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Publié le

Chaos a pour avantage dans sa preface de presenter bon nombre de chapelets existants (friboudi m'avait dailleurs vendu le sien ;)

Sinon en dehors du chapelet (qui n'a d'interet que pour le magicien finalement...) il faudrait se demander : comment vais-je pouvoir divertir les (mes) spectateurs ? Comment les épater et leur faire passer un bon moment (inoubliable) ?

Jeannot57

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Publié le

J'utilise depuis presque 3 ans le Mnémonica, et je ne peux que le conseiller à mon tour !

Au passage, utilisera-t-on enfin le vrai terme (concernant en tous cas Mnémonica) : "jeu mémorisé"

Car le chapelet (qui peut d'ailleurs être mémorisé) implique une notion de suite de cartes qui est répété 4 fois (en général) : si un as est suivi d'un 4, alors les autres as sont aussi suivis de 4...

Le Mnémonica (bien qu'il possède des propriétés de périodicité) peut être examiné car ce n'est pas un chapelet.

Un chapelet du fait de sa périodicité possède quant à lui des propriétés tout à fait remarquables.

Je rajouterai que n'importe quel jeu en chapelet peut revenir dans l'ordre du jeu neuf, grâce à quelques "manip" qui sont tout à fait justifiables dans le cadre d'une routine...

Et si on pousse le concept, n'importe quel jeu mémorisé le peut aussi, mais là ça devient "chaud" !

Publié le

La répétition d'une séquence de 13 cartes répétée 4 fois est normalement appelée chapelet séquentiel (exemple le 8 kings) ou Rosary-deck.

Le mot "chapelet" est un therme générique.

Circulez !

Publié le

Je me suis basé sur l'introduction de Mnémonica où ces termes sont clairement définis. Ce livre est comme une bible pour moi, mais la vérité est peut être ailleurs.

Les définitions proposées permettent de faire la distinction entre ces différentes familles (qui sont elles même une sous-famille des jeux "arrangés"...)

Ceci dit il est vrai que parlé de chapelet permet de parler librement sans débiner ; un peut comme dire "FP"...

Publié le

Sinon en dehors du chapelet (qui n'a d'interet que pour le magicien finalement...)

Que veux-tu dire par là?

En fait, je veux dire par là que tout ce qui concerne le chapelet, aussi compliqué soit-il, fait normalement partie du secret et n'est donc détenu QUE par le magicien. Donc malgré les avantages de certains chapelets par rapport à d'autres, je me pose personnellement toujours la question : est-ce que ce que je peux présenter avec un chapelet "simple" a autant d'impact que ce que je peux présenter avec un chapelet "complexe" ? L'objectif étant toujours de divertir le public (enfin, c'est mon point de vue...).

Jeannot57

Publié le

Ah d'accord, merci pour ta précision Yoghurt. Je pense que ce que tu présenteras avec un chapelet aura toujours beaucoup d'impact car avec les propriétés de ton jeu mémorisé plus, la connaissance de l'identité de chaque carte, tu possèdes quand même un sacré temps d'avance sur les spectateurs et tu peux vraiment repousser les limites de l'impossible.

Bien sûr, je pense que certains stacks sont plus complets que d'autres, mais je pense sincèrement que tu feras de belles choses avec n'importe quel jeu mémorisé.

A mon sens, il est surtout important de savoir gérer son stack, quel qu'il soit, afin d'être capable de créer une impression de désordre dans l'esprit des spectateurs et de finir avec une routine à fort impact en guise de final.

Imagine par exemple un jeu mélangé par les spectateurs eux-mêmes, monter de façon insoupçonnée au cours des routines précédant la routine à gros climax. Là on arrive à mon sens à ce qui se fait de plus fort en cartomagie.

