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Publié le (modifié)

suivant les marques il faut faire faroter dans un sens plutot que de l'autree ( dos vers face ..)

par exemple

bicycle et tally-ho dans le sens dos , vers face...

Card shark c'est le contraire

Mon ami Zappy spécialiste de card shark m'a expliqué que cela vient du sens de coupe des jeux !!!

étonnant non ?

Merci qui ? merci Tonton Bruno !... et Tonton Zappy

Modifié par brunomagie

Bruno

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Publié le

Je te conseille de trouver une explication claire et précise. Moi aussi j'ai essayé longtemps sans succès car je ne savais pas vraiment comment faire. A partir du moment où j'ai travaillé une méthode claire, j'ai réussi assez rapidement.

Pourrais-tu nous dire quelle a été ta source pour cette explication claire et précise? ^^ merci :)

Publié le

Bonjour,

Si je peux me permettre d'intervenir ...

Il arrive qu'un jeu, même neuf, soit légèrement tuilé (incurvé, pas parfaitement plat quoi).

Si ça ne fonctionne pas face en-bas, essaie face en l'air. Ou utilise un étui métallique (laisser toute une nuit) pour aplatir les cartes.

Je confirme, pas forcer, pas scier, ça doit rentrer tout seul. Il ne faut pas que les 2 jeux soient parfaitement alignés, sinon les cartes vont se retrouver l'une en face de l'autre. il faut jouer sur l'angle entre les jeux pour que les cartes finissent par s'intercaler.

La perfection se limite à ce que l'oeil est capable de voir...

Publié le

XyGreg, j'ai appris avec l'outil: "Michael Close on the Faro", de Michael Close.

J'avais il y a longtemps posté un compte rendu, sur un autre forum, de cet outil pédagogique.

Je le copie-colle ici, afin que tu puisses aussi en profiter:

"J'aimerais vous faire part de mon compte-rendu sur l'excellent outil pédagogique, réalisé par Michael Close, qui permet d'apprendre le mélange parfait.

Je l'ai téléchargé sur le site de Michael Close dans la rubrique "Download", pour le prix de 24,95 dollars, ce qui équivaut à la somme de 17 euros environ.

Il est également possible de le commander si l'on ne souhaite pas le télécharger.

Lien du site: http://www.michaelclose.com/

Je précise que j'ai eu accès au téléchargement immédiatement après avoir procédé au paiement.

Je me suis donc empressé de télécharger le ficher en question et j'ai reçu: un fichier pdf dans lequel sont incorporées des petites séquences vidéos qui expliquent, pas à pas, comment réaliser le mélange parfait.

Pour chaque point abordé, Michael Close nous présente ce qu'il va nous enseigner puis nous le montre directement au cours de ces petites séquences vidéos.

A la fin de chaque séquence, il récapitule sous forme de texte, les choses importantes.

Voilà pour la forme, maintenant attaquons le contenu qui est divisé en plusieurs parties:

1) Introduction.

Michael Close commence par une petite introduction sur le mélange parfait.

Ensuite, il cite les différentes sources sur lesquels se fondent son apprentissage personnel du mélange: Harry Lorayne et Hugard et Braue.

Jusqu'ici, Michael Close effectuait le mélange du haut vers le bas.

Mais en 1972, il fit la rencontre de Hary Riser, qui faisait le mélange du bas vers le haut. Il utilisait la technique utilisée dans le livret d'Ed Marlo: "The Faro Shuffle". Ce livret est une partie tirée du livre du même auteur: "Ed Marlo's Revolutionary Card Technique".

Michael Close adopta immédiatement cette méthode allant du bas vers le haut car elle offre un excellent contrôle permettant de réaliser un mélange parfait à chaque fois.

Après 39 ans de pratique du mélange faro, Michael Close se posa la question suivante: "comment faire pour enseigner au mieux le mélange faro?" Après plusieurs essais, il se rendit compte qu'il avait mis au point une méthode efficace qui fonctionnait même avec les gens qui n'avaient jamais réussi à faire un mélange parfait.

Voilà pour la petite introduction historique.

2) L'état du jeu.

Dans cette seconde partie, Michael Close explique comment doit se trouver le jeu afin de permettre au mieux la réalisation d'un mélange faro. Il aborde la courbure des cartes et explique comment faire pour que le jeu soit en condition idéale pour le mélange.

