Aller au contenu
Pas de pub non magique pour les membres du Cercle VM. Clique ici pour en savoir plus !

[Vidéo] Attraper LA carte voulue lors d'une cascade


Dorian CAUDAL

Recommended Posts

Cette technique couplée à un chapelet + faux mélanges est en effet diabolique ;)

Tu t'es donc procuré GRAB c'est bien ça? Ou bien est-ce que ta remarque ne concerne que le potentiel de présentation offert par cette technique?

Pourrais-tu confirmer si la technique décrite est réellement utilisable, accessible et fiable avec un peu d'entrainement ?

Merci Friboudi!

We're looking for a better solution to the problem when we should be looking for a better problem to work on.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Pas de pub non magique pour les membres du Cercle VM. Clique ici pour en savoir plus !
  • Réponses 35
  • Créé
  • Dernière réponse

Membres les + Actifs

Cette technique couplée à un chapelet + faux mélanges est en effet diabolique ;)

Tu t'es donc procuré GRAB c'est bien ça? Ou bien est-ce que ta remarque ne concerne que le potentiel de présentation offert par cette technique?

Ma remarque ne concerne que le potentiel de présentation offert par cette technique :)

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Je trouve que l'utilisation du chapelet avec cette technique, pour "créer" le miracle, n'est pas une vraie solution avec les conditions que sont les miennes (et qui sont partagées).

En effet, l'utilisation conjointe de ces techniques va créer une phase parasite, un mouvement non justifié (et même avec une excellente technique pour mêler un contrôle, une carte à l'oeil de façon invisible et justifiée, on a une usine à gaz, juste pour utiliser un chapelet).

Ce "mouvement" devient justifié en libérant un degré de "technique" (et d'impossibilité) en utilisant simplement un jeu mélangé (moins contraignant), en faisant penser à une carte très librement (vue librement au lieu d'être pensée).

De plus, que la carte soit vue, et non simplement pensée, ne me dérange pas. Elle sert le message qui est véhiculé.

La production d'une carte pensée, dans un jeu qui n'est pas regardé, est trop "fort" à mon goût pour que le spectateur ne soit pas amené sur la piste du jeu "dans un ordre connu" ou de "marques sur les cartes". Pour éviter cela, il faudrait alors amener un faux mélange (ou sacrifier son chapelet) ce qui complique alors la simplicité que l'on peut obtenir sans chapelet.

Oui, si la carte est vue, le spectateur peut penser qu'on maintient un contrôle dessus... mais les gestes sont ouverts, le jeu est clairement montré de tous côtés, et puis cela rentre dans le thème de l'idée qui veut être passée, à savoir "il est possible de contrôler une carte dans un jeu bien mélangé" (les mélanges seront alors réels et presque sans contrainte). Comme a dit Gilbus, on fait alors ce que l'on prétend faire, et cela me va alors, c'est cohérent.

C'est juste un point de vue, et je le partage avec moi-même, ce qui n'est déjà pas si mal. ;)

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Ce n'est pas une question de "one shot" (qu'il ne faut pas opposer au chapelet, ce serait simpliste).

Après que la carte a été nommée, il faut préparer le jeu pour l'effet. Cette préparation se fait alors par un mouvement superflu (selon moi) ou déguisé en mélange (alors justifié pour casser l'idée de contrôle que l'on veut éviter dans l'esprit du spectateur*).

Le mélange dont je parlais n'est donc pas là pour remplacer quelque chose qui pourrait être fait en amont, mais pour justifier une action secrète.

Je préfère ne pas avoir à prouver que le jeu est mélangé auparavant, être plus libre, ne pas avoir de mouvement superflu, cela permet en plus d'appuyer le propos de l'effet qui est présenté.

Le travail en amont pour prouver cela n'a donc pas de rapport. ;)

* L'utilisation du chapelet proposée plus haut, et à laquelle beaucoup vont penser (tout le monde n'a pas l'expérience de Dub) est la sortie de la carte en "montrant" que le jeu n'est pas regardé (et pour certains, le jeu non mélangé.)

Ne pas regarder le jeu et produire la carte ne me convient pas, j'ai expliqué pourquoi avant.

Ne pas mélanger le jeu et donner l'impression de contrôle ne me convient pas non plus, puisque d'une part, cela attire l'attention sur le fait que l'ordre du jeu n'est pas mélangé, et d'autre part parce que je peux donner l'impression de contrôler sans chapelet, et en ajoutant de véritables mélanges qui serviront mon propos, et rendront l'illusion encore plus convaincante selon moi. Je préfère insister sur les mélanges après le choix de la carte qu'avant (que je présente la chose en expliquant que je peux suivre la carte malgré les mélanges, ou en utilisant une autre présentation).