Bon, on va me dire qu'avec un bon ch...e de J.. on arrive au même résultat, mais je préfère le côté impromptu du chapelet. Un utilisateur expérimenté avec son chapelet saura restaurer son stack, présenter ses routines classiques préférées, tout en gardant son stack intact, jusqu'au moment où il décidera de le détruire afin de pousser le climax à un stade supérieur. Ainsi, je ne pense pas qu'un chapelet soit une contrainte, comme on l'entend souvent. Il faut juste le connaitre parfaitement afin de connaitre ses limites et ses possibilités.

Ce qui compte, n'est donc pas le stack que l'on va choisir, mais plutôt ce qu'on va en faire, de quelle façon on va se l'approprier, etc...

Bonne chance à ceux qui se lancent dans le monde du chapelet, car c'est un univers passionnant, riche en apprentissage, si on veut réussir à exploiter cet outil au maximum.

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    • Je viens de terminer "Le magicien d'Auschwitz" et je suis assez partagé. Ce livre est bien écrit, certains passages sont un peu longs (mais ils sont rares) et au final, je ne me suis pas ennuyé mais je ne sais toujours pas quoi en penser. L'une des rares choses que j'ai apprises à propos de cette période ignoble (le mot est encore trop faible) n'a pas été écrite dans le roman mais dans la postface, par l'auteur lui-même, et concerne les sonderkommandos, notamment la façon dont ils ont vécu l'après-guerre (pour les rares survivants de ces "forces spéciales"). Par ailleurs, je connaissais l'intérêt irrationnel des nazis pour les sciences occultes et s'il n'aborde finalement que très peu cet aspect (juste pour établir un lien entre l'occultisme complètement hors sol des nazis et l'illusionnisme du Grand Nivelli), l'auteur remet néanmoins au centre - même ponctuellement - cet aspect du nazisme considéré, jusqu'il y a peu, comme un pan anecdotique de la doctrine nationale-socialiste (et aujourd'hui, évoqué, à juste titre semble-t-il, comme un élément essentiel de cette idéologie). Pour le reste, le côté romanesque de cet ouvrage n'est pas fou mais l'on finit assez rapidement par s'attacher aux personnages et s'intéresser à leur effroyable parcours (s'il n'avait pas mis en scène un illusionniste, il y a fort à parier que l'on n'en aurait jamais parlé ici). Mais la vraie force de ce livre réside, selon moi, dans la description minutieuse du déroulement du processus de persécution des Juifs jusqu'à la mise en oeuvre de la "solution finale" et cela revêt une véritable valeur documentaire. Il y aurait encore beaucoup à dire et je dois avouer qu'en débutant la rédaction de ce commentaire, j'avais pratiquement décidé de ne pas poursuivre avec "Le manuscrit de Birkenau" mais je pense que ce serait une erreur car si l'on "sait" l'horreur qu'ont vécu les victimes du régime nazi à Auschwitz-Birkenau (mais aussi à Treblinka, Sobibor ou encore Dachau), il est nécessaire d'en entretenir le souvenir et à ce titre, ce roman est exemplaire. Et pour ceux qui veulent approfondir cet important - mais éprouvant -  devoir mémoriel envers les victimes du 3e Reich, je conseille "la mémoire meurtrie", film documentaire consacré à la libération du camp de Bergen-Belsen (attention cependant, certaines séquences sont particulièrement difficiles), le livre de Primo Lévi, "Si c'est un homme" (témoignage essentiel et bouleversant) et, peut-être plus accessible, "Adieu Birkenau" (BD réalisée à partir du témoignage de Ginette Kolinka, rescapée d'Auschwitz-Birkenau). My2Cents W.
    • On est d'accord sur le fait qu'il n'y a pas grand chose disponible sur la toile à ce sujet 😅
    • J'avais identifié les travaux de Fairmagic, mais je ne connaissais pas le livre de Gary Brown. Dans Puzzlers' tribute. A feast for the mind  l'un chapitre écrit par Luc De Smet décrit la technique "trapdoor". Cette technique est aussi très bien expliquée dans cette vidéo : Mais dans l'ensemble, il y a peu de ressources sur le net. Je n'ai rien trouvé d'autre de vraiment utile. D'où la nécessité du reverse engineering ! Bob
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