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  • 1 month plus tard...
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Publié le

Merci beaucoup pour cette chaine qui m'a fait découvrir le Grand système de Tony Buzan.

Il y a 7 ou 8 ans j'avais appris 200 décimales de pi en m'appuyant sur une table de rappels adaptée de celle d'Olivier Lejeune. Grace à vous, j'ai envie de m'y remettre mais cette fois avec le Grand Système (adapté là aussi à ma sauce) qui me parait beaucoup plus rationnel. Et cette fois je vise 300 décimales ! La grande force de ce système, c'est qu'on peut en un seul mot (donc une seule image) symboliser un nombre de plus de 2 chiffres. Par exemple, péniche, c'est 926, les 3 premières décimales à mémoriser (après les automatiques 3,1415).

Autre projet : me décider à apprendre un chapelet. Reste à mettre au point une symbolique pour les cartes à associer avec les 52 premières entrées du Grand système.

Encore merci, David, vivement la suite.

Publié le

Je crois en fait que je vais opter pour le système décrit ici http://www.huffingtonpost.com/tim-ferriss/how-to-memorize-a-deck-of_b_2638940.html en l’adaptant là aussi à ma façon (les cartes 5 & 6 seront des pianistes classiques, les cartes 9 & 10 des hommes & femmes politiques français...). J'ai déjà rempli aux 3/4 mon tableau de 52 cases ce matin...

Pour info, le fameux livre "Mémoire d'éléphant" d'Olivier Lejeune est dispo sur le site de Lejeune, j'ai vérifié en en commandant un pour 20 € fdpi (et non pas 15 comme indiqué sur le site) après vérification de la disponibilité et du prix par un échange d'emails (tu râles à juste titre dans l'une de tes vidéos qu'on ne le trouve que d'occasion et très cher, et c'est vrai si on interroge Amazon & co).

Publié le (modifié)
Le 27/02/2017 à 14:28, Stavroguine a dit :

Merci beaucoup pour cette chaine qui m'a fait découvrir le Grand système de Tony Buzan.

Il y a 7 ou 8 ans j'avais appris 200 décimales de pi en m'appuyant sur une table de rappels adaptée de celle d'Olivier Lejeune. Grace à vous, j'ai envie de m'y remettre mais cette fois avec le Grand Système (adapté là aussi à ma sauce) qui me parait beaucoup plus rationnel. Et cette fois je vise 300 décimales ! La grande force de ce système, c'est qu'on peut en un seul mot (donc une seule image) symboliser un nombre de plus de 2 chiffres. Par exemple, péniche, c'est 926, les 3 premières décimales à mémoriser (après les automatiques 3,1415).

Autre projet : me décider à apprendre un chapelet. Reste à mettre au point une symbolique pour les cartes à associer avec les 52 premières entrées du Grand système.

Encore merci, David, vivement la suite.

Comme tu maitrises deja le major system tu peux aussi t'en servir pour les cartes

le 0 etant les "10"

but du jeu avoir le debut de ton personnage phonetiquement

le chiffre du major system la consonne

la couleur de la carte la voyelle

cOeur = O

cArreau = A

pIque = I

trEflE = E

donc 9 de carreau PA et tu choisis le premier personnage qui te vient a l"esprit (PApin, PAntani)

 

6 de carreau = CHAt etc...

 

te restera a apprendre par coeur les figures, me suis servi de ca avec un systeme de consonnes 'perso' et ca marche tres bien

 

Voila juste une idée en passant :-)

 

Modifié par larotule

Une biographie ca s'invente.

Publié le
Il y a 14 heures, Chakkan a dit :

Je connais plusieurs méthodes similaires, mais je ne connaissais pas cet article.

Un grand merci pour le partage.

Je vais d'ailleurs m'en servir pour faire une vidéo, c'est bien plus simple que la majorité de ce que j'ai pu lire.

Très fier je suis d'être l'inspirateur d'un futur épisode de Mnémonaute ! Vivement !

  • 2 months plus tard...
Publié le

La petite dernière !

Vous m'avez manqué... et pendant l'attente vous avez demandé la suite de la liste de rappel, alors reprenons par là ! ;o)
Couvrons les nombres de 40 à 53.
Pourquoi 53 ? Pourquoi pas ! J'étais lancé, j'ai pas pu m'arrêter.

