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Publié le
Le 02/06/2019 à 01:34, Otto WESSELY a dit :

Jeter : Ca me gène.

 

Il y a 1 heure, Georges PERON a dit :

moi je trouve que le bordel a davantage de chance de mener à la créativité que le vide.

Avant de jeter, se poser la question du "où ça va vraiment après", à regarder le documentaire "Supertrash" de Martin Esposito. Une pensée pour Lavoisier aussi (C'est un grand fan des films Transformers... ). 

Le bordel est-il plus idéal pour être créatif, pas sûr, oui et non ( et ça dépend de la quantité aussi).

Ils ont fait une série sur le rangement sur Netflip...alors là...bientôt les ch'tis à Mykonos sur Arte ? 

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Publié le
il y a 32 minutes, Aleximilio a dit :

Le bordel est-il plus idéal pour être créatif, pas sûr, oui et non ( et ça dépend de la quantité aussi).

 

Sans doute. Et ça va dépendre aussi de la personne.  Personnellement, je ne compte plus le nombre d'idées que j'ai eues (pas toutes bonnes, hein !) en feuilletant un livre qui trainait dans la maison... si mes livres étaient tous bien rangés, ou si je n'avais que des PDF stockés sur un ordinateur, ou si je n'avais pas de livres, je ne serais probablement jamais tombés sur les passages qui m'ont inspiré...  

  • J'aime 1
Publié le (modifié)
Il y a 9 heures, Aleximilio a dit :

à regarder le documentaire "Supertrash" de Martin Esposito.

Il existe même un sujet sur les déchets (où j’avais parlé de ce film, entre autres)  : 


 

 

Modifié par Christian GIRARD
Publié le (modifié)
Il y a 19 heures, Georges PERON a dit :

Sans doute. Et ça va dépendre aussi de la personne.  Personnellement, je ne compte plus le nombre d'idées que j'ai eues (pas toutes bonnes, hein !) en feuilletant un livre qui trainait dans la maison... si mes livres étaient tous bien rangés, ou si je n'avais que des PDF stockés sur un ordinateur, ou si je n'avais pas de livres, je ne serais probablement jamais tombés sur les passages qui m'ont inspiré...  

Ce qui est certain c’est que le développement intellectuel d’un humain nécessite des interactions nombreuses avec le monde extérieur (oui, « l’univers empirique »).  

Je me souviens de tests réalisés sur des rats,  certains élevés avec des objets diversifiés dans leur cage et avec lesquels ils pouvaient jouer et interagir, d’autres sans ; je vous laisse deviner lesquels trouvaient ensuite le plus vite leur chemin pour sortir de labyrinthes. 

 Une petite recherche via Scholar Google (ou Google tout court) avec les termes « désordre et intelligence » ouvre sur diverses infos intéressantes (il est 7 h du mat’, je n’ai pas approfondi). 

Modifié par Christian GIRARD
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Publié le
il y a une heure, Christian GIRARD a dit :

(il est 7 h du mat’, je n’ai pas approfondi)

C'est suffisant 🙂 la simplicité suffit.

Il y a 10 heures, Georges PERON a dit :

si je n'avais pas de livres, je ne serais probablement jamais tombés sur les passages qui m'ont inspiré

 

Il y a 10 heures, Georges PERON a dit :

en feuilletant un livre qui trainait dans la maison

Alors le thème du livre, c'est le rangement, mais il traîne...bon après tout pourquoi pas.

Il y a 1 heure, Christian GIRARD a dit :

le développement intellectuel d’un humain nécessite des interactions  nombreuses avec le monde extérieur

Apprendre à regarder dans l'invisible, et ça devient visible, être curieux rend possiblement plus curieux. La manière d'apprendre influence t-elle le résultat ? Comprendre plus en détail avec un livre est-il plus gratifiant, que de le voir dans une vidéo ? bonne question, enfin je fais de la pub pour les livres, voilà une des plus belles invention possible, et il ne tombe presque jamais en panne (presque!).

Publié le

Avec une chaussette dedans comme marque page en plus...Marie va pas être contente attention...Dans le livre de blagues Belges, bon encore ça peut passer pourquoi pas, mais dans le livre du rangement...c'est dérangeant. 

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  • 3 weeks plus tard...

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    • Je viens de terminer "Le magicien d'Auschwitz" et je suis assez partagé. Ce livre est bien écrit, certains passages sont un peu longs (mais ils sont rares) et au final, je ne me suis pas ennuyé mais je ne sais toujours pas quoi en penser. L'une des rares choses que j'ai apprises à propos de cette période ignoble (le mot est encore trop faible) n'a pas été écrite dans le roman mais dans la postface, par l'auteur lui-même, et concerne les sonderkommandos, notamment la façon dont ils ont vécu l'après-guerre (pour les rares survivants de ces "forces spéciales"). Par ailleurs, je connaissais l'intérêt irrationnel des nazis pour les sciences occultes et s'il n'aborde finalement que très peu cet aspect (juste pour établir un lien entre l'occultisme complètement hors sol des nazis et l'illusionnisme du Grand Nivelli), l'auteur remet néanmoins au centre - même ponctuellement - cet aspect du nazisme considéré, jusqu'il y a peu, comme un pan anecdotique de la doctrine nationale-socialiste (et aujourd'hui, évoqué, à juste titre semble-t-il, comme un élément essentiel de cette idéologie). Pour le reste, le côté romanesque de cet ouvrage n'est pas fou mais l'on finit assez rapidement par s'attacher aux personnages et s'intéresser à leur effroyable parcours (s'il n'avait pas mis en scène un illusionniste, il y a fort à parier que l'on n'en aurait jamais parlé ici). Mais la vraie force de ce livre réside, selon moi, dans la description minutieuse du déroulement du processus de persécution des Juifs jusqu'à la mise en oeuvre de la "solution finale" et cela revêt une véritable valeur documentaire. Il y aurait encore beaucoup à dire et je dois avouer qu'en débutant la rédaction de ce commentaire, j'avais pratiquement décidé de ne pas poursuivre avec "Le manuscrit de Birkenau" mais je pense que ce serait une erreur car si l'on "sait" l'horreur qu'ont vécu les victimes du régime nazi à Auschwitz-Birkenau (mais aussi à Treblinka, Sobibor ou encore Dachau), il est nécessaire d'en entretenir le souvenir et à ce titre, ce roman est exemplaire. Et pour ceux qui veulent approfondir cet important - mais éprouvant -  devoir mémoriel envers les victimes du 3e Reich, je conseille "la mémoire meurtrie", film documentaire consacré à la libération du camp de Bergen-Belsen (attention cependant, certaines séquences sont particulièrement difficiles), le livre de Primo Lévi, "Si c'est un homme" (témoignage essentiel et bouleversant) et, peut-être plus accessible, "Adieu Birkenau" (BD réalisée à partir du témoignage de Ginette Kolinka, rescapée d'Auschwitz-Birkenau). My2Cents W.
    • On est d'accord sur le fait qu'il n'y a pas grand chose disponible sur la toile à ce sujet 😅
    • J'avais identifié les travaux de Fairmagic, mais je ne connaissais pas le livre de Gary Brown. Dans Puzzlers' tribute. A feast for the mind  l'un chapitre écrit par Luc De Smet décrit la technique "trapdoor". Cette technique est aussi très bien expliquée dans cette vidéo : Mais dans l'ensemble, il y a peu de ressources sur le net. Je n'ai rien trouvé d'autre de vraiment utile. D'où la nécessité du reverse engineering ! Bob
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