dis haut et fort que j'emm.... quiconque me fera des réfléxions désobligeantes parce que j'aime DD. C'est une tradition dans le monde magique de casser DD et son entourage...pas grave, la magie n'est qu'une grande passion et à côté de cela, j'ai une vraie vie donc je ne vais pas me prendre la tête plus que cela. La vie réelle de tous les jours est déjà bien merdique comme ça, je ne viens pas ici pour être en conflit mais pour la détente.

Les hommes n'ont visiblement pas encore tous compris qu'au lieu de se faire la guerre et se tirer dans les pattes les uns / les autres, nous ferions mieux de tous nous unir et avancer ensemble...

A bon entendeur...et sans rancunes.

Bye !

Duduv54

Modifié par duduv54
Publié le

Juste en passant, je remercie Christian Girard d'avoir pour une fois écrit d'une police de taille normale ;)

En effet, ses messages sont TRES intéressants et souvent TRES longs, et quand ils sont écris en grandes lettres, c'est assez illisible...

MERCI CHRISTIAN!

Hannibal, amateur de réponses constructives ET lisibles :)

Publié le

Voilà, je te suis complètement dans cette optique, ma question de départ n'est plus ni moins que de savoir ce que chacun aime le plus dans sa magie concernant les petits paquets et pouvoir me dire tiens, beaucoup apprécient ceci, ou certains me font connaître un tour que je ne connaissais pas. Tout est relatif en effet dans les manières ou les pourquoi? on le fait, du moment que c'est enrichissant et que chacun pisse partager.

Au commencement des temps, les mots et la magie étaient une seule et même chose (Freud)

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Pas de tracas, pas d'énnervement, chacun aime plus ou moins un tel ou un tel autre et peu importe de qui il s'agit, moi je l'adore aussi (tout comme d'autres, je le sais), on est tous à la même enseigne.

Au commencement des temps, les mots et la magie étaient une seule et même chose (Freud)

