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Bonjour a tous et à toutes.

(J'espere que cette question n'a pas encore était abordé ici, j'ai tenté l'outil recherche mais je n'ai rien trouvé.Si il existe déjà merci de me donné l'adresse et de suprimé ce post).

J'aimerai avoir quelque petit renseignement quelque avis sur cette question:

A partir de quand peut t'on se "produire" ? Donc voila a partir de quand peut t'on tenté d'aller dans les restaurants ou autre. Essayer de se faire de l'argent de poche je dirai au pourboire.

Quelle niveau, technique faut t'il ?

On peut épatter les gens avec des tours automatique pas bien difficile. Mais selon vous quel niveau faut t'il ?

J'aimerai bien avoir vos different avis sur la question.

Amicalement Totore59.

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Publié le

A partir de la ceinture orange...

Mais plus sérieusement, Pour l'argent de poche, il faut demander au parents...

Pour de l'argent tout court il faut travailler...

Pour travailler il faut avoir des compétences...

Pour avoir des compétences il faut étudier...

Pour étudier un art, il faut la passion, pas avoir envie de se faire de l'argent de poche.

Donc, la question ne se pose pas.

Je fais partie de ceux (trop rares à mon goût) qui vous diront que faire des restaurant "pour se faire de l'argent de poche" est une mauvaise idée pour tout le monde.

Mais comme je suis certains que pleins d'autres vous encourageront, je ne me risquerais donc pas (plus) dans ce faux débat.

Je vous donnerais donc la seule vérité ultime, indiscutable:

Personne ne peut avoir le niveau pour faire du close-up de qualité en situation réel avant de s'y être confronté.

Il y a bien sur des bouquins là dessus, qui vous apprendront comment faire votre noeud de cravate et qu'une bonne idée serait d'avoir les mains propres, mais personne ne peut appréhender ce que le travail de close-up en restaurant implique sans y avoir gouté.

Donc, pour savoir si vous avez le niveau pour faire de la magie, je vous conseillerais bien d'avoir du recul sur vous-même, mais c'est, on le comprends vite ici ou là, sur les sites de magie, youtube et souvent à la télé, une qualité que peu ont et que certains s'interdisent d'avoir...

Je le répète quand même, "pour se faire de l'argent de poche", c'est une démarche que je ne peux approuver...

Zappy (quand j'ai voulu passer pro, j'en ai discuté avec un magicien professionnel de mes amis... Je le considère comme mon parrain de confrérie. Il se reconnaitra je pense et j'en profite pour lui faire la bisouille.)

PAS DE PANIQUE!

Publié le

Il faut bien commencer un jour ...

Commence par te produire dans ton entourage, puis élargis un peux .

Et si on te jette plus de fleurs que de pierres , essayes de t'améliorer jusqu'à ne recevoir que des fleurs ...

Et ensuite envisage de te faire payer ...

Ludo.

Publié le (modifié)

Merci pour cette réponse rapide et claire.

Sa fait des années que j'étudie sans pour autant vouloir forcement gagner de l'argent, mais je m'était juste poser la question de savoir le niveau "requis".

Personellement je ne pense pas être de taille, et c'était juste pour ma curiosité.

Aprés pour les spectateurs je me doute que si on leur fait uniquement des tours automatique toute une soiré on va pas être bien perçue, et on aura surement même aucune reconnaissance se qui est bien normal.

On parle ici de magicien et non de faiseur de truc.

Mais j'ai déjà vue un magicien dans un restaurant et bien qu'il maitrisait bien je me suis dit que se qu'il fesait était vraiment a porté de main pour moi.

D'ou la question de savoir a peut prés le "niveau" (même si le terme n'ai pas trés exacte) requit pour cela.

Merci de vos réponses si d'autre on un avis différent et similaire...

Amicalement Totore59

Modifié par Totore59
Publié le (modifié)

Voilà Tabary ma grosse faute d'orthographe à était corrigé, il y en aura surment plein d'autres... je suis comme tu l'a vue très mauvais en orthographe. Je sais que sa doit être énervant de voir des fautes mais je fait de mon mieux pour qu'il y en ait le moin.

Le but de post n'ai pas d'acquérir de quoi devenir professionel ou autre. Je recherche juste a comprendre certaine choses.

Je cherche pas à me faire de l'agent facile ou autre, je ne cherche même pas à me faire de l'argent, enfin pas de cette façon là.

Je ne cherche qu'a comprendre.

Amicalement Totore59

Modifié par Totore59
Publié le (modifié)
Konnais-tu Khanar ?

Dès l'akisition de ce magnifik objet, tu pourras te lancer dans une karrière internationale.

