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"Le respect des aînés est une preuve de caractère"

Winston Wolf, Pulp fiction.

OK...La référence est discutable... Mais que voulez vous Winston Wolf est mon héros...

Que l'on critique Gilles Arthur et son travail m'importe peu...

Ce qui me dérange, c'est de savoir QUI se permet de le faire...

Si un magicien chevronné, passionné et cultivé (Je pense notamment à Cartomagie, C.Henriet où J. Garin pour ce post) vient exprimer ici son désaccord avec G.Arthur, je peux le concevoir... Le monde des magiciens n'est pas fait que d'amour, nous le savons tous.

En revanche, lorsqu'il s'agit de jeunes magiciens prétentieux, égocentriques et mythomanes, dont la culture magique se résume aux derniers numéros de Dany Lary ou de Bernard Bilis au "Plus grand cabaret du monde" cela me révolte !

Certains intervenants ne s'intéressaient pas à la magie ou n'étaient même pas encore nés à la grande époque d' Attention magie, l'une des premières émissions en "prime-time" consacrée uniquement à notre art. Rien que pour cela, je suis reconnaissant à Gilles Arthur (Je ne le connais pas personnellement). Grâce à lui j'ai découvert des artistes extraordinaires sans bouger de chez moi. Il a fait bouger les choses et à fait entrer la magie chez les téléspectateurs. Je l'en remercie !

De la même façon j'ai pu lire sur ce forum des choses assez surprenantes concernant David Goldrake. Sur ce coup là je l'avoue, je risque d'être moins objectif car c'est un ami de plus de 15 ans. Certes il a, comme tout le monde, ses défauts, MAIS je souhaite aux débutants qui se permettent de le critiquer d'avoir un jour sa culture (Magique ET Générale) et sa finesse d'esprit. Il consacre sa vie corps et âme à la magie et ce n'est pas pour rien si il est cité en référence dans le livre de Eberhard Riese, ou encore dans le dernier ouvrage de Jim Steinmeyer. Le problème de certains incultes qui se permettent de le juger est sans doute qu'ils ignorent sans doute jusqu'à l'existence de ces bouquins... Critiquable...peut-être mais encore une fois, pas par n'importe qui !

Ernest

Modifié par Ernest Sitril

J'aime ceux qui cherchent, je me méfie de ceux qui trouvent... (François Mitterrand)

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Membres les + Actifs

Publié le
Qui a pu pu tirer un vrai interêt financier de son "concours" de gogos ?

PILOU (Grand Prix 2006) ou ARNAUD (Lauréat FFAP 2008, Lauréat Festival Meribel), tous les deux egalement gagnants chez Gilles ARTHUR, vont être content que tu les considères comme gogos....

www.ottowessely.fr

Publié le

Merci Cartomagie... Je suis sûr que ce "Concours...de Circonstance" me permettra de générer de grosses rentrées financières.

Comme quoi parfois les Concours... :)

DRACO

Born to be Funny!

Publié le
OTTO,

Alors, juste une question: pourquoi "gratuit avec PARFOIS le remboursement des frais" s' il y a des recettes?

Carla

Mon intelligence est grande, mes connaissances sont illimitées, mais j'ignore les raisons. Il y a environ une vingtaine de concours par an en France, impossible pour moi de les tous décortiquer et de répondre à ta question. Tous ce que sais, pour revenir au sujet, chez Gilles Arthur les frais sont remboursés dans la mésure du possible, mais Paris-première n'a pas les mêmes moyens que p.e. M6 ou TF1 ou les chaines publiques.

otto

www.ottowessely.fr

Publié le
OTTO,

Alors, juste une question: pourquoi "gratuit avec PARFOIS le remboursement des frais" s' il y a des recettes?

Carla

Mon intelligence est grande, mes connaissances sont illimitées, mais j'ignore les raisons. Il y a environ une vingtaine de concours par an en France, impossible pour moi de les tous décortiquer et de répondre à ta question. Tous ce que sais, pour revenir au sujet, chez Gilles Arthur les frais sont remboursés dans la mésure du possible, mais Paris-première n'a pas les mêmes moyens que p.e. M6 ou TF1 ou les chaines publiques.

otto

Je ne pense pas avoir évoqué Gilles Arthur, ni Paris première ou encore les Mandrakes, juste des "concours pour magiciens" en général.

Désolée si j'ai fait dévier le post initial...

Carla

Carla

Publié le

Bonjour.