Pensez à partager, ça fait toujours plaisir =)

 

 

  • J'aime 1

David

mnemonaute_tn.jpg

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    • Voici un extrait de la FISM : Le règlement est très vague et de ce fait, on peut arguer que la simple disparition d'un FP dans un foulard aurait compté. Maintenant comme on peut voir plus haut, Dani n'a pas été éliminé. A moins, de discuter avec les juges, il est donc difficile de savoir ce qu'il lui aurait permis d'avoir plus de points.
    • Bonjour, Plus frappant peut-être était surtout l'hommage final à René LAVAND, et ses trois boulettes de mie de pain dans la tasse, exécuté ici à quatre mains...ou plutôt à deux mains sur quatre - Rubi FEREZ étant la main droite et Fernando NADAL la gauche ; et sans récitation de poème non plus mais en musique. Le duo FEREZ-NADAL fonctionne ceci dit à l'opposé de celui de Pepe CARROLL et Juan TAMARIZ - si je m'en réfère à leurs apparitions dans la série Magia Potagia. *** Pour Pepe CARROLL et Juan TAMARIZ la dramaturgie du numéro se nouait généralement sur une mise en compétition entre eux, se lançant des défis mutuellement, essayant de surpasser l'autre ; ou, parfois, le fantasque et farceur Juan TAMARIZ tendant un "piège" dans le dos de l'élégant et suave  Pepe CARROLL -modifiant par exemple avec un clin d’œil au public l'ordre de certaines cartes, ou mélangeant carrément le paquet à son insu. Mais immanquablement Pepe CARROL retombait sur ses pieds, comme si de rien n'était, l'embuche tendue par J.TAMARIZ effacée par magie... Dans ce dispositif-ci,  l'intérêt est que ce conflit narratif "extérieur" entre les deux magiciens agit à la manière d'une couverture pour leur collusion secrète bien réelle : le mélange de l'un destiné à compliquer la tâche de l'autre - récit apparent- a en réalité bien l'objectif par exemple d’amener secrètement l'arrangement voulu sur le dessus du paquet, arrangement qui permettra justement au second magicien de "briller" en dépit de l’apparente traitrise du mélange du paquet par le premier ( voir l'introduction du classique  "Magic and Showmanship" de H.NELMS pour un autre exemple de  conflit narratif apparent  comme couverture du modus operandi réel de l'effet, par complicité secrète entre les deux adversaires déclarés du récit). *** Le duo FEREZ-NADAL, lui, est soudé pour produire l'effet magique, soudé littéralement bien souvent, épaule contre épaule. La séquence intermédiaire du numéro à une main chacun sur la guitare, et à une main chacun sur la table pour y produire l'effet magique, illustre cette complète coopération. S'il y a bien une dynamique de (léger) conflit entre les deux personnages elle n'est pas sur la table mais sur leurs visages avec deux leitmotiv : les lunettes de Fernando ne cesse de lui glisser sur le bout du nez et c'est Rubi qui les lui remonte en place. Ce simple geste pose les deux personnages : Fernando est le "sérieux" du duo, soucieux des apparences, et Rubi est l’affectueux, le bienveillant. Fernando, par souci des convenances, ne cesse d'arracher un cure-dent d’entre les dents de Rubi, et le cure-dent malicieusement fait perpétuellement sa réapparition dans la bouche de Rubi. Mais aucune provocation de l'un par rapport à l'autre ici, non, c’est juste que Rubi est l'enfantin des deux -et son cure-dent, et bien, il ne peut juste pas s'en empêcher c'est tout. Avec son visage ovale illuminé de son franc sourire, ou même lorsqu'il fait fait son mystérieux - tel un petit enfant qui aurait caché un objet dans sa main et nous lancerait "Devine !"-, Rubi FEREZ a un charisme tel qu'il désamorce instantanément tout bras de fer magicien-public quant au secret : la magie advient, tout simplement. *** À noter qu'il y avait un autre duo en compétition de micro-magie, les suisses Omini et Nico qui ont vendredi matin fait l'ouverture de la 3e et dernière session de la compétition close-up/magie de salon, avec un numéro extrêmement soigné, bien construit, où des balles éponges vertes sont des virus qui se multiplient et infectent un des magiciens : bâtonnets de test dans la narine, thermomètre, masque sanitaire, tous les accessoires employés sont parfaitement justifiés, la progression dramatique comme la maladie passe de l'un à l'autre très claire. Le thème choisi qui ne rappelle  guère de bons souvenirs à quiconque les a-t-il desservi ? Sans doute, mais plus globalement il parait assez net que ce jury était sur une ligne "la magie avant tout", et s'est montré globalement très peu sensible à toute mise en contexte narrative de la magie* du moins c'est comme cela