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Publié le
Le chat retombe sur ses pattes, puis c'est au tour de la tartine de tomber du côté du beurre, puis de nouveau le chat ... qui se vautre par terre en glissant sur le beurre resté collé au sol.

Le chat, c’est comme la confiture : plus il y en a, plus il s’étale.

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Publié le (modifié)
C'est comme tout le monde, quand on est beurrés, on n'a plus les quilles libres.

Les quilles ça rend maboule.

« Être gris » c'est être à moitié ivre, d’où l'origine de l'expression « La nuit tous les chats sont gris » qui sous-entend « tous les chats sont beurrés ». Mais s’ils sont « à moitiés ivre », que fait l'autre moitié ? Elle retombe sur ses pattes :crazy: ! CQFD

Pour les amateurs, cette très très bonne BD:

Jack B. Quick Enfant prodige d’Alan Moore et Kevin Nowlan.

On y trouve des chats beurrés

Merci beaucoup Jack Jac. Grâce à toi, je me suis procuré cet ouvrage.

chattartinebeurre.jpg

http://www.bdgest.com/chronique-1421-BD-Jack-B-Quick-Enfant-Prodige.html

Il y a dans cette BD des passages très drôles, comme celui que tu évoques avec la lumière (les photons) arrêtée par un policier qui lui hurle :

« Je me moque qu’on parle de toi dans la Genèse ! Tu faisais du 300.000 km à la seconde dans une zone limitée à 50 km à l’heure, alors tu vas souffler dans le ballon ! »

À une échelle plus modeste, notez qu’une langue de chat…

languedechat.jpg

… beurrée…

beurre.jpg

http://recettes-cuisine.over-blog.com/15-categorie-10556093.html

… permet de tourner la sienne sept fois dans sa bouche, c’est déjà chat ça. :D

Quant à la langue du Chat, rien ne dit qu’elle soit au beurre de cacao mais elle est bien pendue.

langueduchatchocolat.jpg

http://www.sensum.be/fr/home/article/737

Plus sérieusement, mes recherches de sources relatives au créateur du paradoxe du chat beurré me mènent actuellement vers John Frazee.

“The buttered cat paradox is a paradox based on the tongue-in-cheek combination of two adages:

• Cats always land on their feet.

• Buttered toast always lands buttered side down.[1]

The paradox arises when one considers what would happen if one attached a piece of buttered toast (butter side up) to the back of a cat, then dropped the cat from a large height. The buttered cat paradox, submitted by John Frazee of Kingston, New York, won a 1993 OMNI magazine competition about paradoxes.”

Vous trouverez des choses amusantes dans cet article notamment des questions du type : « Est-ce que ça fonctionne encore si on utilise de la margarine ? »

http://en.wikipedia.org/wiki/Buttered_cat_paradox

When a cat is dropped, it always lands on its feet, and when toast is dropped, it always lands with the buttered side down. I propose to strap buttered toast to the back of a cat; the 2 will hover, inches above the ground. With a giant buttered-cat array, a high-speed monorail could easily link New York with Chicago.

John Frazee

“Toast always lands buttered-side down, and a cat always lands feet first. I propose we strap buttered toast to the back of a cat; the two will hover, spinning inches from the ground. With a giant buttered-toast/cat array, a hovering monorail could easily link New York with Chicago.”

John Frazee in the Journal of Irreproducible Results

Wiki : “The Journal of Irreproducible Results (JIR) is a magazine of science humor.[1] JIR was founded in Israel in 1955 by virologist Alexander Kohn and physicist Harry J. Lipkin, who wanted a humor magazine about science, for scientists. It contains a unique mix of jokes, satire of scientific practice, science cartoons, and discussion of funny but real research. It has passed through several hands and is published in San Mateo, California as of 2004.”

http://www.jir.com/

Dans la foulée, j’ai trouvé d’autres perles comme le Paradoxe d’omnipotence ou celui de la Force irrésistible :

« Que se passe-t-il quand une force absolument irrésistible rencontre un objet immuablement fixe ? ».

http://en.wikipedia.org/wiki/Irresistible_force_paradox

Est relaté également un paradoxe d’origine chinoise qui remonte au IIIe siècle av. J.-C. :

Un homme essaya de vendre une lance et un bouclier. Lorsqu'on lui demanda à quel point sa lance était bonne, il répondit que sa lance pouvait percer n'importe quel bouclier. Lorsqu'on lui demanda à quel point son bouclier était bon, il répondit que ce dernier pouvait défendre contre toutes les attaques de lance. Ensuite, une personne lui demanda ce qui arriverait s'il devait prendre sa lance pour frapper son bouclier. Le vendeur ne put répondre.