Je remarque juste que certains messages sont de véritables défouloirs gratuits qui dévient à chaque fois sur presque toujours les mêmes personnes mais heureusement que les véritables passionnés et professionnels de la Magie ne côtoient que très rarement ce petit microcosme du web gratuit !

Quelle perte de temps !

Yep

Invité Chouchou
Publié le
mais heureusement que les véritables passionnés et professionnels de la Magie ne côtoient que très rarement ce petit microcosme du web gratuit !

Bonjour,

Oui, les vrais travaillent, eux.

Publié le
Bonjour.

Je remarque juste que certains messages sont de véritables défouloirs gratuits qui dévient à chaque fois sur presque toujours les mêmes personnes mais heureusement que les véritables passionnés et professionnels de la Magie ne côtoient que très rarement ce petit microcosme du web gratuit !

Quelle perte de temps !

on ne perd pas son temps en defendant les gens injustement attaqués !

www.ottowessely.fr

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    • Je crois surtout qu’une telle accumulation d’affirmations toutes plus invraisemblables les unes que les autres les feraient ricaner, s’ils en avaient cure.    J’ai déjà évoqué cela. Un exemple ici :  Par ailleurs Christian Delamorinière habituellement si « prompt » (c’est le cas de le dire) à dégainer une IA pour répondre à sa place lorsque ça l’arrange, ne fait pas ici cet « effort » dès lors que ça pourrait ne pas abonder dans son sens, exemple avec ce que peut relever ChatGPT du point de vue des éléments scientifiques sur cette affaire (qui pour moi je le précise n’en est pas une, à part l’analyse sociologique intéressante qu’on peut faire sur les croyances et la crédulité humaine) : ChatGPT : « Je vais te donner, de façon structurée et rigoureuse, les éléments scientifiques (tests, observations, preuves historiques et limites méthodologiques) qu’on peut invoquer pour soutenir l’hypothèse non-miraculeuse concernant l’image de Notre-Dame de Guadalupe. Je cite les travaux et rapports clés pour chaque point (les cinq affirmations les plus importantes sont sourcées). Résumé rapide (une phrase) : Les enquêtes historiques et techniques existantes montrent des indices compatibles avec une fabrication ou des retouches humaines (présence de pigments et retouches, témoignages d’experts-restaurateurs, preuves documentées d’altérations et d’interventions), et aucun test non-contredit et irréfutable n’a démontré une origine « surnaturelle ». 1) Matière du support et conservation — pourquoi la “longévité inexplicable” n’est pas une preuve suffisante Analyses historiques identifient le support comme une tilmatli / tissu composé (traditionnellement ixtle = fibre d’agave) mais certaines études postérieures ont trouvé des fibres plus stables (lin/coton) ou mélange. Les fibres d’agave « pures » se dégradent normalement en quelques décennies dans le climat de Mexico — l’existence d’un tissu intact depuis ~1531 exige donc une explication (restaurations, protection, remplacements partiels, conditions favorables), pas automatiquement un miracle. Faits documentés qui expliquent partiellement la conservation : image protégée derrière verre blindé, changements d’éclairage et de contrôle climatique au XXᵉ siècle, interventions de restauration historiques (nettoyages, ajout de cadre, etc.). Ces mesures réduisent l’argument « ça n’aurait pas dû survivre ». 2) Preuves de retouches, additions et interventions historiques Documents et enquêtes (rapports de peintres en 1751, note d’un restaurateur en 1946, rapport de José Sol Rosales en 1982) signalent retouches visibles (ajout/suppression de la couronne, placages d’or/argent sur certains éléments, retouches locales). Ces interventions humaines montrent que l’image a subi modifications — ce qui affaiblit l’argument que l’ensemble de l’image est « intacte et miraculeuse ». Incidents historiques (taches d’acide en 1791, explosion d’une bombe en 1921, déplacements/encadrements multiples) sont attestés et documentés ; l’existence de copies et de manipulations rend plausible qu’au fil du temps on ait effectué réparations/restaurations. 