3) La tenue du jeu.

Cette partie est très importante. L'auteur nous montre de quelle manière il faut tenir le jeu afin de réaliser au mieux le mélange. Il qualifie, lui-même, une bonne tenue du jeu comme vitale pour la réussite du mélange.

La tenue est très bien expliquée dans la vidéo mais également par des photos montrant parfaitement comment tenir le jeu. Comme d'habitude, Michael Close n'hésite pas à reprendre les choses importantes par écrit afin que tout soit parfaitement clair.

Dans cette partie, il explique et démontre aussi comment couper le jeu à 26 cartes et il donne des conseils sur la meilleure façon de s'entrainer pour y arriver.

Une fois la tenue du jeu maîtrisée, continuons.

4) La pression.

Dans cette partie, l'auteur décrit en détail la démarche à suivre pour réussir à imbriquer parfaitement les cartes.

A nouveau les explications écrites sont très clairs et Michael Close fait plusieurs démonstrations afin que l'ont comprennent bien ce qu'il faut faire.

Il explique aussi comment réaliser un Faro-In et un faro-out.

5) Le "Twist" (la rotation).

Ce petit mouvement de rotation est très efficace. Il aide les cartes à s'imbriquer plus facilement.

Comme d'habitude, les explications sont très claires.

6) Conseils

En conclusions, Michael Close explique comment faire pour réaliser le mélange rapidement afin de prodéder à une succession de mélange.

Il donne aussi une méthode afin de s'entraîner en tandem. Cette méthode consiste à réaliser le mélange avec une personne qui le maîtrise déjà, chacun tenant un des paquets.

Il paraitrait que cette méthode se révèle très efficace.

Je trouve que l'auteur a crée une méthode originale et très didactique. Les explications sont très claires et les vidéos, filmées de très près, permettent de comprendre exactement ce qu'il faut faire en observant le comportement des cartes.

Avec cette méthode, n'importe qui pourra apprendre le mélange parfait.

D'ailleurs, Michael Close affirme que cette méthode est aussi bonne qu'un cours particulier avec lui. Je confirme son point de vue car je trouve ça méthode réellement efficace.

Cet outil s'adresse à toute personne désirant maîtriser le mélange parfait.

Même les personnes qui le maîtrisent déjà, pourront approfondir leur connaissance de cette technique et profiter de l'immense expérience de l'auteur sur la question. Cet outil pédagogique renferme vraiment de nombreux conseils.

J'espère ne pas avoir été trop rébarbatif à lire et je vous assure, à tous, ma plus profonde sympathie.

A bientôt."

Publié le

A propos des cartes Tally-Ho :

Avant elles étaient de très bonne qualité : plus épaisses et moins souples que les Bicycle. Les bordures blanches étaient toujours nickels (pas de décalage).

Depuis une quinzaine d'années, la qualité de ces cartes a changé : elles sont devenues plus fines et les bordures pas toujours parfaites.

Depuis ce temps je n'en achète plus. Je ne connais pas la qualité actuelle des Tally-Ho.

A propos du Faro, moi j'utilise la manière de faire de Christian Scherer (apprise dans son livre) avec laquelle il n'y a jamais de raté car tout est sous contrôle de l'index au départ du mélange.

Melvin

  • 10 months plus tard...
Publié le

Je déterre le sujet pour parler des faros et des cartes Phoenix.

Je n'ai jamais eu de problème pour faire des faros mais avec les cartes Phoenix que je teste en ce moment, mais faire des faros en commençant par les dos visibles (je ne sais pas trop comment dire) avec ces cartes je trouve ça vraiment galère.

En commençant par les faces en bas c'est vrai que c'est vraiment facile avec les Phoenix mais dans l'autre sens ....

Vous avez le même problème ? vous avez résolu le problème ?