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Ce n'est pas une question de "one shot" .

Pour moi ça l'est. :)

Il est possible de proposer une parenthèse entre le moment ou est nommée la carte et le moment ou elle est produite.

Il faut juste meubler cette parenthèse, non pas avec une gestuelle révelatrice de la localisation et du placement de la carte (car uniquement destinée à cela), mais par une routine qui permettra de réaliser ces actions sous couvert d'autres (celles pour réaliser la routine).

D'ou l'intérêt de raisonner sur du moyen terme avec 2 ou 3 routines s'enchainant.

Le travail en amont pour prouver cela n'a donc pas de rapport. ;)

Le travail en amont a plus pour rôle d'infirmer que de prouver.

En travaillant sur le moyen terme, tu peux en même temps créer la parenthèse et infirmer. ;)

Circulez !

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Ton regard se fait par le prisme du chapelet et ton point de vue est très enrichissant et constructif. La construction "complexe" afin de préparer l'effet, ainsi que la construction à moyen terme sont une très bonne solution, que l'on utilise ou non le chapelet!

J'essaie toujours de commencer par trouver une approche "one shot" (comme tu le dis) dans un premier temps, afin d'aller à l'essentiel, d'éliminer les choses superflues, et de pouvoir l'utiliser "quelles que soient les conditions". Dans un deuxième temps, insérer cela dans un autre travail permet de le développer, de le modifier, et d'obtenir ainsi une gamme de choses, faisables de différentes "manières" ou dans différentes conditions.

L'utilisation de ce qui est nécessaire pour l'effet de la cascade peut justement faire partie d'un effet précédent, de manière à préparer le terrain, que l'on utilise ou non le chapelet d'ailleurs. Que ce soit dans un autre effet, ou quelque chose de similaire.

On peut imaginer commencer un effet du même type avec "ce qui est nécessaire". La production peut être légèrement différente (ceux qui connaissent comprendront pourquoi elle doit l'être), par exemple: la main gauche face en bas se poser sur la carte choisie lors de la cascade.

L'étape suivante serait de compliquer les choses avec une autre carte choisie ou pensée ("que l'on ne sortira pas du jeu pour pas que le spectateur pense que la carte est marquée d'une quelconque façon"). On gagne en impossibilité vu que la carte n'est pas touchée. On réaliser l'effet en saisissant cette fois la carte au vol (plus impressionnant que précédemment).

On peut même réaliser une carte plantée dans le jeu sur la sélection, autre type d'effet.

Si la carte est secrètement replacée face en l'air dans le jeu, on peut prétendre donner un coup sec sur la carte de façon à la faire se retourner tout en la propulsant hors du jeu. La carte déviera (ainsi que quelques-unes dessus), mais elle apparaîtra retournée.

Merci Dub pour ta réponse, et la stimulation et réflexion auxquelles elle contribue. ;)

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Après discussion très enrichissante avec un ami, il s'avère que faire l'effet avec le jeu face en l'air me convient plus. (Ou le jeu face en bas ET la carte choisie ouvertement placée face en l'air).

On transforme alors l'impossibilité de départ en ne permettant plus au spectateur de se demander "Comment il savait où était la carte ?!" (auquel il répondra rapidement par "Elle était dessus, dessous, dans sa main, ou il a un repère tactile) mais en focalisant son attention sur le fait de voir la carte ET de l'attraper. Le spectateur me semble alors moins intéressé par le secret que l'effet produit. (Et celui de repérer une carte face en l'air dans une cascade est tout aussi fort et intéressant)

Faire cela avec la carte face en l'air (que ce soit la production d'origine, ou le fait de placer la main sur la carte dès qu'elle est tombée dont je parle plus haut) ajoute une dimension "Rain man" ou "pratique d'un exercice de concentration" qui me correspondent plus.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Rejoins la conversation !

Tu peux publier maintenant et t'enregistrer plus tard. Si tu as un compte, connecte-toi maintenant pour publier avec ton identité.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Vous avez collé du contenu avec mise en forme.   Restaurer la mise en forme

  Only 75 emoji are allowed.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédemment saisis, a été restauré..   Effacer le contenu

×   You cannot paste images directly. Upload or insert images from URL.




×
×
  • Créer...