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Publié le

Monsieur Art-Gael, pour aller chez vous , c'est à droite non ?

:grin:

"You are the Magic"

Ô toi le curieux... L'art que nous pratiquons ici détiens ses secrets, et compte bien les garder... Et ça t'apporterai quoi de savoir ?? hein ?

Publié le

40€ la demi heure , ça fait bien 80€/h soit 525F /h

C' est mieux payé que le prof de math/Physique qui donne des cours a mon fils ( Term) ( 250f/h ) Mais peut être que je ne me rend pas bien compte..

Qu'est ce qu'un magicien peut demander pour 30 minutes de prestation dans Paris.

Publié le

je ne comprends pas pourquoi on compare toujours à un prof de ..

Un prof de mathématique ne fais pas que des cours particuliers, il a un travail à coté. ce n'est pas l'essence même de son métier que de donner des cours particuliers.

Hors le magicien c'est ce qu'il fait pour gagner sa vie.

Si on compare à cela il faudrait que tu fasses combien de spectacles par jour pour gagner ta vie ?

Desolé j'ai du mal m'exprimer, je suis trés fatigué ^^.

J'espère que d'aucuns auront compris le fond de ma pensée.

www.senseneveil.com     Cie Spécialisée dans les spectacles de magie pour enfants partout en France.

Publié le

Quoi!!! Zolthar, qu'apprends-je?

Tes heures de répèt' sont pas payées?

Faut pas que tu te payes ton matériel non plus?

Ah si?

Ben dis donc j'èspère qu'avec tout ça tu prends des super congés!

Ah, non? Parceque y'a toujours un plan de dernière minute qui peut tomber et qu'il n'est pas évident de planifier d'autant que tu peux pas te permettre de refuser un bon boulot.

Ben, alors!!!

Avec tout ça, rassure moi, t'as au moins la sécurité de l'emploi?

Même pas? Tu fais que des contrâts à durée déterminée qu'on peut se permettre de t'annuler la veille parce que de toute façon tu signes ton contrât de travail le jour même (si c'est pas le landemain) ?

Remarque, j'imagine que tu dois être super bien payé vu ce que tu me racontes?

Ah? Non plus....

Euh.... Bah...

Mais, dis moi, finalement Zolthar, t'es un employé ultra flexible, mobile, plus ou moins asservi à la volonté des employeurs.

T'ES L'EMPLOYE MODELE DU CAPITALISME TRIOMPHANT :/ :/

Et tu bosses dans quoi déja ?

Hein?

La culture?

On m'en dira tant.............

Amicalement.

Publié le

Juste un petit message sur ce post pour marquer mon retour.

1- Concernant la somme, je souscris totalement à l'opinion de Peter sur le fait qu'il faut prendre en compte les charges à payer et le matériel (quelques ballons, si on pose comme base qu'on a déjà le matériel pour le reste de la presta)... donc effectivement, ça fait vraiment pas lourd à la fin... ce qui est effectivement bradé.

2-On compare aux profs qui donnent des cours particuliers... on est parfaitement d'accord que ces sommes là sont déclarées, n'est ce pas ?... non ? ah bon...

3- Le problème avec des "totos" qui se bradent, n'est pas le fait que qu'ils n'auront rien dans les poches à la fin, ou juste de quoi payer une bierre à ses potes... le vrai pb est à mon sens que cela habitue les organismes qui les emploient à payer presque rien un type de presta et donc, cela pose un vrai problème pour les pros.

4- Ce problème n'est à mon avis pas uniquement inhérent au monde magique. Un exemple ? Je bosse dans une agence de com... et je facture bien mes journées de boulots aux clients, ainsi que les projets que je monte. Si demain, je vois arriver un gogo qui propose à mes clients de faire, à ses heures, le boulot de mon agence (même moins bien) pour 5% du prix que je demande, ce type là va me poser de gros problèmes...

5- Placer le débat sur la base du la qualité se paye. Donc un type qui engage un magicos toto pour 40 euros la 1/2 heure doit savoir qu'il aura une presta bidon. Bah j'en suis pas sûr du tout !! Qui connait réellement la qualité d'un magicien s'il ne l'a jamais vu et s'il n'a jamais n'en a jamais engagé ? Sur quelle base va t il se placer ?

Alors le toto qui demande cette somme va induire dans l'esprit du commanditaire 2 choses : les gens ont aimé la presta (des balles éponges, une disparition de foulard au FP et 2 tours de cartes) et pensera donc forcément que 40 euros est le prix normal et que la qualité était au rendez vous.

6- Pour finir, parce que là je fatigue, sur la personne qui disait qu'il fallait instaurer un montant minimum... Comme les presta dont on parle sont faites au black, cela ne changera rien au problème.

Allez bonne soirée à tous.