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    • Voici un extrait de la FISM : Le règlement est très vague et de ce fait, on peut arguer que la simple disparition d'un FP dans un foulard aurait compté. Maintenant comme on peut voir plus haut, Dani n'a pas été éliminé. A moins, de discuter avec les juges, il est donc difficile de savoir ce qu'il lui aurait permis d'avoir plus de points.
    • Bonjour, Plus frappant peut-être était surtout l'hommage final à René LAVAND, et ses trois boulettes de mie de pain dans la tasse, exécuté ici à quatre mains...ou plutôt à deux mains sur quatre - Rubi FEREZ étant la main droite et Fernando NADAL la gauche ; et sans récitation de poème non plus mais en musique. Le duo FEREZ-NADAL fonctionne ceci dit à l'opposé de celui de Pepe CARROLL et Juan TAMARIZ - si je m'en réfère à leurs apparitions dans la série Magia Potagia. *** Pour Pepe CARROLL et Juan TAMARIZ la dramaturgie du numéro se nouait généralement sur une mise en compétition entre eux, se lançant des défis mutuellement, essayant de surpasser l'autre ; ou, parfois, le fantasque et farceur Juan TAMARIZ tendant un "piège" dans le dos de l'élégant et suave  Pepe CARROLL -modifiant par exemple avec un clin d’œil au public l'ordre de certaines cartes, ou mélangeant carrément le paquet à son insu. Mais immanquablement Pepe CARROL retombait sur ses pieds, comme si de rien n'était, l'embuche tendue par J.TAMARIZ effacée par magie... Dans ce dispositif-ci,  l'intérêt est que ce conflit narratif "extérieur" entre les deux magiciens agit à la manière d'une couverture pour leur collusion secrète bien réelle : le mélange de l'un destiné à compliquer la tâche de l'autre - récit apparent- a en réalité bien l'objectif par exemple d’amener secrètement l'arrangement voulu sur le dessus du paquet, arrangement qui permettra justement au second magicien de "briller" en dépit de l’apparente traitrise du mélange du paquet par le premier ( voir l'introduction du classique  "Magic and Showmanship" de H.NELMS pour un autre exemple de  conflit narratif apparent  comme couverture du modus operandi réel de l'effet, par complicité secrète entre les deux adversaires déclarés du récit). *** Le duo FEREZ-NADAL, lui, est soudé pour produire l'effet magique, soudé littéralement bien souvent, épaule contre épaule. La séquence intermédiaire du numéro à une main chacun sur la guitare, et à une main chacun sur la table pour y produire l'effet magique, illustre cette complète coopération. S'il y a bien une dynamique de (léger) conflit entre les deux personnages elle n'est pas sur la table mais sur leurs visages avec deux leitmotiv : les lunettes de Fernando ne cesse de lui glisser sur le bout du nez et c'est Rubi qui les lui remonte en place. Ce simple geste pose les deux personnages : Fernando est le "sérieux" du duo, soucieux des apparences, et Rubi est l’affectueux, le bienveillant. Fernando, par souci des convenances, ne cesse d'arracher un cure-dent d’entre les dents de Rubi, et le cure-dent malicieusement fait perpétuellement sa réapparition dans la bouche de Rubi. Mais aucune provocation de l'un par rapport à l'autre ici, non, c’est juste que Rubi est l'enfantin des deux -et son cure-dent, et bien, il ne peut juste pas s'en empêcher c'est tout. Avec son visage ovale illuminé de son franc sourire, ou même lorsqu'il fait fait son mystérieux - tel un petit enfant qui aurait caché un objet dans sa main et nous lancerait "Devine !"-, Rubi FEREZ a un charisme tel qu'il désamorce instantanément tout bras de fer magicien-public quant au secret : la magie advient, tout simplement. *** À noter qu'il y avait un autre duo en compétition de micro-magie, les suisses Omini et Nico qui ont vendredi matin fait l'ouverture de la 3e et dernière session de la compétition close-up/magie de salon, avec un numéro extrêmement soigné, bien construit, où des balles éponges vertes sont des virus qui se multiplient et infectent un des magiciens : bâtonnets de test dans la narine, thermomètre, masque sanitaire, tous les accessoires employés sont parfaitement justifiés, la progression dramatique comme la maladie passe de l'un à l'autre très claire. Le thème choisi qui ne rappelle  guère de bons souvenirs à quiconque les a-t-il desservi ? Sans doute, mais plus globalement il parait assez net que ce jury était sur une ligne "la magie avant tout", et s'est montré globalement très peu sensible à toute mise en contexte narrative de la magie* du moins c'est comme cela que je le perçois (seul au palmarès Starman et