Vi ..

a commander au Jantacable industrie à Khanar -2 Sunsari Nepal

ici http://www.jantacableinds.com/contact_us.php

A partir de quand peut t'on se "produire" ?

Quelle niveau, technique faut t'il ?

Mais selon vous quel niveau faut t'il ?

Amicalement Totore59.

Quand on se sent prêt

A ne pas confondre orthographiquement et grammaticalement avec

Sentir de près ..

Quel niveau ; genre masculin à ne pas confondre avec quelle technique de daube totalement inutile

..

Sinon …une seule et unique Règle, qui comme chacun le sait, déroge toutes les autres ..

être à l’aise .. s'amuser et amuser ..

et là aucune question de niveau ..

Je sais que ces conseils paraîtront ne pas répondre à tes questions

Mais, ce sont les vrais ..

JaB

~~~~~~

Modifié par JacK Barlett
Publié le (modifié)

Trouve un restau qui te laisses faire des tours en passant avec un chapeau.

Si tu as le niveau, tu le sauras vite.

Ne fais pas comme la majorité des gens , en te disant que le meilleur moment pour commencer, c'est demain.

Si tu n'es pas au niveau, la seule chose que tu écorcheras, c'est ton ego.

Va à la rencontre d'autres magiciens, en club ou autre, ça te permettra de te situer, tant au niveau de la technique que de ton "aura" magique.

Modifié par sorano

A l'avenir, je profiterai plus de l'instant présent que par le passé.

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    • Je crois surtout qu’une telle accumulation d’affirmations toutes plus invraisemblables les unes que les autres les feraient ricaner, s’ils en avaient cure.    J’ai déjà évoqué cela. Un exemple ici :  Par ailleurs Christian Delamorinière habituellement si « prompt » (c’est le cas de le dire) à dégainer une IA pour répondre à sa place lorsque ça l’arrange, ne fait pas ici cet « effort » dès lors que ça pourrait ne pas abonder dans son sens, exemple avec ce que peut relever ChatGPT du point de vue des éléments scientifiques sur cette affaire (qui pour moi je le précise n’en est pas une, à part l’analyse sociologique intéressante qu’on peut faire sur les croyances et la crédulité humaine) : ChatGPT : « Je vais te donner, de façon structurée et rigoureuse, les éléments scientifiques (tests, observations, preuves historiques et limites méthodologiques) qu’on peut invoquer pour soutenir l’hypothèse non-miraculeuse concernant l’image de Notre-Dame de Guadalupe. Je cite les travaux et rapports clés pour chaque point (les cinq affirmations les plus importantes sont sourcées). Résumé rapide (une phrase) : Les enquêtes historiques et techniques existantes montrent des indices compatibles avec une fabrication ou des retouches humaines (présence de pigments et retouches, témoignages d’experts-restaurateurs, preuves documentées d’altérations et d’interventions), et aucun test non-contredit et irréfutable n’a démontré une origine « surnaturelle ». 1) Matière du support et conservation — pourquoi la “longévité inexplicable” n’est pas une preuve suffisante Analyses historiques identifient le support comme une tilmatli / tissu composé (traditionnellement ixtle = fibre d’agave) mais certaines études postérieures ont trouvé des fibres plus stables (lin/coton) ou mélange. Les fibres d’agave « pures » se dégradent normalement en quelques décennies dans le climat de Mexico — l’existence d’un tissu intact depuis ~1531 exige donc une explication (restaurations, protection, remplacements partiels, conditions favorables), pas automatiquement un miracle. Faits documentés qui expliquent partiellement la conservation : image protégée derrière verre blindé, changements d’éclairage et de contrôle climatique au XXᵉ siècle, interventions de restauration historiques (nettoyages, ajout de cadre, etc.). Ces mesures réduisent l’argument « ça n’aurait pas dû survivre ». 2) Preuves de retouches, additions et interventions historiques Documents et enquêtes (rapports de peintres en 1751, note d’un restaurateur en 1946, rapport de José Sol Rosales en 1982) signalent retouches visibles (ajout/suppression de la couronne, placages d’or/argent sur certains éléments, retouches locales). Ces interventions humaines montrent que l’image a subi modifications — ce qui affaiblit l’argument que l’ensemble de l’image est « intacte et miraculeuse ». Incidents historiques (taches d’acide en 1791, explosion d’une bombe en 1921, déplacements/encadrements multiples) sont attestés et documentés ; l’existence de copies et de manipulations rend plausible qu’au fil du temps on ait effectué réparations/restaurations. 