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    • A défaut, il te suffit de présenter n'importe quelle routine de ton répertoire à tes spectateurs pour que ceux-ci puissent expliquer par la suite qu'ils ont vu un tour de Pierre (et à une lettre près, on n'est pas si loin de la demande initiale. Sans que cela ne te coûte un centime. Merci qui 😜 ?)
    • Derniers souvenirs partagés ici de cette FISM 2025 avec le 1er prix de micro-magie et Grand Prix FISM de Close-Up. *** Et puis le mercredi 16 IBUKI paru en scène, plia son foulard et avec lui la compétition de micro-magie. Ce n’était que la première session sur les trois de la compétition mais il n’y avait guère de doute qu’IBUKI serait au palmarès. La rumeur se répand rapidement comme souvent dans ce type d’événement. Le soir même coincé dans un bus avec la délégation russe qui avait loupé le passage du japonais les voilà qui m’assaillent de questions sur son numéro, car leur propre candidat, Vova, va devoir en découdre avec le magicien japonais. *** Description pour qui veut : IBUKI apparaît debout derrière sa table : sur celle-ci un tapis de close-up relevé à 45° vers le public et où se déroulera l’essentiel de la routine. Mais pas son introduction. Le magicien japonais sanglé dans une large veste de costume (couleur entre pêche et crème, mais pas noir, surtout pas noir), fermée sur le devant par quatre gros boutons, commence par poser alternativement ses mains sur des paires de boutons qui se téléportent magiquement jusqu’à se regrouper tous les quatre dans le coin supérieur gauche (vue du public) de son pan de veste.   Cousus là, tous les quatre.   Restés jusque-là bouche cousue, les premiers glapissements de surprise des spectateurs se font entendre dans la salle. Ce n’est que le début. *** Sur cette introduction : Les trois premiers effets de téléportation se produisent dans un plan vertical, sur la veste même d’IBUKI : il s’assure ainsi de l’excellente visibilité de cet effet de Matrix, effet redoublé d’une impossibilité matérielle : non seulement les boutons voyagent magiquement, mais avec eux leurs coutures aussi (sur cette impossibilité matérielle qui redouble le seul effet de téléportation, on pense par exemple à la Matrix avec des clous plantés dans une planche de Michael WEBER). Le contraste entre la couleur très claire du tissu et les boutons sombres participe de cette parfaite visibilité de l’effet - en plus d’éliminer certaines explications potentielles au tour. Et comme le montrera le reste de sa routine la visibilité des effets a été clairement un des problèmes qu’a eu à résoudre IBUKI.    IBUKI aurait pu faire le choix inverse : démarrer par les boutons regroupés puis les remettre magiquement à leur bonne place ; cela aurait fait sens si la routine avait été contextualisée : IBUKI aurait alors « réparé » magiquement la malfaçon initiale de sa veste. Mais ici pas de contexte, IBUKI préfère nous laisser sur l’image incongrue de cette veste aux boutons drôlement regroupés (d’ailleurs on a pu croiser dans les allées de la FISM IBUKI tout au long de ces six jours avec sa veste et ses drôles de boutons, conscient de cette image emblématique, cette image signature). En plus, en terminant avec les boutons regroupés là où ils ne servent plus à rien, quoi de plus naturel que de les découdre avec un petit ciseau de couturière.   La spectatrice (sans introduction formelle) assise à droite de la table se voit tendre les ciseaux et découd elle-même le 4e et dernier bouton (cette spectatrice jouera un rôle clef dans la suite de la mise en scène).    Enfin cette introduction instaure aussi l’émotion magique du reste de la routine : à savoir la surprise. « Les boutons ont voyagé...mais attendez un peu, surprise, ils sont bel et bien cousus ». D’ailleurs la première surprise de la suite du numéro sera que le « pouvoir » d’IBUKI ne va pas être tant la téléportation que de coudre entre eux magiquement et à volonté toutes sortes d’objets. *** Fin de l’introduction. Un foulard quadrillé est déplié sur le tapis incliné, les quatre boutons tout juste défaits de la veste sont chacun posés à un des quatre angles et à partir de là, et bien disons que plus rien ne va se passer comme prévu. Plutôt que de déflorer la suite de la routine deux remarques.  La visibilité : IBUKI a donc un problème : il va magiquement coudre entre eux des objets préalablement montrés « libres » les uns des autres…mais voilà : des coutures c’est bien peu visible de loin. La mise en scène de la routine pallie cette difficulté majeure de plusieurs façons : o   Quand il le peut IBUKI profite du contraste bien visible de loin du fil de couture blanc magiquement apparu sur certains objets noirs en montrant bien ceux-ci...sous toutes les coutures, avant et arrière. o   IBUKI va à plusieurs reprises basculer ses accessoires du plan incliné du tapis de close-up vers le plan vertical du début. Cela rend palpable les coutures même aux spectateurs les plus éloignés qui font physiquement l’expérience qu’en dépit de la gravité des objets restent désormais inexplicablement fixés, car cousus entre eux. o   À l’appui du mot « cousu » qu’il vient de prononcer, IBUKI mime (et ce mime a une autre raison d’être - voir ci-dessous, les mots) par de larges gestes de sa main droite, en vagues montantes et descendantes, l’acte même de l’aiguille qui coud, communiquant là encore pratiquement physiquement à tous les spectateurs l’expérience du fil qui transperce les objets pour les unir – ce qui renforce encore au passage la totale impossibilité de son effet magique. o   La spectatrice est elle aussi mise à contribution comme témoin-relais de l’ensemble du public : invitée à toucher les coutures, à découdre, à manipuler les boutons libres l’instant d’avant puis soudainement cousus sous sa propre paume ; jusqu’au tout dernier geste d’IBUKI envers cette spectatrice, geste qu’on ne révélera pas ici, mais qui a fait fondre les derniers neurones des spectateurs et du jury.            Obtenir une standing ovation de quelque 2200 spectateurs dans une salle dont il a été suffisamment dit qu’avec son sol plat elle offrait une piètre visibilité, et ce avec quatre boutons et un foulard, prouve combien cette mise en scène est efficace.  Les mots. Pas de dramatisation de l’effet via un contexte, pas de personnage autre d’IBUKI lui-même, un côté gendre idéal un rien timide engoncé dans son costume, posé au début, puis qui s’anime de plus en plus au gré du crescendo des effets. Le texte : réduit au possible ; en fait il va tout entier tourner autour d’un calembour assez sot (si j’ose dire) : les différentes acceptions en anglais du son [soʊ], de « tellement » (so), à « coudre » (saw), en passant par « vu » (saw). Mais ce jeu de mots à première vue bêta contribue à la montée en émotion de toute la routine. Et on l’a dit l’émotion visée est la surprise, aussi chaque séquence se déroule selon : o   Exposition de la situation initiale : les objets sont clairement séparés. o   La magie se produit en douce, sans incantation, ni geste magique. o   IBUKI prononce le son [soʊ] et on découvre stupéfait que l’effet n’est pas nécessairement celui attendu (une téléportation), mais qu’une nouvelle couture est apparue, et jamais là où on l’aurait imaginée. Le son [soʊ] n’a pas la valeur d’un abracadabra (car quand il est prononcé la magie est déjà advenue), mais il en conserve la valeur rythmique de leitmotiv en marquant le début de la phase de révélation de l’état final : dès qu’IBUKI se montre ravi que quelque chose de « so impossible » s’est produit (mime à l’appui de la couture pour souligner le piètre calembour so/saw) on frémit : on n’a rien vu et pourtant une nouvelle couture a surgi là où on ne l’attendait pas. La tension entre la naïveté assumée du jeu de mot qui nous nargue d’une part, et notre totale incompréhension du « truc » d’autre part, décuple alors l’émotion magique ressentie. *** Un dernier détail. Deux fois j’ai vu IBUKI (en compétition et dans le gala des gagnants) et deux fois à un certain moment de la routine alors qu’il se saisit du bouton le plus près de lui à sa gauche, le foulard amidonné reste malencontreusement (?) dressé à la verticale. Notre « taureau de la raison » (TAMARIZ) se rue sur ce pli accidentel : IBUKI ne profite-t-il pas d’un pli pas si fortuit pour y dissimuler un bouton resté en place et dont il n’a que simulé la prise ? L’instant suivant remarquant le désordre de son foulard IBUKI le saisit par deux coins, le claque pour le redéposer bien à plat sur le tapis…et anéantir au passage notre hypothèse : aucun bouton où nous le soupçonnions. L’art de la fausse piste, du red herring, est un art du tact : trop subtil, le leurre n’est même pas remarqué ; grossier, le spectateur flaire l’intention délibérée du magicien de l’égarer et se rebiffe. J’ignore si ce pli, bien vertical, bien visible était ou non une maladresse par deux fois réellement malencontreuse (improbable à ce niveau de compétition, d’autant que la chorégraphie d’IBUKI est impeccable partout ailleurs), j’ignore si ce minuscule « incident » du pi de trop a donc quoi que ce soit de réfléchi, d’intentionnel (voir même de nécessaire à la méthode), mais si tel est le cas, comme je le soupçonne, faire d’un faux pli un vrai contrôle de notre attention aura suffi à me ravir.    
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