Cityzen.

Si tu doutes, tu rebootes,

Si ça rate, tu formates

Publié le

Qu’entendez-vous par “professionnel” ? Je pense qu’en Belgique il n’y en a quasiment pas ! En très grande majorité les pros sont en réalité des semi-pros (c-à-d des salariés en complémentaire).

Pour beaucoup de personnes, la magie ne représente qu’un « petit boulot » ne valant pas grand chose. Je n’ai pas encore travaillé comme « magicien » mais je pense de plus en plus à créer mon numéro et à exercer une activité complémentaire officielle. Discutant avec mes collègues de travail, je me suis rendu compte que pour eux il s’agissait d’une activité de marginal et qu’ils n’imaginaient même pas payer 75 € pour +- 1 h de spectacle. Alors que je prétends demander, pour des particuliers, au strict minimum 150 € pour ¾ h à 1 h de magie de salon décente, seul et sans grande illusion évidemment. Et encore, je pense que cela vaut plus mais je ne voudrais pas surévaluer ma prestation.

Le pire c’est que beaucoup de semi-pros pensent la même chose : ils dévalorisent leur travail. C’est probablement le fait d’être salarié : 50 € / H représente beaucoup pour eux ! Mais pour avoir une activité d’indépendant il faudrait avoir l’esprit d’un indépendant. Malheureusement souvent ce n’est pas le cas : il y a trop de gagne-petit qui gâchent le métier des véritables professionnels, tout joyeux d’empocher leur pauvre pitance.

Je ne serais probablement jamais professionnel mais je pense que les semi-pros et ceux qui travaillent au noir devraient y penser. Et penser aussi au temps consacré, au matériel, au répétition, au fait qu’un travail d’indépendant se paye (surtout que le magicien ne presteras ses services qu’au plus quelques heures par semaine). Finalement la magie est du luxe. Et le luxe ça coûte…Alors ne confondez pas le fait de « faire le magicien » et d’ « être magicien ».

Je pense qu’un spectacle de qualité décente réalisé en véritable magicien est à la portée du plus grand nombre et pas seulement des pros. Cela a une valeur et il faut en avoir conscience

Par contre les pros doivent aussi savoir qu’il y a des BMW et des Twingo, qu’il y a différents publics et différents budgets. Quelqu’un qui fait de la magie générale en salon ne va pas demander la même chose que celui qui fait un numéro genre music-hall ou de grandes illusions

