Aller au contenu
Pas de pub non magique pour les membres du Cercle VM. Clique ici pour en savoir plus !

Recommended Posts

Publié le
Il s'agit d'une minuscule boite en bois que Tommy Wonder pose sur la table, loin de lui au tout début.

Ta description ressemble à la Mystery Box de John Kennedy :

Une boite en bois dans laquelle on peut voir une carte pliée quand on l'ouvre.

Quand on la retourne, la carte disparaît et on est clean !

🎩 Rejoignez notre prestigieux cercle de magiciens & de mentalistes ! ✨

Accéder à la plus grande collection francophone de vidéos de magie 🎩
Profitez d'Afters exclusifs, recevez 500€ de tours OFFERTS, revendez vos produits d'occasion ou encore accédez à la fameuse Chambre des Secrets... 🌟

🤩 Ne résistez plus et découvrez tous les secrets ! 🎩🌟

Pas de pub non magique pour les membres du Cercle VM. Clique ici pour en savoir plus !
  • Réponses 35
  • Créé
  • Dernière réponse

Membres les + Actifs

Publié le

Pour etre plus precis, ce final fait suite a la facon donc Tommy monte la pression tout au long de sa routine, on es surpris toute les 20 secondes, meme si on es magicien, le final avec la boite en bois est tres fort car il est clair que l'on voit la carte sortir de la boite. Je suis Fan de Tommy qui as une magie dynamique est vraiment surprenante. De plus ils donne des conseils vraiment tres precis et surtout precieux.

Voila

  • 1 année plus tard...
Publié le (modifié)

le jeu n'est finalement qu'un seul bloc, dur comme du bois, aucune fente ni carte ... juste un bloc :)

"ackkkkk" (<--- cris du spect. qui prend le jeu en main à la fin, avant l'infarctus mental :) )

Auparavant, c'est une ambitieuse "classique" avec un texte perso.

Le jeu est mélangé au début, coupé ...

Et malgré qu'il n'y ai pas de change de jeu, ce n'est bel et bien plus qu'un bloc dur de cartes.

Modifié par armgo
Publié le

La routine que j'utilise est tirée du DVD Apprendre la magie vol3 de Duvivier, qui montre une carte ambitieuse bien construite, et bien progressive...

Ma présentation consiste à tenter de ce "débarasser" de cette carte un peu collante, donc pendant tout le tour je lutte contre la carte pour essayer de la perdre dans le jeu, et quand j'arrive à la faire disparaitre du dessus elle finit sur le dessous... Le but étant de faire prendre une carte différente au spectateur!

Et je finis sur un spinchange après l'avoir contrôlé en deuxième position (elle n'est pas sur le dessous, elle n'est pas sur le dessus!! Victoire => spinchange Argh!!)

puis je l'empalme, je donne le jeu au spectateur qui le coupe et le mélange et ensuite je lui demande de retirer la carte du jeu pour être tranquil... Pendant la manipulation le spectateur à la tête baissée sur le jeu... Je toussote et coince la carte dans ma bouche... Quand le spectateur relève la tête d'un air satisfait : Elle n'y est plus... hop il l'aperçoit entre vos lèvres!

Je la pose de côté et je peux enfin faire choisir une carte différente et j'enchaine sur autre chose

Plus tard je la force une ou deux fois : encore elle???

Je me suis toujours demandé si des tours comme ceux la, ne sont pas dangereux? C'est un très beau tour (merci professeur), mais quelque part, est ce qu'il ne glisse pas dans la tête du spectateur que quand vous perdez une carte dans le jeu, vous savez très bien ou elle est...

Idem avec les routines de divination ou de prédiction, qui introduise l'idée que vous pouvez forcer une carte (ce qui semble totalement impossible pour quelqu'un de normal)...

N'est ce pas dangereux de transformer les "outils" que nous utilisons dans d'autres tours en effets à part entière?

Quelqu'un a t il déjà eu une reflexion du type : "Ok, tu la perd mais elle va encore finir sur le dessus comme tout à l'heure!" ??

Ne restreins pas le champ du possible aux limites de ton imaginaire.

Publié le

Pour Thomas :

La boite qu'utilise Tommy Wonder n'a pas tout à fait le même principe que celle de Kennedy.

On voit vraiment une carte pliée dans la boite que l'on secoue et on voit tomber la carte depuis la boite dans la main, de façon trés claire.

Magicien, comédien, artiste de rue 

Publié le
N'est ce pas dangereux de transformer les "outils" que nous utilisons dans d'autres tours en effets à part entière?

Quelqu'un a t il déjà eu une reflexion du type : "Ok, tu la perd mais elle va encore finir sur le dessus comme tout à l'heure!" ??

Tout à fait d'accord. Je pense qu'il ne faut pas abuser de ce genre de routine. Surtout ne pas commencer par une telle routine. Après, pour les tours qui suivent, c'est difficile de persuader les gens que l'on perd vraiment la carte dans le jeu. Car maintenant que vous avez prouvé que vous pouvez à tout moment faire remonter une carte sur le jeu... :mad:

C'est marrant car d'un côté j'adore faire une carte ambitieuse pour l'impact qu'elle procure sur le public; mais d'un autre côté je me dit que ça peut être en quelque sorte un débinage. << Eh oui regardez, un magicien peut à tout moment faire croire qu'il perd une carte dans le jeu alors qu'en fait non. Ne soyez donc plus étonés pour les tours qui vont suivre :/>>

Rejoins la conversation !

Tu peux publier maintenant et t'enregistrer plus tard. Si tu as un compte, connecte-toi maintenant pour publier avec ton identité.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Vous avez collé du contenu avec mise en forme.   Restaurer la mise en forme

  Only 75 emoji are allowed.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédemment saisis, a été restauré..   Effacer le contenu

×   You cannot paste images directly. Upload or insert images from URL.