que je le perçois (seul au palmarès Starman et son numéro de dépressif après une rupture amoureuse peut être vu comme une légère exception)  (je m'en vais relire à ce sujet la section de L'Arc en Ciel Magique où J.TAMARIZ analyse longuement le mélange magie et narration). *C'est cette même ligne très arrêtée du jury qui a sans doute, comme pour Omini et Nico, compliqué la tâche aux numéros de Air One, Bertrand MORA et Robin DEVILLE puisque chacun à leur manière assumait des partis pris narratifs justement très marqués, assortis d'un travail sur les personnages et sur le conflit dramatique qui en découle. Je repense à l'excellent "Conspirations" spectacle de mentalisme donné la saison dernière au LUCERNAIRE et qui proposait par sa mise en scène astucieuse, levant et rabaissant virtuellement l'invisible 4e mur au gré des effets, comment une magie fortement théâtralisée est possible. Chauvinisme en passant : au contraire des délégations italienne, allemande, bulgare ou autrichienne (olalala l'Autriche pitié) qui nous ont toutes infligés au moins un numéro irregardable, tous les candidats français en magie de salon et close-up qu'on en ait apprécié ou pas le  résultat final, leur parti-pris artistique, leurs effets magiques, témoignaient d'un travail de mise en scène, sans doute perfectible, mais avec au moins à chaque fois une recherche de quelque chose. On ne pouvait vraiment pas en dire autant donc de bien d'autres pays. *** Ces six jours furent intenses, passionants, et totalement épuisants : épuisants par ces montagnes russes émotionnelles quand on passe d'un numéro où du fond de son siège on se sent en total empathie avec l'artiste, on croiserait presque les doigts pour que le numéro tienne jusqu'au bout, on vibre et on craint, puis l'instant d’après on aimerait se terrer sous son siège tant le numéro proposé tourne à la débandade complète, le numéro s'étire, la confusion embrume les esprits, les applaudissements s'étiolent, la gêne s'installe. Épuisants aussi car intellectuellement c'est une sollicitation constante, chaque choix thématique, choix de mise en scène, de musique, d’accessoires, de chorégraphie, de texte suscitent une foule d'interrogation, d'idées, on imagine des alternatives, on reconnait un principe plus ou moins bien employé, on s'interroge sur un texte,  peu importe qu'on adhère ou pas, c'est un bouillonnement de créativité qui vous lessive, qui parfois frise l’excellence, parfois sombre dans des approximations difficilement recevable côté public, mais qui toujours exige une concentration soutenue s'il on veut analyser à fond chaque numéro- et par analyser j'entends aller au-delà du "oulalala il a flashé" ou des conjectures quant à la méthode employée (après, le 3e jour des session de close-up et magie de scène, vendredi donc 5e jour de la FISM, on ne cachera pas que c'était visiblement et surtout bruyamment 😉 difficile pour beaucoup de suivre encore la compétition tant la fatigue était grande) . Admiration aussi pour ceux, tous ceux, qui s'y collent :  que de mains qui tremblent, que de voix qui déraillent sous le coup de l'émotion, que de gestes techniques qui dérapent sous la pression, mais ils y sont allés quand même, dans l'espoir de créer un moment magique.  Chapeau. L'aspect compétition, délégation des pays, avait été ici même discuté avant la FISM : très franchement ces questions une fois qu'on est dedans s’envolent instantanément, l'ambiance fabuleuse qui se crée autour de la compétition, le plaisir de voir les équipes soutenir avec un chauvinisme bon enfant leurs différents candidats vous emporte-on a souvent la standing ovation facile, mais qu'importe c'est le jeu. Au contraire même l'idée d'avoir des équipes qui soutiennent les artistes dans tous les domaines, créatifs, techniques, et pourquoi pas psychologique - la pression est telle- paraît assez évidemment la voie à poursuivre et amplifier. *** Et zut ... ce matin -après un retour dans la nuit homérique de quelque sept heures depuis TURIN pour PARIS- je me suis surpris à fredonner "Abracadabra"... arghhhhhh Lady GAGA sort de ce corps...  
    • Merci pour cette précision. Je pensais que Dani concourrait uniquement en invention. Il reste dommage que dans la catégorie GI, on exige deux illusions différentes. Pas certain que des effets additionnels de magie générale suffisent avec une seule grande illusion. C’est du moins ce que l’on m’a expliqué à plusieurs reprises, mais peut-être les choses ont-elles changé ( ou mériteraient d’évoluer dans le cas contraire). 
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