3) Analyses pigmentaires et techniques (ce qu’on sait / ce qu’il faudrait) Tests publiés (examens visuels, microscopiques, photos infrarouges) ont montré des zones retouchées et, selon certains experts, des pigments et une préparation compatibles avec des techniques humaines (tempera/tüchlein). L’étude infrarouge de Philip Serna Callahan (1979–1981) n’a pas trouvé d’explication miraculeuse pour la conservation des zones « originales », mais a identifié des retouches visibles et des différences de matière. Méthodes scientifiques rigoureuses à appliquer (ou dont l’absence est critique) : cartographie non destructive (XRF, hyperspectral imaging), micro-spectroscopies (Raman, FTIR), SEM-EDS pour composition élémentaire, analyses de couches (micro-stratigraphie) et datation AMS (radiocarbone) sur fibres non-essentielles. Si ces tests montrent pigments, liants et stratigraphies compatibles avec peinture humaine du XVIᵉ siècle et/ou matériaux introduits plus tard, cela supporte fortement l’origine humaine. À ce jour, il n’existe pas de publication largement acceptée présentant un jeu complet, moderne et indépendant de ces analyses sur l’ensemble de l’objet (ou du moins ces données ne sont pas toutes publiques). 4) Études sur les « reflets » dans les yeux et pareidolie Certaines études ont affirmé trouver des « images » miniatures dans les yeux (figures des témoins). Les critiques scientifiques montrent que ces images sont très faibles, sujettes à pareidolie (reconnaissance d’images dans des taches) et que l’interprétation n’est pas reproductible ni robuste : ce type d’« evidence » n’a pas de valeur probante forte en l’absence d’une méthodologie statistique stricte. 5) Approche historique et iconographique L’enquête historique (relevés, témoignages du XVIᵉ–XVIIIᵉ siècle, débats entre religieux) montre que depuis le début il y a eu des accusations que l’image était peinte par des humains (témoignages citant un peintre « Marcos/Marcial » au XVIᵉ siècle). Les rapports d’experts en peinture (1751) et les analyses iconographiques modernes fournissent des alternatives historiques plausibles à l’explication miraculeuse. Ce qu’il faudrait pour “prouver” de façon scientifique qu’il n’y a pas de miracle (critères de rigueur) : Pour renverser définitivement l’attribution miraculeuse (dans une logique scientifique), il faudrait un jeu complet et public d’analyses reproductibles, indépendantes et multi-modalités : Datation directe (AMS radiocarbone) d’un fragment de la fibre (ou d’un fil marginal non essentiel) — établir l’âge du support. Cartographie chimique non destructive (XRF, hyperspectral, FTIR, Raman) couvrant l’ensemble pour lier pigments/éléments à matériaux connus. Analyses micro-stratigraphiques (coupe en section microscopique) montrant couches de préparation, liant, pigments et retouches datables. Contrôle de l’altération (analyses de dégradation) pour comprendre pourquoi certaines zones sont conservées. Publication complète et revue par pairs permettant reproduction et critique. Absence d’un de ces éléments (surtout l’absence d’AMS daté ou d’un jeu public et indépendant d’analyses) signifie que l’argument « inexplicable scientifiquement = miracle » est méthodologiquement faible. Limites et mise en garde méthodologique Accès et échantillonnage : la basilique contrôle très strictement l’accès — procédures invasives (prélèvement pour AMS, micro-coupe) sont politiquement et religieusement sensibles; l’absence de tels prélèvements limite les conclusions définitives. Preuves négatives : montrer que l’on ne voit pas d’explication naturelle complète n’est pas la même chose que prouver un miracle. La charge de la preuve scientifique pèse sur celui qui affirme l’exceptionnel. Interprétations contradictoires : plusieurs études (et auteurs) arrivent à conclusions différentes selon méthodes, expertise et déclarations. Il faut privilégier analyses reproductibles et données ouvertes. Conclusion synthétique (ce que la science rigoureuse peut raisonnablement soutenir aujourd’hui) Il existe des preuves historiques et techniques d’interventions humaines (retouches, ajouts, nettoyage, modifications documentées). Des études techniques (photos IR, examens microscopiques, analyses conservatoires) ont identifié des pigments et des signes compatibles avec un travail humain sur au moins une partie de l’image. L’argument « la tilma aurait dû se décomposer » perd de sa force quand on tient compte des matériaux identifiés, des interventions historiques et des mesures de conservation. Il n’y a pas (à ma connaissance, dans la littérature publique et peer-critique) de série complète et indépendante d’analyses modernes et invasives qui établissent irrécusablement une origine miraculeuse ; inversement, il existe des analyses et arguments plausibles en faveur d’une fabrication ou de retouches humaines. »   Lequel ? La Bulgarie ? 
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