Amicalement, Karl

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    • Je reviens au sujet du livre, car c'est ce que j'ai choisi comme lecture récréative pour les vacances. La citation de Pierre Etaix sur la 4e de couverture a failli me faire passer pour un intellectuel auprès de mes beaux-parents (chez qui je passe une partie desdites vacances) parce qu'ils sont très... "Télérama". Mais j'ai senti à la tête de belle-Maman quand elle a vu la couverture (pourtant dudit Pierre Etaix) et à l'attitude de beau-Papa quand il a feuilleté le livre que leur furtif espoir de s'être trompés sur le compte du zigoto choisi par leur fille pour leur faire des petits-enfants avait encore été déçu.  J'en suis à la page 183, ça se lit agréablement. C'est étonnamment bien écrit pour quelqu'un qui a appris le français en écoutant Coluche. Je me suis marré plusieurs fois à voix haute et j'ai été étonné d'y trouver quelques remarques qui m'ont fait réfléchir sur la construction d'un numéro (dans le chapitre consacré au Champion de l'élégance). Par contre, je ne regarderai plus jamais les saucisses de Strasbourg de la même manière.  Une remarque négative, cependant, à @Otto WESSELY : pourquoi ne pas avoir mis la photo de la page 174 EN COULEURS, vu que tu dis qu'elle est belle en couleurs ?! Quelle frustration ! (Les autres, je vous entends penser "Frustration totale !", je lis dans vos pensées, je suis le plus grand des mentalistes). Je la trouve super, j'aimerais l'avoir en haute résolution pour l'imprimer en poster. Merci d'avance. Bisous. Un admirateur  (Je n'ai pas le courage de me taper les 36 pages du sujet pour voir si la question de ladite photo a déjà été soulevée)
    • Et si l'on parle de "bouffée de l'humanité" : quelques portraits de la Fism à Rimini, là où l'humanité était encore plus palpable.... Qui me cite les noms ?   
    • Bonjour, Heureux si j'ai pu partager avec certains quelques unes des émotions ressenties pendant les six jours de cette FISM. À propos d'émotions, le numéro du 1er prix en magie de salon en débordait. (précision : lors de son second passage sur "Fool Us" le tout début de ce numéro a déjà été montré : si vous ne l'avez pas déjà vu...alors tant mieux, gardez-vous de le regarder, vous vous gâcheriez une partie du plaisir de la version intégrale) *** Asi WIND dans « Incredibly Human » ou Derren BROWN dans son dernier livre se posent la même question : pour que dans un spectacle vivant et interactif une émotion sincère puisse naître, il faut que surgisse une connexion authentique entre l’artiste et son public. Dès lors, comment concilier en magie cette authenticité de la relation humaine avec un art qui est, lui, tout entier tourné vers l’artifice ? Ce jeudi 17 juillet à TURIN au matin, lors de la compétition de magie de salon, Mortenn CHRISTIANSEN a à sa manière si particulière fait surgir cette bouffée d’humanité dans un auditorium comble. *** Dès le départ tout est allé de travers pour le candidat danois Mortenn CHRISTIANSEN, appelé sur scène alors qu’il n’était absolument pas prêt. Mais alors pas prêt du tout, du tout, du tout. Le jeune homme bien portant boulottait des chips en douce dans les coulisses au moment d’entrer en scène, mais dans la précipitation, c’est la cata : sa main droite s’est coincée dans son tube de chips. Son désarroi est palpable. Pour tenter de sauver la mise de demander malgré tout une carte à un spectateur (Shawn FARQUHAR s’y colle, va pour le 4 de cœur) avant de s’apercevoir que son paquet de cartes est coincé dans la poche arrière droite de son pantalon -pas de bol, pile du côté de sa main bloquée dans le paquet de chips : au prix de moult contorsions Mortenn parvient à faire remonter peu à peu le paquet de cartes qui émerge de sa poche et finit par chuter sur scène. Il le ramasse de sa seule main libre -la gauche- sort les cartes et enchaine une série de piètres manipulations d’une main. Les maladresses succèdent aux maladresses, Mortenn peste, marmonne combien il n’était pas prêt, laisse lamentablement choir toujours plus de cartes, bref sa prestation tourne à l’embarras complet. Mais attendez, voilà que Mortenn ne tient plus qu’une seule carte, dos au public…se pourrait-il ? *** À cet instant la routine bascule : Mortenn fanfaronne : « Eh eh…vous avez cru que je n’étais pas prêt…et bien c’était pour de faux, j’étais prêt, archi-prêt… ». Qu’on se le tienne pour dit, on va voir ce qu’on va voir. Non pas bien sûr que quiconque dans la salle ait réellement cru à la farce de Mortenn pas prêt – même si cette séquence du pauvre garçon en prise aux pires coups du sort aura quand même suffit à susciter notre empathie immédiate envers lui-, mais nous voilà, nous dans la salle, passés en un clin d’œil de spectateurs à spect-acteurs, projetés dans le rôle qui nous est assigné : celui d’adultes face à un petit enfant trop content d’avoir roulé son monde dans la farine ; et nous allons, pour lui faire plaisir, faire comme si nous avions effectivement gobé la bonne blague de sa déroute feinte. Par sa personnalité scénique et sa mise en scène, ayé, le (vrai) tour est joué : le bras de fer potentiel public-magicien est illico désamorcé, nous consentons à entrer dans le monde de Mortenn, nous jouons à faire comme si nous avions vraiment cru qu’il était pris de court, et ainsi nous nous livrons pieds et poings liés au garnement. Mortenn est un enfant mais pas à la manière mettons d’un Rubi FEREZ- enfant lunaire, rayonnant et malicieux, qui s’émerveille de tout. Non, pour Mortenn le monde est vaste et compliqué ; puéril et hypersensible (donc hyper-attachant) il est en butte aux gens et aux choses qui le rendent bien, bien, malheureux. Et la magie est son salut. Et la vraie magie est que tout le reste de la routine va puiser sa justification précisément dans le