  • Pas de pub non magique pour les membres du Cercle VM. Clique ici pour en savoir plus !
  • Messages

    • Pourquoi prendre le risque de concourir en ne respectant pas les règles ? 🤔
    • C'est du ChaKPT, non ? (La neutralité du ton y ressemble et il y a des infos qui m'interpellent - il a vraiment été ovationné des son ENTRÉE sur scène ?)
    • Article prévu pour la Presse Française :  Double champion du monde ? Pourquoi Dani Lary a été privé d’une reconnaissance historique à la FISM    Chapeau : Ovationné pendant plus de deux minutes par 2 000 spectateurs à Turin, Dani Lary a livré un numéro d’une pureté rare lors du Championnat du monde de magie 2025. Pourtant, l’illusionniste français n’a pas été primé : la rigidité du règlement et des contraintes administratives l’ont privé d’une reconnaissance officielle, posant la question du rôle de la FISM et de son équilibre entre exigence et souplesse.   1. La FISM, vitrine mondiale de la magie La Fédération Internationale des Sociétés Magiques (FISM) est depuis plus de soixante-dix ans le rendez-vous incontournable des magiciens du monde entier. Véritables "Jeux Olympiques de la magie", ses championnats visent à célébrer l’excellence et la diversité artistique dans toutes les disciplines : close-up, manipulation, grandes illusions… L’édition 2025, organisée à Turin, a une fois de plus rassemblé des centaines d’artistes venus des quatre coins du monde, confirmant le prestige de l’événement.   2. L’exemple Dani Lary : quand la règle prime sur l’art Cette édition restera toutefois marquée par la controverse autour de la participation de Dani Lary, figure emblématique de la magie française. Dès son arrivée sur scène, l’artiste a déclenché une vague d’applaudissements et d’engouement de la part des 2 000 spectateurs présents dans la salle. Son numéro, Gloop, centré autour d’un aquarium, a été couronné d’une standing ovation de plus de deux minutes, au point que l’animateur a dû réclamer le silence avec difficulté pour introduire le passage suivant. La volonté de Dani Lary était de rester dans la pureté du numéro, débarrassé de tout artifice superflu, en assumant un minimalisme rare dans les grandes illusions. Ce choix, salué par le public, a pourtant été pénalisé par le règlement, qui considère qu’un seul "effet" ne suffit pas à concourir. « Ce numéro d’escapologie que j’ai présenté en hommage au célèbre magicien Harry Houdini, le Gloop, est à ce jour toujours incompris de tous les magiciens. C’est unique au monde. Jamais personne ne l’avait fait : c’est du 100 % invention, du 100 % créatif et novateur. Rien que pour ça, ils auraient dû se dire : “ce numéro fait avancer la magie à un haut niveau” », confie Dani Lary. Malgré l’innovation reconnue de son numéro, le règlement a prévalu : Dani Lary a été considéré comme n’ayant présenté qu’un seul effet et a perdu de précieux points.   3. Une rigidité qui interroge La FISM doit-elle rester intransigeante pour préserver l’équité ? Si la rigueur administrative garantit des conditions standardisées, elle peut aussi étouffer la créativité. Le cas Dani Lary illustre un déséquilibre potentiel entre prestige institutionnel et ouverture artistique. Gloop n’a jamais été expliqué ni reproduit ; il reposait sur un procédé totalement inédit. « J’ai gardé ce numéro pour le jour d’un congrès mondial parce que je savais que c’était une pépite », explique l’artiste, qui refuse encore de le vendre à d’autres magiciens tant il le juge unique. Dani Lary estime que ces inventions véritablement nouvelles devraient être davantage valorisées. « Ce sont ces numéros-là qui font avancer la magie », insiste-t-il.   📣 Encadré : “Un moment suspendu dans la salle” « Dès qu’il est apparu, on a senti une énergie incroyable. Les spectateurs se sont levés presque instinctivement et ont applaudi sans discontinuer pendant plus de deux minutes. L’animateur a eu toutes les peines du monde à calmer la salle pour enchaîner », raconte un membre de la communauté magique sur le forum Virtualmagie. Ce témoignage reflète l’intensité de l’émotion vécue dans la salle : un numéro salué par un public conquis.   4. Peu de précédents documentés À ce jour, aucun autre cas comparable — où un artiste majeur aurait été pénalisé pour quelques heures de retard ou pour un numéro jugé "trop minimaliste" — n’a été largement documenté. Ce cas reste donc isolé, mais soulève une question essentielle : certaines règles ne limitent-elles pas inutilement l’innovation et l’émotion scénique ?   5. Vers un équilibre à trouver Pour rester fidèle à sa mission, la FISM gagnerait à : Introduire une marge de tolérance sur les délais administratifs ; Valoriser la diversité expressive, y compris les styles minimalistes et novateurs ; Renforcer le soutien logistique auprès des artistes, quelle que soit leur renommée.   6. Conclusion Le prestige de la FISM repose sur un juste équilibre entre excellence artistique et rigueur organisationnelle. L’affaire Dani Lary rappelle que la magie est d’abord un art de l’émotion et de l’innovation. Le Gloop, salué par 2 000 spectateurs debout à Turin, a démontré qu’un seul numéro peut marquer durablement les esprits. Pour préserver sa crédibilité, la FISM doit évoluer vers davantage de tolérance et accompagner pleinement les artistes, au lieu de les freiner.
  • Statistiques des membres

    • Total des membres
      8227
    • Maximum en ligne
      4524

    Membre le plus récent
    Niranjan SHIVARAM
    Inscription
  • Statistiques des forums

    • Total des sujets
      84k
    • Total des messages
      679k

×
×
  • Créer...