Fabuleux exemple de prémisses "auto-contradictoires".

Christian Girard

Modifié par Christian Girard
  • Haha 1
  • 2 months plus tard...
  • 2 weeks plus tard...
Publié le

Le cantique du chat perché

Fixée au dos d’un chat de Schrödinger, la tartine est dans une superposition d’états, son côté beurrée intriqué au chat mort et celui non beurrée au chat vivant (mais ça peut être le contraire, tout dépend de la mesure).

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    • ChatGPT : Les études historiques et techniques disponibles révèlent bien des retouches et interventions humaines, mais elles laissent le cœur de l’image (visage, mains, robe, manteau) dans une zone largement inexpliquée techniquement, sans consensus scientifique pour en faire une peinture ordinaire. 1) Support et conservation : une longévité qui reste anormalement remarquable      Pendant des siècles, la tilma a été exposée sans protection moderne : fumée de milliers de cierges, humidité, poussière, manipulations directes des pèlerins ; malgré cela, la partie centrale de l’image reste étonnamment fraîche, sans craquelures, alors que les ajouts (dorures, lune, etc.) se sont nettement détériorés.      Les restaurations et le verre blindé du XXᵉ siècle expliquent la bonne conservation récente, pas la survie initiale dans des conditions normalement destructrices. 2) Retouches et ajouts : oui… mais précisément où ?      Les documents historiques, les restaurateurs modernes et les examens IR convergent sur un point : il y a eu des retouches humaines (couronne, lune, angelot, certains rayons, dorures), ces éléments montrent des craquelures, des écaillages, un vieillissement normal, alors que le noyau de l’image (visage, mains, tunique, manteau) ne présente ni craquelure typique, ni pelade de peinture, ni vernis protecteur.      Les retouches démentent l’idée d’une image jamais touchée, mais elles soulignent aussi une différence de nature entre : ce qui est manifestement humain et fragile, et le cœur de l’image qui reste anormalement stable et techniquement singulier. 3) Pigments et technique : un dossier loin d’être “pro-peinture ordinaire”      L’étude infrarouge de Callahan et Smith (1979–1981), largement citée, aboutit à cette conclusion pour le motif central : aucun sous-dessin, aucune couche d’apprêt (sizing), aucun vernis, la trame même du tissu utilisée pour donner la profondeur, luminosité et stabilité de couleurs jugées “inexplicables” par les techniques artistiques connues.  4) Reflets dans les yeux : ni preuve de miracle, ni argument “anti-miracle”      Scientifiquement, on peut dire : ces “reflets” sont trop discutés et trop dépendants du traitement d’image pour fonder une preuve solide, mais cela ne devient pas pour autant une “preuve” contre le caractère exceptionnel de l’image : c’est juste une zone d’arguments faibles dans les deux sens. 5) Histoire et iconographie : le “peintre Marcos” ne clôt rien      Oui, certains textes plus tardifs (XVIIᵉ–XVIIIᵉ s.) évoquent un peintre nommé “Marcos” ou “Marcial” et servent de base à l’hypothèse d’une fabrication humaine. Mais : ces sources apparaissent dans un contexte de polémiques internes (conflits entre ordres religieux, débats sur la piété populaire), et on n’a aucun document direct de commande, de paiement, de contrat, ni d’atelier associé à ce prétendu peintre.      A l’inverse, il existe des sources nahuatl anciennes (comme le Codex Escalada, daté du XVIᵉ siècle) et une tradition indigène qui présentent l’image dès le départ comme liée à un événement miraculeux et à une dévotion massive. Conclusion en mode très simple      La science pointe plutôt vers ‘non miraculeux’ et ne trouve rien de vraiment inexplicable. Une lecture plus équilibrée des mêmes données dit plutôt : Il y a des retouches humaines évidentes, mais le cœur de l’image et la conservation du support restent objectivement déroutants, et les études sont trop partielles et contradictoires pour qu’on conclue sereinement ‘tout est banal’.      Au final, ce n’est pas la science qui “désacralise” Guadalupe. La science dit surtout : “cet objet est très inhabituel, nous ne comprenons pas tout.
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