personnage même de Mortenn CHRISTIANSEN, dans sa « revanche » face aux grandes personnes. *** Car à cet instant la routine bascule aussi en termes de nature d’effet magique : on va passer d’une démonstration burlesque d’habilité à retrouver une carte par des manipulations faussement maladroites, à un tout autre effet : une prédiction. Ou plutôt des prédictions. Les magiciens ont sans doute tendance à surestimer l’impact réel des effets de prédiction sur leur public, et, pour donner un semblant de construction dramatique à leur numéro, à multiplier les révélations sur le mode : « vous avez librement choisi le 4 de cœur…observez miracle ! C’est la seule carte à dos rouge dans ce paquet bleu… non seulement cela, mais j’ai aussi un 4 de cœur tatoué sur mon bras…et attendez un peu…une carte et une seule dans mon portefeuille le 4 de cœur… ». Le kicker jusqu’à plus soif. La surenchère de prédictions au lieu de décupler l’effet bien souvent l’amoindrit. On avait saisi le message dès la première prédiction révélée : ok le magicien a prévu l’avenir, quel besoin a-t-il donc de nous le « prouver » encore et encore ? L’insistance superflue éveille la suspicion : lors d’un spectacle vu il y a quelques temps j’entendis ainsi soupirer un spectateur au moment de la « trop parfaite » énième révélation : « Bon ok donc c’est le 4 de cœur tous les soirs... » (sic) (pages 46-47 de « Notes from a Fellow Traveler » D.BROWN explique la réécriture du final de son show « Enigma » suite à un exemple semblable d’accumulations d’effets redondants qui s’affaiblissaient mutuellement au lieu de créer la montée dramatique escomptée). Mortenn CHRISTIANSEN va réemployer cette structure « discutable » et lui aussi multiplier les prédictions de la carte choisie -au moins 5 de mémoire : alors pourquoi ici cela fonctionne-t-il si bien, jusqu’à déclencher une standing ovation ? Premièrement le choix initial est on ne peut plus convaincant, transparent : le spectateur nomme librement la première carte qui lui passe par la tête -le jeu n’est même pas encore sorti, et puis quelles manipulations possibles avec une main fourrée dans un paquet de chips ? Comme notre esprit rationnel est tranquillisé de ce côté-ci par une procédure rapide et limpide, il va se faire d’autant plus facilement submerger ensuite par notre esprit émotionnel. Car, deuxièmement, l’accumulation de révélations de prédictions de cette carte est motivée dramatiquement (et donc notre esprit rationnel le cède d’autant plus aisément à notre esprit émotionnel) : c’est juste le personnage immature de Mortenn qui piaffe ; il nous a bien eu, et vlan, vlan, vlan, prédiction après prédiction, le petit enfant jubile d’avoir joué un si bon tour à ces grands bêtas d’adultes. Et nous qui avions si volontiers consenti à entrer dans son jeu nous voilà refaits, désarçonnés face à une avalanche d’impossibilités grandissantes. Ici c’est donc du personnage que part la construction dramatique de la routine et sa multiplication des effets de prédictions. Et non pas d’un personnage de magicien surplombant qui pour accroitre son prestige, prédictions après prédictions, essaierait (vainement) d’étoffer le mystère ; mais bien d’un personnage enfantin qui a gagné notre sympathie et que l’on regarde tendrement trépigner d’avoir enfin le dessus sur les « grandes » personnes que nous sommes. Le martèlement des effets reflète la psychologie de Mortenn. D’un point de vue magique, la rafale de révélations sature notre esprit rationnel : à peine est-il parti en chasse d’un début d’explication potentielle d’une des prédictions qu’une autre surgit encore plus mystérieuse (on n’est pas ici face à un même effet strictement répété avec des méthodes différentes qui se protègent mutuellement - voir la carte ambitieuse dans "Le Chemin Maqique" de J.TAMARIZ- mais bien face à une même carte prédite de manières très variées). Le crescendo est assuré par l’animation puérile croissante du personnage trop content de nous avoir bien eus, par des prédictions de plus en plus incompréhensibles donc (variées aussi en échelle et supports), et enfin par une série d’effets annexes qui rythment l’emballement final du numéro et brisent l’enchainement de prédictions seules : production de deux verres de jus d’orange, une carte transformée en chips, une autre en écouteurs, et même un quick change mi-foiré - l’enfant Mortenn a mis sa chemise à l’envers. Et tout cela en harmonie avec le personnage :  on se souvient comment il avait au début joué sans ambages de sa morphologie pour péniblement extraire les cartes de son pantalon (d’ailleurs comme un callback il se dandinera une seconde fois au cours de la routine pour extraire une seule carte de son autre poche arrière), c’est cette sincérité-là vis-à-vis de ce qu’il est, physiquement et mentalement, qui fait qu’on se figure assez Mortenn se couper d’un monde compliqué pour lui avec ses écouteurs, en mangeant ses chips, parfois même peut-être essaye-t-il de socialiser en offrant des verres de jus d’orange sans voir qu’on rigole dans son dos de ce qu’il est mal fagoté. Tout un petit monde, toute une humanité simple, dans les pas dix minutes d’un « bête » tour de cartes. *** Plus tard ce même jour alors que j’évoque avec Shawn FARQUHAR son documentaire « Lost in the Shuffle » il soupire, soulagé : enfin quelqu’un qui lui parle d’autre chose que de ce satané 4 de cœur de la compétition du matin avec Mortenn CHRISTIANSEN. Il a visiblement été assailli toute la journée par des spectateurs persuadés de sa complicité avec le magicien danois – une complicité pourtant clairement interdite par le règlement du concours. Le 4 de cœur ?, me dit-il, c’est tout simplement la carte qui avait été choisie lors de sa propre victoire à la FISM en 2009.
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