son numéro de dépressif après une rupture amoureuse peut être vu comme une légère exception)  (je m'en vais relire à ce sujet la section de L'Arc en Ciel Magique où J.TAMARIZ analyse longuement le mélange magie et narration). *C'est cette même ligne très arrêtée du jury qui a sans doute, comme pour Omini et Nico, compliqué la tâche aux numéros de Air One, Bertrand MORA et Robin DEVILLE puisque chacun à leur manière assumait des partis pris narratifs justement très marqués, assortis d'un travail sur les personnages et sur le conflit dramatique qui en découle. Je repense à l'excellent "Conspirations" spectacle de mentalisme donné la saison dernière au LUCERNAIRE et qui proposait par sa mise en scène astucieuse, levant et rabaissant virtuellement l'invisible 4e mur au gré des effets, comment une magie fortement théâtralisée est possible. Chauvinisme en passant : au contraire des délégations italienne, allemande, bulgare ou autrichienne (olalala l'Autriche pitié) qui nous ont toutes infligés au moins un numéro irregardable, tous les candidats français en magie de salon et close-up qu'on en ait apprécié ou pas le  résultat final, leur parti-pris artistique, leurs effets magiques, témoignaient d'un travail de mise en scène, sans doute perfectible, mais avec au moins à chaque fois une recherche de quelque chose. On ne pouvait vraiment pas en dire autant donc de bien d'autres pays. *** Ces six jours furent intenses, passionants, et totalement épuisants : épuisants par ces montagnes russes émotionnelles quand on passe d'un numéro où du fond de son siège on se sent en total empathie avec l'artiste, on croiserait presque les doigts pour que le numéro tienne jusqu'au bout, on vibre et on craint, puis l'instant d’après on aimerait se terrer sous son siège tant le numéro proposé tourne à la débandade complète, le numéro s'étire, la confusion embrume les esprits, les applaudissements s'étiolent, la gêne s'installe. Épuisants aussi car intellectuellement c'est une sollicitation constante, chaque choix thématique, choix de mise en scène, de musique, d’accessoires, de chorégraphie, de texte suscitent une foule d'interrogation, d'idées, on imagine des alternatives, on reconnait un principe plus ou moins bien employé, on s'interroge sur un texte,  peu importe qu'on adhère ou pas, c'est un bouillonnement de créativité qui vous lessive, qui parfois frise l’excellence, parfois sombre dans des approximations difficilement recevable côté public, mais qui toujours exige une concentration soutenue s'il on veut analyser à fond chaque numéro- et par analyser j'entends aller au-delà du "oulalala il a flashé" ou des conjectures quant à la méthode employée (après, le 3e jour des session de close-up et magie de scène, vendredi donc 5e jour de la FISM, on ne cachera pas que c'était visiblement et surtout bruyamment 😉 difficile pour beaucoup de suivre encore la compétition tant la fatigue était grande) . Admiration aussi pour ceux, tous ceux, qui s'y collent :  que de mains qui tremblent, que de voix qui déraillent sous le coup de l'émotion, que de gestes techniques qui dérapent sous la pression, mais ils y sont allés quand même, dans l'espoir de créer un moment magique.  Chapeau. L'aspect compétition, délégation des pays, avait été ici même discuté avant la FISM : très franchement ces questions une fois qu'on est dedans s’envolent instantanément, l'ambiance fabuleuse qui se crée autour de la compétition, le plaisir de voir les équipes soutenir avec un chauvinisme bon enfant leurs différents candidats vous emporte-on a souvent la standing ovation facile, mais qu'importe c'est le jeu. Au contraire même l'idée d'avoir des équipes qui soutiennent les artistes dans tous les domaines, créatifs, techniques, et pourquoi pas psychologique - la pression est telle- paraît assez évidemment la voie à poursuivre et amplifier. *** Et zut ... ce matin -après un retour dans la nuit homérique de quelque sept heures depuis TURIN pour PARIS- je me suis surpris à fredonner "Abracadabra"... arghhhhhh Lady GAGA sort de ce corps...  
    • Merci pour cette précision. Je pensais que Dani concourrait uniquement en invention. Il reste dommage que dans la catégorie GI, on exige deux illusions différentes. Pas certain que des effets additionnels de magie générale suffisent avec une seule grande illusion. C’est du moins ce que l’on m’a expliqué à plusieurs reprises, mais peut-être les choses ont-elles changé ( ou mériteraient d’évoluer dans le cas contraire). 
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