3) Analyses pigmentaires et techniques (ce qu’on sait / ce qu’il faudrait) Tests publiés (examens visuels, microscopiques, photos infrarouges) ont montré des zones retouchées et, selon certains experts, des pigments et une préparation compatibles avec des techniques humaines (tempera/tüchlein). L’étude infrarouge de Philip Serna Callahan (1979–1981) n’a pas trouvé d’explication miraculeuse pour la conservation des zones « originales », mais a identifié des retouches visibles et des différences de matière. Méthodes scientifiques rigoureuses à appliquer (ou dont l’absence est critique) : cartographie non destructive (XRF, hyperspectral imaging), micro-spectroscopies (Raman, FTIR), SEM-EDS pour composition élémentaire, analyses de couches (micro-stratigraphie) et datation AMS (radiocarbone) sur fibres non-essentielles. Si ces tests montrent pigments, liants et stratigraphies compatibles avec peinture humaine du XVIᵉ siècle et/ou matériaux introduits plus tard, cela supporte fortement l’origine humaine. À ce jour, il n’existe pas de publication largement acceptée présentant un jeu complet, moderne et indépendant de ces analyses sur l’ensemble de l’objet (ou du moins ces données ne sont pas toutes publiques). 4) Études sur les « reflets » dans les yeux et pareidolie Certaines études ont affirmé trouver des « images » miniatures dans les yeux (figures des témoins). Les critiques scientifiques montrent que ces images sont très faibles, sujettes à pareidolie (reconnaissance d’images dans des taches) et que l’interprétation n’est pas reproductible ni robuste : ce type d’« evidence » n’a pas de valeur probante forte en l’absence d’une méthodologie statistique stricte. 5) Approche historique et iconographique L’enquête historique (relevés, témoignages du XVIᵉ–XVIIIᵉ siècle, débats entre religieux) montre que depuis le début il y a eu des accusations que l’image était peinte par des humains (témoignages citant un peintre « Marcos/Marcial » au XVIᵉ siècle). Les rapports d’experts en peinture (1751) et les analyses iconographiques modernes fournissent des alternatives historiques plausibles à l’explication miraculeuse. Ce qu’il faudrait pour “prouver” de façon scientifique qu’il n’y a pas de miracle (critères de rigueur) : Pour renverser définitivement l’attribution miraculeuse (dans une logique scientifique), il faudrait un jeu complet et public d’analyses reproductibles, indépendantes et multi-modalités : Datation directe (AMS radiocarbone) d’un fragment de la fibre (ou d’un fil marginal non essentiel) — établir l’âge du support. Cartographie chimique non destructive (XRF, hyperspectral, FTIR, Raman) couvrant l’ensemble pour lier pigments/éléments à matériaux connus. Analyses micro-stratigraphiques (coupe en section microscopique) montrant couches de préparation, liant, pigments et retouches datables. Contrôle de l’altération (analyses de dégradation) pour comprendre pourquoi certaines zones sont conservées. Publication complète et revue par pairs permettant reproduction et critique. Absence d’un de ces éléments (surtout l’absence d’AMS daté ou d’un jeu public et indépendant d’analyses) signifie que l’argument « inexplicable scientifiquement = miracle » est méthodologiquement faible. Limites et mise en garde méthodologique Accès et échantillonnage : la basilique contrôle très strictement l’accès — procédures invasives (prélèvement pour AMS, micro-coupe) sont politiquement et religieusement sensibles; l’absence de tels prélèvements limite les conclusions définitives. Preuves négatives : montrer que l’on ne voit pas d’explication naturelle complète n’est pas la même chose que prouver un miracle. La charge de la preuve scientifique pèse sur celui qui affirme l’exceptionnel. Interprétations contradictoires : plusieurs études (et auteurs) arrivent à conclusions différentes selon méthodes, expertise et déclarations. Il faut privilégier analyses reproductibles et données ouvertes. Conclusion synthétique (ce que la science rigoureuse peut raisonnablement soutenir aujourd’hui) Il existe des preuves historiques et techniques d’interventions humaines (retouches, ajouts, nettoyage, modifications documentées). Des études techniques (photos IR, examens microscopiques, analyses conservatoires) ont identifié des pigments et des signes compatibles avec un travail humain sur au moins une partie de l’image. L’argument « la tilma aurait dû se décomposer » perd de sa force quand on tient compte des matériaux identifiés, des interventions historiques et des mesures de conservation. Il n’y a pas (à ma connaissance, dans la littérature publique et peer-critique) de série complète et indépendante d’analyses modernes et invasives qui établissent irrécusablement une origine miraculeuse ; inversement, il existe des analyses et arguments plausibles en faveur d’une fabrication ou de retouches humaines. »   Lequel ? La Bulgarie ? 
    • Merci beaucoup @Sébastien MACAK (Splitter). 🙏
    • Apparitions de Guadalupe : des preuves matérielles qui désarment la science :  
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